La Petite Soeur De Mon Pote

Je vais vous raconter l'histoire qui m'est arrivée il y a quelques temps.

A l'époque je venais d’avoir 18 ans, j'étais lycéen et j'avais une copine. Cette fille
n'est pas le sujet de mon histoire bien que tout ne se passait pas trop mal sur le
plan charnel. Les débuts furent difficile, elle n’avait pas beaucoup d’expérience,
mais cela pourra être le contenu d’une autre histoire.
Pour en revenir à notre sujet je venais donc de me séparer de cette fille, et pour
m’en remettre j’avais décidé de profiter et de vivre tout simplement. Je ne suis pas
un garçon très sûr de moi et je n’attire pas les foules, mais ma libido fait que mes
exploits ont toujours étonné mes amis.
Un soir donc sortie entre potes au cinéma. Certains de mes amis en ont donc profité
pour emmener frère ou sœur qui était assez grand pour nous accompagner. Dans le cinéma
je me suis retrouvé à côté de la sœur d’un pote. Je ne m’étais jamais attardé à la
regarder, pour moi c’était une question de principe, je n’allais pas reluquer la sœur
d’un pote, encore moins vu son âge. Je ne pouvais cependant pas ignorer sa réputation
et son « aisance » avec les garçons. J’ai cependant dû réviser mon jugement lorsque, à
deux ou trois reprises, nos mains se rencontrés dans le pot à pop-corn. Rien
d’exceptionnel mais une étrange décharge me traversait presque à chaque fois. Il
fallait dire qu’à ce moment-là, célibataire depuis plus de 3 mois, mes fréquentes
séances de masturbations suffisaient à peine à canaliser mes ardeurs et le moindre
contact charnel était vécu intensément. Je ne fis donc pas cas de cette situation.
Après le cinéma petit fast-food tous ensemble. Et là je commence à douter. Elle me
fixe, constamment. Je me permets donc de la détailler : brune, yeux noisette,
généreusement courbé sans non plus tombé dans la provocation, la nature était son
amie.

Elle surprit mon regard légèrement lubrique auquel elle répondit par un de
questionnement. J’ai préféré détourner les yeux et me dire que je me faisais des films
et que de toute façon elle était jeune et surtout que c’était la sœur de mon pote qui
d’ailleurs était assis juste à côté.
Deux jours après cette soirée, je reçois une invitation sur un célèbre réseau social
de, devinez-qui, la fameuse sœur de mon pote. On l’appellera ici Léa. Vraiment
intrigué je l’accepte et lui envoie un message pour la questionner sur sa demande.
Elle me répond quasi immédiatement en me disant qu’elle m’avait trouvé sympa, souriant
et qu’elle avait apprécié la soirée en ma compagnie. « Ma » compagnie ? Etrange mais
je fis comme si je n’avais pas remarqué et j’ai préféré creuser dans mon
questionnement. Certes on avait passé une soirée sympa mais tout de même, c’était la
deuxième fois que je la croisais et la première fois que l’on se parlait vraiment. De
fil en aiguille elle m’avoue que je lui plais et qu’elle a littéralement flashé sur
moi. Surpris je lui rappelle la différence d’âge, certes pas conséquente, mais plutôt
parlante à nos âges. Elle ballait ma remarque en insistant justement sur le peu
d’années que cela représente. J’essaie de la calmer en trouvant tout sorte d’excuses
mais rien y fait, je me retrouve à lui avouer mon attirance également. La discussion
se dégrade rapidement, on échange nos numéros pour continuer notre conversation en
toute circonstance ou presque par sms, conversation qui s’échauffait sérieusement.
Elle avait beau être jeune elle savait comment me prendre. Les allusions étaient de
plus en plus tranchantes, pour ne plus y avoir d’allusions du tout à la fin.
Bêtement un jour je lui dis que je n’avais pas cours le lendemain. Elle me dit qu’elle
non plus et qu’elle est toute seule chez elle. Elle me propose de passer l’après-midi
avec elle.
