Notre Aventure

Comme convenu, j'ai répondu à la deuxième sonnerie du téléphone. 
"Pourrais-je parler à Mlle Martin ?" a demandé mon interlocutrice. 
"Chérie," murmurais-je "j’aimerais reconsidérer ..."
"Merci, je vous rappellerai plus tard" a rigolé ma femme au téléphone, avant de raccrocher. 

J’étais anxieux en pensant au scénario de la soirée. Je restais assis là, confus, ressassant ce projet hasardeux que ma femme et moi avions élaboré plus tôt. Céline, ma femme depuis dix ans, devait se rendre seule au bar de l'hôtel, situé au sous-sol de l’hôtel où nous logions.

Ce genre d’établissement est rempli, tous les soirs de semaine, d'hommes d'affaires en déplacement. Ces hommes désœuvrés et bourrés de fric font ce que tous les hommes éloignés de leur femme font, ils cherchent une poulette capable de leur faire passer un bon moment. 

Le premier coup de fil, que je venais de recevoir, était le signal qu'elle était à pied d’œuvre, prête à entrer dans l’arène.
Je devais descendre la rejoindre, m’installer à une table, et regarder le hasard faire son œuvre. C'était la réalisation de notre fantasme. Je devais assister au spectacle de ma femme se laissant séduire par un inconnu.

J'ai enfilé mon veston, j'ai vérifié mon allure dans le miroir, et je me suis dirigé vers l'ascenseur. J'essayais d’imaginer ce qui pouvait se passer dans le bar au sous-sol. Est-ce que Céline avait déjà été approchée, était-elle déjà en main, prête à succomber ? Cela ne devrait pas prendre trop longtemps. 

Quand elle m'a laissé, quelques minutes plus tôt, elle avait l'air délicieusement attirante. À bientôt trente-deux ans, son corps pulpeux moulé dans une petite robe noire très décolletée, elle était radieuse. Le mérite de cette robe, très discrète, c’est de ne mettre en valeur que le corps de la femme qui la porte. Ses seins ronds et le galbe de ses hanches étaient embellis par le fin tissu vaporeux qui ne cachait pas grand-chose.



Je pouvais imaginer tout ces types affamés de chair fraîche, qui la reluquaient lorsqu'elle est entrée dans le bar. 
Ils ont dû l’observer de près, en espérant qu'elle soit seule. Et ce soir, elle l'était, du moins en apparence.

L'ascenseur s'est arrêté en douceur, et j’ai suivi le couloir jusqu'au hall, voisin du bar, d'où Céline m'avait appelé quelques minutes plus tôt. En entrant dans la pièce discrètement éclairée, j'ai commencé à visualiser les forces en présence. Il y avait peu de femmes, toutes très en beauté, et une grande majorité d’hommes d’affaires.

Je suis passé au zinc, récupérer une boisson, puis je me suis assis à une table libre. J'ai aperçu Céline, émergeant de l’obscurité de la piste de danse, précédant son cavalier, se diriger vers une table proche de la mienne. J’ai savouré ma chance d’être aussi bien placé, et de ne pas avoir à me déplacer pour me rapprocher du couple.

Elle était rayonnante, bien que légèrement essoufflée, et beaucoup de regards masculins s’attardaient sur elle.
Je pouvais contempler ma femme à loisir, je ne faisais rien de plus que les autres gars alentour. Son cavalier était un homme mûr, proche de la cinquantaine, une belle stature, imposant, un gars avec de la prestance.

Courtoisement, il a aidé Céline à s’installer avant de prendre place à côté d'elle. Il approcha sa chaise très près d'elle, puis entoura ses épaules avec son bras, dans un geste possessif, signifiant ainsi aux autres mâles présent « chasse gardée, pas toucher » Il se pencha sur elle et sa main libre se posa sur la cuisse de ma femme. Littéralement, il était de partout sur elle. Il avait déjà bien fait connaissance avec son corps en dansant dans la pénombre.

J'ai ressenti un étrange mélange d'excitation et de jalousie lorsqu'il se pencha encore plus près pour lui murmurer des fadaises à l’oreille. J'étais là, incognito, regardant ma femme se laisser séduire par un type beaucoup plus âgé qu’elle.
 

Le gars ne savait pas que son mari épiait chacun de leur geste. J'ai vu Céline poser sa douce main sur la cuisse de l’homme, puis caresser doucement l’intérieur de sa cuisse, tout près de sa virilité. Elle ne perdait pas de temps, ne laissant planer aucun doute sur le fait qu'elle était « libre » ce soir. 

Son regard a croisé le mien, pour s’assurer que je ne perdais pas une miette de la scène, puis elle se concentra de nouveau sur son soupirant. Il était évident que le doux massage faisait sensation dans son caleçon. Il tendit la main vers l’endroit pour se réajuster et permettre que son érection grandisse confortablement. J’en profitais pour faire de même.

