Mon Prof De Gym (La Suite)

- C’était ta première fois avec un homme, j’espère que tu as aimé ?

- Oui, c’est la première fois, et c’était merveilleux, bien meilleur qu’avec toutes les filles que j’ai connues, on dirait que tu as fait ça toute ta vie.

- Tu ne te trompes pas, j’ai déjà sucé beaucoup d’homme dans ma vie, et à chaque fois c’est différent. Il approcha son visage du mien et m’embrassa encore, avec plus de douceur cette fois. Je sentais sa barbe dure qui frottait contre la peau de mon visage, et j’avais l’impression d’être une fille dans ses bras et contre son corps bien plus musclé que le mien.

- Maintenant c’est à moi de te donner du plaisir, j’ai envie de te sucer aussi. Tout en disant cela, je posai ma main sur ses couilles gonflées par le désir et je commençai à le caresser pour l’exciter un peu plus.

- tu t’y prends très bien avec ma bite, tout à l’heure dans la voiture, j’ai cru que j’allais éjaculer dans ta main tellement c’était bon.



Il m’entraîna après lui et s’assis dans un fauteuil en ne me quittant pas du regard. Dans cette position, il était très excitant à regarder. Assis, les jambes écartées, le sexe dressé n’attendant qu’une seule chose, que je l’avale tout entier pour lui procurer du plaisir. Il me fit signe d’approcher, je m’exécutai. J’arrivai près de lui, et me mis à quatre pattes pour arriver comme une chienne entre ses jambes. (Décidément, qu’est ce qui m’arrivait). J’embrassai d’abord ses pieds, suçant chacun de ses orteils, puis je remontai sur ses jambes et sur ses cuisses musclées. Mes mains tenaient chacun de ses genoux bien écartés afin que je ne rate rien du spectacle qui s’offrait devant moi. Je léchai l’intérieur de ses cuisses, remontant très haut, jusque près de ses couilles. Chaque fois, j’allais un peu plus haut, et visiblement, il aimait le traitement que je lui infligeais, car je le vis fermer les yeux et bouger lentement son bassin. Sa bite était devant moi, à quelques centimètres de ma bouche, je ne résisterai pas longtemps avant de l’avaler toute entière.



Je commençai à le branler avec force d’une main, et à pétrir ses couilles de l’autre. Cela dura quelques instants, et ensuite, j’approchai mes lèves et embrassai son gland. Ça y est, ma bouche est posée sur le sexe d’un homme. La sensation était terrible, je ne m’étais jamais senti aussi excité qu’en ce moment, et machinalement, je pris ma bite en main pour me branler. Pendant ce temps, les baisers que je lui donnais se transformèrent en léchages. Ma langue faisait le tour de son gland, j’adorais ça, je suçais sa bite comme si elle était un cornet de glace, ou une sucette. Je su à se moment que jamais plus je ne pourrai me passer de la sensation de sentir un sexe d’homme contre ma langue. Quelques instants après, j’ouvris la bouche et y enfonça le sexe dressé de mon professeur.



- Wouhaaa, c’est bon, tu fais ça bien. Il me caressa la tête pour me montrer qu’il aimait ça. Ta bouche est bien chaude, et ta langue est douce.



De plus en plus excite par ce qu’il me disait, et un peu fier aussi, j’accélérai mes mouvements de tête et aspirai plus fort sa bite à chaque foi. De temps en temps, je calmais le jeu, j’avais vu qu’il le faisait aussi, et je descendais avec ma langue tout le long de sa bite, pour aller lécher ses couilles, qui ne demandaient que ça. Il me montrait sa satisfaction en relevant les jambes, pour qu’elles soient bien en face de moi et que je puisse les lécher et les gober du mieux que je pouvais.

- Je veux que tu me jouisses dans la bouche, j’ai envie d’avoir ton sperme en moi, de l’avaler comme une chienne.

Visiblement, cela procura sur lui un effet déclencheur, car quelques instants après, il me prit la tête pour imprégner le rythme qu’il voulait. Je sentis la jouissance qui approchait car sa bite gonflait par moment dans le fond de ma bouche. Plusieurs fois elle tressauta.

- Oui, continue, c’est bon, tu vas l’avoir mon sperme.

Effectivement, à peine eut-il prononcé ces mots que je senti une giclée chaude et onctueuse venir frapper mon palais.
Ce mec était en train de me jouir dans la bouche. Il cracha son sperme à plusieurs reprises, me tenant toujours la tête pour éviter que je ne m’enlève, comme si c’était mon intention. Non, j’avais bel et bien envie de continuer à le sucer, et de ne pas perdre une seule goutte du sperme qu’il crachait dans ma bouche. Quelques instants plus tard, je m’arrêtai de sucer et le me redressai. J’avais toujours son sperme dans ma bouche, et en le regardant, je l’avalai d’un coup. Le goût était un peu âcre mais j’adorai quand même cette sensation. Je léchai de nouveau son gland quelques instants pour ne pas perdre les gouttes qui s’en étaient échappées.

- T’es vraiment bon, tu m’as bien fait jouir dans ta bouche, j’ai adoré.

