Caroline 11

Partie 11 :


Caroline venait d’arriver à son bureau, elle accrocha sa veste et bipa son assistante.

- Lisa ! Pouvez-vous me ramener un café, merci.
- Oui madame, tout de suite.

Lisa déposa le café sur le bureau.

- Madame, monsieur Vermont a téléphoné, il souhaite que vous le rappeliez en urgence.
- D’accord, merci.

Lisa quitta le bureau, refermant la porte derrière elle. Thomas Vermont était le grand patron de la boite. Quand il sifflait, tout le monde se mettait au garde à vous et filait droit. Caroline composa le numéro de sa ligne directe et attendit qu’il décroche. A la cinquième sonnerie, c’est l’assistante de monsieur Vermont qui décrocha, expliquant qu’il était en réunion et qu’il ne pouvait être dérangé. En revanche il avait laissé des consignes pour elle, demandant qu’elle vienne pour le début d’après-midi au siège avec son assistante et qu’elle prévoit de passer la soirée en réunion de travail.

Caroline prévint Lisa du déplacement à effec, de préparer des affaires pour une nuit d’hôtel si besoin. Elle partit chez elle récupérer des affaires et elle laissa un petit mot sur la table de la cuisine pour Valentine sa fille.
Des déplacements de la sorte étaient courant pour elle, ils étaient souvent mieux anticipés mais il arrivait que les plannings changent du jour au lendemain au gré des obligations professionnelles.
Caroline passa prendre son assistante chez elle et les deux femmes prirent le chemin du siège en voiture. Les deux heures de trajet, agrémentée d’une pause déjeuner sur la route passèrent assez vite. Tout au long, Caroline pouvait à loisir faire le point avec Lisa et lui donner les consignes sur les dossiers à venir. Aucune perte de temps n’était possible avec elle, elle cherchait toujours l’efficacité et la justesse.

En arrivant au siège, Caroline se présenta auprès de l’assistante de Thomas Vermont.

- Bonjour, monsieur Vermont ne vous recevra qu’à 18h00, il travaille avec des gros clients étrangers et vous prie de l’excuser.

Vous pouvez vous installer dans un des bureaux de passage si vous souhaitez.
- Merci on va déposer nos affaires à l’hôtel et on viendra travailler dans un des bureaux.

Caroline et Lisa passèrent déposer leurs affaires à l’hôtel, ne prenant que leurs ordinateurs portables pour travailler. De retour au siège, elles se posèrent dans un bureau et se remirent la tête dans leurs dossiers.

Peu après 18h00, on frappa à leur porte et elle s’ouvrit sans attendre une quelconque invitation.

- Madame, monsieur Vermont vous attend dans son bureau. Seule. Merci.
- Bien, j’arrive. Lisa, j’y vais et je te tiens au courant pour la suite.
- Oui madame.

Caroline prit son ordinateur et suivit l’assistante.

- Monsieur Vermont.
- Oui merci, faites entrer Caroline et veillez à ne pas nous déranger.

L’assistante hocha de la tête et sortit du vaste bureau.

- Bonjour monsieur.
- Merci d’être venue, asseyez-vous et mettez-vous à l’aise, je vous en prie.
- Merci monsieur.

Elle posa ses affaires et s’installa de son mieux.

- Excusez-moi pour l’attente mais nous avions besoin de finaliser des dossiers importants avec des partenaires russes. Ce n’était pas prévu de durer aussi longtemps mais des sujets ont été rajoutés dans la discussion.
- Non monsieur, pas de soucis pour moi, je suis à votre disposition. J’ai prévu de dormir sur place pour avoir le temps de bien mener nos réunions comme il le faudra. Mon assistante est aussi présente comme vous l’avez demandé.
- Parfait, merci, mais nous n’aurons pas besoin d’elle pour le moment.
- Oui monsieur, je lui indique par message qu’elle peut aller se reposer à l’hôtel alors.
- Je vous en prie

Caroline envoya un sms à Lisa pour la prévenir et se remit à l’écoute de son grand patron.