Avant que j'aie eu le temps de devenir trop excité, j'ai remarqué qu'il avait bougé sa main sur la cuisse de Céline, la glissant sous sa courte robe. Elle a décroisé ses jambes sous la table et lorsque la main se déplaça plus haut, elle écarta légèrement ses jambes pour lui permettre de glisser sa main entre ses cuisses. Lorsqu’il a touché sa partie la plus intime, il s'est figé et l’a regardée ardemment en réalisant qu’elle était nue sous sa robe. 

En réalisant qu'elle ne portait pas de culotte, il a hésité un bref instant, puis il a retiré sa main pour sucer son index et de son majeur. Il remit rapidement sa main sous sa jupe. Céline s’est crispée, elle a ouvert la bouche pour inspirer fortement, et j’ai deviné qu’il venait de mettre deux doigts dans sa chatte.

Les traits torturés, les yeux mi-clos, elle fixait le regard de son tourmenteur, qui lui-même épiait sur le visage de Céline le résultat de sa caresse. Je pouvais voir sa poitrine se soulever rapidement au rythme de sa respiration. Elle a passé lentement la pointe de sa langue sur ses lèvres entrouvertes, pour les humidifier.

Autour de moi, de nombreux spectateurs avaient suivi la scène et s’étaient figés, incrédules devant tant de lasciveté.
Mais Céline a recroisé ses longues jambes, emprisonnant la main qui la fouillait, et sa propre main s’est posée sur le poignet du gars, comme pour lui signifier « doucement ».
Puis elle lui a souri, un sourire prometteur, pour atténuer la déception de l’homme, et pour lui dire « pas ici, mais plus tard, dans l’intimité ... »

En recroisant ses jambes, la courte robe troussée montrait sa cuisse galbée jusqu'à sa hanche. La majorité des spectateurs présents pouvaient facilement imaginer comment tout cela allait se terminer. Pour moi, le fait qu’elle ait repris le contrôle me permettait d’espérer encore qu’elle pouvait renoncer à sa folle entreprise.

Cela faisait plus de douze ans qu'aucun autre homme que moi n'avait posé sa main sur la chatte de Céline. J’étais son quatrième homme, au sens biblique du terme, le quatrième a avoir trempé ma bite dans son puits d’amour. Elle aimait me raconter toutes ses expériences avec mes prédécesseurs. Tout ce qu’ils lui faisaient, tout ce qu’elle aimait.

Elle avait remarqué, la fine mouche, que le récit de ses exploits passés me rendaient fou de jalousie et d’excitation, et que nos rapports s’en trouvaient fortement améliorés. Elle a été totalement honnête envers moi. Elle a reconnu qu’elle avait légèrement amélioré ses récits parce que, disait-elle, ces derniers temps, elle me trouvait moins performant.

C’est elle qui a eu l’idée d’explorer ma libido en imaginant l’expérience que nous tentions ce soir. Que j’assiste à la décadence de ma femme se faisant « lever » par un micheton, croyant avoir affaire à une péripatéticienne.

Les sentiments de jalousie et d'excitation mêlés que je ressentais, devaient me permettre, selon elle, de retrouver toute ma virilité et mon imagination. Nous avions convenu d'explorer mes sentiments en me permettant de la regarder s’offrir. 
Et elle me raconterait ensuite ce qui s’était passé dans l’intimité de la chambre.

Elle se leva pour aller aux toilettes et en revenant, elle me lança un regard appuyé, signifiant « t’es toujours OK ? »
Le moment de vérité était arrivé. Je me sentais étrangement détaché malgré la douloureuse érection qui déformait mon pantalon.
D’un battement de paupières, j’ai consenti à sa demande.

Je regardais avec amour son cul, lorsqu’elle s’est penchée pour ramasser son sac à main. Son chevalier servant s’est levé, et elle l’a suivi hors du bar. En voyant la porte se refermer sur eux, j’ai réalisé que la situation échappait à mon contrôle. Je n’avais aucun moyen de l’arrêter. Elle était entre ses «mains», et il ne me la rendrait qu’après l’avoir « utilisée ». Même si j’avais des regrets, j’étais incapable de me lever et de leur courir après, avec une érection aussi tendue. J’ai dû attendre un bon moment pour me calmer, avant de pouvoir me lever et regagner ma chambre.

En rentrant dans notre chambre, j'ai réalisé que nous commettions une folie. Je me suis assis et j'ai attendu le prochain appel. J'ai essayé de penser à autre chose en regardant la télé mais mon esprit était obnubilé par ce qui pouvait arriver à Céline. Tout s’était déroulé trop vite. 

