Olga, Elodie Et Philippe- 11- Sauna Échangiste

AVERTISSEMENT

Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et Olga T, est la suite des 10 précédents chapitres parus sur cette page depuis le 14 octobre 2020.

Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.

Bonne lecture et merci pour vos commentaires!

RESUME DES EPISODES PRECEDENTS

Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir s’entraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.

Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. L’étudiante, qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée, dévoile son vrai visage de petite salope.

Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga n’autorise pas Elodie à faire l’amour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.
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Mario prit la main d’Olga et Philippe celle d’Elodie. Les deux couples illégitimes firent une sortie pas trop discrète du cocktail bar, car tout le monde avait repéré ce quatuor qui ne passait pas inaperçu. A trois rues de là, Mario sonna à un interphone discret, sur lequel était juste marqué le numéro 69.

- Tout un programme, fit malicieusement observer Olga.

Le loquet se déclencha, leur permettant d’ouvrir la lourde porte cochère qui donnait sur une petite cour. Une porte s'entrebâilla laissant sortir un filet de lumière blanche.

Mario s’y faufila, entraînant le groupe. La porte refermée, une grande rousse embrassa Mario comme une vieille connaissance.

- Bonjour mon gourmand.

- Je suis venu avec des amis.

La pièce était comme une salle d’attente d’un institut de beauté, ambiance feutrée et propre, petite musique de fond.

- Il y a déjà du monde?

- Non, juste deux beaux mecs qui font toujours tout ensemble. Ils sont en congés pour visiter la région. Cela fait quelques jours qu’ils viennent. Ils assurent!

Entendant cela, Philippe et Olga échangèrent un regard et un sourire. La belle rousse tendit un peignoir chaud et agréable à la taille de chacun, une serviette et des tongs. Mario paya cash, fier de montrer des gros billets, en mode macho italien.

- Tu nous mettras le champagne rosé stp?

Elodie mourrait d’envie de boire un jus de pomme mais n’osa pas demander. Le vestiaire était commun entre hommes et femmes. Tout le monde se déshabilla. Elodie fut la plus rapide et fila prendre une petite douche la première. Elle détestait les douches communes et cela la gênait terriblement. Elle s'emmitoufla vite fait dans son peignoir encore chaud, avant que les autres n’arrivent. Le peignoir était un peu trop grand pour elle. Parfois Elodie devait choisir des tailles pour ses vêtements.

Contrairement à Elodie, Olga ne se mouilla pas les cheveux et se servit du peignoir pour se sécher, avant d’enfiler juste la serviette autour de la taille, seins nus. Elle garda ses escarpins aux pieds, refusant de porter des tongs et ce peignoir ridicule. Elle n’était absolument pas comme les autres clientes.

Depuis les vestiaires, un escalier descendait vers un endroit où la musique était plus forte. Ne voulant pas voir Philippe et Mario nus et bandant sous la douche, Elodie descendit la première, un peu comme vers l’enfer. Avec sa première Maitre de stage, elle avait fréquenté des dizaines d’établissements de ce style.
L’âpreté de ce type de lieux la dégoûtait, lui rappelant à quel point elle avait été le jouet sexuel de cette femme charismatique et perverse. Elle retrouva au sous-sol la sonorité des pièces ayant une forte isolation phonique. Malgré le nettoyage méticuleux et la filtration intense, les odeurs qu’elle détestait persistaient. Habituée à lutter contre ses vieux démons, Elodie emprisonna tout au fond d’elle la force de ses mauvais souvenirs qui reprenaient si souvent le dessus. Par pur déni de son passé, elle fit semblant de découvrir ce type d’endroit avec des yeux de biche étonnée.

En bas, elle trouva une grande pièce avec des tables entourées de banquettes, un bar, une piste de danse. Plus loin se trouvaient des portes de saunas et de hammam. Une odeur d’eucalyptus flottait dans l’air. Elodie fonça vers un petit buffet, où elle dévora des radis et des tomates cerise. Un gazpacho lui fit office de jus de fruit. L’alcool et toutes ses émotions lui avaient fait tourner la tête.