- Bon Caroline ! Vous permettez que je vous appelle Caroline ?
- Oui bien sûr monsieur, pas de soucis.

- Voilà, depuis quelques temps j’ai un collaborateur qui pose problème. Son comportement pourrait nuire à l’image de la société et il dépasse toutes les limites normales en entreprise. Je suis très embêté par ce cas. Que feriez-vous à ma place ?
- Je ne sais pas de qui vous voulez parler monsieur mais de mon côté, je ne laisserai pas passer un tel comportement, tout collaborateur est responsable de l’image de la société, on doit se conforter aux règles ou partir. Cela a toujours été mon leitmotiv, je suis intransigeante sur ce point.
- Ce collaborateur a quand même d’excellents résultats et travaille chez nous depuis plusieurs années maintenant, Caroline.
- Raison de plus monsieur, les bons résultats ne dispensent pas d’une conduite irréprochable.
- Je suis entièrement de votre avis.

Monsieur Vermont se leva, ouvrit la porte de son bureau, demanda à une personne qui attendait de l’autre côté d’entrer et de s’installer à la table avec eux.
Caroline reconnut tout de suite Lisa son assistante et elle fut paniquée par la façon dont elle était habillée. Elle comprit qu’elle était le collaborateur dont le comportement tracassait monsieur Vermont.

- Que pensez-vous, Caroline de la tenue de votre assistante ?

Lisa portait le chemisier et la jupe que Caroline portait le jour où elle avait été prise par les 3 personnes dans le parking, elle ne savait que dire et préférait se taire, attendant la suite pour tenter de se défendre.

- Savez-vous que votre assistante ne porte aucun sous vêtement sous son chemisier et sa jupe ?

Le regard de Caroline partait dans tous les sens, cherchant à s’enfuir du piège qui se renfermait sur elle.

- Que pensez-vous d’une collaboratrice qui organise des parties fines ou plutôt des orgies sexuelles dans le parking de l’entreprise et qui repart entièrement nue à la vue de tous ?
- …
- Que pensez-vous d’une collaboratrice qui agresse sexuellement un pauvre homme de ménage, le contraignant à une relation sexuelle non désirée ?
- …
- Que pensez-vous d’une collaboratrice qui exerce du harcèlement moral sur son assistante sans arrêt ?
- Ce… ce n’est pas vrai monsieur.
Je n’ai pas….
- Caroline !
- Non !

Thomas Vermont posa une clé usb sur la table.

- Voulez-vous voir les vidéos prise par les caméras de surveillance du parking et après vous me redirez que tout ceci n’est pas vrai ? Voulez-vous voir le courrier explicite que l’homme de ménage a fait contre vous ?
- Non monsieur.

Caroline était anéantie, dévastée, son monde se dérobait sous ses pieds, elle sentait le chaos proche.

- Ces vidéos et ces rumeurs circulent dans l’entreprise, vous comprenez que votre présence chez nous n’est plus possible.
- Oui monsieur, je suis désolé.
- Je vous l’accorde, c’est bien le moins que vous puissiez être mais cela ne règle pas notre problème.
- J’ai encore des s à charge monsieur, laissez-moi une chance. Dites-moi comment me racheter, je le ferai.
- Caroline, je n’ai pas beaucoup de solution pour vous. Soit vous démissionnez, soit je vous licencie et si je vous licencie, nous serons obligé de mettre en place une procédure qui risque de faire beaucoup de publicité à vos agissements et je ne pense pas que vous en ayez très envie.
- Non monsieur mais j’ai besoin de travailler, j’ai mes filles qui font des études. Donnez-moi une chance. S’il vous plait !

La voix de Caroline était toute fluette, entre coupée par des sanglots.

