Leslie Nr64

Leslie NR64– Nouveaux récits
Rencontres insolites – Une jeune fille très insolite

Je m’appelle Jennifer et je passe chaque année toutes mes vacances sur la côte à Toulon, chez ma tante, Jessica, la sœur de ma mère, qui possède une villa en bord de mer. Mes parents dans la restauration me laissent aller chez ma tante Jessica car ils n’ont pas le temps, avec la saison estivale, de s’occuper de moi, alors je vais chez ma tante.
En fait ma tante m’a pratiquement élevé, mariée très jeune avec un riche industriel elle s’est retrouvée veuve très jeune, par suite du décès de son mari, sans bien-sûr. Alors comme mes parents étaient trop occupés avec le restaurant Jessica, tout naturellement m’a hébergé et a pris soin de moi.
Je vivais chez elle la plupart du temps pendant l’année scolaire, pas très loin de chez mes parents que je voyais de temps à autre certains week-ends et à la fin de l’été, la saison terminée, quand ils venaient nous rejoindre dans cette villa de Toulon, hérité de son défunt mari.

Aujourd’hui j’ai dix-neuf ans et voilà dix ans que nous sommes, avec tante Jessica, quasiment inséparable, donc inutile de vous faire un dessin pour vous faire comprendre que, durant ces années, dans l’intimité de la grande maison, ma tante m’a tout appris en ce qui concerne le sexe et les rapports entre gens de sexe différents, ou non…
Ce qui fait qu’aujourd’hui j’ai eu toutes sortes de relations, en premier avec ma tante qui étant bisexuelle m’a initié aux relations entre femmes après m’avoir fait découvrir les différents points érogènes d’une femme, au triolisme lesbien et aux rapports que peu avoir une femme avec un homme. Ce qui fait que je ne suis plus vierge et pratique la sodomie.

Durant ces dix ans, dès les premiers rayons de soleil, j’allais sur la plage pour me faire bronzer nue, souvent accompagnée de mon amie Linda, que je connais depuis l’âge de douze ans et avec qui j’ai des relations saphiques régulièrement, si bien que dès le début de l’été, nous étions toutes les deux intégralement bronzées.

Nos corps halés sur la plage, sans démarcation du slip ou du soutif, rendaient jalouses les femmes et faisaient envie aux hommes qui détournaient leurs regards sur nous…
Linda est une jolie blonde d’un mètre soixante-dix, un corps fin et musclé compte tenu de sa pratique du tennis, les cheveux mi-longs et des yeux verts de jade. Linda se taille le pubis régulièrement laissant une fine bande de poils très courts au-dessus de sa fente.
Moi, je suis brune aux cheveux courts et aux yeux bleus, fine et cambrée du fait de la danse pratiquée dès mon plus jeune âge, mon teint naturellement mat me permet de bronzer rapidement et pour finir mon pubis entièrement épilé régulièrement avec soin laisse apparentes mes lèvres intimes brunes.

Ma tante est une très belle femme bisexuelle et très libertine qui est très portée sur le sexe, alors elle a souvent de nouveaux amants qui viennent à la maison le temps que dure leur relation avec elle. Ayant beaucoup de goût sur le choix des hommes qui ont le droit de partager sa couche, j’avoue que ma tante ne ramène jamais les plus moches. Elle est aussi très ouverte d’esprit et tolère que je ramène mes conquêtes et que Linda puisse bénéficier de son hospitalité lorsqu’elle a envie de baiser, d’ailleurs je ne suis pas certaine qu’elle deux n’aient pas eu une aventure pendant que j’étais chez mes parents, mais je m’en fous car je ne suis pas jalouse.

Chaque vendredi avec ma tante nous avions prit l’habitude d’aller au restaurant le soir et de terminer notre soirée en boîte de nuit, pour danser et nous faire draguer et parfois ramener nos conquêtes à la villa pour finir la soirée en de bonne compagnie. Parfois chacune de notre côté avec le mâle de nos désirs et parfois ensemble pour un trio avec le seul mâle ramené. Cette escapade donnait l’occasion à Linda de prétexter qu’elle dormait chez moi et ainsi pouvoir ramener ses conquêtes à la maison et baiser en toute tranquillité.
Ma tante pour ces occasions avait aménagé trois chambres au premier étage, ce qui nous permettaient d’avoir l’espace pour nos ébats et ne pas faire entrer nos conquêtes dans l’intimité de nos chambres.

