Plongée Dans Le Libertinage...

Il est 17 heures en cette semaine de vacances. Les s ne sont pas là, nous n’avons pas fait grand-chose de la journée, nous sommes avachis sur le canapé, en train de légumer et de profiter du calme de la maison.
Je te demande ce que tu as envie de manger ce soir. Tu hésites un petit moment, pour me regarder avec un regard qu’il s’illumine d’un coup :

• J’irais bien au restaurant, qu’en penses-tu ?
• Ok, de quelle cuisine as-tu envie ?
•
Après un court instant d’hésitation, tu me dis que tu mangerais bien une belle entrecôte ou en tout cas de la viande rouge.

• Ok, j’appelle pour réserver alors.

En te levant nonchalamment, tu me dis que tu vas te préparer. Tu files à la salle de bain, j’entends que tu t’épiles, puis au bout d’un petit moment, tu sors, complètement nue comme si de rien n’était.
Je te soupçonne de le faire exprès, pour que je puisse t’admirer dans tes plus beaux vêtements… c’est-à-dire sans rien.

• Tu as réservé pour quelle heure ?
• Pour 19 heures, comme ça si on veut aller faire un tour ensuite on sera libérés de bonne heure.
• Bonne idée !

Tu retournes dans la salle de bain, à t’apprêter comme tu sais si bien le faire.

Tu ressors de la salle de bain, resplendissante, une jolie petite robe sans manche qui te va si bien. Colorée, elle met ta poitrine en valeur, et s’arrête au-dessus des genoux comme j’aime.
Tu as mis un peu de maquillage, tu es aussi belle sans qu’avec, mais j’aime te voir ainsi apprêtée.

Je file à mon tour dans la salle de bain pour me préparer. Je dois me mettre à ta hauteur, il n’est pas question que je reste habillé comme tous les jours alors que tu t’es faite si belle.

Je me douche et j’en profite également pour m’occuper des quelques poils que j’ai, principalement ma toison pubienne. Je la taille courte, comme je sais que ça te plait, je me rase autour, en dessous, à côté, toujours selon ce que je sais que tu aimes.

J’imagine déjà sentir la douceur de tes doigts sur ma peau, et ça commence à me faire un petit effet.
Mais chaque chose en son temps, je dois finir de me préparer, j’enfile un pantalon habillé, une chemisette, il fait quand même plus de 20 ° même en soirée, du parfum que tu aimes, et me voilà !
Tu me rejoins dans la salle de bain, m’entoure de tes bras et renifle mon cou. Tu adores ce parfum, je sais qu’il t’enivre. Et c’est un peu le but d’ailleurs.

Nous voilà prêts tous les deux, il est l’heure, nous avons étés parfaitement synchronisés.
Nous nous chaussons, et je sors sur le palier de la maison quand tu m’interpelle d’un coup :

-Attends, j’ai oublié quelque chose. Va démarrer la voiture (tu sais que je n’aime pas du tout être en retard), j’arrive tout de suite.

Je me dirige donc vers la voiture, démarre et manœuvre pour être prêt à partir. Tu arrives 2 ou 3 minutes plus tard, un grand sourire sur tes lèvres.

• Qu’avais-tu oublié ? ça a l’air de te mettre en joie !
• Rien d’important, un truc de fille.

Ah, moi qui m’imaginais déjà une soirée coquine, je me dis qu’un truc de fille pourrait bien être un obstacle à mes plans… Mais ça n’est pas un drame, ça ne nous empêchera pas de passer une excellente soirée tous les deux. Pendant les 15 à 20 minutes que dure le trajet, je te vois te tortiller, comme impatiente.

-Tu as envie d’aller aux toilettes ?
- Non, je suis pressée d’arriver, j’ai la dalle !

Je jette un œil au GPS, et t’indique qu’il reste à peu près 5 minutes de trajet, tu pourras bientôt te remplir le ventre !

Effectivement, nous arrivons presque tout de suite au restaurant, je me stationne. En ayant réservé à 19 heures, nous sommes en début de service, il n’y a quasiment personne dans la salle.
Le serveur nous demande si nous avons une préférence pour manger, dehors ou dedans. Sachant que tu es un peu frileuse (quelle femme ne l’est pas ?), et même si la chaleur est encore présente, je sais que la fraicheur tombe rapidement en soirée.
Je lui demande donc de nous placer à l’intérieur, pas trop près des haut-parleurs qui diffusent la musique d’ambiance, histoire que nous puissions discuter tranquillement.

