Le Petit Monde D'Amandine.(La Suite)

Que fus ma surprise d’être accueilli à ma descente par la maman. Appuyée qu’elle était, contre un montant de la porte.
- En voilà des manières. Il n’y a plus d’escalier dans ma
Maison ?
- Oh excusez-moi madame. C’est que je ne voulais pas vous dérangez.
- Me déranger ! Mais en voilà une drôle d’idée. Rien ne me dérange seulement qu’on baise ma fille sous mon toit.
- Je ne l’ai pas baisé comme vous dîtes si bien.
- Je vous ai vu !
- Vous avez vu quoi exactement, madame ?
- Ma fille allongée sur son lit, les deux cuisses écartées !
- Et moi je me trouvais où à cet instant ?
- Entre ses cuisses. Répondit-elle.
- Oui ! Mais quelle partie de mon anatomie se trouvait entre ses cuisses ?
- Bon d’accord, si cela peut vous faire plaisir ! A-t-elle répliqué. N’en parlant plus, alors ! Si vous le voulez bien !
- Oui, je le veux !
Mais alors que je m’apprêtais à ouvrir la portière côté conducteur, elle me lança :
- Oh pas si vite mon garçon ! À une condition !
- Oui… je vous écoute.
- Que vous veniez prendre un verre d’amitié en ma compagnie. Un moyen comme un autre de passer l’éponge.
Comme c’était pour une bonne cause, je n’ai pas osé refuser. Alors je l’ai suivi. Elle m’entraînait jusqu’à chez elle, elle passant devant moi. Tout de long du trajet je ne cessais de suivre des yeux le balancement de ses fesses larges. L’idée de tourmenter ce cul grassouillet me mis tout de suite en appétit.
Une fois arrivée à l’intérieur, elle me fit passer dans la cuisine. Alors que je m’installais, elle alla prendre dans le buffet une bouteille et deux verres. Chacun de ses mouvements faisait vaciller la chemise de nuit qu’elle portait. Un vrai bonheur ! J’ai trouvé tout de même le courage de protester quand elle a emplit mon verre à ras bord de liqueur de couleur jaune.
- Pas tant, je vous en prie ! Vous voulez me .


- Vous ne risquez rien avec ce breuvage, c’est moi qui le fais !
Après ce dernier mot, elle posa à son tour son cul sur une chaise. Et comme par hasard, face à moi. Dès cette seconde j’eus l’impression, d’être jaugé, mais aussi déshabillé des yeux. Je dû reconnaître que sa liqueur de banane fait maison était excellente. Et comme l’avait fait sa fille un plus tôt à bord de la voiture, elle s’était elle aussi intéressée à mon existence. Et machinalement pendant la conversation, elle posa ses pieds sur le bord du siège. Ramenant ses jambes vers elle. Les genoux presque au niveau de sa poitrine. Dans le mouvement bien sûr, l’ourlet de sa chemise de nuit a glissé très haut sur les cuisses exhibant un bout de culotte qui était de couleur blanche.
Et comme pareille cas, il m’était difficile de ne pas y porter mon regard. J’avais le cœur qui battait la chamade. Et s’emballa quelques instant plus tard quand elle a eut l’excellente idée de faire décoller ses genoux l’un de l’autre. Faisant apparaître dans mes champs de vision une belle culotte blanche. Qui lui moulait la chatte comme une seconde peau. J’en avais la gorge asséché. Au point de me saisir de mon verre et d’en boire une large rasade. Je me demandais si son attitude était résolument provocante ou tout simplement irréfléchie. Pendant ma réflexion, je me sentis épié, j’ai bien tenté à plusieurs reprises de détourner mon regard. Mais à chaque fois mes yeux revenaient de nouveau sur la petite lingerie bombée par sa motte.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais comme l’impression qu’elle n’allait pas tarder, comme l’avait fait sa fille auparavant, me demander pourquoi pas de la baiser. Ne dit-en pas, qu’une pomme ne tombe jamais bien loin du pommier !
Et d’un coup son visage est devenu impassible. J’avais affaire là, à une excellente comédienne ! Qui prenait tantôt le rôle d’une salope et l’instant d’après celui d’une sage femme qui vivait l’instant le plus naturellement possible. Par contre, la provocation, elle, était évidente.
Jusqu’à ce qu’elle prenne conscience de sa posture. Et referme vivement ses cuisses. Tirant bien inutilement sur le bord de sa chemise de nuit. Riant grassement pour cacher son soi-disant embarras.
Ma queue quant à elle, se sentait de plus en plus à l’étroit au fond de mon froc. Et l’excitation chez moi me confère à chaque fois une idée absurde. Et ce jour là elle me poussa à consommer cette femme sur le champ. Là-même, sur la table de la cuisine. Sachant parfaitement bien, qu’elle ne s’y opposerait pas. Excitée qu’elle était, autant que moi, voir peut-être plus !
Incapable de me contrôler plus longtemps. Faisant envoler mes scrupules. J’avais d’instinct, empli mon verre plein de liqueur de banane et sans réfléchir je le bus d‘un trait, cul sec.
- Et bien dit donc ! S’exclama-t-elle, pour quelqu’un qui ne boit pas !
- C’est que votre liqueur est très bonne. D’ailleurs il n’y a pas quelle !
- A oui ! Et je pourrais savoir à quoi vous faites allusion là ?
- Mais de vous, voyons !
Un léger tournis s’empara de moi. L’alcool n’était pas étranger à mon trouble. Je savais que ce genre de boisson était traître. À entendre les dires de certains consommateurs. Mais il était trop tard. Une torpeur béate m’envahit. Dans ma vision, la femme que j’avais devant les yeux devenait floue. Malgré tout je restais lucide. Assez tout de même pour me lever de ma place, et d’effec les quelques pas qui me séparer d’elle.
Comme dans un rêve, je me suis vue saisir la main de la femme et de la traîner dans le couloir. Pas un instant elle essaya de se dégager. Se laissant entraîner passivement. Je l’entendais même rire bêtement.
- Votre chambre, où se trouve-t-elle, s’il vous plaît ? Lui lançais-je
- La porte au fond. Mais pourquoi cette question, voyant ?
- J’ai très envie de vous…
Cela la fit bien rire.
- En voilà un drôle d’idée. Ma fille ne vous a suffit ?
- Allez voir ? Fis-je en pesant sur le poignet de la porte.

