Olga, Elodie Et Philippe (3) : Le Fist

AVERTISSEMENT
Ce texte, toujours écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de ceux parus le 14 et le 22 octobre sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. D’autres suivront. Merci à nos lecteurs et lectrices pour leurs commentaires et leurs encouragements.

RESUME DES EPISODES PRECEDENTS

Une jeune doctorante de 25 ans, Elodie, est invitée à venir s’entraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut fonctionnaire et spécialiste du sujet de thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre son éjaculation féminine, mais aussi sa connaissance surprenante des choses du sexe.



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Olga fit signe à Philippe d’approcher. Ils tendirent chacun une main à Elodie et la conduisirent vers leur chambre. Elle s’y laissait entraîner, comme une gamine entre ses parents. Cela lui rappela les dimanches matin de son enfance, seul jour de la semaine où elle avait droit avec son frère et sa sœur d’aller sauter sur le lit de ses parents. C’était un peu le rituel dominical avant de partir à la messe puis de s’attabler chez les grands parents.

Lorsqu’elle avait essayé la robe noire tout à l’heure dans la chambre, Elodie, troublée par la présence d’Olga, n’avait pas prêté attention à un détail qui, cette fois, lui sauta aux yeux: le lit était immense, taille “king size”. Il y avait, près du grand lit, un fauteuil sur lequel s’installait Philippe quand il était le témoin des ébats de son épouse.



A l’entrée, Olga lui fit remarquer:

- Tu as vu ce lit? Exactement ce qu’il faut pour s’occuper de toi ma petite! Quand nous serons fatigués, nous pourrons y dormir tous les trois.

Elodie fit sa timide, comprenant que l’intention d’Olga était de la garder chez eux pour l’ensemble du week-end.

- Je n’aime pas déranger!

- Qui te parle de ça? Tu es à nous ce week-end, petite garce! Et nous avons tout le temps pour nous amuser: les s sont chez nos amis Christine et Jean.

Christine était la marraine de la fille ainée de Philippe et Olga. Lors des vacances scolaires, les s allaient passer quelques jours dans leur très grande maison. Les amis leur offraient ainsi le temps de se retrouver seuls et d’organiser ces moments où Olga pouvait donner libre cours à son hypersexualité.

Philippe montra qu’il n’avait pas oublié la raison pour laquelle Elodie était venue chez eux:

- Ne t’inquiète pas on te fera bien travailler ta soutenance de thèse, jeune fille. Je te rappelle que c’est pour lundi!

Elodie murmura un petit “merci”. Philippe avait raison, alors qu’elle ne pensait plus au motif pour laquelle elle était venue initialement dans cet appartement. Ce plan avait été chamboulé en croisant le chemin du volcan Olga, qui lui avait mis le feu. Toutes ses pensées étaient absorbées par cette formidable rencontre qu’elle venait de faire, en se disait qu’elle n’était qu’au début de l’expérience.

- C’est très utile quand nous avons des invités, comme toi ce week-end!

Elodie fit des grands yeux. Son air ébahi fit réagir Olga:

- Et oui, ma petite, nous sommes un couple très libre. Je suis hypersexuelle, ça veut dire que mon mari ne me suffit pas. Et comme Philippe est candauliste, c’est lui qui cherche des amants pour moi. Ce week-end il ne m’en avait pas trouvé à son goût. Et puis tu es venue par le plus beau des hasards. J’avais tellement d’envies.
..

Philippe se rendit compte qu’Elodie était troublée:

- Ne sois pas choquée. J’aime mon épouse et je suis un mari comblé quand elle prend du plaisir. Lui choisir un amant, c’est un peu comme lui offrir une jolie tenue, un bon vin ou un cadeau. J’aime apporter tout ce qui fait plaisir à ma Basilissa. Et ce soir, c’est sur toi que je compte, Princesse. Mais je ne t’oublierai pas parce que je te trouve trop belle. J’ai tout de suite compris que, derrière ton apparence d’étudiante sage, il y avait quelque chose, un tempérament, une personne exceptionnelle.

