Vacances Et Découvertes (7)

La propriété… Et la Nuit… !!!

Ahmed nous attendait sur le seuil de leur petite maison, vêtu comme son frère, avec, on va dire, le strict minimum, tout en exhibant sa virilité avec fierté. Le thé était prêt, fumant sur la table basse accompagné de simples petits gâteaux qu’ils avaient dû confectionner eux-mêmes. C’était un délice, et même si j’avais remarqué leur désir plus que voyant, je restais de marbre, j’avais décidé de résister à leur désir immédiat pour faire le tour de leur petit domaine, pas si petit que ça finalement.

C’est avec leurs bosses indécentes qu’ils m’ont fait visiter leur propriété. Oliviers, orangers, arbres fruitiers, quelques parcelles de légumes, avec des superbes tomates, poivrons, et autres, à foison, le tout, entretenu parfaitement. Ils vendaient la quasi-totalité de leur récolte au Club, se réservant une journée au marché local et les olives, à la coopérative régionale.

Je voyais Ahmed trépigner et il n’a pas pu s’empêcher de me courber contre un arbre et d’enfoncer sa queue dans ma chatte, si accessible, puisque je ne portais rien sous mon short qu’il a vite fait de baisser. Mehdi n’est pas demeuré en reste en me donnant sa bite à sucer. Quel plaisir de se faire défoncer dans ses senteurs maraîchères entouré par tous ces poils et cette testostérone.

Une fois s’être vidé chacun a deux reprises, nous avons pu reprendre notre visite, même si je marchais un peu en canard, qu’en tant que petit-fils de paysan, je trouvais fort belle. Ahmed a fait sa cueillette pour nous préparer le déjeuner, pendant que je continuais le tour avec Mehdi.

« Tu sais ce que tu devrais faire Marc, après la fin de ton séjour au club ? »
« Aucune idée… Dis-moi ? »
« Rester avec nous à la ferme jusqu’à la fin de tes vacances, tu aurais deux maris pour toi tout seul. »
« Tu es complètement fou… !!! »

Si cette idée me semblait complètement farfelue et loufoque, au fur et à mesure de notre promenade, j’ai commencé à y réfléchir.

Après tout, nous étions mi-juillet, je devais rentrer une dizaine de jours plus tard, sans rien de bien prévu de particulier avant la rentrée scolaire, à part de retrouver une vie « sage et rangée », ce qui ne m’enchantait pas vraiment. J’étais français, j’avais donc le droit de rester en Espagne sans formalité particulière, pourvu que mon séjour n’excède pas 3 mois.

Nous sommes rentrés à la maison où Ahmed nous avait gâté pendant notre absence, Toute la pièce embaumait d’un fumet, d’un arome, que je ne reconnaissais pas. Tajine d’agneau aux épices et aux légumes, accompagné de sa semoule avec son confit d’oignons rouges, une fine salade d’oranges à la cannelle pour dessert puis l’incontournable thé à la menthe. Bas-ventre encore bien plein de leur semence, merci Dietrich pour le plug, cette nourriture si savoureuse allait, quant à elle, remplir mon estomac. Un vrai délice, dont la plupart des mets restaient encore inconnus pour moi. Je comprenais maintenant d’où provenait l’odeur si suave qu’exsudait leur corps et le goût si particulier de leur nectar.
Je me sentais fier, heureux de toute leur attention envers moi, comprenant, par leur geste, que je n’étais pas qu’un simple vide-couilles pour eux, même si notre plaisir était intense et qu’ils me défonçaient comme de vrais mâles hyper dominants. C’était leur nature que j’adorais, mais une vraie complicité et une complémentarité s’instauraient entre nous.
La question de la prolongation de mon séjour est revenue sur la table, ne sachant pas trop comment la réaliser et certes, ce n’était pas l’envie qui m’en manquait. Après avoir abordé le sujet sous différentes manières, quelques idées me sont venues en tête. Par chance, pour mes parents, j’étais un ado bien sage, sérieux et studieux. Il est vrai que j’avais beaucoup appris à Ibiza, mais peut-être pas dans les domaines auxquels ils pouvaient songer. Et d’un coup… la lumière… !!!
Pourquoi ne pas leur dire que je m’étais lié d’amitié avec un couple de fermiers, espagnols bien sûr, qui avait besoin d’un coup de main pour la pleine saison en échange du gîte et du couvert.
C’était fréquent dans ma région au moment des vendanges, de plus, ma mère me trouvant trop « intello », elle-même fille de paysans, serait ravie de me voir enfin mettre la main à la patte. Medhi ayant conservé le nom espagnol de sa mère, pouvait leur envoyer un courrier de confirmation, même authentifié par la Mairie au besoin, dans un français parfait, bien évidemment.
Pas con l’idée… A réfléchir et à approfondir.

