Olga, Elodie Et Philippe (1): La Rencontre

AVERTISSEMENT

Ce texte a été écrit à quatre mains, par ElodieParis et moi, Olga T, auteures HDS, sur une proposition d’Elodie. Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici le premier épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.
C’est pour moi un exercice tout à fait nouveau. En accord avec Elodie, nous avons décidé de publier ce premier texte sur ma page.

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Après des mois de stress et des années de recherche, Elodie venait de boucler sa thèse sur un sujet tout aussi sérieux et ennuyeux qu’elle : “Recours juridique de la commission européenne pour récupération de la dette britannique dans l’option d’un Brexit dur”. Tout avait été photocopié, relié, mis sous presse. C’était trop tard pour changer un mot mais Elodie relut une dernière fois et trouva deux coquilles. Ses yeux étaient pourtant passés sur ce texte des centaines de fois. Elle se trouva nulle et perdit les derniers grammes du peu de confiance qu’elle avait en elle.

Elodie ne pesait pourtant que 45kg pour 1,62m, une jeune femme de 25 ans, mince, sans poitrine ni estime de soi. Elle cachait son petit corps de vraie blonde sous des vêtements sportifs amples de garçonne étudiante. Elle avait développé une capacité à passer inaperçue dans la foule, ne portant jamais de maquillage, ni de coiffure apprêtée.

Nous étions vendredi et elle passait l’oral le lundi après-midi. C’est la boule au ventre qu’elle allait passer le weekend à préparer son exposé. Parler en public était la chose la plus difficile à faire pour elle. Elle avait peur des regards posés sur sa petite personne. Elle s'imaginait devant un jury comme face à un tribunal et en faisait des cauchemars la nuit.

Elodie avait rendez vous à 17h00 chez Philippe, un haut fonctionnaire de 56 ans, qui avait suivi de loin sa thèse.

Il parlait bien, avait une éloquence et une stature et devrait pouvoir bien l’aider. Il était grand et fin, 1m80 pour 70kg, cheveux châtains légèrement dégarnis. Il portait de fines lunettes et paraissait être un homme de culture, un intellectuel. Ce vendredi était pour lui un jour de congé, mais il avait accepté d’aider Elodie pour l'entraîner dans sa soutenance de thèse. N’étant pas à son bureau, il lui avait proposé de passer à son domicile, ce que celle-ci s’empressa d’accepter. C’était une chance pour elle, même si elle se sentait très intimidée par cet homme.

Elodie arriva avec vingt minutes d’avance pour repérer la bonne adresse et tourna en rond nerveusement dans les rues autours. Elle compensait ses grands moments de stress par des séances de masturbation de plus en plus régulières et intenses. Elle avait quitté son appartement avec deux orgasmes au compteur depuis son réveil. Elle finit par trouver un endroit où se cacher pour s’en offrir un petit de plus. L’avantage de porter un jogging !

Elodie sonna à l’heure pile. L’interphone décrocha, le verrou fut déclenché à distance et une voix féminine précisa:

- Troisième étage gauche!

Elodie avait peur des ascenseurs et monta à pied. La porte s’ouvrit sur une femme élancée avec de longs cheveux noirs, fin de la trentaine. Elle avait un regard inquisiteur, pétillant d’intelligence ou de malice, souriait gentiment, observant Elodie de haut en bas.

- J’imagine que vous devez être Elodie? Bienvenue.

Elle portait un chemisier très échancré, ainsi qu’une jupe courte, assumant visiblement sa féminité, contrairement à Elodie. Philippe n’était pas loin.

- Bonjour Elodie. Je te présente Olga mon épouse.

Ils se saluèrent et en se dirigeant vers le salon, Philippe expliqua qu’Olga avait été son homologue grecque. C’est ainsi qu’ils s’étaient rencontré, il y a près de 20 ans, avant de se marier et qu’elle ne devienne femme au foyer.