Mario salua une autre rousse, pulpeuse celle-ci, cachée derrière le bar. Elle était visiblement ravie de sa présence. Ils se dévoraient des yeux, tandis qu’il lui glissa un billet bien gras, comme pour acheter son sourire contemplatif, en attendant autre chose.

Philippe arriva au bras d’Olga, tous les deux toujours aussi classe, avec l’élégance et la finesse des intellectuels, largement au-dessus de la mêlée. Elodie espérait qu’un jour elle puisse dégager comme eux un charisme et une assurance d’une telle stature. Olga rejoignit Elodie

- Je te confie MON mari,

Les larmes montèrent aux yeux d’Elodie. Elle était plus que honorée de sa confiance et convaincue de mériter cela. C’était le plus beau cadeau qu’Olga pouvait lui faire. Olga lut son regard troublé, ressentit son frisson, sa fragilité à fleur de peau. Elle se demanda quelles pensées et blessures de sa petite jeunesse pouvaient bien la mettre dans un tel état. Olga posa sa main sur le menton d’Elodie et lui colla un bisou sur les lèvres.


- Ça va, chaton? Tu es toute retournée.

Elodie, ne voulant pas s’épancher sur son triste passé, fit signe que oui.

- Soyez sages tous les deux, pas de petites cachoteries d’amoureux entre vous, surtout. Le sexe est une chose, les sentiments, une autre.

Olga tourna sur ses hauts talons et partit rejoindre Mario au bar, seins dressés, serviette autour de la taille. Elodie ne savait que dire ni que faire en présence de Philippe. Elle était gauche et tendue. Heureusement, il prit la suite en charge, proposant de s’asseoir pour manger un morceau. Il prépara une assiette à partager. Il allait s’asseoir quand deux beaux mecs, probablement des Maghrébins, sortirent du hammam, nus. Les souvenirs des frasques passées d’Olga avec Rachid, celui des séances hebdomadaires à la cité, ou encore de sa rivalité avec Hassan revenaient dans la mémoire de Philippe.

Le regard d’Olga et celui de Philippe se croisèrent. Elle hocha du menton. Le couple n’avait pas besoin de parler, Philippe savait ce dont Olga avait envie et dont elle avait été privée depuis de nombreuses semaines. Il n’ignorait pas que cette frustration était cruelle pour son épouse hypersexuelle, pas davantage que ce qui s’était passé avec Mario ne soit suffisant pour l’apaiser.

Philippe posa donc l’assiette sur la table, s’excusa auprès d’Elodie et partit au contact des deux hommes. Tandis qu’il leur parlait, leurs regards se posèrent sur Olga, qui se laissa admirée. L’un d’eux se mit déjà à bander, ce qui trahissait ses pensées. Ils discutèrent un bon moment, puis Philippe leur serra la main. Le mari s’était mis d’accord avec les deux étalons sur les conditions dans lesquelles ils allaient pouvoir disposer du corps de sa belle épouse.

Philippe fit signe à Olga de s’approcher pour qu’il fasse les présentations. Puis Il embrassa son épouse sur la pointe des lèvres et la laissa en compagnie des deux hommes. Au bar, Mario caressait les seins de la rousse pulpeuse en échange d’un billet de plus.


Philippe rejoignit Elodie qui, par boulimie d’émotions, avait terminé tous les légumes de l’assiette. Ce trouble qu’elle vivait intensément lui avait ouvert l’appétit, elle qui normalement picorait comme un petit oiseau.

