Leslie Nr65

Leslie NR65– Nouveaux récits
Rencontres insolites – Une jeune fille très insolite, suite et fin

A un certain moment, je senti une main sur mon épaule et une voix qui disait :
- Bonjour Jennifer.
En me retournant, j’ai vu que c’était lui, le père de Manon, mon cœur se mit à battre très fort et ma respiration devint courte, et l’excitation que j’avais calmé était soudainement revenue en moi.

En le regardant avec attention, je vis qu’il avait tous les attributs d’un homme pouvant plaire aux jeunes filles et j’ai compris pourquoi Linda avait craqué pour lui.
Il devait aussi attirer et séduire un bon nombre de femmes en recherche de sensations…
Au moment où son regard se posa sur moi, avec une certaine insistance, je vis, comme me l’avait confirmé Linda le matin, que cet homme avait visionné ma cassette et je sentis l’intérêt et le désir de cet homme pour moi, son regard était rempli de désirs et de lubricité.

Alors il s’est approché de moi et il a commencé à me parler simplement, de mes études et de mes passions et de mes activités extra-scolaires, je lui répondais directement et simplement, puis à un moment donné il m’a demandé ;
- Et le cinéma, cela ne vous attire pas ?
A cet instant je savais de quoi il voulait parler, avec son regard inquisiteur et son sourire au bord des lèvres, alors je lui ai répondu :
- Ce n’étais qu’un court essai, je pense pouvoir faire mieux !
La réponse était claire et provoquante, allait-il se sauver en courant ou m’embarquer dans un coin retiré pour me sauter.
Il se pencha vers moi, comme pour me faire une confidence et j’ai senti son souffle chaud le long de mon oreille et avant d’y déposer délicatement ses lèvres pour l’embrasser, il me murmura :
- Partons d’ici, allons-nous promener et voir si un endroit ne serait pas propice à quelques scènes d’un film ?
Comme pour le provoquer et lui montrer que j’étais en adéquation avec ma vidéo, je lui ai répondu :
- Des scènes romantiques, j’espère ?
- Romantiques, certes, mais avec, pourquoi pas, une pointe d’érotisme, ajouta-t-il.


- C’est clair, érotisme et voir plus si affinités.
Et nous voilà partis.
En partant de la fête nous avons croisé Linda, ils se sont dit bonjour et embrasser sur les joues comme si de rien n’était, puis elle me dit à son tour bonjour en me glissant à l’oreille :
- Bonne bourre ma belle, mais fais gaffe Romain a un sexe énorme…

Nous sommes partis dans sa voiture et il m’a conduit dans un endroit isolé dans la campagne, un genre de petit belvédère ombragé, avec des bancs pour se reposer et profiter du paysage, un endroit romantique pour faire la coure à une jeune fille.
Pendant qu’il garait sa voiture sous les ombrages en la cachant des regards, je suis allé m’asseoir sur un banc à l’ombre et lorsqu’il s’est approché de moi, j’ai visiblement vu son sexe bandé au travers de son pantalon, et compte tenu de la taille de la bosse, il devait être monté comme un cheval, Linda m’avait prévenu.
Il avait une couverture avec lui qu’il a soigneusement étalé sur l’herbe derrière le banc et puis, une fois devant moi, il s’est mis à genoux et s’est placé entre mes cuisses et de ses deux mains il a commencé à forcer doucement pour obliger mes jambes à s'ouvrir et sans m’en rendre compte, alors que mes cuisses s’ouvraient lentement, je me mis à pousser un grand soupir en glissant vers l’avant.
L'écartement de mes cuisses avait remonté le bord de ma robe jusqu’à l’aine qui laissait maintenant découvert mon pubis aux yeux de Romain qui dit :
- Eh bien, ce n’est pas courant de voir une jeune fille sans culotte.
Il fixait ma vulve glabre et a commencer par me caresser les cuisses, en premier le dessus puis l’intérieur ensuite, s’arrêtant à la limite de ma chatte, je sentais sa main venir frôler mes lèvres intimes et je savais qu’il n’allait pas tarder à s’apercevoir que je mouillais comme une dingue.
Me voyant complètement abandonnée a ses caresses, il me conduisit sans un mot sur la couverture où il m’a allongé, puis comme dans un rêve j’ai entendu le zip de son pantalon et Romain vint se placer entre mes jambes.

Puis prenant mes chevilles, il leva mes deux jambes et les posa sur ses épaules si bien que je pense que sa queue n’était plus qu'à quelques millimètres de mes fesses.
Je sentis un pouce caresser mes lèvres intimes et ensuite mon anneau, lorsque son pouce a frôlé mes lèvres, j’ai frissonné et je n’ai pu m’empêcher d’émettre un petit cri aigu.