Ce vendredi-là, nous étions avec Jessica à la maison, et quand Linda est venue avec son nouvel amant, je fus étonnée de constater que c’était le père d’une des filles de notre classe
Linda emmena directement son amant du soir directement dans la chambre que Jessica lui réserve pour ses ébats et comme à son habitude elle a certainement mis un porno pour lancer l’ambiance, mais soudain je me suis souvenue que j’avais laissé ma cassette dans le magnétoscope lors d’une précédente séance de baise avec un homme de passage.
Ils allaient me voir dans mes exploits érotiques avec des hommes et des femmes mais aussi dans des positions et des actes parfois très spéciaux et je me rendis-compte que cela m’excitait qu'il sache ce que la cassette contenait, mais aussi de savoir que nos chemins un jour se croiseraient et de me demander ce qu’alors il se passerait en croisant une salope comme-moi…

Le lendemain, matin, samedi, Linda nous a rejoint pour déjeuner avec nous, son amant ayant certainement pris congé d’elle dans la nuit ou au petit matin.
En déjeunant, elle m’a dit :
- Dis-moi, Jennifer, c’est chaud ta vidéo !
- Vous l’avez vu avec l’homme que tu as ramené ?
- Absolument et il a particulièrement apprécié.
- Mais, dis-moi, ce n’était pas le père de Manon ?
- Si c’était bien lui et je pense que la semaine prochaine il sera à la fête de l’école et que sans nul doute il viendra te voir.
- Je pense que ce ne sera pas pour me parler de ma scolarité.
- Je pense que ce sera plutôt pour t’emmener voir le loup, dit Linda.
A cet instant des frissons parcoururent mon corps et un étrange désir se fit sentir en moi, comme si l’éventualité de me faire sauter par le père d’une copine me mettait dans tous mes états.
La semaine fut longue, Je n’ai pas vu Linda qui était en stage dans le cadre de ses études, si bien que seule je me trainais en laissant passées les journées habitées des fantasmes les plus fous et les nuits hantées par des rêves érotiques qui me réveillaient en sueur et la chatte dégoulinante.

Dans l’après-midi, du samedi suivant, je me suis rendue à la fête de l’école et je dois vous avouer que j’étais très excitée de rencontrer le père de mon amie d’école, certes pour voir l’effet que cela me ferait et de comment il m’aborderait et surtout ce qui se passerait…
Ohhh, que j’étais excitée, plein de fantasmes parcouraient mon esprit me donnant parfois des frissons. En fait je ne pensais qu’à cela en me préparant, je me suis épilé avec l’épilateur de tante Jessica pour enlever le peu de poils courts que j'avais a la chatte et le cul, par expérience je savais que les hommes adorent les pubis complétement dépourvu de poil.
J’ai eu envie de m’habiller en petite fille modèle, alors je choisi une très chouette petite robe courte d’été en tissu polyester rouge bohême, elle s’arrête à mi-cuisses, avec un nœud au niveau du large décolleté plongeant et des mancherons courts et aussi un dos nu en forme de trapèze. Pour compléter la tenue, je passe de jolies sandales à lanières assorties à la robe, et voilà je suis prête…
Ah, j’oubliais, mais peut-être l’avez-vous compris, j’ai daigné de ne pas mettre de soutif pour laisser ma poitrine libre et j’ai laissé mes culottes dans le tiroir dans ma commode.
En me regardant dans la glace, je me suis trouvée très désirable et j’ai senti ma chatte se lubrifier, ma petite chatte totalement chauve mouillait par la seule excitation qui s’emparait de mon corps.

En me rendant à la fête, alors que je conduisais je me suis demandé si je n’avais pas fait une erreur en ne mettant pas de culotte, car je sentais ma petite chatte trempée et j’avais peur de mouiller ma petite robe, mais c’était ainsi, il fallait que j’assume…
Quand je suis arrivée à la fête, après mettre garée j’ai aussitôt vérifié que je n’avais pas mouiller ma robe, avec soulagement j’ai constaté que ce n’était pas le cas, mais je me suis aperçue qu’en me baissant je laissais la vue sur mon postérieur nu, ma robe étant vraiment courte.
La fête battait son plein quand j’ai rejoint mes copines et Linda, qui d’un mouvement de tête m’indiqua le père de Manon, faisant mine de ne pas l’avoir vu je me suis mêlée dans la foule et profiter un peu de la fête…

A suivre…