Les joues d’Elodie rosirent de honte. Tant de compliments, venant de ce type de Gentleman, lui faisaient chaud au cœur. Il y avait bien quelque chose en effet, un gros problème chez elle, qui lui posait question et avait impliqué des années de thérapie. Elle n’était sûre de rien, surtout pas de sa sexualité, à l’image de sa confusion générale et de ses doutes. Et puis il y avait tous ses complexes sur sa maigreur, ses petits seins, cet écartement trop prononcé entre ses cuisses, sa façon de trop mouiller et son éjaculation féminine qui évacuait des sécrétions abondantes hyper gênantes.

Olga la coupa dans ses pensées

- Mon chéri, ton tour viendra, puisque cette jeune personne t’intéresse manifestement. Mais pour l’instant, que dirais-tu de nous commander chez notre traiteur préféré de bonnes choses pour accompagner la bouteille de champagne qui est au frigo?

Olga avait un regard noir. Pendant longtemps, elle n’avait pas accepté qu’une autre femme s’approche de son mari. Elle avait même eu quelquefois des réactions virulentes, voire violentes. Les choses avaient changé il y a quelques mois, parce qu’Olga avait voulu que sa compagne Agun, avec qui elle formait un couple saphique, connaisse enfin le plaisir d’une relation avec un homme. Elle l’avait donc poussé dans les bras de Philippe et avait aimé voir ensemble ces deux êtres qu’elle aimait tant.


Cela ne s’est jamais produit avec une autre femme, car Olga restait réticente, voire jalouse. Il n’avait pas échappé à la vigilance d’Olga que Philippe et Elodie étaient attirés l’un par l’autre. Mais si cela devait se concrétiser, c’est parce qu’elle l’aurait décidé et au moment où elle l’aurait voulu. Et, pour le moment c’est elle qui avait envie de s’occuper de la jeune étudiante.

Philippe sortit un instant pour téléphoner, afin de passer la commande. Olga poussa Elodie sur le lit et enleva ses chaussures. Les deux femmes étaient désormais nues. Elodie était étendue sur le lit et Olga s’approcha, féline, le regard plein de désir.

- Caressons-nous mon petit ange.

Les filles se touchèrent lentement jusqu’à ce que Philippe soit de retour. Il s’était déshabillé et était nu sous une robe de chambre en soie de couleur taupe, sobre et élégante. Il s’installa confortablement sur le fauteuil. Olga regarda Elodie et, tout en couvrant son visage et ses lèvres de baisers, l’interrogea:

- As-tu déjà fait l’amour à une femme Elodie?

Les larmes montèrent à ses yeux alors qu’elle hochait la tête.

- Tu es toujours amoureuse d’elle?

Elodie sembla réfléchir.

- Raconte-nous Bébé

Un flot de paroles sortit alors des lèvres d’Elodie qui, pourtant, était loin d’être une bavarde. Elle parla de sa maître de stage, de leur rencontre, de leurs multiples séparations et retrouvailles, de leurs différences d'âge, de milieu social et de caractère.

Pendant qu’Elodie se confiait, se libérait, Olga la caressait avec plus de douceur, ressentant ce grand besoin d’Elodie d’évacuer et de confesser ses sentiments, ses peurs, ses doutes, ses craintes. Elle la comprenait, elle dont le complexe d’Electre dans son adolescence avait conduit à son hypersexualité.

Sur son fauteuil Philippe était gêné au début d’entendre ce déballage intime total. Comme toutes les grandes timides, une fois mise en confiance et la glace brisée, Elodie n’avait plus de barrière.
La queue de Philippe joyeuse au début était totalement débandée. Mais au fur et à mesure qu'Elodie donnait des détails croustillants au sujet de son histoire, sa queue avait repris vie. A tel point qu’il commença à se masturber quand Elodie avançait dans son récit. Les exemples intimes qu’elle donnait sur sa relation avec sa maître de stage firent monter l’électricité dans l’air.

