Libertinages Avec Elise

Je ne connaissais rien à l’amour, oh pas l’amour que je lisais dans des histoires racontées dans certaines revues. Mon premier véritable amour a été mon mari Jean-Luc. Quand nous nous sommes vus la première fois je croyais voir Dieu en personne. Je me laissais fondre quand ses lèvres sont venues sur le miennes. Il voulait me faire l’amour : je refusais de me donner à lui comme ça, sans garantie sur la suite de notre relation.
Il faut croire qu’il tenait à moi, il se contentait de nos baisers. La nuit de noce a été merveilleuse pour lui. Pour moi je découvrais l’amour physique qui comme je le craignais n’était pas aussi agréable que je le pensais. Ce n’est que le lendemain matin que j’ai senti une drôle d’impression dans mon corps quand il est entré en moi. Cette impression qui devenait du désir m’a emmené vers le plaisir réel.
Chaque pénétration devenait importante pour mon corps ; j’aimais qu’il me fasse l’amour. Puis, lentement, comme pour préserver ma pudeur, il m’apprenait des choses dont je ne me doutais même pas de leur existence. Un soir, nous étions nus dans le lit quand il me présentait sa bite. Je pensais qu’il voulait simplement que je l’embrasse. Il m’a fait ouvrir la bouche pour que je la prenne dedans avec ma langue qui la caressait.
J’étais écœurée de sentir son sexe. Il insistait tellement que pour lui faire plaisir je faisais ce qu’il voulait. Je ne pensais jamais qu’il jouisse en moi ainsi. J’étais surprise de sentir son jet de sperme dans ma bouche. J’allais le cracher quand le gout me plaisant je le gardais un instant dans ma bouche. J’avalais lentement la semence. Pour me remercier, pour la première fois il a embrassé ma chatte. Je sentais sa langue s’insinuer partout, même dans des endroits que je n’en connaissais pas.
Il m’a envoyé au 7° ciel. J’ai joui plusieurs fois pour la première fois. Je devenais confiante dans les inventions de mon Jean-Luc. Il me caressait toujours avant de venir dans mon ventre.

Il m’a un soir à me caresser. J’avais honte de me toucher la moule devant lui. Il a pris sa bite dans sa main et s’est donne tout le plaisir voulu. Ca m’excitait : j’ai accepté de me donner moi aussi du plaisir. Le plus fort est que j’ai vite pris gout à ses plaisirs solitaires, à tel point que je me masturbais souvent en son absence : nue sur le lit, les jambes ouvertes je caressais mon bouton calmement. Si je le racontais quelques fois à Jean-Luc, la plus part du temps je le gardais pour moi.
Un dimanche après midi nous faisons l’amour quand il me propose encore une nouvelle chose. Il me l’impose plutôt : sa bite dé jusqu’à mon cul. Je savais quand même que des femmes aimaient se faire mettre par là. Je l’ai laissé faire : j’ai eu un mal de chien quand il est entré. Malgré mes refus, il insistait pour ma la mettre à fond. Je sentais ses poils sur mes fesses quand il est resté immobile longtemps. Je m’habituais petit à petit à sa présence. Je ne sentais plus rien de mal quand il a enclenché ses allers et venues. A ce moment là j’ai commencé à sentir un peu de plaisir. Il a continué longtemps, sans jouir. Il m’a donné un énorme orgasme : je venais de jouir par le cul.
Je pensais en avoir fini avec les nouveautés. Je me trompais puisque un soir avec des amis, il parlait de mon inexpérience d’amour en commun. Le couple d’amis de regardait avec étonnement. C’est la femme, Elise, qui racontait comment elle faisait l’amour avec une copine devant son mari ou souvent sans lui. Elle aimait bien faire ça avec des filles. Elle me regardait avec insistance :
- Tu sais si tu veux nous pouvons nous aimer maintenant.
- Je ne ferais jamais une pareille chose.
- Vas-y, baise avec elle, me dit mon mari.
Mon Jean-Luc, lui-même me demande de le tromper avec une femme devant lui et l’époux de cette fille. Pour que j’accepte ce qu’elle demande, Elise se lève pour venir m’embrasser sur la bouche. Pour moi c’est comme du feu qui coule dans mes veines. Elle me fait le même effet que quand la bouche de Jean-Luc est venue sur la mienne la première fois.