Mais ce dont j’avais envie d’approfondir, ce n’était pas l’idée, mais plutôt l’orifice entre mes cuisses, surtout quand j’ai su que Francesco, le maître juteur, devait passer dans l’après-midi leur apporter des semences… Rien qu’en entendant le mot, j’ai hurlé de rire, Medhi savait déjà que son canal à foutre avait traversé et rempli mon corps à plusieurs reprises ainsi que l’abondance de sa semence, justement. J’étais sûr qu’il essayait de me faire comprendre que si je restais, je serais comblé, et pas ment que par eux.
Dès que Francesco est arrivé, nous sommes allés au jardin tous ensemble pour repérer où tout devait être planté, avec le choix des graines et des boutures. Que je reste ou non, j’avais dans l’idée de demander à mes parents de m’envoyer des graines de courgettes de Nice, que l’on ne trouvait que dans notre région, rondes et longues, hyper fermes, fines et pratiquement sans pépins, hyper gouteuses, avec de magnifiques fleurs comestibles, farcies ou en beignet, ce que je savais cuisiner. Mon grand-père m’avait appris comment les mettre en pousse, et cela serait une exclusivité pour eux.
Après deux heures environ de tour, nous avons rejoint la maison, pour le thé traditionnel, et je me suis retrouvé entre ces 3 monstres de virilité dont la soif ne se résumait pas au simple thé. Déjà, Mehdi avait pris ma main pour la mettre dans son short, dont je me régalais à branler le membre, quand Francesco a sorti son pieu pour l’enfourner dans ma bouche. Ahmed, après avoir débarrassé la table, m’a allongé dessus pour perforer mon orifice, qui n’attendait que ça.


Ils me sont passés dessus pendant presque deux heures, Francesco jutant toujours des quantités phénoménales de sperme. Il m’était impossible de compter le nombre d’accouplements, et grâce à tout leur jus, Medhi et Ahmed ont pu enfin me prendre en double, élargissant mon vagin à l’extrême, mais bien lubrifié par la jute abondante de Francesco.
J’étais fourbu, épuisé, chatte béante lorsque Medhi m’a ramené au Club, croisant Dietrich, en lui faisant juste un signe pour lui signaler qu’on se verrait un peu plus tard. Je puais le mâle et le foutre, il en a donc très bien compris la raison. Douche profonde, salvatrice, pommade sur ma chatte explosée, et une heure de repos environ, je l’ai rejoint au bar, frais et dispo, le temps de prendre un verre ensemble avant de rejoindre le restaurant.
« Explosé, non ? »
« C’est rien de le dire… !!! »

Pendant le repas, je lui ai raconté mes nombreuses copulations, la venue de Francesco aussi, la double pénétration, et que ma chatte devenait un véritable gouffre, ce que j’adorais. Puis, j’ai abordé l’idée de Medhi de terminer mes vacances avec eux, à la fin de mon séjour au Club, et ce, jusqu’à la rentrée scolaire, début septembre.
Cet après-midi, lui s’était fait défoncer par 2 blacks qui venaient de temps en temps en bateau de l’ile d’à coté pour baiser du minet. Et comme il n’était vraiment pas farouche, il s’était fait prendre par tous les trous, à l’abri dans la crique. Deux très gros morceaux, bien juteux et il s’est régalé, surtout que les mecs étaient super en manque. Quel veinard…. Les noirs étaient vraiment rares aux Baléares à cette époque et j’aurais bien gouté de la grosse tige d’ébène moi aussi.

J’ai réalisé, soudainement, que j’étais ici depuis un peu plus d’une semaine, et qu’après 2 ou 3 jours d’hésitation, je m’étais fait prendre un nombre incalculable de fois, par des sexes dignes de « Marteau-Piqueur » et que ma vulve s’ouvrait comme un fleur, dès l’approche d’un gland.

Soirée tranquille avec Dietrich à mater au bord de la piscine, Mojitos bien frais à nos côtés et testostérone autour de nous. Nous avons reparlé de la poursuite de mon séjour sur l’île.

« Dis-moi Marc, avec tout ce que tu te prends, tu te vois retourner à Nice et revivre ta vie d’ sage ? »
« Non, pas vraiment. J’aurais trop de mal à supporter le manque de toutes ces grosses bites qui me défoncent allègrement ici. »
« Tes parents sont assez cools, non ? Je suis sûr que si tu leur présentes bien la chose, comme un stage, boulot et langue, ils vont accepter surtout quand tu vas leur dire, en plus que tu t’es fait un ami et correspondant allemand. »
« Un stage de perfection homo ? »
« T’es con. Mais vu la manière dont tu m’as expliqué la chose, je pense que ça doit être jouable. Surtout que tu n’as pas à leur demander d’argent supplémentaire et que tu peux changer le billet d’avion sans problème. » Saine époque où les contraintes avec les compagnies aériennes n’étaient pas les mêmes qu’actuellement et il était vrai aussi que j’avais très peu dépensé mon argent de poche, bénéfice du « All Inclusive ».
Puis, il s’est fait embarquer par deux mecs, et moi, j’ai rejoint tranquillement mon bungalow pour récupérer un peu.
« Pense quand même à ma proposition de partouze, je suis sûr que tu vas te régaler. »

J’ai dormi comme un plomb, au point de rater le p’tit déj, que Luis m’a apporté vers 10 heures. Evidemment, j’étais à poil, sur le ventre, fesses et chatte bien apparentes.

« Cela vous suffira Marc ? Pas besoin d’autre chose ? » En avançant sa poutre en pleine forme vers moi. Reflexe acquis depuis mon arrivée, comme une vraie catin, l’appel du mâle et je n’ai pu m’empêcher de baisser sa braguette et de déguster son merveilleux membre, empli de sa bonne odeur. Ma fente était offerte, qu’il a investie sans trop attendre, déversant son sirop au plus profond.

Trop de plaisir, et je sentais, en moi-même que j’allais suivre Dietrich et participer à cette fameuse partouze… Une première pour moi.









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