Nous sommes à l’écart de la salle principale, dans un recoin tranquille. Nous nous asseyons, tu as un gigantesque sourire accrochée aux lèvres, tu rayonnes. J’aime tellement te voir ainsi.
Nous commandons un apéritif, Piña-colada, notre cocktail.
Le serveur nous les apporte assez rapidement et prend notre commande dans la foulée.
Nous vidons nos verres le temps que le plat arrive. Juste quand le serveur pose nos assiettes et repart, tu me dis que tu as besoin d’aller au petit coin et t’absente quelques courts instants.

Tu reviens, toujours aussi souriante. Tu te penches vers moi, m’embrasse avec passion, celle-là même qui anime notre couple depuis plusieurs années maintenant. Tu atts ma main et je te sens y déposer quelque chose.
C’est en tissus, j’y jette un œil, c’est bien ta culotte. Je suis aux anges, j’ai toujours rêvé que tu fasses ça. Mais alors que je pense la ranger dans ma poche, tu me demandes mon autre main. Tu y glisse une autre chose. C’est la télécommande de ton œuf vibrant ! Alors là je pense que les idées se bousculent dans ma tête pendant que je me sens bien à l’étroit dans mon pantalon.

• C’est ça que tu avais oublié tout à l’heure ?
• Exact ! Tu ne m’en vœux pas d’être retournée le chercher ?
• Comment te dire… bien sûr que non ! dis-je souriant comme jamais. Et d’enchainer :
• Attention, je l’allume.

Je préfère faire un petit test lorsqu’il n’y a personne, on ne sait jamais, le bruit de la vibration est peut-être trop fort et s’entendrait, ou alors ça peut être inconfortable pour toi (c’est la première fois que nous l’utilisons en extérieur). Dans ma tête, je te visualise, nue sous ta robe, certainement passablement excitée, ce petit œuf planté en toi. Je suis très excité.

Lorsque j’appuie sur le bouton de mise en route, je te vois sursauter, avoir le regard à la foi curieux, gêné, et amusé.
Premier point positif, le bruit ambiant couvre largement les vibrations, pour ma part, je n’entends rien.

• Alors, c’est agréable ?
• C’est bizarre, mais très agréable en effet. J’ai peur de mouiller ma robe… et la chaise tellement la situation est exitante.
• Tu me dis si tu veux que j’arrête ou si tu ne te sens pas à l’aise, je le coupe et je le remettrai plus tard. N’hésites pas à me demander si tu as envie que je l’allume.

Nous mangeons notre plat, délicieux soit dit en passant, et j’allume de temps en temps l’œuf. J’attends le moment où le serveur vient prendre la commande de dessert, et l’allume l’œuf et le monte en puissance que les vibrations soient un peu plus intenses pour toi. Je vois que tu me regarde, toujours avec cette expression mêlée de plaisir et de gêne. Je questionne, plus longuement que je ne l’aurais fait en temps normal, le serveur sur les desserts qu’ils ont et leur composition.
Pourtant, avant même qu’il n’arrive, je savais que j’allais prendre un café, tout comme toi.

• Quand même, tu exagères, il aurait pu entendre !
• Tu n’aimes pas ma chérie ? Désolé si je t’ai mise dans l’embarras.
• Non, j’aime beaucoup, mais comme c’est une première… je découvre.
• En tout cas, moi j’adore, même si je ne sens rien bien sûr, mon imaginaire, et ton visage empourpré se chargent de tout. Je vais aller changer de taille de pantalon !
• Je reviens mon chéri, à tout de suite.
Tu retournes en direction des toilettes, qui sont à l’étage. Je te vois monter l’escalier, et ta petite robe légère vole au rythme de tes pas. Lorsque tu es en haut de l’escalier, j’entre-aperçois la naissance de tes jolies fesses, je sais qu’aucun tissu ne fait obstacle entre ton intimité et le monde extérieur. Je suis vraiment très à l’étroit sous la table.
Une fois que tu es arrivée tout en haut, je te vois vérifier que je t’ai bien suivie du regard. Je te soupçonne d’avoir volontairement accentué tes petits sauts sur les marches pour me dévoiler tes fesses en montant.

Le serveur derrière sa caisse en a peut-être également profité, je ne sais pas. J’étais trop concentré sur toi pour regarder s’il te suivait du regard. Quoi qu’il en soit il a le sourire aux lèvres, peu importe la raison, c’est toujours agréable de voir des personnes joyeuses.

Un court instant passa, et tu reviens vers moi, récupère tes affaires et ton sac à main, tu y dépose quelque chose (l’œuf j’imagine), et tu me demande d’y aller. Tu vas m’attendre dehors pendant que je règle. Le serveur, toujours souriant ne me semble pas faire la moindre allusion à ce qu’il aurait pu entrevoir lors de ta montée des marches, si ce n’est un :
• Passez une excellente soirée monsieur, je pense qu’elle a bien débutée !