Je me laisse faire devant les autres. Elise sait vite me convaincre de baiser avec elle : sa main est sous ma jupe, sur mes cuisses qui s’ouvrent. Son attaque est câline, quand elle arrive sur ma chatte je suis surprise de sa douceur. Je ne prête même plus attention ni à Jean-Luc, ni au mari d’Elise. Elle me fait lever pour aller nous assoir sur le divan. Elle m’embrasse encore, sa main est encore sur ma chatte. Elle trouve vite mon clitoris. Je frémis sans arrêt sous sa caresse. Je ne sais même plus comment à mon tour je rends ce qu’elle me donne. Je la branle comme je me fais : elle ne tarde pas à jouir comme moi d’ailleurs. Lentement nous nous mettons nues.
Nous faisons l’amour comme des lesbiennes pour nous retrouver en 69. J’aime bien cette position jouissive entre toutes. Nos langues trouvent vite les endroits à lécher. Elise me met trois doigts dans l’anus : j’en sursaute de plaisir. Je le lui rends bien.
Soudain je vois les deux hommes nus comme nous qui bandent : je sais qu’ils ont envie de se joindre à nous. Le plus décidé semble être mon Jean-Luc. Il vient contre nous, sa queue est vite dans le cul de mon amante.
Nous nous tournons sur le coté pour permettre au mari d’Elise de venir se joindre à notre baise. Il vient contre moi, je sens quand il me la met dans le cul. C’est agréable de tromper son mari quand il me trompe aussi. Les eux hommes éjaculent dans nos corps : nous restons toujours en 69 pour continuer à nous faire du bien.
Le lendemain Jean-Luc me félicite de me donner enfin à la luxure. Je lui avoue que j’ai pris un grand plaisir avec Elise, que nous devons nous revoir un de ces jours pour baiser encore ensemble.
Pour me punir de mes intentions de devenir une bisexuelle, il me baise à sa façon ; j’ai droit d’abord à un 69. J’aime avoir sa queue dans la bouche, j’adore le lécher partout et même depuis peu lui mettre un doigt dans le cul. Je l’enfonce pendant qu’il s’enfonce dans ma bouche. Il est rare que nous ne jouissions pas ensemble.
J’aime sentir ses spasmes autour de mon doigt. Pour le faire bander, c’est simple, je me mets devant lui la main sur mon clitoris : je me branle jusqu’à en jouir pour qu’il bande bien dur. Normalement il me baise longtemps. Cette fois s’il me baise, il fait vite pour me la mettre au cul. Notre plaisir est plus fort que d’habitude. Ma cyprine coule entre mes jambes : il la lèche pour me laisser toute propre.
Le rendez vous avec Elise est pour le début d’après midi. Je prends un bonne douche, me fait belle en me fardant légèrement. Un peu de parfum sous les seins, et ma toison : je suis prête à me donner à une fille. Je me sens légère comme une plume et pourtant je sens que je vais faire un chemin vers une autre sexualité.
- Bonjour chérie :
On pourrait commencer plus mal : c’est ainsi qu’elle m’accueille en m’embrassant.
- Je suis à tes pieds, fais de moi ce que tu veux.
- J’y compte bien.
Nous sommes vite nues dans sa chambre. Elle me semble plus désirable que la première fois. Je peux voir ses seins durs, presque pointus, sa taille fine, ses hanches larges et surtout sa fourrure taillée en pointe vers son sexe déjà mouillé. Je sens son odeur de sexe avant que je sois sur elle. Elle avoue qu’elle s’est masturbée en m’attendant, pressée de nos étreintes.
Nous sommes sages un instant, après un baiser plus profond que les premiers. Nos langues se livrent un véritable batailles, pendant que nos mains caressent tout ce qui est accessible. Je me régale de frôler ses seins qui finalement sont moins durs que je le pensais. Nous ne nous pressons pas pour aller jusqu’au but recherché.
A la fois il me tarde qu’elle vienne sur ma choupinette, et qu’elle aille ailleurs. Nos mains sont douces pour nous promener sur l’autre corps. Je mouille comme jamais. Je sens quand elle peigne mes poils pubiens : elle ne va pas tarder à venir me chatouiller le con.
Ca y est ses doigts sont sur mon sexe, comme je mets les miens sur le sien.
La pudeur est loin de nous, vite que nous jouissions. Je m’étonne même en commençant à la masturber la première. Elle est trempée tellement elle a envie. Je caresse doucement son clitoris gonflé : elle gémit rapidement.
- Que c’est bon, n’arrête pas, continue, oui, branles moi.
- Branles moi aussi.
Elise pose une main sur ma fente, écarte mes lèvres pour me pénétrer. Elle met quatre doigts directement dans mon puits : c’est meilleur qu’avec Jean- Luc. Mon bas ventre accompagne ses mouvements. Elle me fait jouir… Je continue ma masturbation : elle part aussi vite que moi. Nous changeons de position : le 69 devient pour l’instant notre posture préférée. C’est vrai que nos langues aiment le sexe de l’autre fille.