Sachant ce que cela signifiait je lui demande ce qu’on pourrait bien faire,
ce à quoi elle m’a simplement répondu « on verra ». Une fois de plus elle a balayé
d’un trait toutes mes excuses. Il fallait dire qu’après presque 3 semaines de sms
torrides, de masturbations presque frénétiques suite à ces derniers, j’étais
littéralement sur la béquille.
Je me suis donc rendu chez elle. Ses parents avaient une piscine, je connaissais déjà
la maison pour y être venu pour l’anniversaire de mon pote. Elle me proposa donc de
m’y baigner. J’avais bien entendu prévu le short de bain (ouf !) car que je
connaissais les habitudes.
Inutiles de vous dire que ça a vite dégénéré. Dès que le premier contact physique a
été effectué (elle est venu me chatouiller) on a été comme aimanté. On s’est collé
l’un à l’autre entrelacé, emmêlé même je dirai. On s’embrassait à pleine bouche, son
corps vibrait déjà, et mon short était tendu par une sérieuse érection. On a vite
perdu le peu de tissu qu’on avait. L’une de ses mains est venu envelopper, avec une
douceur et une précision rare, mes bourses. Pendant ce temps je laissais glisser mes
mains dans son dos jusque sur ses fesses fermes et rondes. Je les ai empoignés pour la
soulever et je l’ai ramené contre moi. Les lèvres de son sexe son venu se plaquer à la
base de ma queue tendue et malgré l’eau de la piscine, je sentais déjà la moiteur de
son entre-jambe. Tout en se frottant sur ma verge elle me demanda en me soufflant dans
l’oreille de m’asseoir sur le bord de la piscine. Je ne me fis pas prié et elle s’est
mise à me faire une fellation comme rarement j’en ai eu, même aujourd’hui, plus de
quatre ans après. D’une main elle me massait les bourses de l’autre elle glissait le
long de mon membre, pendant que sa langue et sa bouche enserrait mon gland. La piscine
avait de nombreux vis-à-vis mais je n’avais plus la tête à y penser.
Puis d’un coup
d’un seul elle descendit jusqu’à la garde. Je retins mon souffle lorsque mon gland
toucha le fond de sa gorge. J’ai vraiment cru à ce moment que j’allais exploser. Je
fis rapidement reculer sa bouche et sa réfléchir la fis sortir de la piscine. Je
l’embrassai fougueusement tout en l’appuyant au sol, et j’ai eu un déclic lorsque mon
gland a touché ses lèvres : je suis en train de baiser la petite sœur de mon pote. Je
reçu une décharge électrique mais négative cette fois. Je me suis relevé regardant
cette fille nue allongée devant, s’offrant à moi les jambes écartées. Le temps de voir
son regard une lueur d’étonnement je fis demi-tour pris mes affaires et parti sans me
retourner malgré ses appels. Durant la semaine qui suivi elle n’a pas cessé de
m’appeler et de m’envoyer des messages que je pris soin d’ignorer.

Mais je n’étais pas au bout de mes peines. 4 ans après, il y a peu, mon pote organise
son anniversaire. Devenu des amis il m’invite, ma copine et moi, chez sa famille pour
son anniversaire. Et ment je retrouve sa sœur. Le repas ne fut pas facile. Nous
nous étions plus parlé depuis que je l’avais laissé nue en transe sur le bord de sa
piscine. J’avais l’impression que tout le monde allait deviner.
Le deuxième soir je vis toutes sortes de sentiments dans ses yeux, la haine bien sûr,
mais aussi, bizarrement, la jalousie. Sa chambre était mitoyenne à la nôtre, elle
avait certainement dû entendre nos ébats. Encore pire j’ai cru voir également du
désir. Et là je me suis dit, pas deux fois, fais pas le con.
Ce soir là je n’ai pas dormi. Cet échange de regard m’avait retourné. Je laissais ma
copine dormir tranquillement dans la chambre d’ami, et je suis allé m’allongé au clair
de lune dans le transat au bord de la piscine (j’habite aux Antilles). Alors que je
commençais à végéter je vis un mouvement dans la pénombre.