Libre à moi d’interpréter ces paroles comme je le souhaite. Effectivement, la soirée a plus que bien débutée, et j’espère que la suite sera du même acabit.

Tu es dehors, le gilet sur tes épaules, une cigarette à la main et tu m’en tends une. Nous fumons tous les deux avant de prendre la voiture pour rentrer.

• Ça t’a plu de jouer avec moi ?
• Carrément, j’ai adoré te faire vibrer, au sens propre. Et encore plus quand il y avait du monde autour.
• C’était excitant, j’avais à la fois peur d’être découverte et ça ne rendait mon plaisir que plus grand.
• Je me demande si le serveur n’a pas pu constater que tu ne portes plus de sous vêtement lorsque tu es allée aux toilettes avant de partir.
• Ah bon, tu crois ? Ce n’est pas bien grave, au pire, ça aura égayé sa soirée, il aura un truc à raconter.
• J’aime quand tu es coquine mon amour, fais attention à ne pas attr froid.

Je joins les actes aux paroles et je te glisse la main sur les fesses en prononçant ces mots.

• Je crois que je ne risque certainement d’attr froid, un peu de fraicheur me fera le plus grand bien même !

Je souris, et nous montons en voiture.
Pendant le trajet, je pose ma main droite sur ta cuisse dès que je le peux. Tu t’installes en remontant ta jambe gauche afin de me laisser libre accès au fruit de mon désir. Et je ne peux que confirmer, tu ne risques effectivement pas d’attr froid !
Tu es toute humide, et le contact de mes doigts avec ton intimité brulante provoque en toi un petit sursaut.
Lorsque nous sommes arrêtés au feu, je me penche vers toi et en profite pour laisser mes mains et mes doigts être encore un peu plus aventuriers et te donner un avant-goût de la suite de la soirée. Tu as l’air très impatiente que nous arrivions.

Mais, un peu avant que nous ne soyons chez nous, tu me demandes une « faveur ».

• J’ai envie d’aller au sauna… qu’en dis-tu ?
• Je crois qu’en règle générale, je serais toujours partant pour y aller, et avec ce début de soirée, j’en brule d’envie. Allons-y !

Je bifurque peu après, et en cinq minutes, nous voilà sur notre lieu de plaisir favori. Le seul à vrai dire, mais nous l’apprécions beaucoup, je ne pense pas me tromper en avançant cela.
Nous descendons de la voiture, le parking est déjà pas mal rempli, mais difficile de savoir qui est partie humide, qui est parti sèche. Le nombre de voiture laisse peu de doute sur le fait que les deux moitiés doivent être chacune bien remplies.
Nous nous dirigeons vers l’entrée du sauna, fumons une petite cigarette avant de sonner.

• C’est agréable ?
• De quoi ?
• De ne rien porter sous ta robe ?
• Ah oui, en effet, j’aime bien sentir le vent sur moi, ça m’apaise et m’excite en même temps.
• En tout cas, moi j’adore, quand je me colle à toi et que je glisse mes mains sur tes fesses, ne sentir aucun tissu en dessous, c’est troublant.

Encore une fois, je joins les actes aux paroles, et je t’embrasse à pleine bouche pendant que ma main se pose sur tes fesses, et j’ose même m’aventurer plus loin en remontant carrément ta robe sur tes reins pour découvrir ta face cachée que mes mains flattent avec passion.

• Attends qu’on soit à l’intérieur quand même !

Me dis-tu un petit sourire aux lèvres.

Nous sonnons donc finalement, le portier passe la tête par la petite lucarne et nous ouvre. Quelques instants après, nous pénétrons à l’intérieur, dans la pénombre. Impossible de voir qui est présent tant le contraste avec l’extérieur est important. De toute façon, nous ne connaissons personne, nous pourrions à la rigueur voir s’il y a des personnes à notre gout.
Ce sera donc pour plus tard. Je paye l’entrée, tu récupères serviettes, paréo et le bracelet avec la clef de notre casier.
Nous allons nous changer, un autre couple est déjà en train de se déshabiller, madame est nue devant nous, son compagnon baisse son boxer. Ils sont tous les deux à poil et nous saluent le plus naturellement du monde. J’adore cette ambiance décalée.

Nous revêtons donc la même tenue, rangeons nos affaires dans le vestiaire, et nous sortons du vestiaire, toi vêtue d’un paréo, moi une serviette autour de la taille.
Tu me demande de passer d’abord par le bar pour prendre un café, pour ma part, je ne prends qu’un verre d’eau, et tu as conservé deux cigarettes avec toi pour que nous allions au fumoir.

