Les 1001 Perversions De Nathalie (26) - Le Gode Et La Cravache

Lui doit avoir la soixantaine, grand, mince, le front légèrement dégarni, le regard dur. Pas le genre à qui l’on donne de grandes claques dans le dos en plaisantant. Il tient une mallette. Elle, grosse, a des cheveux frisés, très bruns, les yeux gris, le teint pâle. Nathalie lui donne cinquante-cinq ans.
Elle adresse à Nathalie un sourire étrange.
Marc et Léa font les présentations. Roland et Sophie la détaillent. Elle a dû mettre un string en cuir noir fendu à l’endroit du sexe, un soutien-gorge qui ne cache rien de ses seins, qu’il maintient simplement par deux lanières de cuir noir, des bas résille blancs. Par-dessus, elle porte un chemisier transparent, une jupe de cuir noir incroyablement courte et moulante. Ses chaussures la grandissent de quinze centimètres. Elle est outrageusement maquillée.
Elle prend leurs manteaux, va les suspendre dans le placard pendant que Marc les entraîne au salon.
- Deux vodkas, deux whiskies, beaucoup de glace.
Ils prennent l’apéritif en discutant comme de vieux amis. Nathalie fait plusieurs allers-retours entre la cuisine et le salon, leur apportant de la glace quand ils le demandent.
La première règle veut qu‘elle ne parle pas sans qu‘on lui ait posé une question. Pour l’instant, personne ne lui prête la moindre attention, ce qui ne fait qu’accroître son impatience. Elle préférerait que tout soit déjà commencé, être nue, peu importe, pourvu que cesse l’attente interminable.
Roland et Sophie poussent des petits cris admiratifs lorsque elle dépose le gigantesque plateau de fruits de mer sur la table. Elle fait goûter le vin à Roland qui acquiesce. Son regard la transperce comme un couteau, elle s‘imagine prenant sa queue dans la bouche.
Elle fait de temps à autre le tour de la table pour leur resservir du vin ou débarrasser leurs assiettes des coquillages.
- Enlève ta jupe et ton chemisier !
Ils la regardent s’exécuter, puis la femme lui dit d’approcher.