Depuis des jours, nous avions imaginé ce plan. Mais en l’espace de vingt minutes, tout échappait à mon contrôle.
J’ai sursauté lorsque le téléphone a sonné.
Encore une fois, mon interlocutrice a demandé : "Mlle Martin est-elle revenue ?" 
"S’il te plaît, Céline" murmurais-je "s'il te plaît, sois prudente !" 
"C'est bon" dit-elle, la voix légère "je vous rappellerai plus tard !" 

Et elle m’a raccroché au nez. Elle était avec lui, dans sa chambre, à sa merci. C’était le signal. 
Je ne savais pas où exactement, seulement qu'elle était avec lui. À lui. Je ne pouvais rien faire d’autre qu’attendre. 
En pensant à elle, à ce qu’elle allait subir, mon érection est revenue, encore plus douloureuse.

J'ai tripoté la télécommande de la télévision, cherchant une chaîne pour adultes, et j'ai regardé une femme se faire défoncer par un gang de racailles. L'image s’est brouillée, et dans mon esprit, c’était Céline que je voyais dans cette tournante, subissant les assauts d’une bande de loubards. Je me suis masturbé, plusieurs fois, pour m’abrutir.
Je me suis endormi avec ça en tête, et j’ai rêvé de Céline se faisant violer à plusieurs reprises.

Vers 3 H 30, le bruit de la clé dans la serrure m'a réveillé. Céline est entrée directement dans la salle de bain. J'ai écouté les bruits liquides pendant une vingtaine de minutes. Je me demandais ce qui lui prenait aussi longtemps. Quand elle m’a rejoint dans le lit, je l’ai prise dans mes bras. Elle m’a souri. Un sourire fatigué.

Je voulais savoir. J’ai demandé : "Bien?" 
"Je suis crevée, chéri, on en parlera demain". 
Elle m’a donné un bisou, s'est retournée et s'est endormie. Je ne me suis jamais rendormi.

Vers 10H, elle s'est réveillée et m'a demandé un café noir.
J’ai fait ce que je pouvais avec le café soluble de l’hôtel, et je suis venu m’asseoir sur le lit à côté d'elle. 

"Bien ?" ai-je redemandé. 
Elle m’a souri : "Merci, mon chéri, c'était merveilleux !" Puis elle s’est penchée pour m'embrasser langoureusement.

"Quand nous avons quitté le bar, nous sommes allés directement dans sa chambre au troisième étage."

"Oui, bien sûr, mais la rencontre, comment t’a-t-il abordé ?"

"Tout simplement. Nous sommes arrivés en même temps au bar, il m’a tenu la porte ouverte, et quand je suis passée devant lui, il m’a demandé si j’étais seule, et s’il pouvait m’offrir un verre."

"J’ai accepté, nous avons bu une coupe de champagne, puis il m’a conduite sur la piste de danse, où nous avons fait plus ample connaissance."

"Sur la piste, il t’a pelotée, embrassée ?"

"Embrassée, non, pelotée, oui, et pas qu’un peu ! Une vrai pieuvre, j’ai cru qu’il avait huit mains !"

"Et à table, il t’a mis les doigts dans la chatte, n’est-ce pas ?"

"Ouais, j’ai été obligée de le calmer, sinon j’étais foutue, il allait me faire crier !"

Elle a reprit le fil : "Bon, alors, arrivés dans la chambre, il a commandé du champagne au service d’étage et nous avons patienté avec ses doigts dans ma chatte et sa langue dans ma bouche. Avant qu’on nous livre le champagne, il m’avait déjà fait chavirer une fois."

"Quand la bouteille est arrivée, nous avons bu un verre, ou deux. J’avais déjà bu deux verres au bar, j’étais un peu pompette. Après, sans m’ôter ma robe, il m’a installée à califourchon sur ses genoux, face à lui, troussée jusqu’à la taille."

"Puis, il a dégrafé le haut de ma robe et mon soutien-gorge. J’avais mis celui qui s’attache devant, tu sais, et je me suis retrouvée les nichons à l’air. Il m’a sucé les mamelons tellement fort, regarde, j’ai encore les marques. Et il avait remis ses deux doigts dans ma chatte, il m’a fait capoter plusieurs fois de suite, en rafale. Imagine, j’étais à califourchon sur ses genoux, courbée en arrière, les épaules sur la table, il me bouffait les nichons et ses doigts me perforaient la chatte. C’était tellement excitant de me sentir offerte à cet inconnu, sans défense, il m’a fait mourir de plaisir. C’était fabuleux !"

"Ce sentiment de me sentir salope, totalement accessible, dans les bras d’un inconnu qui mettait ses mains partout sur moi, j’ai joui tellement fort que j’ai cru m’évanouir."