Dans cette petite pièce sans ouverture aux murs noirs, nous prenons chacun un tabouret haut. Et nous asseyons face à face. Nous sommes seul, est-ce fait, le début de soirée, ou les deux qui te rends joueuse, mais au lieu de rester sagement assise comme à ton habitude, tu remontes un pied sur l’assise du tabouret pour m’exposer, sans pudeur ta si jolie petite chatte. Même sans glisser sur elle, je vois à quel point tu es excitée.
Je ne peux résister, je descends de mon siège et me penche en avant pour te lécher. D’abord les grandes lèvres, puis, avec une pression légèrement supérieure, j’introduis ma langue au bord de ton précipice du plaisir. Tu passes une main dans mes cheveux, je sens que tu aimes ça.
Mais je ne veux pas aller trop vite, je me relève et reprends place sur mon tabouret.
Toi tu ne bouges pas, ton sexe fièrement exposé à mes yeux. Trois personnes rentrent, un couple et un homme. Viennent-ils ou vont-ils jouer ensemble, je ne sais pas. Peut-être même ne se connaissent-il pas encore.

Cependant, ils capturent immédiatement la tension érotique qu’il y a entre nous à cet instant. Bizarrement, l’homme seul vient te demander du feu pour allumer sa cigarette. Je vois ses yeux qui ne peuvent s’empêcher d’admirer le délicieux spectacle que tu offres. Tu lui tends la boite d’allumettes.
Le couple à côté n’en perd pas une miette non plus, ils se placent le plus possible en face de toi.

Pour ma part, tout en essayant de graver cette scène dans ma mémoire, je suis subjugué par ton attitude… que j’adore. En d’autres lieux, je l’aborderais certainement d’une toute autre manière, mais ici et maintenant, j’ADO-RE !

Nos cigarettes terminées, tu me glisses à l’oreille

• J’ai envie d’aller dans le jacuzzi, mais je crois que tu t’en doutais, non ?
• Ça m’a traversé l’esprit ! te dis-je en rigolant.

Derrière les portes battantes, nous nous dirigeons vers les douches. Nous nous rinçons, je t’embrasse et nous entrons dans l’eau.

Contrairement à ce qu’aurait laissé penser le parking, il n’y a que peu de monde dans l’eau. A vue de nez, je dirais 4 couples (3 que je vois et un qu’on entend dans le petit coin sombre, ils ont l’air de passer un excellent moment), et 4 hommes seuls.

Nous prenons donc place, je pose ma main gauche sur l’intérieur de tes cuisses en dessous de la surface de l’eau, pendant que tu empoigne mon sexe déjà bien dur.

• Ça t’a excitée de te montrer dans le fumoir ?
• Oui, en fait au début j’étais comme tétanisée, puis c’est très vite devenu excitant. Le fait de savoir qu’ici, je peux me montrer sans pudeur sans avoir peur d’être embêtée ou sollicitée si je ne le veux pas, j’ai bien aimé.
• Moi ça m’a grave excité, je n’aurais jamais pensé te voir faire ça… Enfin, tu me diras, je n’aurais tout simplement jamais pensé aller en club échangiste avec toi. Tu as bien fait de me parler de ton fantasme !
• Je crois bien que oui ! Et ça ne te dérange pas de voir d’autres personnes me regarder et avoir envie de moi ?
• Non, ça m’excite. Les premières fois où on est venu, quand des hommes seuls approchaient, j’avais peur. Je savais que ça n’était pas quelque chose dont tu avais envie, et je pensais sincèrement que je n’apprécierais pas du tout en voir un te toucher ou toi le toucher. Puis on a coquinné quelque fois tout seul en se montrant, quelque fois avec d’autres couples, et le jour où on est allés sur la plage et que je t’ai vue, allongée sur le dos, la femme te caresser et te faire un cuni, et toi empoigner le sexe de son mec, j’ai compris que ce qui m’excitait vraiment, c’était de te voir prendre du plaisir. Avec d’autres femmes, j’ai toujours été certain que j’aimerais te voir, mais avec un autre homme, c’est le fait de t’avoir vue, masturber, puis une autre fois sucer un autre qui m’a ôté mes doutes. J’aime ça. Bien sûr, je n’aimerais pas te regarder et ne rien faire. J’aime qu’on partage cet instant, j’aime aussi caresser et me faire caresser par une femme. Mais te voir prendre du plaisir, que ce soit sous des caresses masculines ou féminines, j’adore ! C’est aussi simple que ça. Et toi, quelles sont tes sensations ?
• Ce soir, c’est particulier, je suis vraiment TRES excitée ! Mais en général, je préfère quand même échanger avec d’autres femmes, leurs caresses sont plus douces. Et puis je n’ai pas besoin d’un autre homme, tu me combles déjà.
• Toi aussi tu me combles ma chérie, et je n’ai pas besoin d’autres femmes pour me caresser, mais j’apprécie ça parce qu’on le fait ensemble ! Ce que j’aime, c’est qu’on s’abandonne au plaisir tous les deux.
Nous cessons de discuter, les choses s’accélèrent devant nous.