Cette fois elle prend l’initiative de poser sa langue sur mon rectum que j’ouvre au maximum. Sa langue entre un peu sans problème, j’en aurais voulu d‘avantage. Elle force pour entrer le plus possible. Elle garde ses doigts dans ma chatte : je suis comblée, prise par devant et derrière, je ne pensais jamais être aussi rempli de plaisir.
J’essaie de lui en faire autant : je suis loin de la valoir : elle sait bien mieux que moi baiser une fille.
- Si tu veux je peux te faire connaitre d’autres plaisirs plus profond.
- Je le veux.
- Habille toi nous sortons.
Je ne sais où elle veut que nous allions, je revêts mes bricole en oubliant volontairement mes dessous. J’ai raison : nous prenons un taxi : Elise donne une adresse : pendant le trajet elle en profite pour passer une main sous ma robe légère. J’écarte les cuisses pour qu’elle réussisse son désir : elle me branle encore une fois. Cette fois le chauffeur aperçoit ses mouvements : il nous regarde dans le rétroviseur sans cesse. Je jouis sans murmurer juste au moment de l’arrivée.
C’est un drôle de club dans lequel nous sommes accueillies par une jolie fille. La semi obscurité nous empêche de voir l’intérieur. Quand nous sommes enfin habituées je vois que plusieurs couples de filles dansent ou sont attablées. La plus part sont nues ou sur le point de l’être.
- Nous sommes dans un club libertin réservé aux femmes. Tu verras avec elles tu ne vas pas t’ennuyer.
- Je ne vais pas m’offrir à ces dingues.
- Elles sont comme nous, des filles légères qui aiment la baise lesbienne.
Je voudrais encore manifester mon étonnement quand une très jolie fille m’invite à danser un simple slow. Elle me fait lever en me tirant par la main. Elise me sourit. Je vais donc avec cette fille qui ne tarde pas à se coller contre moi, joue à joue, corps à corps.
- Tu me plais, tu sais. Je pourrais te faire ce que tu veux.
- Déjà ?
- Oui, de suite.
Elle n’attend même pas que la danse soit finie : elle m’entraine dans une petite pièce annexe où immédiatement elle m’embrasse. Sa main est vite sur mon entre jambe. Elle s’aperçoit aussitôt que je ne porte pas de sous vêtement. Elle défait ma robe qui tombe pour venir poser ses lèvres sur ma chatte. Avec elle c’est du rapide. J’essaie comme je peux de la mettre nue. Elle me laisse juste le temps de le faire : je la regarde : elle est splendide, avec ses cheveux longs qui descendent jusqu’aux fesses.
Elle me fait mettre en levrette, vient derrière moi, pose la langue sur mon anus. Elle me lèche le cul un bon moment : je suis totalement excitée. Je dois me cambrer totalement pour que sa langue vienne sur mon con. Elle me sodomise avec deux ou trois doigts. Je jouis encore : elle me demande de la lécher ce que je fais avec grand plaisir. J’aime de plus en plus la cyprine, un mets de reine
Nous revenons dans la salle principale. Elise m’y attend, nue aussi avec une bouche sur sa chatte. Sa jouissance terminée elle me demande de rentrer : il est tard.
Je me garde bien de raconter à Jean-Luc mon escapade. Il est un peu étonné de me sentir si mouillée : il en profite bien le salaud.
La semaine suivante nous nous retrouvons chez les amis : j’embrasse Elise sur la bouche : je suis dessalée. Nous reprenons nos baises de fille. J’ai besoin d’autre chose de plus relevé. Je regarde les hommes qui sont nus, comme nous, ils bandent.
- Venez me baiser tous les deux à la fois.
- Tu es sure, me demande mon mari.
- Je veux deux bite une devant l’autre derrière.
Là, les hommes ne se font pas prier. Je suis sur Jean-Luc, me fait mettre dans le puits par sa queue bien grossie. Quand il est bien en moi, j’offre mon cul au mari d’Elise qui se branle en nous regardant.
J’ai à peine mal quand il entre dans mon anus. Mais quel plaisir nouveau et jouissif que d’avoir deux bites dans le ventre. J’hurle mon bonheur et mes jouissances. Je sens dans mon ventre les deux bites me donner ce qu’elles ont de meilleur. Je suis pleine de sperme. Je voudrais les garder dans mon ventre longtemps, sauf qu’Elise en veut sa part : elle me lèche le cul pour récupérer ce qui en sort. Nous nous finissons par un long baiser.
Il nous arrive souvent de baiser avec Elise et dans cette boite de libertines où je retrouve la blonde et pas seulement elle.

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