- Notre secteur d’activité est un petit monde où tout se sait, Caroline. Je ne peux pas vous garder de quelque façon que ce soit. Je pense que vous avez besoin de vous faire oublier quelques temps, après on pourra toujours réfléchir à un retour si cela est possible mais aujourd’hui, vous devez faire profil bas. J’ai peut-être une proposition à vous faire.
- Je vous écoute monsieur, merci pour l’aide que vous voudrez bien m’accorder. J’ai fauté, je le sais et je suis prête à tout faire pour me racheter.
- Que diriez vous d’une carrière à l’international Caroline ?
- Oui monsieur, je serai d’accord pour être mutée dans une autre branche de la société, voire dans un autre pays.

- Non, vous m’avez mal compris, je ne peux pas vous garder dans la société, que ce soit en France ou dans un autre pays.
- D’accord mais alors ?
- Ce que je vous propose, c’est de rejoindre une autre société à l’étranger qui pourrait avoir besoin de vos compétences et qui vous permettrait de vous mettre au vert pendant quelques mois.
- Mais monsieur, cela risque de prendre du temps pour toutes ces démarches et…
- Je vous ai tout arrangé Caroline.

Elle s’arrêta net et se tut, regardant interloquée monsieur Vermont qui lui souriait.

- Nos partenaires russes sont tout à fait disposés à vous accueillir au sein de leur entreprise, bien sûr, vous démissionnez avec effet immédiat de chez nous pour vous orienter vers une carrière plus internationale. Ils maintiennent votre salaire et vous serez hébergée par leurs soins.
- La Russie ?! Il va falloir que je vois avec eux le contour du poste et la définition des missions…
- Caroline, je ne crois pas que vous soyez pleinement consciente de la situation. Soit vous démissionnez de plein gré et vous rejoignez nos partenaires pendant quelques mois, soit je serai obligé de vous mettre à pied et demander à notre service juridique de lancer votre licenciement avec tous les dégât que cela va causer à votre famille. Nos partenaires doivent repartir à bord de leur avion privé dans la nuit, nous avons prévu un repas d’affaire pour boucler nos discussions puis ils repartent.
- Mais monsieur, je n’ai pas d’affaires ni mon passeport et il faut que je ….
- Caroline, ils ont suffisamment d’influence pour que ces détails ne soient pas des obstacles.
- Mais ils ne me connaissent pas, je ne parle pas le russe et comment…
- Ils ont vu une bonne partie de vos compétences au travers de vos vidéos et ils ont juste besoin d’une confirmation. La langue, vous l’apprendrez vite.

Caroline blêmit, elle venait de comprendre le deal.

- Monsieur vous voulez me prosti !
- Non madame, il n’est en aucun cas question d’argent et c’est bien vous qui souhaitez rejoindre leur société.
- Mais monsieur.
- Vous pouvez tout à fait refuser cette proposition, de toute façon, quelle que soit votre décision il faudra l’assumer.
- Monsieur vous savez que ces russes ont des connexions avec le milieu et vous me demandez de …
- Je ne vous demande rien, je vous propose juste une porte de sortie pour vous aider, libre à vous de refuser et d’assumer publiquement votre dépendance ou plutôt votre nymphomanie.

Thomas Vermont ouvrir une pochette cartonnée et sortit deux lettres rédigées. Il les plaçait l’une à côté de l’autre face à Caroline et posa son stylo entre les deux courriers. Elle ne regarda pas les deux courriers, préférant le fixer dans les yeux.

- Voilà, vous avez le choix, vous pouvez signer votre lettre de démission à effet immédiat ou signer votre lettre de mise à pied à titre conservatoire avec convocation d’un entretien en vue d’un licenciement.

La colère envahissait Caroline, elle se sentait trahie par son assistante.

- Lisa vous êtes une salope, vous m’avez piégé !

Lisa ne broncha pas, n’osant presque pas soutenir le regard de sa directrice, Thomas Vermont la reprit directement.

- Caroline, vous ne sembliez pas « piégée » sur les vidéos mais plutôt demandeuse. Maintenant il vous faut choisir.

Elle saisit le stylo, parcourut longuement les deux courriers en silence et barra de deux grands traits la lettre de mise à pied. Elle releva la tête, fixa Lisa puis monsieur Vermont et signa la lettre de démission.