Olga de son côté découvrait, fascinée, l’histoire de cette gamine devenue soumise sex toy, à qui elle aurait pourtant donné le bon Dieu sans confession. A son tour, Elodie se mit à caresser Olga, avec encore une certaine timidité, marquant ainsi combien elle était à la fois impressionnée et attirée par cette magnifique femme mure.

Les caresses d’Elodie et les mots qu’elle employait, son regard qui exprimait son désir, tout cela rendait Olga de plus en plus chose. Cela la changeait de ses amants qui étaient plus dans la performance et l’action que dans la parole. Mais cette situation de voyeuse découvrant les détails de la sexualité extrême de cette petite étudiante avait aussi un charme enivrant. Ses confessions érotiques faisaient mouiller Olga et les petits doigts d’Elodie se faufilaient dans des endroits de plus en plus intimes.

Elodie, avec ses mots, avaient enflammé les désirs du couple, avec beaucoup de malice et de perversité. Elodie craqua l’allumette, en invitant Olga, par ses gestes, à se mettre à quatre pattes sur le grand lit. Olga obtempéra, offerte, comme lorsque ses amants s’apprêtaient à la prendre en levrette, la position qu’elle affectionnait tant.

- Mais que fais-tu Elodie ?

Les regards interloqués d’Olga et de Philippe se croisèrent. Tous deux eurent un doute sur les échanges bien trop intimes d’Elodie. Elle savait manier les subtilités de la langue française. Elle les avait embarqués dans son histoire de plus en plus chaude par le bout du nez, avec une idée derrière la tête.

Philippe qui, d’habitude, se contentait d’être spectateur, avait ressenti le besoin de se soulager et se masturbait. Le regard d’Olga trahissait son excitation. La petite les avaient amenés, comme si de rien n’était, au bord du précipice de l’envie et des désirs. Dieu qu’elle savait y faire et la manipuler avec agilité.

- J’ai toujours été complexée par mes poignets trop fins...

Le couple bloqua sa respiration au même moment, yeux dans les yeux. Ils pensèrent immédiatement à un fist. Elodie avait deviné qu’Olga devait pratiquer ces plaisirs extrêmes. Et en effet, Olga aimait être fistée, tout particulièrement par Philippe.

Elodie la passive se dévoila soudain sous un autre angle, approchant sa main du sexe ouvert et trempé d’Olga. Un doigt, puis deux, puis trois entrèrent en elle, jusqu’à ce qu’elle sente que sa main et tout son poignet allaient y passer.

- Oh Elodie... Petite salope !!!, lâcha Olga

Elle se figea sur place, repensant à ses amants les mieux membrés, ceux qui la prenaient sans retenue, qui la démontaient avec la force mâle et animale brute. La c’était un petit brin de femme qui l’avait excitée et faite mouiller tout en douceur et délicatesse, sans qu’elle ne se rende compte de son petit manège diabolique. Quand le poignet rentra en elle, Olga, enivrée par la surprise et la magie du moment, lâcha un cri du cœur qui résonna en écho dans les neurones de Philippe.

- Oh mon Dieu, Elodie...

Ces petits cris accompagnèrent les allées et venues du poignet en elle. Il avait totalement disparu, avalé par le sexe d’Olga. Elle se tendait et offrait sa croupe à cette possession merveilleuse qui s’était faite lentement et inexorablement. Elodie partit dans un rythme langoureux, prenant le temps de poser son regard sur les yeux brouillés de Philippe qui se masturbait, fasciné par le spectacle, lui qui, pourtant, avait été si souvent le témoin des plaisirs d’Olga.

Elodie fistait Olga et regardait avec envie le membre de Philippe.

- Tu es diabolique ma Princesse

Et en effet son sourire fut celui d’une Diablotine. Olga basculait sa tête de droite à gauche, totalement possédée par un membre à laquelle elle ne s’attendait pas. Les allées et venues de plus en plus rythmées la rendaient folle et elle laissa ses hanches onduler autour de ce pilonage terriblement féminin, pour aller chercher son plaisir.

- Ah la salope, elle va me faire mourir de plaisir!

