Leslie Nr62

Leslie NR62 – Nouveaux récits
Rencontres insolites – Carine et sa colocataire

Carine a vingt ans, jolie jeune femme, elle a tout pour plaire aux hommes qui détournent leur regard en la croisant.
Le corps fin et cambré d’un mètre soixante-cinq lui donnait un air de danseuse, des cheveux mi-longs et bruns, des yeux noisette, les attaches fines, et une belle poitrine pas trop grosse complétait le tout.

Assise à une petite table sur la terrasse du Grand Café Riche, place de la comédie à Montpellier, elle venait de faire les quelques achats nécessaires pour la rentrée et prenait un peu de bon temps avant de s’installer dans sa nouvelle demeure.
En effet, elle venait s’installer en co-location chez une fille contacter sur le net, faisant les mêmes études qu’elle et continuer leurs études à la faculté de médecine. Une fille de son âge avec qui elle allait partager maintenant son quotidien.
Le contact avait été bon, Diane était une jolie fille aussi qui avait plu à Carine dès le premier rendez-vous sue Skype. L’idée avait même traversé l’esprit de Carine que peut-être, si l’occasion se présentait d’en faire et de devenir sa petite amie…

Elle réfléchissait, en attendant Diane, sur son orientation sexuelle, les études c’est bien, mais le plaisir et le sexe sont importants. Lesbienne convaincue depuis son plus jeune âge, elle n’avait jamais connu le sexe d’un homme, sauf celui de son frère entrçu au détour de la salle de bains chez leurs parents et surtout elle n’avait jamais été pénétré et était donc vierge de ses orifices.
Elle n’avait rien contre les hommes, c’est juste pensait-elle qu’en la baisant ils feraient mal et ses expériences sexuelles avec les femmes, plus conforment à ses convictions, étaient satisfaisantes et lui procuraient le plaisir recherché.
Dans ses pensées, elle ne vit pas arriver Diane, qui se planta devant elle en disant :
- Alors Carine, on rêve ?
Relevant la tête, Carine s’excusa en répondant :
- Ohhh, Diane, pardonne-moi, j’étais dans mes pensées.


- Pas de problème, j’adore les rêveuses.
Diane était encore plus belle en réel, mince et élancée, elle était assez grande, le tee-shirt porté laissait deviner une toute petite poitrine et le pantalon de cuir masquait de longues jambes certainement fines. Brune aux yeux bleus et des cheveux noirs coupés à la garçonne.
- On va t’installer ? Demanda Diane.
Sans problème, j’ai hâte. Dit Corine.
J’habite juste à côté, lui répondit Diane.

Arrivées chez elles, dans un appartement de trois pièces, assez grand et remarquablement bien rangé, après lui avoir montrée sa chambre et laisser déposer ses bagages, elle lui offrit le verre de bienvenue et elles s’installèrent sur le sofa du salon.
Elles parlèrent, tout en buvant, des études, puis des règles sur le la vie en commun et d’autres choses faisant partie du quotidien. Après une légère collation, Carine est partie se coucher…
La première semaine passa rapidement, les filles obligées de partager le même espace se croisaient mais sans avoir de longs moments ensemble, mais ça collait entre elles, avec juste quelques mots échangés vite fait, Carine étant trop occupée à ranger et à décorer sa chambre. Les bonnes relations s’installaient et un début d’amitié aussi.
Faire encore des achats avant la rentrée qui approchait, cela arrangeait bien les deux filles pour démarrer leur vie commune, et ce n’est que le vendredi soir suivant que les deux jeunes filles se retrouvèrent enfin pour leur première soirée.

Pour l’occasion Diane avait commandé un repas chez le traiteur japonais et Carine apprécia la finesse des mets et vers la fin du diner, les filles discutaient sur leur vie intime.
Diane posa la question à Carine :
- Dis-moi, belle comme tu es je ne t’ai jamais vu en compagnie de garçon.
Carine, peut-être soulagée par cette question et afin que tout soit clair entre-elles, avoua à Diane :
- C’est parce que je suis une lesbienne !
Carine s’attendait à se faire sauter dessus, comme d’habitude lorsqu’elle avouait à une autre fille son homosexualité, mais contrairement elles reprirent leur conversation en abordant des sujets de plus en plus intimes.