"Ensuite, il m’a soulevée, m’a portée sur le lit, m’a allongée et m’a déshabillée. Il m’a embrassée et caressée partout, sur tout le corps. C’était si bon, si excitant. Excuse-moi de te dire cela, mais lui, c’est un amant fabuleux ! Il connaît parfaitement le corps de la femme, il sait utiliser sa langue à bon escient, et il m’a remplie de bonheur."

"Puis il m'a demandé de le sucer, ce que je me suis sentie obligée de faire. J'ai dégrafé sa ceinture, son pantalon, puis il s’est soulevé pour m’aider à faire glisser son boxer. Quand son sexe a jailli, ça m'a coupé le souffle."

"Tu l’as vu, un costaud, physiquement, type rugbyman. Sa queue est en harmonie avec sa taille. Un poteau comme ça, j'en avais jamais vu. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’il allait me déchirer et m’estropier."

"J’ai bien essayé de le sucer, mais le gland était trop gros, je ne pouvais pas le mettre dans ma bouche. Je l’ai caressé avec mes lèvres, je l’ai léché, sur le gland, et tout le long de la colonne. J’ai sucé ses couilles, c’était agréable parce qu’il était rasé."

"Je me suis battue un moment avec cet énorme braquemart, léchant, suçant, masturbant, sans qu’il soit ému par mes efforts. Au bout de quelques minutes, mes efforts restant vains, il m’a saisie sous les bras pour me hisser sur lui."

"Imagine la scène. Il était allongé sur le lit, sur le dos, les pieds au sol, et il me tenait au-dessus de lui, voulant que je le chevauche. Il a posé ma chatte sur sa verge tendue, et m’a laissée glisser dessus. J’ai cru qu’il m’ouvrait en deux. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un tel engin puisse me pénétrer sans dommage."

"Jamais je ne m’étais sentie aussi remplie, aussi écartelée, et quand il arrivé au fond, j’ai pensé que j’allais exploser. Au bout d’un moment, je me suis habituée, et j’ai commencé à monter et à descendre sur son pieu de chair. Finalement, j’ai trouvé ça agréable, et j’ai pu accélérer un peu mon rythme."

"À ce moment-là, il m’a retournée, je me suis retrouvée dessous, les pattes en l’air, et il me couvrait de son immense stature. J’ai pensé que j’allais mourir étouffée, mais il a prit appui sur ses jambes et sur ses bras, et il s’est positionné confortablement."

"Je pensais que j'allais exploser de bonheur. C'était tellement délicieux. Beaucoup plus grand que tout ce que j'avais connu avant. J'étais tellement mouillée que ma chatte faisait des bruits horribles. Il martelait mon col de plus en plus profondément, alors j’ai pensé que tu ne pourrais jamais plus m’utiliser."

"Et puis les vagues de plaisir sont arrivées et j’ai cessé de penser. Je jouissais presque sans arrêt, je ne sais pas si j’ai eu un seul orgasme très long ou des orgasmes en série, comme un ouragan d’orgasmes."

"Je ne pourrais pas dire quand cela a commencé, ni combien de temps cela a duré. Il m’a baisée la cervelle et j’ai perdu la notion du temps. Puis, je l’ai senti se désynchroniser, se tendre, se verrouiller au fond de moi, et il a déversé des litres de sperme brûlant en moi."

"Enfin, je suppose, parce que j’ai perdu conscience. L’orgasme a été si puissant qu’il m’a terrassée. Il m’a réveillée en déposant de petits baisers sur mes paupières. Et il s’est retiré, et m’a prise dans ses bras pour me câliner tendrement."

"Il était très doux, très gentil, et je suis tombée un peu amoureuse de lui. D’autant plus qu’il m’a murmuré des choses très gentilles. Toi, tu ne fais jamais ça. Quand tu as pris ton plaisir, tu te tournes de l’autre côté et tu t’endors. Et moi, après l’amour, ma chatte me brûle, et je suis obligée de me masturber pour pouvoir m’endormir."

"Puis, je me suis nettoyé succinctement, j'ai rassemblé mes affaires, et j’allais repartir quand j’ai eu un choc. Il m’a tendu une liasse de billets. Il m’a pris pour une pute occasionnelle. Du coup, on a échangé nos numéros de portable. Il m’a dit qu’il ne venait pas souvent en ville, mais quand il en aura l’occasion, il m’appellera pour une passe."

"C’est chouette ! Tu peux croire ça ? Je vais me faire bien baiser, et en plus, je vais me faire du fric !"

"Non mais, tu rêves ! Je t’ai dit qu’il était énorme et qu’il m’a défoncé la chatte. Pas question que tu me baises maintenant. T’as qu’à te branler !"

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