Alors que j’ouvris plus les
yeux je vis passer Léa en petit maillot de bain blanc (!!!! ). Je fais mine que je
l’ai pas vu, elle fait le tour de la piscine et vient s’asseoir à côté de moi. Et là
elle me raconte tout ce qu’elle a ressenti 4 ans auparavant. Et pour conclure elle me
dit qu’aujourd’hui elle est toujours la sœur de mon ami, mais qu’elle a 18 ans et
qu’elle fait ce qu’elle veut. Je lui dis que j’ai une copine et je ne me ferai pas
avoir une deuxième fois, et suite à mes mots je me lève et me retourne prêt à partir,
mais surtout pour cacher mon incroyable érection, je me surprendrai toujours. A ce
moment elle se rue devant moi, me repousse sur le transat et enlève son haut de
maillot. Elle me dit qu’elle sait que j’en ai envie qu’un mec ne reste pas sur un
échec (le pire c’est qu’elle a pas tord). Elle me dit aussi qu’elle nous a entendu ma
copine et moi (j’en étais sûr) et qu’elle voulait que je lui montre ce que je pouvais
faire. Elle finit sa phrase en retirant son tanga, et je perdis tout raisonnement. Je
me ruai sur elle en l’embrassant à pleine bouche. Je fis courir mes mains sur tout son
corps et je redécouvris ces fesses fermes et rebondi, ces seins qui avait encore pris
du volume, elle fit descendre mon caleçon pour libérer mon sexe qui n’en pouvait plus
elle m’allongea sur le transat et me lécha les couilles jusqu’à mon gland avant
d’enfourner rapidement ma queue dans sa bouche. Elle me suça comme ça pendant au moins
10 min. Je lui demandai de se retourner sur moi afin que je puisse m’occuper d’elle
également. Je lui aspirai la vulve tout en titillant son anus avec mon pouce. Soudain
elle se leva et se mis à quatre pate à même le sol. Je lui dis que je n’avais pas de
capote, elle me dit qu’elle prenait la pilule. Ne pensant même pas au MST, et encore
moins à ma copine, je me collai à son dos tout en glissant mon membre entre ses
cuisses. Avant même que je fasse quoi que ce soit elle fit remonter mon gland
directement en elle. Je m’introduisis directement et sans difficulté. Nous gémisses
ensemble libéré par cette union tant attendu. Je suis resté au moins deux min, blotti
contre son dos, au plus profond d’elle, étourdi par l’intensité. Puis j’ai commencé
les va et vient, doucement au début, puis très rapidement plus fortement. Je ne me
contrôlais pas, à la fin je lui donnais de tel coup de bassin outre le claquement de
mes cuisses sur ces fesses, j’entendais le transat sur lequel elle était appuyé glissé
sur le carrelage. Je ralenti la cadence alors qu’elle venait de jouir une première
fois. J’en profitai pour à nouveau pour titiller son anus, une envie de sodomie me
vain à l’idée. Tout en allant et venant doucement en elle j’insistai de plus en plus
sur sa rondelle. Quand j’introduisis un doigt elle me demanda ce que je voulais. Je
lui dis que j’avais bien envie de la prendre par derrière. Elle me regarda, puis me
dit qu’elle ne l’avait jamais fait mais qu’elle avait bien envie. Je continuai donc à
dilater son cul. Lorsque je pus introduire un troisième doigt je lui dis qu’elle
était prête (entre temps je m’étais retiré et elle s’était allongé à plat ventre sur
le transat). Elle me regarde mais ne dit rien, je lui mange une dernière fois la
chatte et le cul afin de bien humidifier le tout, et je viens me mettre devant elle
pour qu’elle me suce avant que je prenne son cul. Elle me suça une fois de plus
magnifiquement bien, puis je lui dis que c’était le moment. Elle me dit ok et je
reparti derrière elle. Sa cambrure prononcée m’appelait, je pénétrais une dernière
fois sa chatte pour récupérer un peu de cyprine puis je posais mon gland sur sa
rondelle. Je le frottais doucement de haut en bas mon gland dans sa raie et j’appuyais
de plus en plus sur son antre. Je repris un peu de mouille sur chatte au bout de mon
gland puis j’appuyai franchement et mon gland s’enfonça d’un coup. Je vis son cul
enserrer ma queue à la base du gland. Comme elle venait de retenir son souffle
j’attendis un peu et je lui dis de pousser lorsque j’allais rentrer. Je poussai ma
queue et elle poussa en même temps son cul, et je m’introduisis d’un seul coup
quasiment jusqu’à la base de ma queue. Elle lâcha un long gémissement et se tendit
d’un coup. Je me penchai vers son oreille pour lui dire que j’étais rentré
complètement dans son cul et je lui demandai comment elle se sentait. Elle me dit que
ça l’avait brulé lors de la pénétration mais que là c’était impressionnant. Je souris,
l’embrassa longuement dans le coup et j’en profitai pour ressortir doucement. Lorsque
je sentis son anneau serrer la base de mon gland je repartis dans l’autre sens. Elle
gémit de nouveau. Je recommençai un peu plus vite à chaque va et vient. Je pris vite
un rythme soutenu, et léa soulevait de plus en plus son petit cul. Je la soulevais par
hanches pour la mettre sur ces genoux et je commençais à caresser son clito avec ma
main. Un long râle s’échappa de sa bouche et je stoppai tout de suite car on aurait pu
nous entendre. Elle releva son torse contre le mien, nous étions debout sur les
genoux, moi derrière elle, et elle s’empala sur ma queue en lâchant un petit cri.