Deux couples se sont rapprochés, ces dames discutent ensemble, comme dans une quelconque parade nuptiale. Sauf qu’ici, ce ne sont pas les mâles qui paradent et qui sont les maîtres du jeu, ce sont bien les femmes. Ce sont elles qui initient ou stoppent. Nous les hommes aussi pouvons bien sûr stopper la partie, parfois à contre cœur j’imagine, mais le corps n’arrive pas toujours à suivre l’esprit. Cependant, force est de constater, que le milieu libertin fait quand même la part belle aux femmes, maitresses du jeu, entremetteuses et déesses des lieux.
C’est très bien ainsi. La bestialité masculine ne permettrait pas un tel laisser aller, ni un tel respect. Je dois bien le reconnaitre.

Ces dames donc, s’embrassent maintenant à pleine bouche. Leurs hommes tournent autour d’elles. Je ne doute pas que leurs mains, sous l’eau, glissent indifféremment sur un sein ou l’autre, une paire de jambe ou l’autre, un sexe ou l’autre.
Chaque homme s’immobilise derrière la compagne de l’autre, collé à elle. Leurs mains empoignent leurs poitrines, les femmes s’embrassent toujours et la position de leurs bras ainsi que leurs mouvements saccadés ne laissent que peu de doutes sur le fait qu’elles explorent mutuellement leurs intimités.

Tu sens ma queue durcir sous tes doigts.
• Tu aimes bien ça on dirait ?
• Oui, j’adore voir deux femmes jouer entre elles ! Et quand c’est deux couples, c’est encore mieux.

Tu continues ta masturbation nonchalante, je continue de glisser mes doigts sur tes lèvres que je sens, même sous l’eau, humides.

Les deux couples se rapprochent de la plage. La femme qui y tourne le dos se remonte et s’assied dessus. L’autre se glisse immédiatement entre ses jambes pour la lécher comme si sa vie en dépendait. Celle assise sur la plage empoigne le sexe, dressé, de l’homme qui était derrière elle il y a encore quelques instants. Le deuxième homme est lui toujours occupé à caresser la plus gourmande des deux.
Il lui glisse un petit mot à l’oreille, et elle vient s’assoir à côté de celle qu’elle vient de lécher. Toutes deux remontent leurs jambes sur l’assise de la plage, offrant ainsi leurs intimités dans une pose délicieusement obscène.
Tu penses bien que les deux hommes ne se font pas prier pour se ruer sur ces gourmandises si gentiment proposées.
Des gémissements commencent à monter, les mains et les doigts se joignent aux langues, les femmes s’embrassent, se caressent mutuellement, elles aiment ça tout simplement.

Les hommes se relèvent, et semblent enfiler leurs protections de plaisir en latex. Ils poussent, presque simultanément, les femmes à se coucher sur la plage, et, profitant certainement de leur caresses précédentes, les pénètrent sans ménagement jusqu’à la garde.

Mis à part quelque personne dans un recoin très sombre qui s’adonnent à leurs propres jeux, le silence est quasiment parfait dans l’eau. Ces deux couples monopolisent toutes les attentions, tous les regards. On distingue çà et là des caresses subaquatiques, certaines plus poussée que les autres, une pipe dans un coin, un cuni dans un autre, mais tous les regards convergents vers la plage et cette magnifique scène qui s’offre à nous.

Deux femmes, main dans la main, chacune ayant le partenaire de l’autre en elle, enfoncé au plus profond de leur désir. Elles gémissent et soufflent de bonheur, les rythmes changent, tour à tour lent puis rapides, amples puis courts, le désir monte en eux quatre. A les voir, je m’imagine que ce n’est pas la première fois qu’ils jouent ensemble.

• Je pense qu’ils ont déjà joué ensemble, leurs échanges sont tellement fluides, on dirait qu’ils se connaissent.
• Je ne sais pas, ils ont bien discutés ensemble avant de débuter.
• Mouais, enfin peu importe de toute façon, ils m’excitent, je crois que ma bite va exploser !
• Moi aussi ils m’excitent, même si je ne crains pas que ma bite explose ! Me dis-tu en souriant.