- Parfait Caroline, je pense que vous avez pris la bonne décision. Je vous prie de me remettre votre téléphone, les clés de votre voiture et tous les effets professionnels de suite.
- Monsieur, j’aurais besoin de prévenir mes s.
- Je vous promets de m’en occuper personnellement plus tard, nos amis russes nous attendent, nous n’avons pas trop de temps à perdre pour ces détails.

Caroline tendit son téléphone, ses clés et son badge.

- Merci Caroline, je dois vous avouer que j’ai toujours fortement apprécié votre professionnalisme, c’est un déchirement pour moi de vous voir partir.
- Merci monsieur.
- Je me suis vraiment mouillé pour vous aider et je pense que vous pourriez peut-être m’accorder un petit solde de tout compte si j’ose m’exprimer ainsi. Nos partenaires n’y voient pas d’inconvénient, au contraire, cela pourrait rapprocher nos deux sociétés.

Le regard froid et autoritaire de Thomas Vermont avait changé, une connotation plus lubrique était apparue dans le fond de ses pupilles. Caroline pouvait aussi apercevoir les seins de Lisa pointer sous le chemisier qu’elle lui avait volé.

- Qu’attendez-vous de moi monsieur ?
- Pas grand-chose, j’ai trouvé que vous avez un corps magnifique sur les vidéos, voulez-vous que je monte un peu le chauffage du bureau ?

Caroline ne répondit pas, défiant son interlocuteur du regard, elle déboutonna un à un les 6 boutons de son chemisier et le fit glisser en arrière. Thomas Vermont se délectait de voir sa directrice régionale la poitrine nue devant lui. Doucement, elle se leva, dégrafa sa jupe, la déboutonna et la laissa choir au sol. Elle se tenait debout, nue sous le regard de son assistante et de son patron.

- Vous êtes magnifique Caroline, encore plus désirable qu’en vidéo ! Qu’en pensez-vous Lisa ?
- Oui monsieur, je vous l’accorde, elle est très belle.
- Caroline, j’aimerais beaucoup vous voir donner du plaisir à Lisa, si vous le voulez bien, bien sûr.
- Avec son accord monsieur !
- Cela va sans dire Caroline mais Lisa m’avait déjà informé qu’elle n’était pas contre une progression de sa carrière, elle est toute à vos attentions. Montrez-moi vos nouvelles compétences !

Caroline s’approcha de Lisa et se baissa, les deux visages des femmes se touchaient quasiment.

- Tu es une belle salope et un jour je te ferai payer tout ça ! Mais en attendant…

L’ex directrice ne finit pas sa phrase, ses lèvres se posèrent sur celle de son ancienne assistante et sa langue força le barrage des lèvres pour entamer un baiser enflammé. Thomas Vermont se délectait du spectacle de ces deux femmes qui s’embrassait, impatient de les voir à l’œuvre, une bosse déformait son pantalon. Les femmes partageaient un long baiser langoureux.
Les bouches s’étant séparées, Caroline fit glisser sa main dans le chemisier de Lisa et lui saisit le sein. Elle regarda Thomas Vermont et saisit des deux mains le chemisier de son assistante.

- J’espère que vous allez en faire une pute, c’est tout ce qu’elle mérite.

Et Caroline tira brusquement sur les deux côtes du chemisier, sous la violence, les boutons cédèrent et volèrent à travers la pièce. La poitrine de Lisa était entièrement découverte, Caroline lui ôta le chemisier et s’approcha de la fenêtre. Pas un mot ne troublait la sensualité du moment.
Elle ouvra la fenêtre et jeta le chemisier.

- Il était à moi, j’en fais ce que je veux.

Thomas Vermont s’amusait de la situation, le show de son ex directrice lui plaisait énormément.
Caroline se rapprocha de Lisa et la prit par la main. Elle se laissa mener par son ancienne patronne qui lui remonta sa jupe et la fit s’assoir sur le coin de la table.