Arrivée dans la pièce, et après avoir allumé le plafonnier, je la poussais jusqu’à la faire écrouler sur le lit.
- Et qu‘est-ce qui vous dit que j‘ai moi aussi envie de vous ? Fit-elle.
- Ça se sent.
- Ah oui ! Alors là, je suis démasquée. Je ne peux alors que me soumettre. Vous désirez peut-être que je vous donne un coup de main, pour vous séparez de vos vêtements ?
- S’il vous plaît !
En toute simplicité la femme s’activa à me retirer les chaussures, avant de me faire passer le tee-shirt par-dessus la tête. Puis elle prit son temps pour me débarrasser de mon pantalon. Et je ne sais pas pourquoi, d’un coup elle brusqua la suite. M’arrachant littéralement le slip. Je mis cela sur le compte de l’excitation.
Elle s’est tout de suite emparer de ma queue. Entamant un début de masturbation.
- Je vous pensez plus imaginatif. Fis-je en avançant mon bas ventre comme pour lui faire comprendre ce que je désirais d‘elle.
- Mais c’était seulement l’entracte mon beau !
La fellation qui s’ensuivit restera à jamais gravée dans mon esprit. Les actions combinées des lèvres et de sa langue ont eu raison de moi.
Elle reçut l’offrande avec gourmandise et ne laissa pas une goute s’échapper. Elle ne décolla son visage de mon entrejambe, que lorsque mon pénis fut au repos. Me la rendant présentable. Près à être remis dans son slip. Puis elle vint à la hauteur de ma bouche, collant ses lèvres parfumées de mon foutre aux miennes, pour m’embrasser chaleureusement. Quand enfin elle décida d’écarter sa bouche, ce fut pour planter ses yeux dans les miens, et de me dire :
- Tu ne peux pas savoir dans l’état que tout cela m’a mis ! Ma petite culotte est à tordre !
- À ce point ?
- Mais oui mon garçon ! Tiens… je vais te le prouver. Par ce que j’ai l’impression que tu n’as pas l’air de me croire !
- Mais pourquoi dis-tu cela ? Je te crois ! Passant au tutoiement comme elle s’était permis de le faire.