Leurs ébats continuent de plus belle, ils alternent, levrette, amazone, et d’autres, toujours en douceur, toujours avec volupté, ils prennent du plaisir à nous offrir ce spectacle.

Les deux hommes s’allongent sur le dos, chacun les pieds vers l’autre, les jambes enchevêtrées. Les femmes s’empalent sur leurs queues, si proches l’une de l’autre qu’elles pourraient se toucher.
Elles s’empoignent et s’embrassent, se caressent mutuellement la poitrine, tout en chevauchant leurs montures. Aux cris et gémissements de plaisir, se mêlent maintenant les claquements des corps qui s’entrechoquent avec énergie.
En d’autres lieux, avec une autre lumière, cela serait certainement obscène, proche de la pornographie, mais là, maintenant, je trouve ça beau.

Le rythme s’accélère, les cris s’intensifient, jusqu’à ce que d’un coup, comme répondant à un signal qui nous aurait échappé, les femmes se retirent et viennent ôter l’imper en latex de leurs hommes pour prendre en bouche leur compagnon respectif et en aspirer toute la jouissance si l’on en croit leurs râles de bonheur.
Sans prendre, je pense, le temps de déglutir, elles s’embrassent ensuite et semblent mélanger leurs nectars avec une délectation apparente.

• Je ne pourrais jamais faire ça moi !
• Je sais ma chérie, tu me l’as déjà dit. Je crois qu’on devrait survivre sans, ne t’en fais pas.

Leurs ébats terminés, les deux couples rejoignent les douchent, avec une certaine forme de béatitude accrochée à leurs visages.

Le jacuzzi reprend son cours normal avec la fin de cet acte… Comme si chacun se réveillait d’un coup, les regards reprennent leur ronde afin de détecter tout signe d’invitation, ou tout appel à débuter un autre acte avec d’autres intervenants.

Nous n’avons d’ailleurs pas remarqué à quel point les lieux se sont remplis. Il y a tellement de monde qu’il est difficile de bouger sans frôler une autre personne.

Reprenant mes esprits, je vois sous l’eau une main posée sur l’intérieur de ta cuisse se rapprocher doucement de la mienne, occupée à explorer ton sexe. Je me penche et vois qu’elle appartient à un homme (sous l’eau, avec le peu de lumière, j’avais un doute).

• Ça ne te dérange pas qu’il te caresse, il n’a pas l’air d’être ici en couple ? (un autre homme est assis à côté de lui et il n’y a pas de femme a proximité).
• Non, pas pour le moment. Ça ne te dérange pas toi ?
• Bien sûr que non, si c’est le cas, je te ferai signe. Laisse-toi aller comme tu le sens ma chérie. Je t’aime.

Petit à petit, je le sens qui remonte vers le centre de tous ses intérêts et que tu écartes un peu plus les jambes pour lui rendre la tâche plus facile. Tu sens ma queue durcir encore entre tes mains expertes, signe de l’excitation que je ressens. Tu te tournes vers moi et m’embrasse, je libère la place qu’occupait ma main pour prendre soin de ta poitrine et de tout le reste de ton corps.
Aussitôt, je vois cette autre main aux doigts inquisiteurs prendre possession de toi. Tu as l’air d’aimer ça.
Tu tends à ton tour ton bras pour empoigner sa tige fièrement dressée. Tu vas et viens langoureusement. Au même rythme des mouvements que tu fais sur moi.

Notre « invité » se penche vers toi, je vous vois avoir un court échange dont tu me dévoile immédiatement la teneur :

• Il veut me lécher, tu veux bien ?
• Pas de soucis ma chérie.

Alors, tu te relèves sur le banc à peine au-dessus de la surface de l’eau, et tu lui offre une vue, mais surtout un accès parfait à ton fruit du plaisir.
Je te regarde, je vous regarde, j’aime te voir comme ça, mais je suis frustré de ne pas pouvoir participer. J’ai moi aussi envie de te gouter, te sentir tes mains sur mon corps, ta peau contre la mienne.

• J’ai aussi envie de te lécher ma chérie, de sentir ta bouche sur moi, tes mains sur ma peau… tu veux qu’on aille au sec s’occuper de toi tous les deux, dans les limites que tu décideras.

Tu hésites quelques instants, partagée, j’imagine, entre l’appel du plaisir pur, et la voix de la raison qui doit te retenir pour d’obscures raisons. Si elles te retiennent, c’est que ce sont de bonnes raison, quelles qu’elles soient. Je n’ai même pas à en discuter. Je ne veux en aucun cas que tu penses que je veuille infléchir ta décision, que ce soit dans un sens ou dans un autre.