Elle prend une huître avec sa fourchette, la passe sur sa chatte avant de la porter à sa bouche. Elle a un murmure satisfait. Les autres ne tardent pas à l’imiter. Ils la font tourner autour de la table, usant de son sexe comme d’une saucière.
Et elle se sent mouiller comme une fontaine.
Personne ne la regarde ni ne lui parle. Roland lui passe une tranche de saumon fumé sur les fesses, dans la raie, la lubrifiant à l’aide du gras du poisson. Ses cuisses ruissellent du jus du poisson mêlé au sien.
Elle va chercher le plat principal à la cuisine, elle se frotte comme une chienne en chaleur contre l’évier en égouttant les légumes.
- Fais attention, idiote !
Nathalie est tellement fébrile qu‘elle renverse le verre de Sophie en servant les plats.
- Dépêche-toi de nettoyer ! Avec la langue !
Elle lape le vin répandu sur la nappe. Sophie lui enfonce un doigt dans le cul.
Léa lui administre un coup de cravache :
- Sous la table, salope ! Qu’on ne te voie plus !
Elle rampe sous la nappe, aidée par quelques cinglées de cravache. Sophie, ouvre grand ses cuisses. Sa culotte est humide, des touffes de poils très bruns s‘en échappent.
- Qu’est-ce que tu attends ?
Elle colle sa bouche contre l‘entre-jambe, aspire la culotte qui sent fort. Nathalie lèche avec application, tirant sur sa langue à la rendre douloureuse. Roland ouvre sa braguette, sa queue apparaît, démesurément épaisse, Nathalie est loin d’en faire le tour avec les doigts.
Il lui fourre sa bite dans la bouche, un liquide chaud lui coule dans la gorge. Nathalie boit sa pisse jusqu’au bout, mettant de longues minutes à reprendre son souffle une fois qu’il a terminé.
Un violent coup de cravache la ramène à la réalité.
- Debout, traînée !
Tout en l’éperonnant de la voix, Léa ne cesse pas de fouetter Nathalie, qui semble s’exciter davantage à s’entendre insulter et dont la croupe, rendue incandescente, est à présent écarlate.
- C’est vrai ! Je suis une traînée… Une putain… Une chienne… Une salope !
Elle crie, hors d‘elle :
- Oh, oui, Léa ! Cingle bien mon gros cul tout nu ! C’est bon ! Léa ! Oh, Marc, Roland, prenez-moi ! S‘il vous-plaît ! Prenez mon cul !
Sur un signe de Roland, Léa cesse de fouetter Nathalie.
Il ouvre sa mallette, en sort un phallus double de caoutchouc dur, couleur chair, pourvu d’un harnais de maintien. Chaque artifice, dont l’un a des proportions vraiment impressionnantes, est assujetti de part et d’autre d’une coquille rigide qui se plaque contre le pubis de celle qui s’en ceint.
Baissant sa culotte, libérant ses fesses, Sophie s‘harnache, puis introduit doucement le plus petit pénis dans son vagin, puis, plaquant intimement le support triangulaire contre son bas-ventre tapissé, elle maintint l’instrument en place en serrant étroitement les courroies de fixation autour de ses hanches, ainsi qu’au sommet de chacune de ses cuisses.
Harnachée, virilisée par la prothèse admirablement imitée et fortement cambrée, qu’elle dresse agressivement au bas de son ventre, Sophie vient se mettre en position derrière Nathalie qui, docilement, écarte largement les jambes et creuse profondément les reins pour faire saillir davantage son cul enflammé par la flagellation.
Guidant le gode d’une main sûre, négligeant les lèvres lippues de la vulve bâillante, elle le pointe plus haut, entre les fesses écarlates et, d’un puissant élan des reins et des hanches, le cheville d’un coup dans le fondement offert.
Nathalie hurle, tétanisée, le regard fou.
- Va plus doucement ! râle-t-elle, sans cesser de se prêter à l’introduction de la prothèse virile dans son anus, pratiquée sans le secours d’aucun lubrifiant.
- Et les bites des Arabes et des Blacks, elles ne sont pas grosses, elles ?
Sophie pousse de plus belle, non sans se donner, du même coup, un manifeste plaisir.
Nathalie geint :
- Oh oui, elles sont énormes…
Elle commence à se trémousser lentement d’avant en arrière, synchronisant ses mouvements à ceux de sa complice qui, bientôt, en râlant elle aussi, réussit à faire disparaître complètement tout le gode dans l’anus fortement dilaté.
- Tu me sens bien ? Dis, salope, tu me sens bien dans ton cul ?
Tout en agitant les reins par saccades, elle lui agrippe à pleins doigts les seins, les malaxe, les triture.

Nathalie se remet à crier, à crier aussi fort que sous les cinglées du fouet, en secouant violemment la tête d’un côté et de l’autre, en jetant sa croupe au-devant du ventre de Sophie.
- Oui ! Enfile ta bite à fond, défonce-moi, Sophie ! Prends-moi de toutes tes forces ! Les seins ! Fais-moi mal ! Fais-moi jouir ! Sophie !
Cette dernière, le vagin occupé par le second gode, ressent tous les élans de son amante jusqu’au plus profond de sa chair, ne tarde pas à donner également de la voix. C‘est elle qui jouit la première, en hurlant, échevelée et ruisselante de sueur.
Mais elle n’en ralentit pas pour autant la cadence des ruées forcenées de ses reins, enfonçant plus vite et plus sauvagement encore le leurre dans le cul de Nathalie qui, une minute ou deux plus tard, se cabre, les yeux clos sur de nouvelles larmes, le nez pincé, jette une longue plainte d’irrépressible volupté.
Derrière Nathalie, les yeux emplis de démence et la bouche grande ouverte sur ses cris hystériques, Sophie recommence à jouir en s’acharnant à enculer de plus en plus brutalement Nathalie qui, elle aussi, ne tarde pas à sombrer dans le délire d’un nouvel orgasme.
L’étreinte des deux bacchantes échevelées se prolonge, les fait s’abîmer d’un spasme dans l’autre, presque sans interruption. Parfois, lâchant les seins rougis de sa partenaire captive, Sophie plonge les doigts dans le vagin de celle-ci, lui claque les hanches et les fesses à toute volée, puis s’empare à nouveau des mamelons.
Soudées l’une à l’autre, elles gémissent, râlent, grondent, hurlent comme des bêtes quand une nouvelle explosion de jouissance les cabre.
Puis elles recommencent, comme si cela ne devait jamais avoir de fin.
Les deux femmes se calment enfin, épuisées, assouvies, repues de volupté. Sophie poursuit un moment encore ses mouvements coïtaux, mais avec beaucoup plus de douceur, en ralentissant graduellement son rythme pour cesser bientôt tout à fait et se recule afin d’extraire l’imposant phallus du fondement de Nathalie.