Elodie était tout impressionnée et intimidée d’être admise ainsi dans l’intimité de gens qu’elle connaissait si peu. Le quartier où ils habitaient, leur immeuble, leur appartement en disait déjà beaucoup sur leurs personnalités. La décoration confirma qu’elle avait à faire à un couple d’intellectuels passionnés de lecture, d’arts, de cinéma, d'histoire, ....

- Mon épouse a fait des études d'économie et de philosophie, donc si cela ne te dérange pas, je pense qu’elle ferait un bon second membre du jury.

- Pas de soucis au contraire, merci Madame !

- Vous n’allez pas vous présenter au jury habillée ainsi j’imagine? Elodie se sentie rougir de honte.

- Non bien sur, j’ai achetée une petite robe noire.

- Laissez-moi donc-vous en prêter une, pour vous mettre dans les conditions d’examen. Vous verrez c’est très important.

Olga entraina Elodie dans leur chambre, partit fouiller dans son dressing et revint poser deux petites robes noires sur le lit.

- Celle-ci me semble être parfaite, non?

Elodie acquiesça, gênée de la situation. Olga resta dans la chambre, imposant sa présence comme une mère l’aurait fait avec sa fille. Elodie penaude n’osa pas lui demander de sortir. Après tout Olga était chez elle. Un grand silence se fit pendant lequel Elodie défit son écharpe et retira son grand pull vague, trop grand pour elle. Sous son tee-shirt blanc, ses petits tétons nus se mirent à pointer. Le sang afflua aussi dans ses joues pourpres. Elodie était hyper sensible et ce type de situation la perturbait au plus haut point.

- Vous avez bien raison de ne pas porter de soutien-gorge, moi non plus d’ailleurs!

Cette confidence ne vint que confirmer ce qu’Elodie avait deviné. Elle tourna le dos à Olga, retira son tee-shirt et enfila au plus vite la petite robe noire jusqu’à ses genoux. Elle tira la robe vers le bas le plus possible. Puis elle défit ses converses et fit tomber au sol son jogging.
Elle espéra ainsi qu’Olga ne verrait pas son absence de culotte. Elle se pencha pour retirer ses socquettes blanches, tendant le tissu de la robe sur ses fesses nues.

- Vous avez bien raison de ne pas porter de culotte, moi non plus d’ailleurs. Cette robe marque énormément les sous vêtements vous savez.

La main d’Olga se posa sur la hanche d’Elodie, histoire de venir confirmer l’absence de lingerie qu’elle avait devinée.

- Rangez vos affaires et retrouvez nous au salon. Et faites l’effort de mettre un peu de rouge à lèvres.

- Je n’en n’ai pas avec moi.

- Je vous prête ma trousse de maquillage. Lundi, il faudra que vous soyez maquillée et coiffée. C’est tellement important ma petite! Vous aimeriez un thé fruité?

- Oui c’est gentil merci!

Olga était en feu et elle sentait que cette gamine aussi. Son hypersexualité avait démarré au quart de tour. Olga fit signe à Philippe de la rejoindre.

- Ta petite étudiante timide est à poils sous ses vêtements. Si tu veux tout savoir, je pense que c’est une belle petite salope.

- Non c’est pas vrai? Mais tu connais notre contrat! C’est mon rôle de recruter tes partenaires. De plus on ne touche à personne de notre entourage professionnel.

- Vous allez l’embaucher?

- Non, ce n’est pas prévu.

- C’est toi qui l’a amené jusqu'ici non? Donc tu as ma réponse.

Philippe se trouvait coincé.

- Au fait elle veut un thé fruité. Viens m’aider à préparer la collation.

Philippe se leva et Olga en profita pour se blottir dans ses bras, se faire chatte, l’embrasser et poser une main sur son entrejambe.

- Tu bandes mon chéri, elle te fait de l’effet cette petite.

Il s’embrassèrent jusqu’à ce qu’un craquement de parquet trahisse la présence d’Elodie dans l'entrebâillement de la porte. Elle avait probablement tout entendu. Olga ne retira pas sa main de la où elle était, continuant de caresser la queue de son chéri.
Elodie se tenait devant eux, pieds nus dans sa petite robe noire. Elle avait remonté ses cheveux par une simple barrette sage, dévoilant un sublime cou fragile, blanc, fin et long. Le rouge à lèvres qu’elle ne mettait que très rarement contrastait avec son teint de lait. Le papillon s’était changé en chrysalide, passant d’une étudiante garçonne à une magnifique jeune femme.