Je te laisse donc décider, seule, si ma proposition te convient. Devant ton hésitation, je me demande si je n’aurais pas mieux fait de m’abstenir… J’ai peur de t’avoir choquée ou embarrassée.

• Ok, mais juste des caresses, et la bouche, rien de plus.
• Ça me va parfaitement ma chérie.

Je me retourne vers notre partenaire du moment, pour lui donner nos conditions. Le but étant d’être clairs tous ensembles. Lui non plus n’est pas un produit que l’on consomme en tant que couple. C’est une personne avec des envies et certainement des barrières ou pas.
Il est d’accord pour continuer comme on le souhaite.

Nous nous dirigeons donc tous les trois vers les douches. Je dois bien dire qu’il a un sexe de taille très honorable, je pense que lorsqu’il est en pleine forme, il doit me dépasser. Son corps est harmonieux, il semble plus jeune que nous d’au moins cinq ans, allure sportive et traits fins. Nous nous savonnons, il se colle à toi, j’en fais de même.
Tu es comme prise en sandwich sous la douche, moi devant, lui derrière, nos sexe, durs, tout contre toi, nos mains baladeuses sur toi, nos bouches sur ta peau. Moi sur ta bouche, lui sur tes épaules.
Tu fais cesser notre petit manège pour nous devancer de quelque pas, coup d’œil coquin en arrière, l’air de dire : « allez les s, on y va maintenant, ça suffit de jouer ».

Nous voilà dans la première pièce libre que nous avons trouvée ouverte : Assez sombre, pas trop de miroirs, un grand lit / matelas avec un passage tout autour (aucun côté du lit n’est collé à un mur).

Tu t’allonges au centre du matelas, les jambes écartées, les talons près des fesses, une sorte de position du lotus, mais allongées.

• Allez, continuez à me faire du bien en vous occupant de moi, c’est bon….

Je regarde notre invité, nous nous sourions, et nous avançons vers toi. Je lui fais signe de me suivre et d’effec les mêmes mouvements que moi. Est-ce pour me rassurer, est-ce pour te donner plus de plaisir, est-ce pour lui montrer que j’ai l’ascendant, ou lui montrer qu’il n’est « que » l’invité… certainement un peu de tout ça. C’est la première fois que je « te partage ». Je suis terriblement excité, mais j’ai peur de ne pas aimer, peur que tu n’aimes pas, peur de te choquer si j’aime, tout se bouscule dans ma tête.
Pour me rassurer – pour le coup, je suis certain que c’est pour cette raison à 100 % - je te rappelle au creux de l’oreille, que tu arrêtes quand tu le souhaites, il n’y a qu’à le dire ou me faire signe.

• Ne t’en fais pas mon chéri, moi aussi j’en ai envie, mais j’appréhende un peu. Tu as bien refermé la porte ?

Je vais vérifier et te confirme que oui. Nous ne serons pas dérangés. Heureusement que le verrou est mis, tes cris et gémissements des minutes à venir vont attirer du monde qui tentera à plusieurs reprises, mais sans insistance, d’ouvrir…
Notre nouvel ami, John, et moi prenons place chacun sur un de tes flancs. Je lui montre donc le chemin à suivre.
J’embrasse d’abord ta poitrine, délicatement, puis je la caresse du bout de mes mains. John m’imite immédiatement sur ton sein droit. Il imite chacun de mes mouvements, flattant ton flanc droit pendant que je m’occupe du gauche.
Je fais glisser mes mains sur ton buste, tes côtes, je vais de ton cou à ton entrejambe, mais je m’arrête juste avant. Mes lèvres imitent mes mains, je recouvre ta peau de délicieux baisers.
Je change de place, et je viens m’asseoir du côté de tes jambes. Je pose ton talon gauche sur mon épaule, et je fais glisser mes paumes, de ta cheville à ton aine, John, continue de m’imiter et prodigue le même traitement ta jambe droite.

Tour à tour, nos doigts s’approchent de ton désir brûlant. Ton souffle indique, sans le moindre doute, combien tu te languis que nous allions plus loin. Mais je veux faire monter encore ton désir avant d’aller plus en avant.

Je commence donc à effleurer ton entrejambe, sans aller jusqu’à tes grandes lèvres, mais j’en suis tout près. J’enlève ma main pour rediriger mes caresses vers ta cheville et John descend à son tour ses doigts vers ton puits d’amour. Il se rapproche sans toucher sa cible. Nous enchainons ainsi un petit instant jusqu’à ce que je lui fasse signe de la tête et qu’il vienne poses sa main à plat sur le côté de ta petite chatte, je fais de même de l’autre côté. Nous n’avons même pas besoin de te toucher ou de te gouter pour voir à quel point ce traitement t’excite.