Léa saisit Nathalie aux cheveux et la traîne vers le canapé sur lequel la grosse femme est maintenant avachie, cuisses ouvertes, obscène.
- Lèche-la, bois-la !
Le corps, en sueur, exhale une forte odeur. La densité de son système pileux est phénoménale. Drue, sa fourrure s’étend du pubis au nombril en dessinant comme un vaste losange tapissant les plis de l’aine et, non moins abondamment, le sommet des cuisses et le sillon fessier qu’elle emplit à déborder.
Elle se met en position entre les jambes de Sophie, respire les effluves lourdes de son sexe. Elle écarte les mèches épaisses de la toison, et effleure de sa bouche la peau moite. Aussitôt, les cuisses opulentes s’ouvrent à leur écartement le plus grand.
Nathalie fait bâiller les parois humides et élastiques, pose ses lèvres sur la vulve béante, entreprend de fouiller le sexe brûlant, Sophie soulève ses reins, y imprime une houle de plus en plus ample et gémit en malaxant elle-même ses gros seins pesants.
Bientôt, son ventre roule à une cadence folle, se jette en avant pour que la langue s’y enfouisse plus profondément.
- Enfonce tes doigts entre mes fesses ! grogne-t-elle d’une voix rauque.
Ses cuisses s’ouvrent et se referment de façon spasmodique, enserrant le visage de Nathalie, tandis que d’un, puis de deux doigts, celle-ci force lentement la porte de son plus étroit orifice, provoquant chez Sophie un surcroît de plaisir qui la fait s’arquer sur le canapé.
C‘est alors que Nathalie sent la verge épaisse de Roland se glisser entre ses fesses. La poussée du gland dans son fondement, la fait d‘abord gémir puis crier. La brutalité de l’assaut du mâle lui fait mordre le clitoris de Sophie, qui se met à rugir comme une lionne en chaleur et libère un flot de cyprine, dont l’âcreté apprend à Nathalie qu’il est plus que généreusement additionné de pisse.
Sophie, qui recouvre ses esprits, intime alors à Léa :
- Léa, viens enculer Roland ! Il adore ça !
Léa se ceint du double gode et n‘a aucune peine a pénétrer l‘anus de Roland… Il semble avoir l‘habitude…
Sophie empoigne à deux mains les cheveux de Nathalie et l’oblige à continuer à la lécher et la sucer.
Lorsque Marc, à son tour, se mêle à ce “trio infernal“ et s‘enfonce dans le cul de Léa, c‘est l‘apothéose...
Mêlés aux hurlements de jouissance, Nathalie entend le rauque grondement du mâle qui la saillit à grands élans puissants et réguliers, dont le poids pèse davantage sur son dos, dont les mains pétrissent ses hanches avec violence et dont la verge crache dans son fondement son jus brûlant.
Elle sent à peine le retrait de son pieu. Elle s‘écroule sur le sol, épuisée, anéantie.

Plus tard, une fois qu’ils sont partis, pour la récompenser, Marc la fouette. Longuement.

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