Olga s’électrisa de voir cette petite, nue dans une robe à elle. Elle tendit une main vers Elodie pour l’inviter à s’approcher d’eux. L’étudiante se sentit irrémédiablement attirée, comme si un aimant et une force invisible démoniaque la poussait à avancer. Leurs mains se touchèrent dans un contact électrique, la tension dans l’air était palpable. Olga porta la main d’Emilie à sa joue et huma le bout de ses doigts

- Combien de fois t’es tu caressée aujourd’hui ?

Les joues roses d’Emilie revinrent au pourpre et les hormones d’Olga partirent dans tous les sens.

- Trois fois.

Le chiffre venait de tomber, édifiant, la vérité pure.

- Tu vois mon chéri que c’est bien une petite salope.

Elodie se figea. Puis Olga ajouta à destination d’Emilie:

- Tu as raison, moi aussi je me masturbe à chaque fois que j’ai envie, c’est-à-dire souvent!

A ces mots, un frisson parcourut Emilie de la tête aux pieds. Olga passa une main sous la robe noire.

- Ces cuisses sont pleines de coulure de mouille, tu es trempée ma douce.

Emilie n’osa pas avouer son coté fontaine qui lui faisait tellement honte.

- Avoue que tu es une petite salope !

Le regard interrogateur d’Olga était planté dans les yeux d’Emilie, qui tremblait et elle se sentit obligée de répondre.

- Oui, lâcha-t-elle dans un murmure.

Le baiser qui suivit entre les filles fut des plus torrides. Philippe alla s’asseoir dans son fauteuil attitré, ravi de cette partie qui ne faisait que commencer. Il dégrafa son pantalon, se mettant à l’aise, tout en regardant faire les filles. Connaissant son épouse, il savait qu’un spectacle de feu venait de commencer.

Elodie était venue pour préparer sa soutenance et voilà que c’est toute autre chose qui était en train de se passer. Profondément timide, Elodie ne voulait rien laisser paraître de ses expériences passées, adorant vivre chaque rencontre comme si tout était une première fois. Ses séances de masturbation, de jour comme de nuit, étaient peuplées de scénarios torrides. Elle devait reconnaître qu’Olga la fascinait par sa prestance. De tempérament effacée, Elodie adorait se laissait porter par les éléments vers quelque chose qu’elle n’aurait pas imaginé. Et puis dans cette phase de grand stress, ses fantasmes la poussaient à se masturber de façon compulsive.

Elodie était sous l’emprise d’une grande excitation. Ses tétons étaient dressés et son intimité hyper humide, alors même qu’elle s’était masturbée juste avant de venir chez Philippe et Olga. Tout était intense pour l’étudiante, à commencer par se retrouver à la merci de cette jolie femme, manifestement très expérimentée.

Olga était le feu et Philippe l’eau. Il était calme et serein, ne perdant pas une miette de ce qui était en train de se passer. Il était habitué à être le témoin et le complice des frasques de son épouse. Candauliste, il adorait la voir dans les bras d’autres hommes, des amants qu’il recherchait pour elle, à condition de pouvoir assister aux ébats de sa belle libertine. Il était cependant surpris qu’elle ait pris l’initiative avec cette petite. Certes, Olga est bisexuelle, mais elle était fidèle envers son amante habituelle, Agun, jeune femme d’origine thailandaise, Olga se partageant entre Philippe et la jeune masseuse thaï.

Sans doute l’instinct de chasseuse d’Olga lui avait-elle fait deviner le potentiel de ce petit diamant brut d’Elodie, caché derrière une apparence d’étudiant garçonne presque banale. Philippe connaissait bien son épouse et savait qu’elle irait au bout de ses envies, comme toujours. Pour le moment, il se contentait du rôle de spectateur. Il avait sorti sa queue, mais se gardait bien de se masturber et de se caresser. Ce qu’il voyait suffisait à l’exciter, à le faire bander. Sans atteindre les dimensions qu’aimait Olga, la verge de Philippe était de l’ordre de 18*4 en pleine érection. Il attendait le moment propice, se contentant du rôle de spectateur, de voyeur, qu’il affectionne tant.