A un moment donné, Diane avoua à son tour son homosexualité à sa nouvelle colocataire, amis en précisant qu’elle était plutôt une garçonne et de fait elle était active dans ses rapports avec les femmes et qu’elle avait une belle collection de godes-ceinture. EN rigolant elle rajouta :
- De quoi contenter n’importe qu’elle lesbienne !
- En tant que lesbienne, répondit Carine, je ne suis pas intéressée.
- Pourquoi, demanda Diane.
- Je suis une lesbienne qui n’a jamais été pénétré.
- Ah et pour qu’elle raison ?
- J’ai vraiment peur d’avoir mal et comme les hommes ne m’attirent pas, les femmes qui ont l’envie de moi respectent cette exigence de ne pas me pénétrer avec des objets.
Diane ne fût pas surprise car certaines lesbiennes ne veulent pas être pénétrées, souvent pour donner suite à une mauvaise expérience, mais de là à être vierge de tous les orifices, c’était une première pour elle.
Sans rien montrer, Diane sentit monter en elle un certain désir pour sa colocataire et se promit de faire le nécessaire pour l’attirer dans son lit dans un premier temps, puis pourquoi pas…
La soirée se termina dans la bonne humeur et la plaisanterie, lorsque les filles se quittèrent pour aller dormir, chacune dans leur chambre respective, Diane fût surprise par Carine qui, quand elle lui souhaita bonne nuit, lui déposa un baiser que le coin de ses lèvres…
La nuit des deux filles fût remplie de rêves érotiques…

Dans les jours qui suivirent les deux jeunes filles se rapprochèrent l’une de l’autre, tant dans les confessions pendant leurs discussions ponctuées par regards expressifs et aux légers attouchements discrets qu’elles s’échangeaient à la moindre occasion.
Mais le premier baiser sur le coin des lèvres glissa jusqu’au baiser torrides qu’elles se donnèrent le vendredi soir suivant.
Elles venaient de finir de diner et, comme chaque soir, allaient se souhaiter la bonne nuit. Mais pendant l’échange de ce baiser, les mains s’en mêlèrent et les caresses entre elles ont commencées…

Très rapidement elles commencèrent à gémir sous l’action de leurs caresses mutuelles, mais aussi poussées par le désir qui les envahissait et elles enlevèrent tour à tour leurs vêtements pour se retrouver nues l’une devant l’autre.

Les deux brunes se regardèrent posant leur regard sur tout le corps de l’autre.
Diane regarda Carine et découvrit son corps fin et tellement cambré, elle était un peu plus petite qu’elle et avait un air de danseuse. Diane trouvait sa compagne délicieuse avec ses cheveux bruns mi-longs et ses yeux noisette, et ses attaches fines lui donnaient un air fragile. Diane vit sa belle poitrine aux petites aréoles brunes, pas trop grosse mais, qui lui donnait vraiment un air de femme désirable et son pubis tout glabre était des plus ravissant.
De son côté, Carine se félicita de découvrir Diane, en fait elle n’avait jamais eu d’amante aussi belle et désirable. Il est vrai que ses cheveux noirs coupés à la garçonne et ses yeux bleus lui donnaient un petit côté masculin, Carine pensa que dans les relations lesbiennes elle devait jouer le rôle de l’homme. Le corps mince et élancé, un peu plus grande elle arborait une toure petite poitrine de gamine aux aréoles roses et ses longues jambes fines se terminaient sur des cuisses encadrant un pubis aux poils joliment taillés en forme de V.

A cet instant, Carine, bien que lesbienne pure et dure, eu envie de sa colocataire qui l’avait pourtant prévenue de son côté de lesbienne active, mais une envie incontrôlable s’empara d’elle, comme si elles avaient dû se rencontrer et maintenant s’accoupler. Alors elle lui dit :
- J’ai envie de toi !
- Moi aussi, dit Diane, mais…
- Oui je sais tu es active.
- Et…
- J’ai envie de toi et si tu me guides je veux bien être active avec toi pour commencer et voir si ça me plait.
- Écoute, dit Diane, j’adore ton idée faisons cela comme un jeu, alors ce soir tu fais l’homme et moi ma femme.
- Peut-être irons nous plus loin si cela me plaît…
- Oui, peut-être, mais pour l’instant je sais que tu fais un très gros effort alors on en reparlera plus tard. Mais dis-moi je te plais à ce point ?
- Ohhh, soupira Carine, si tu savais...


A suivre…

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