- Est-ce que vous voyez bien ici monsieur Vermont ?
- Parfait Caroline, vous êtes très professionnelle comme toujours.

Elle s’accroupit entre les jambes de Lisa et approcha sa bouche. Ses doigts commencèrent à jouer avec le bouton et les lèvres vaginales de son assistante puis elle mit sa langue et enfin elle se lâcha en prenant à plein bouche ce sexe déjà bien trempé.
Les bruits de sussions de cette bouche qui dévorait le sexe de Lisa excitaient terriblement Thomas Vermont. Les yeux à moitié exorbités, il se délectait du spectacle que lui offraient les deux femmes. Les mains de Caroline visitaient tout le corps de Lisa, passant du sexe aux seins, jouant même avec sa bouche. Lisa lâchait des petits cris accompagnés de commentaires graveleux sur les performances de son ancienne responsable, la traitant de salope et de grosse pute qui n’était bonne que pour le sexe.
L’attitude de Lisa galvanisait Caroline qui mordait littéralement dans cette fente bien juteuse.

Thomas Vermont se leva, le pantalon déformé par son érection et apostropha Caroline.

- Caroline, permettez que je me soulage en vous.

Elle ne fit qu’un signe positif de la tête, trop occupée à déguster la chatte de Lisa. Thomas Vermont fit tomber son pantalon et son caleçon et se positionna derrière Caroline. Le sexe en main, il frotta son gland contre les lèvres de son ancienne directrice pour le lubrifier.
Elle ne le laissa pas faire et saisit la verge bien dure.

- Non monsieur, pas dans mon sexe, je ne prends pas de contraception et je suis en période fertile, prenez mes fesses mais pas mon sexe sinon vous allez me mettre enceinte.
- Oh, pardon oui ! Mais est-ce que vous avez du lubrifiant ?
- Non monsieur mais je peux vous sucer et vous pouvez demander à votre pute Lisa de me lécher le cul. De toute façon, cette trainée est faite pour ça, lécher le cul des autres.

Thomas Vermont partit dans un fou rire et s’adressant à l’assistante, il lui ordonna

- Lisa, allez me préparer la rondelle de Caroline avec votre langue, qu’elle soit bien prête pour mon sexe.

Caroline se retourna, embouchant le sexe dur du grand patron et surtout tendant ses fesses vers son ancienne assistante. Pas très heureuse de la situation, Lisa ne broncha pas et se mit à lécher le cul offert. A chaque fois qu’elle sentit la langue de Lisa pousser sur sa rondelle, Caroline poussait dans le sens inverse pour faire rentrer la langue dans son cul. Quel délice pour elle d’humilier ainsi cette catin d’assistante.

- Je crois que son cul est prêt monsieur.

Lisa venait de reprendre l’initiative, Caroline se retourna et se remit à lécher la fente de Lisa. De son côté, le sexe lubrifié à la salive féminine, Thomas Vermont positionnait son gland sur l’orifice de son ex-collaboratrice. La salive fit des miracles, à la première poussée, il pénétra Caroline sans effort et se ficha tout au fond de son cul. Elle ne dit rien, encaissant cette intromission sans une réaction.

- Ça va Caroline, vous voulez que je vous laisse un peu de temps pour vous habi avant de bouger ?

Tous les hommes sont des vaniteux, les tisser sur la taille ou la grosseur de leur queue est une humiliation qu’ils ont énormément de mal à encaisser, Caroline le savait.

- Non monsieur, ça va, vous pouvez me la mettre entièrement si vous voulez.
- Mais je suis au fond déjà !
- Ah bon, je vous sens à peine, monsieur, allez-y, pénétrez-moi.

Entre deux soupirs, Lisa pouffa de rire, Thomas Vermont le prit assez mal. Il saisit Caroline par les hanches et retira son bassin pour revenir d’un coup tout au fond de son cul.

- Allez monsieur, mettez tout, ne restez pas à moitié ! Défoncez moi le cul !
- Mais salope, je te la mets entièrement, tu ne la sens pas, tiens prends ça !