Emporté par l’ardeur je rejoignis son mouvement en gémissant. Je mis ma main sur sa
bouche pour pas qu’on l’entende trop et je continuais de plus belle. Pendant que je
donnais des coups de bassin elle poussait ses fesses vers moi, de plus en plus fort.
Ses fesses claquaient, je caressais de plus en plus fort son clito et elle gémissait
de plus en plus.
Soudain elle me dit entre deux gémissements qu’elle allait jouir. Exalté par cette
annonce j’ai lâché sa bouche (au diable les cris) j’agrippai sa hanche mais ne lâchai
pas pour autant son clito que caressais plus que jamais. J’enfonçai mais deux doigts
dans sa chatte. Et là ce fut l’explosion. Elle cria d’un coup en s’appelant violemment
sur ma queue, de sa main gauche elle s’agrippa à ma cuisse pour que je reste bien au
fond d’un et de sa main droite m’attrapa par le cou. Ses nombreux soubresauts et
gémissements étaient plus qu’excitant, son cul enserrait ma verge comme jamais j’étais
sur le point d’exploser et je la pilonnais comme jamais. Sa jouissance l’affaiblissant
elle laissa retomber sur ses mains en avant et là je jouis violemment en m’enfonçant
en elle. Mon gland explosa littéralement en elle en libérant ma semence. Les puissants
jets de foutre se répandant en elle lui firent monter un dernier frisson de
jouissance. Dans un long râle je me laissai aller contre son dos et nous nous
allongeâmes doucement moi à même le sol, moi sur elle, toujours enfoncé dans son cul.
Je l’embrasse tendrement dans le cou et sur le dos puis me retira. Ayant très peu de
force je m’assis ici même derrière et je pus admirer mon sperme perler à la sortie de
son cul. Elle se releva et me fit remarquer qu’une douche s’imposait car ma queue
était souillé de notre union.
Dans la douche elle m’avoua qu’elle n’avait encore jamais jouit comme ça. Et pour me
remercie elle voulut me faire une gâterie. Me souvenant de la douceur de ses caresses
il me fallut peu de temps pour bander de nouveau vaillamment. Elle me suça
amoureusement pendant quinze bonnes minutes avant qu’elle veuille de nouveau faire
l’amour. Elle me chevaucha de façon très langoureuse et tout en douceur. Nous avons
joui 40 min plus tard, moi crachant ma semence au plus profond de sa chatte cette
fois, et elle m’enfonçant ma tête dans ses seins.
Elle me remercia pour le moment passé et me précisant que j’avais raté ça quatre ans
auparavant.
Je la remerciai également mais me sentais coupable d’avoir trompé ma copine. J’ai beau
aimer le sexe je ne suis pas pour autant infidèle. Et ma franchise aidant, cette
aventure compromettra l’avenir de mon couple.
Depuis je suis de nouveau célibataire, et je n’ai pas revu cette cher Léa.

J’espère que mon histoire vous a plu. D’autres sont à venir !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!