Olga savait que son mari appréciait de la voir en action et il n’allait pas être déçu. Cette petite Elodie, à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, se laissait faire. Elle était dans ses bras, échangeant un long regard, qui exprimait le désir et l’ascendant d’Olga sur la jeune fille. Elle la serrait contre elle, leurs poitrines se cherchaient, se touchaient; l’une comme l’autre avaient leurs pointes durcies, indiquant leur excitation. Les lèvres d’Olga se posèrent à nouveau sur celles de la jeune fille, qui ouvrit la bouche. La langue d’Olga s’enroula autour de celle de l'étudiante pour un long baiser. En même temps, elle serrait Elodie contre elle, et ses mains se posaient sur ses fesses. En connaisseuse, Olga se dit qu’Elodie avait un beau petit cul et espérait que Philippe et elle seraient les premiers à explorer cette porte étroite qui devait être vierge.

Elodie adorait embrasser ainsi, à en perdre haleine. Elle répondait au mieux aux baisers d’Olga. Cette femme la rendait folle, lui faisant vivre des émotions sublimes. Les mains d’Olga alternaient des fesses d’Elodie à son dos, ses caresses faisaient frissonner la jeune fille.

Olga, bien qu’ayant envie de cette petite blonde, prit tout son temps. Elle voulait faire monter son désir plus haut encore, l’amener au plus loin. Elle ne lassa pas de lui rouler des pelles. De temps en temps, elle l’embrassait dans le cou, laissant sa langue explorer l’oreille de la jeune étudiante et ses dents lui mordiller le lobe.

- Tu aimes ce que je te fais, ma petite?

Elodie avoua en hochant la tête, toute rouge, ravie de vivre cela aussi fort
.
- Tu as déjà fait l’amour avec une femme?

Elodie resta stoïque.

- Et tu en as envie? Parle-moi !

- Oui Madame, chuchotta Elodie tout bas.

- Tu es une petite salope et tu es à notre disposition ce soir. Dis-le pour que mon mari l’entende!

Olga posa son pouce sur le menton d’Elodie, pour la forcer à articuler et planta ses yeux dans les siens.

- Oui!

Elle lâcha cet aveux de sa petite voix tremblante, à peine audible, emplie d’émotions.

- A la bonne heure! Ça te plait, chéri? dit Olga en s’adressant à Philippe.

- Beaucoup! Continue! Je m’occuperai de vous ensuite!

Olga fit alors tomber au sol la petite robe noire d’Elodie, qui retint son souffle. Celle-ci était désormais nue, offerte à sa convoitise, sous le regard attentif de Philippe. Elodie se sentait comme une biche prise dans les phares d’une voiture. Elle était hyper tendue.

- Tu es très belle, tu sais? Lâcha Philippe, affirmatif.

Elodie ne s’était jamais trouvée jolie, même si elle était très convoitée par des hommes qu’elle savait menteurs et avides de sexe. Elle baissa les yeux pour cacher ses larmes, se demandant si Philippe ne se moquait pas d’elle et était sincère. Elodie avait un grand écartement entre ses cuisses qui la complexait terriblement, cicatrice de son adolescence anorexique. C’est à cause de cela qu’elle avait toujours caché ses formes sous des vêtements amples ou des tenues sportives. C’est aussi, entre autre, à cause de ce complexe qu’elle n’avait jamais osé multiplier les expériences. Les mains d’Olga passèrent partout sur le corps d’Elodie et quand elles découvrirent ses fesses elle fit tourner Elodie de dos vers Philippe

- Regarde moi ce petit cul d’ange mon amour!