Et Thomas Vermont lui remit un grand coup de basson, claquant ses fesses en entrant à nouveau.

- A peine monsieur, je la sens à peine.

L’homme s’énervait de plus en plus et ses coups de butoir devenaient de plus en plus violent pour essayer de faire taire les moqueries de Caroline.

- Monsieur, elle est toute petite et pas bien large, je n’ai pas l’habitude d’en prendre des si petites. C’est dommage, je ne vais pas prendre de plaisir.

Le grand patron était en colère, de toutes ses forces, il défonçait le cul de son ancienne directrice, espérant que cette vigueur la ferait taire, mais elle en rajoutait toujours plus à chaque fois.

- Monsieur, je suis désolée, j’aime prendre des sexes d’hommes dans son cul et le vôtre il n’est pas comme cela.

Thomas Vermont n’en pouvait plus, dans un accès de colère, il éjacula dans la rondelle de Caroline et lui hurla de se taire.

- Ferme ta gueule salope, putain, ferme ta gueule ! Ah…..

Lisa ne se contint plus et laissa elle aussi la jouissance s’emparer d’elle.
L’enculeur de Caroline se retira et lui présenta son sexe au niveau de son visage.

- Nettoyez ma queue Caroline, avec votre bouche !

Elle le prit en bouche, le défiant du regard en même temps. Tout ce temps où elle avait sa verge dans sa bouche, elle voyait bien que ses remarques avaient fait mouche et qu’il s’était senti humilié. Une petite victoire pour Caroline mais une victoire quand même.
L’homme se réajusta puis ramassa les vêtements de Caroline et les jeta lui aussi par la fenêtre en indiquant qu’elle n’en aurait pas trop besoin après tout. Ouvrant un placard, il en sortit un sac et le lui tendit.

- Tenez, mettez cela c’est votre tenue pour ce soir.

Caroline ouvrit le sac, il contenait une courte robe de soirée noire, des portes jarretelles et des bas.
Sans un mot, elle déplia ses affaires et se vêtit avec.

- Et moi monsieur ? je n’ai plus de haut !

Thomas Vermont fusilla Lisa d’un regard méprisant.

- Vous, on s’en fout de vous ! Mettez une veste par-dessus et c’est tout.
- Oui monsieur.

Répondit Lisa d’une petite voix fluette.

Caroline était très sexy, sa courte robe lui arrivait à mi-cuisse, elle présentait de très grands décolletés dans le dos et au niveau de la poitrine. Les portes jarretelles se devinaient sous la fine étoffe.

- Mesdames, on nous attend.

Le chauffeur personnel du grand patron attendait au parking. Les places furent désignées, Caroline se retrouva à l’avant alors que monsieur Vermont et Lisa s’installèrent à l’arrière.

- Ahmed, à l’hôtel de nos clients russes.
- Oui monsieur.

En cours de route, Caroline regardait les lueurs de la ville, ne prononçant aucun mot, se laissant aller à sa mélancolie.

- Ahmed, comment trouvez-vous Caroline ?
- Pardon monsieur, pouvez-vous préciser votre question.
- Ahmed comment trouvez-vous les seins de Caroline par exemple ?
- Je ne sais pas monsieur, je ne les ai jamais vu.
- Oui pardon, vous avez raison. Caroline pouvez-vous baisser votre robe et montrer votre poitrine à Ahmed. Merci

Elle sentait que l’humiliation qu’elle lui avait fait subir avant n’était toujours pas digérée, il cherchait à se venger d’elle mais elle n’allait pas lui donner ce plaisir. Elle baissa sa robe et exposa ses seins au regard du chauffeur.

- Oh oui monsieur, elle a une très belle poitrine !
- Ahmed, vous pouvez la toucher si vous voulez !
- Merci monsieur mais je conduis, ce n’est pas prudent.

Caroline ne remonta pas sa robe de tout le trajet, elle ne se réajusta qu’à destination. Ahmed le chauffeur profitait des arrêts aux feux rouges pour toucher cette belle poitrine offerte.

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