- C’n’est pas l’impression que ta tête me donne. Répondit-elle en faisant glisser sa lingerie les longs de ses jambes. Une fois retiré, elle me barbouilla la figure avec sa culotte trempée.
- Tu me crois à présent ?
L’odeur forte qui s’en dégagée me troubla. Autant que la vue de son sexe bordé de lèvres roses qui lui même couvert de poils châtains clairs et frisés.
- Tu vois dans quel état se trouve ma culotte ! Imagine alors celle de ma chatte ?
- J‘imagine parfaitement ! Répliquais-je, en restant immobile pour sa plus grande désillusion.
- Tu attends quoi là pour me sauter dessus.
- C’est qu’avec la pipe j’ai l’excitation qui a baissé.
- Et alors ? Ce n’est pas une réponse ça. Moi j’ai très envie. Tiens je ne serais pas contre que tu me prodigues la même chose que tu as fait à Amandine !
- Je croyais que tu ne m’avais pas vue ? Répondis-je
- Ah oui ! Si c’est comme ça je vais me servir par moi-même ! Laissa-t-elle échappé.
Et aussitôt, elle m’enjamba posant aisément son fessier sur mon torse. D’un mouvement de bassin, elle me colla sa figue odorante, assez près de ma bouche pour que je la caresse. Je me mis tout de suite au travail. Après l’avoir mené au summum de l’excitation juste en l’effleurant seulement avec le bout de ma langue, je me mis à la lécher. Déplissant les replis suintant de son sexe à grands coups de langue. Et cela pour le plus grand plaisir de la femme qui gémissait. Puis plus le temps passé, plus je me passionnais pour son clitoris. Le suçotant. On n’aurait dit une cerise qui gonflait entre mes lèvres.
Je la menai jusqu’au plaisir avant d’enfoncer ma langue loin dans son con. La faisant frétiller dans le conduit baveux. Pour le plus grand plaisir de la mère d‘Amandine. Une vraie machine à jouir. La cochonne dégoulinait, me souillant le menton et les joues de son jus. Elle se tortillait, serrait ma tête entre ses cuisses. Ne se privant pas de frotter sa vulve contre ma bouche. Elle empestait la femelle en chaleur. Je l’ai pourléché soigneusement. On entendait dans la chambre que des gémissements et des bruits de succion.
Comme pour augmenter son plaisir, je lui enfilais mon pouce dans le cul et le remuais sans problème. Et comme plus tôt avec la fille, la coquine avait l’air elle aussi d’aimer ce genre de traitement. Je me régalais de voir montée chez elle, un nouveau plaisir, qui transfigurer son visage. Elle agitait la tête de gauche à droite, comme si elle était possédée. Jouissant une fois de plus, m’inondant la bouche d’un nouveau liquide poisseux.
Sans prendre la peine de reprendre son souffle, elle se laissa glisser sur mon torse, jusqu’à placer la bouche de son vagin exactement à la même hauteur que ma verge.
Elle jouait avec moi comme le chat avec la souris et elle jouissait du trouble qu’elle provoquait, chez moi.
- Tu veux que je te la mettre ?
- Fais comme cela t’enchante.
- J’ai une énorme envie d‘une queue dans ma chatte. Et la tienne ferait bien l’affaire.
Et sans plus tarder elle se laissa tomber de tout son poids.
Engloutissant mon membre dans sa chair gluante. Je fermais les yeux un instant pendant que mon gland se noyer dans le vagin. J’avais l’impression d’être absorbé par une bouche chaude et vorace. Puis elle commença sa danse de joie. Ondulant, roulant d’avant en arrière sur ma verge nichée entièrement en elle. Frottant en même temps son clitoris contre mon pubis poilu.
Elle se tenait à mes épaules pour mieux me chevaucher. Elle montait, elle descendait sur moi. À chacun de ses mouvements, ses seins remuaient lourdement, à portée de ma mains. Je ne me gênais pas pour les pétrir. Jouant avec ses mamelons qui semblaient inlassablement grossi sous mes doigts. Naturellement, je sentais peu à peu ma jouissance prendre naissance. Je m’arc-boutais contre elle, la faisant décoller de mon ventre. Mes bras puissants faisaient levier pendant que je la baisais en profondeur, de grands coups de reins.
Quand je sentais la jouissance poindre son nez, j’agrippais la femme aux épaules la pénétrant le plus profondément possible alors que je me vidais. Tapissant les parois de son sexe de jets brûlant. De son côté, elle poussa un cri rauque avant de s’affaler sur moi, haletante. Nous sommes restés immobiles quelques secondes. Toujours emboîtés l’un dans l’autre. Je sentais ma queue se ramollir.
Puis elle se dégagea doucement. Du sperme coula le long de ses cuisses. Elle avait le visage en sueur, les cheveux en bataille.
- Waouhhh, ça c’est une partie de plaisir magistrale ! Tu ne peux pas savoir combien j’en ai rêvé d’une telle relation. Qu’en je t’ai surpris avec Amandine, je savais que ce serait magique avec toi !
- Merci du compliment. J’espère que ton souhait c’est réalisé comme tu le désirais.
- Ooohhh, mieux ! Beaucoup, mieux !
Après que nous ayons récupéré, nus et baignant dans la brillance de nos foutres, Virginie (son prénom) me donna plus de détails sur son mariage voué à l'échec, et m’a également dit :
- Une bonne douche me ferait le plus grand bien et à toi aussi. Alors viens !
Et ce fut en me dirigeant jusqu’à la salle de bains que je tombais sur un portrait de famille, accroché sur le mur. Hormis Amandine et virginie, un homme se tenait à leurs côtés, que je devinais être l’époux et devant lui une femme d’un certain âge qui ressembler à ce méprendre à ma grand-mère maternelle. (À suivre…)

Je referme l’ordinateur. Toute cette histoire m’a mis en condition. Je déplie le collant de ma femme, le porte à mes narines. J’ouvre mon pantalon, sors ma queue et me masturbe. Dehors une voiture klaxonne. Mais il m’en faut plus. Je m’asticote jusqu’à ce que plusieurs giclées de sperme viennent se répondre sur le sol, juste en-dessous de moi…

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