Nul besoin d’écarter les fesses pour dévoiler l’anus et le sexe d’Elodie. Sa minceur rendait tout visible et facilement accessible. Cela expliquait pourquoi elle se sentait fragile et vulnérable au regard des autres et surtout pourquoi elle ne portait jamais de vêtements qui lui collait au corps. Mais là il était trop tard. Elle était nue et ils savaient désormais la fille qu’elle était, avec ses défauts. Ce qu’elle pensait être une difformité ne semblait pas les repousser mais, au contraire, les exciter.

- Quel joli petit cul en effet.

Philippe était sincèrement contemplatif.

Ce fut un grand soulagement pour Elodie, elle avait tellement peur de la réaction des autres à son grand complexe. Olga poursuivit

- En plus d’aimer ton petit cul, j’aime aussi tes petits seins. Si je fais un 85b, tu dois faire 80a non? Et comme moi, quand tu es excitée, tes tétons sont bien durs, à ce que je vois.

Olga couvrit Elodie de baisers, en descendant lentement vers la poitrine de la jeune femme. Elle se laissait faire, ayant l’impression d’avoir basculée dans l’autre monde. Olga tenait à marquer son territoire. Elle mordit la jeune fille à l’épaule. Elodie fut surprise et lâcha un petit cri. Elle était à la fois apeurée et excitée. Cette folie à fleur de peau qu’elle ressentait chez Olga était enivrante et communicative.

Quand Olga commença à lui faire un suçon dans le cou, Elodie s'enflamma et au lieu de protester lui tendit son cou en offrande, tout en lâchant un petit râle. Olga ne le savait pas encore mais elle venait de prendre possession de ce qu’Elodie avait de plus beau. Elle adorait son cou qu’elle trouvait parfait. Elle le cachait du regard des autres sous ses cheveux ou en portant des écharpes, même à la belle saison. Son cou était la zone la plus érogène de son corps. Elle était hyper sensible au contact de ses cheveux ou des écharpes contre son cou. Quand elle se caressait, une de ses mains étaient toujours dans son cou au moment de l’orgasme final.

- Je compte bien que tu te souviennes de moi, je vais marquer ton cou de mon empreinte.

Elodie, respiration coupée, haletait, espérant au plus profond d’elle que ce suçon incroyable ne s’efface jamais et reste à jamais tatoué dans son cou si fragile. Les doigts d’Olga revinrent se poser sur les cuisses d’Elodie, parcourues de petits chocs électriques où elle retrouva des coulures de cyprine.

- Tu mouilles toujours autant ma Belle?

Elle n’osa pas répondre. Tout en embrassant Elodie, la bouche d’Olga descendit lentement vers la poitrine de la jeune fille. Elodie était un peu triste de la voir quitter son cou, mais ses tétons lui faisaient mal et avaient besoin d’attention pour relâcher la pression.

Olga prit dans chaque main, les seins d’Elodie. Ils étaient petits et ses doigts les empoignaient bien. Olga caressait les seins de la jeune fille, alternant douceur et fermeté. Elodie adorait voir la pointe de ses seins se dresser ainsi dans une grande intensité. L’intimité d’Elodie était trempée, elle avait envie de se soulager en se caressant, mais elle n’osait pas, laissant l’initiative à celle qui était en train de devenir son amante.

Cette femme savait y faire, Elodie devait le reconnaitre . Elle ne lui laissait pas un instant de répit. L’étudiante prit conscience qu'elle était nue et livrée aux caresses d’Olga, alors que son amante était encore habillée. Elle se surprit à prendre une initiative, poser délicatement sa main sur la tête d’Olga et caresser tendrement son visage.

Olga était pour l’instant toute entière tendue vers son objectif: posséder Elodie, lui offrir le plus beau des premiers orgasme de cette soirée qui serait longue. Puis ce serait le tour de Philippe, à qui elle comptait bien offrir Elodie. Chaque chose en son temps, se dit-elle.

Olga approcha sa bouche du sein gauche d’Elodie et ses lèvres prirent possession du téton, en l’aspirant avec volupté. Puis sa langue prit le relais, tournant délicieusement autour de cette pointe terriblement dressée. En même temps, Olga porta sa main sur le sexe de la jeune fille qui sursauta. Elle n’avait jamais vu l’intimité d’une femme aussi humide. Ses quelques petits poils blonds était doux au toucher. Sa pilosité était naturellement proche du zéro absolu.