J’ai laissé mes cuisses s’ouvrir pour lui offrir ma chatte luisante qu’il a caressé de ses deux pouces, mes lèvres dans un premier temps, puis ensuite mon clitoris qui grossit et devint dur rapidement et ainsi il m’emmena dans une jouissance qui me fit hurler de plaisir pendant qu’un flot de jouissance se rependait sur ses mains
Et d’une voix tremblante de désir, je lui ai dit :
- Prends-moi !
Alors il me releva pour m’enlever ma robe et je me retrouvais nue devant cet homme qui allait me prendre, pendant qu’il me mettait nue je pu constater le membre énorme qu’il possédait, raide et circoncis il émanait de ce membre une puissance à faire frémir les moins téméraire, mais je me suis vite retrouver allonger les cuisses largement ouvertes mes jambes sur les épaules de Romain et ce sexe monstrueux au bord de mon intimité.
Je me sentais plus que jamais femme et je n’avais plus qu’une envie, c’est qu’il me prenne sans un mot.
Ses mains se posèrent sur ma poitrine pour la caresser et faire durcir mes tétons tandis que je me laissais aller dans une posture de total abandon.
Sa bouche ne tarda pas à se poser sur la mienne et sa langue s’introduisit dans ma bouche et je sentis le gland de sa verge se blottir au creux de ma chatte bien ouverte.
Lorsqu’il me pénétra brusquement je poussais un cri en sentant mon sexe comblé et possédé par son énorme membre. Mais ce n’était rien face à ce qui m’attendait.
Après m’avoir longuement limé, il se retira brusquement de moi et présenta sa verge à l’entrée de mon anus et m’empala d’un grand coup de reins.
Et il m’a enculé alors que j’hurlais de douleur, je résistais pour ne pas m’évanouir mais j’ai dû à un moment perdre connaissance…

Lorsque j’ai repris connaissance encore nue, abandonnée et indécente sur la couverture, le cul ouvert et laissant échapper la jouissance, je compris qu’il m’avait enculé jusqu’au bout et avait joui en moi.
Il s’était déjà rajusté et après que je me sois rhabillée, il a récupéré la couverture et l’a jeté dans le coffre pendant que je m’installais dans sa voiture. Puis il m’a ramené à la fête ou j’ai récupéré ma voiture.
Avant de partir, il me fit le beau sourire de l’homme qui venait de séduire une jeune fille, la copine de classe de sa fille,
J’allais partir quand Linda est venue en me demandant :
- Alors, c’était bien ?
- J’ai mal au cul, lui dis-je.
- Tu t’es laissée sodomisée ?
- Disons qu’il m’a !
- Moi j’ai refusé j’ai eu peur de son gros membre…
En rentrant à la maison je me rendis compte que je n’avais pas pris tant de plaisir que cela dans cette relation à la limite de l’ueux, mais j’assumais mes actes et je me dis que j’étais prête à recommencer et pourquoi pas être la maîtresse des pères de mes autres copines, si toutefois l’occasion se présentait…

Dans les semaines qui ont suivi, Romain avait certainement passé l’information à d’autres pères, comme quoi j’étais une fille facile et surtout un bon coup…
Si bien que je me suis fait baiser par quatre autres pères, et certains m’ont sodomisé, deux d’entre eux n’était pas s, nous avons fait cela plusieurs fois, jusqu’au moment des grandes vacances où il a déménagé avec sa famille pour cause de mutation.
Romain lui, a essayé de me recontacter mais je n’ai jamais donner suite, car le souvenir de son gros sexe me sodomisant me réveillait de mauvais souvenir, mais il me hantait aussi parfois et me donnais l’envie de recommencer pour voir si la douceur pourrait me faire accepter un tel membre, alors j’ai craqué, je lui ai téléphoné pour lui donner rendez-vous.

On s’est retrouvé le vendredi soir à la maison et je l’ai emmené dans la chambre où il avait fait l’amour à Linda, sa famille était partie en week-end, Jessica chez une amie, nous avions la maison à nous deux pour le week-end
Arrivés dans la chambre, j’ai enlevé mes chaussures et il a commencé à me faire la cour, comme si c’était la première fois, il semblait si heureux de me voir.

Rapidement il m’a serré contre lui et m’a embrassé dans le cou, en ne cessant de me dire qu’il me trouvait belle, alors nous nous sommes embrassés à pleine bouche.
Sa main à soulever ma jupe pour trouver ma nudité qui n’attendait qu’elle, en se caressant on s’est retrouvés nus et il m’a allongé sur le lit et sans un mot j’ai ouvert mes cuisses pour lui. Il s’est allongé sur moi, son sexe contre ma vulve et il s’est introduit profondément en moi et m’a fait l’amour longtemps. J’ai perdu la notion du temps, ne sentant que son sexe aller et venir en moi, jusqu’au moment où il a joui, son sexe en moi.
J’ai dû m’endormir et ce qui m’a réveillé c’est de sentir le gland de son sexe contre mon anus, il voulait me sodomiser et j’ai essayé de l’arrêter, mais il continuait de pousser son pieu en moi, et peu à peu, il fut entièrement en moi. Alors, je me suis laissé aller et il a commencé à me sodomiser doucement, profondément avant d’éjaculer dans mon anus.
Nous avons fait l’amour tout le week-end, j’étais tout le temps tellement excité que je mouillais comme une dingue si bien qu’il entrait en moi sans aucune difficulté quand il le voulait et j’avoue que cela se produisait le plus souvent possible. J’avais des orgasmes à répétition.
Quand l’envie le prenait il n’hésitait pas à me sodomiser, me prenant soudainement par les hanches, il entrait dans mon anus resté ouvert de la précédente sodomie et chaque fois il éjaculait en moi, son sexe enfoncé très profondément dans mon sphincter.

Tout le week-end, son sexe à visité mes orifices, je ne sais combien de fois il m’a fait l’amour en me baisant parfois avec tendresse et d’autres dois sauvagement, ni même combien de fois il m’a enculé, ce que je sais et ce dont je me rappelle, c’est quand il est parti j’étais repue de sexe.

A suivre…

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