Olga s’empala sur le poignet une dernière fois avant de convulser en spasme, emportée par la grande vague. Le poignet sortit d’elle avec douceur entre deux ondes de choc, laissant sa chatte béante et coulante. Olga resta à quatre pattes pour prolonger le plaisir de ses contractions délicieuses. Elle posa sa tête sur le drap, cherchant le regard complice de son mari.

Entre ses cuisses tremblantes, elle vit que cette petite garce avait quitté le lit conjugal sans bruit pour aller se mettre aux genoux de son époux. Philippe avait sa tête basculée en arrière et était visiblement en perdition. La dernière fois qu’Olga l’avait regardé il se masturbait déjà bien vite, ce qui était assez rare chez lui qui aimait bien attendre et prendre son temps.

Philippe en était au coup de poignet final. Elodie avait eu le temps de poser son cou sur les cuisses du mari. Elle retira ses cheveux, juste avant que Philippe n’explose. Elle avait pris soin de ne pas toucher le sexe de Philippe, ne voulant pas créer d’incident diplomatique. Les jets de sperme atterrirent sur sa peau blonde et douce. Elodie semblait expérimentée de la chose, dévoilant ainsi une toute autre personnalité que celle attendue. Dans une position bizarre, Elodie repartit vers le lit.

Olga se rappela du suçon mémorable qu’Elodie avait tant aimée et devina ce qu’elle était allée chercher. Elle lui pardonna d’avoir quitté la couche, mais plus grave était de s’être dirigée vers son mari sans son consentement. Olga lui fit signe d’approcher et de s'allonger à ses côtés.

Elodie se posa juste à côté d’Olga et lui tendit son long cou érogène couvert du sperme coulant de son mari. Philippe avait gratifié le joli cou de la jeune fille d’une bonne dose de sperme, traduisant ainsi son excitation et son plaisir.

Olga aimait le sperme et tout particulièrement celui de son chéri. En léchant Elodie, elle recueillit soigneusement les traces du plaisir de Philippe sur le cou gracile de la jeune étudiante. Les petits lapements de langue sur son cou électrifièrent Elodie. Elle se tortillait de plaisir.

Elodie ne connaissait pas encore le rite matinal de Philippe et d’Olga.

Chaque matin, Olga réveillait son chéri en le gratifiant d’une fellation dont elle avait le secret. La montée du plaisir finissait de sortir Philippe du sommeil, mais il se laissait faire car il savait que sa chérie voulait mener à son terme cette pipe matinale, jusqu’à ce que son amour finisse par lui envoyer de longues giclées chaudes dans sa bouche, qu’elle prenait soin d’avaler, avant de nettoyer soigneusement le gland et la verge, manière de lui montrer, dès le matin, combien elle l’aimait cet homme qui ne voulait que son bonheur et son plaisir. Philippe se comportait dans ces moments-là en homme-objet qui bénéficiait des talents d’une fellatrice exceptionnelle.

Olga prit soin de recueillir tout le sperme en bouche. Puis elle échangea un baiser spécial avec Elodie, lui offrant la semence de son mari, comme un cadeau de bienvenue au sein de son couple. Elodie sentait avec ce baiser l’odeur classe de cette semence, dont elle appréciait le goût.

Olga avait compris qu’Elodie lui offrait son cou, qu'elle voulait garder sur elle les traces des moments exceptionnels qu’elle vivait avec ce couple. La trace du suçon qu'elle avait fait tout à l’heure était toujours là et ne disparaîtrait pas avant quelques jours. Olga entreprit de lui en faire un autre. Elle voulait que la jeune fille se souvienne d’elle. Olga fit cela à l’opposé de l’autre, sans ménagement. Elodie encourageait son amante, en lui caressant amoureusement la tête. Plus que jamais, dans les prochains jours Elodie aurait besoin de porter une écharpe pour cacher son cou et ces traces aux regards des autres.

On sonna à la porte, probablement la livraison commandée par Philippe. Il referma sa robe de chambre élégante et quitta la pièce. Elodie en profita pour se glisser dans les bras d’Olga en recherche d’un grand câlin.

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