Nos mains se plaquent sur toi, et d’un lent et délicat mouvement, nous écartons ton sexe pour en découvrir les moites profondeurs. Je glisse un doigt sur te fente humide, John enchaine également cette caresse. Nous recommençons, tour à tour, chaque fois, notre caresse est un peu plus appuyée, et à chaque fois nos doigts glissent un peu mieux.

Cette fois, avant de glisser sur toi, je me glisse d’abord en toi.

Doucement.

Une première phalange, puis je ressors. Une nouvelle fois notre partenaire de jeu m’imite à la perfection.

Une deuxième phalange, et je ressors pour aller titiller ton clitoris, sensible comme jamais.

La troisième phalange ensuite, et voilà tout mon doigt en toi, la paume de ma main recouvrant ton sexe.

Je ressors mon doigt, et j’observe attentivement John prendre possession de ton désir. Il glisse son doigt en toi, tu gémis de plaisir, j’en bave d’excitation. Cette fois-ci, sous le coup de son envie, ou à l’écoute de tes réactions, il ne m’imite pas exactement.
En effet, il amplifie sa caresse, se retire très lentement, et recommence cette caresse trois ou 4 fois de suite, tout en te malaxant ta poitrine de l’autre main.

Lorsqu’il retire son doigt, j’approche ma bouche pour te lécher. John ayant maintenant pris place à ta gauche, tu empoignes sa bite dressée. Tu entames de douces caresses.
Je te lèche, il caresse ton clitoris, tu le masturbes, c’est délicieux !

Je fais durer un peu cet instant tant j’apprécie la saveur de ton nectar.

Puis, je jette un coup d’œil à John, et nous intervertissons nos positions. Chacun prend la place de l’autre, sa bouche et sa langue viennent se ficher tout au fond de toi. Tu glisses ta main sur sa tête pour le plaquer encore plus, signe qu’il sait s’y prendre et te donner du plaisir.
De l’autre main, tu
empoignes ma queue, et approche tes douces lèvres pour me lécher et me sucer.

Je suis au supplice ! Non pas parce que quelque chose me dérange, mais au contraire parce que j’essaye de ne surtout pas jouir tout de suite.

Cette fois ci, c’est toi qui nous demandes d’intervertir. Une fois que nous avons effectué ce que tu désires, tu te mets également à sucer John alors que je te lèche comme tu aimes.

Quelques instants de ce traitement suffisent à déclencher en toi de petits orgasmes. Je sens, à travers ma langue et les doigts que je glisse en toi, les petites contractions, signe manifeste de ton plaisir.

Puis, comme épuisée, ou saoule de plaisir, tu t’assieds doucement sur le matelas.

• Merci John, c’était délicieux, mais on va s’arrêter là pour le moment.
• Ok, merci à vous deux, c’était exquis, peut-être à plus tard ou à une autre fois.

Nous nous retrouvons tous les deux dans cette grande pièce, je te prends en levrette, en poussant tout doucement mon gland au fond de toi. Puis je le ressors, et recommence ainsi de nombreuses fois tout en faisant attention de ne pas dépasser mon seuil d’extase.

Tu gémis, à la limite des cris, mais je décide de nous arrêter là afin que nous retrouvions non esprits, et allions nous rafraîchir.
Nous sortons et nous dirigeons vers le bar, non sans que je t’ai enlacée avant.

• Je t’aime mon amour, tu es si belle lorsque tu prends du plaisir.
• Merci mon chéri, moi aussi je t’aime.

Nous voici de retour dans la salle principale, le bar. Nous prenons chacun un verre pour nous rafraichir, puis tu commandes un café pendant que je vais chercher des cigarettes au vestiaire.

Je te retrouve dans le fumoir, tu es seule et manifestement pensive.

• Quelque chose ne va pas ma chérie ?
• Non, au contraire, je repense à ce que nous avons vu tout à l’heure et à ce que nous avons fait ensuite, j’ai adoré, j’en suis encore toute mouillée !
• Moi aussi j’ai vraiment adoré, regarder, mais encore plus lorsque nous étions avec John dans la pièce. Jouer tous les deux avec toi et faire monter ton désir était vraiment délicieux.

Nous retournons chacun à notre cigarette, pensifs… Je glisse mon pied contre ta jambe, j’ai envie de ce contact avec toi.

Nos mégots écrasés, tu me propose de retourner dans le jacuzzi, j’accepte avec grande joie.

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