Olga infligea le même traitement au sein droit d’Elodie, alors que sa main droite se posa sur la chatte de l’étudiante. Le clitoris d’Elodie traduisait, par son érection, son excitation extrême. Il était comme un pénis en miniature. Avec sa connaissance précise des zones sensibles, Olga masturba Elodie tout en continuant, avec sa bouche, de ne laisser aucun répit à ses seins.

Olga introduisit au bon moment dans le vagin de la jeune fille un doigt puis deux, et commença à la fouiller.

Elodie garda les yeux fermés. Elle était dans un autre monde. Elle poussait de petits gémissements plaintifs, marquant la lente et inexorable montée de son plaisir. Elle aurait voulu que ça dure le plus longtemps possible, mais elle savait bien qu’elle ne pourrait bien longtemps refouler l’orgasme qui montait inexorablement.

- Tu aimes ce que je te fais, petite garce?

- Hmmmmmmm

- Ce n’est qu’un début, tu sortiras d’ici transformée. Mon instinct ne me trompe pas. Tu es comme moi, capable d’enchaîner les orgasmes.

- Hmmmmmmm

- Lache tout Bébé je veux entendre tes cris de petite salope

Elodie secouait la tête luttant contre la grande vague qui allait la submerger. Sur l’invitation d’Olga, les petits gémissements qu’elle essayait d’avaler devinrent des petits cris. Le plaisir monta en elle comme un cheval au galop. C’est les doigts d’Olga plantés en elle et son regard effrayée dans les yeux de Philippe que le premier orgasme de la soirée venait de la submerger.

Son ventre était en spasme et la mécanique qu’Elodie craignait plus que tout au monde s’était mise inexorablement en marche. Des jets de liquides sortirent de son sexe pour sa plus grande honte. Elle lutta contre mais se savait déjà perdue de ridicule. Le liquide était expulsé un peu partout sur le magnifique parquet et sous le sourire enchanté de Philippe.

- Ah la petite salope, lâcha Olga, Vas-y, Bébé jouis ma douce, tu es si belle ainsi.

Ce couple venait de découvrir en quelques minutes les deux grands secrets et complexes d’Elodie, son grand écartement de jambe et son éjaculation féminine. Pour Elodie c’était une catastrophe.

Les jets finirent par stopper. Olga s’amusa à planter à nouveau ses doigts en Elodie, tant qu’elle voyait les vagues de plaisirs de l’orgasme déferler sur le ventre de la petite blondinette. Il ne lui fallut que quelque secondes de pénétration supplémentaire pour déclencher de nouveaux jets. Olga tout sourire était super fière d’elle.

- Vide-toi ma Belle, lâche tout !

Les spasmes finirent par se calmer et Olga la prit dans ses bras pour un gros câlin. L’étudiante s’effondra en pleurs et la serra contre elle, comme si sa vie en dépendait. Elodie, très nerveuse, essaya d’embrasser Olga mais se cogna à ses dents, pinçant sa lèvre au passage. Elle finit par trouver ce baiser chaud et apaisant qu’elle recherchait. Par dessus l’épaule d’Olga, elle regarda Philippe du coin de l’œil, il était là, sexe dressé, tranquille.

- Tu as de sublimes orgasmes Elodie et tu es très belle. J’adore ton petit cul.

En quelques mots, Philippe venait de la rassurer sur toutes ses peurs. Joues roses de honte, la petite blonde repartit dans ses pleurs de plus belle mais cette fois-ci ses sanglots se mêlaient à des rires de joie. Ses émotions partaient dans tous les sens, sans dessus dessous. Ce grand câlin offert par Olga lui faisait le plus grand bien. Elle se sentait en confiance, acceptée avec ses malfaçons que ce couple merveilleux et hyper complice transformait en atouts. Elodie sentie un dernier petit jet couler discrètement entre ses cuisses.

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