J’étais flatté par ce qu’il me disait, car pour ma première pipe, je m’en étais visiblement bien tiré. Toujours excité, le sexe tendu, je lui dis :

- Et ce n’est pas encore fini, j’ai bien l’intention de profiter de ton cul maintenant.

En lui disant cela, je passai une main sous ses fesses et les caressai avec douceur. Elles étaient fermes et musclées, tout comme le reste de son corps. Il souleva légèrement le bassin afin de laisser plus de liberté à ma main.

- Retournes-toi, lui dis-je, je veux te voir par derrière.

Il s’exécuta sans mot dire et se positionna à quatre pattes sur le fauteuil, le cul juste en face de moi, à quelques centimètres de mon visage.

- Tu as un beau cul, viril, j’ai envie de le manger et de jouir dedans.

- Tu peux faire tout ce que tu veux, j’adore qu’on s’occupe de moi comme ça.

De ma main gauche, j’attrapai ses couilles et les je les massai avec énergie. De ma main droite, je lui caressai lentement la raie, fouillant dans ses poils, m’attardant quelques peu sur son anus. Il ne bougeait pas, il restait à quatre pattes devant moi, les fesses bien reculées pour me laisser voir au mieux son intimité.

J’approchai ma bouche de ses couilles et commençai à les lui lécher par l’arrière.
De cette manière, j’avais la moitié du visage enfoncée dans sa raie culière, le nez juste sur son trou du cul. L’odeur qu s’en échappai était exquise, elle était à la fois légère et excitante. Lorsque j’avais des relations avec des filles, c’était toujours vers l’anus que je me dirigeais en premier. L’odeur de celui-ci m’a toujours excité, et visiblement, celui de mon professeur ne dérogeait pas à la règle. Je cessai des lécher ses couilles pour remonter vers son anus. Mon estomac me faisais mal tellement j’étais excité, j’espérais que je n’allais pas jouir comme ça, du simple fait de l’excitation sans même me toucher. Non, je voulais vraiment lui jouir dans le cul. Je posai ma langue sur son trou du cul, cela le fit un peu tressauter.



- tu aimes ce que je te fais ?

- oui, c’est bon, lèche moi bien jusqu’au fond, continue comme ça, c’est bon.



Bien sur que je vais continuer, j’aime trop ça, pensai-je en moi-même. Ma langue s’affairait donc contre son petit trou, écartant les poils qui en recouvraient les bords. Je sentis que le trou se détendait sous l’effet de mes caresses buccales. Il s’élargissait petit à petit, me permettant d’enfoncer ma langue à l’intérieur de quelques centimètres.



Putain de bordel, j’étais dans le salon de mon prof de gym, complètement à poil, à quatre pattes en train de lui enfoncer ma langue dans le cul… Je ne sais pas si vous vous rendez compte mais c’est une situation que je n’aurais jamais pensé vivre un jour.



Ma main remplaça ma langue contre son trou du cul. Mon majeur rentra facilement à l’intérieur, grâce à toute la salive que j’avais étalée en le léchant. Je l’enfonçai entièrement, et senti qu’il bougeait son bassin vers l’arrière afin de participer à sa manière à cette pénétration.

- Mhmmmmm, oui, enfonce moi les doigts, et après tu me mettras ta bite, mmmm.

Je continuai mes allers et venue avec mon majeur encore quelques instants avant de rentrer également mon index.
Celui-ci rentra également avec beaucoup de facilité, comme si il mouillait par son trou du cul.



- Doigtes moi bien au fond, c’est bon,… il continuait toujours ses mouvements d’avant en arrière avec son bassin.



Je me levai, en prenant garde de bien garder mes doigts dans le fond de son cul, et approchai ma bite de l’orifice qui réveillait en moi autant d’excitation.

Il compris directement ce que j’allais faire et attrapa ses fesses avec ses deux mains pour les écarter au maximum. J’enlevai ma main pour lui laisser prendre sa position. De cette manière, son petit trou était légèrement dilaté, 1 ou 2 centimètres, tout au plus. J’approchai ma bite, et mon gland toucha son trou, il était chaud. Je frottai à plusieurs reprises ma bite le long de sa raie, et puis, positionnai mon gland juste en face du trou. Je poussai lentement mon corps vers l’avant, pour ne pas lui faire mal en entrant. Lui reculait ses fesses pour m’aider. Mon gland entra comme dans du beurre. Le muscle de son anus serrait ma bite juste derrière mon gland, c’était bon, je n’avais jamais ressenti autant de plaisir. Je bougeait lentement ma bite d’avant en arrière, faisant entrer et sortir mon gland. Chaque fois, j’allais un peu plus loin, jusqu’au moment où ma bite fut totalement rentrée dans son cul. Je vais le faire gueuler comme une pute ce gros enculé. J’accélérai la cadence de mes mouvements, je voulais nous donner le plus de plaisir possible. Je voyais ma bite qui entrait et sortait de son cul comme s’il s’agissait de la chatte d’une fille. C’était chaud, doux et cela me procurait un plaisir indéfinissable.

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