Elle savait ce qui allait se passer, une fois de plus sous ses yeux. Philippe rechargea l’assiette et s’installa aux côtés d’Elodie, face à l’action qui n’allait pas tarder entre Olga et les deux complices. Philippe était tout contre la jeune fille, épaule contre épaule, hanche contre hanche. Elodie avait envie d’un grand câlin, qu’il la serre dans ses bras. Il le devina et passa sa main derrière la nuque de l’étudiante qui se blottit tout contre lui en frissonnant de bonheur. L’odeur de son parfum l'apaisa. Elle se sentait protégée, reconnue, écoutée et comprise. Philippe avait su sublimer tous ses complexes en beauté. Ce n’était pas un homme à mentir, elle avait lu la sincérité dans ses yeux. Elle pouvait plus qu’à tout autre lui faire confiance. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas ressentie cette quiétude qui l’envahissait. Elle glissa ses petits doigts sous le peignoir de Philippe et trouva sa queue tendue, réconfortante, qu’elle caressa avec une douceur infinie.

En 24h00 de temps, Olga s’était faite fister, avait joui sous la douche, avait abusé d’une position ciseaux, s’était faite défoncer par Philippe puis par Mario, avait fait éjaculer son mari et son amant en les masturbant et n’avait accordé à Elodie, du bout des lèvres, que la possibilité de faire, à sa place, juste une petite pipe matinale à Philippe. Voilà qu’avec ces deux hommes Olga tirait encore plus la couverture à elle, en provoquant comme une pute deux mecs inconnus. Son hypersexualité déséquilibrait tout, avec excès, à son quasi seul et unique avantage.

Les deux types, que nous appellerons “I” et “B”, selon les initiales de leurs prénoms, devaient avoir la trentaine. Ils avaient expliqué à Philippe qu’ils étaient associés dans une start-up du numérique et s’étaient accordés quelques jours de “break”. Ils étaient complices dans tous les domaines, y compris le plus intime. Ils avaient découvert cet endroit discret, où des couples bourgeois et des femmes seules venaient pour s’encanailler. Puisque cette jolie brune était manifestement en chaleur, que son mari était complice, alors ce couple et ses amis ne seraient pas déçus.

Philippe avait expliqué à voix basse aux deux hommes ce qu’attendait son épouse dans ces moments-là, à savoir être baisée et traitée sans ménagement, sous ses yeux de candauliste. Comme il s’agissait de parfaits inconnus, Philippe avait exigé qu’ils ne jouissent pas en elle, même si elle le demandait. Ils s’y étaient engagés, obtenant cependant de pouvoir la prendre sans capote et de disposer d’elle tant qu’elle en aurait envie, jusqu’à ce qu’elle soit enfin repue.

Un mec tenait Olga par la gorge contre le mur, l’autre lui avait arraché sa serviette de bain. Des mots crus fusaient déjà. Le spectacle chaud venait de commencer.

Le pouls d’Olga s’accéléra très vite, la tension monta en flèche, elle était de toute façon déjà particulièrement excitée ! Les sexes épais des deux types étaient bien durs, elle savait d’instinct qu’ils seraient de bons amants. Olga sentit leurs bites dressées et les branla avec entrain, l’une frottant contre son ventre et l’autre contre ses fesses. Ils n’hésitèrent absolument pas à lui montrer qu’ils avaient très envie d’elle, chacun la caressant sans retenue : quatre mains parcouraient son dos, son ventre, sa poitrine, ses fesses, ses cuisses et sa vulve ! Olga avait très envie de les sucer et qu’ils la baisent !

Elle les regarda chacun dans les yeux, puis baissa son regard progressivement le long de leur corps pour s’arrêter au niveau de leur sexe en érection. Elle savoura ce moment et sembla hésiter sur lequel sucer en premier.

Les deux hommes la regardèrent, puis lui caressèrent la poitrine. Olga aimait être désirée. Elle passa alors en mode action et saisit fermement les deux engins, recommençant à les branler.

Elle posa ensuite la queue de « I » sur ses lèvres. Elle attaqua direct par un gros bisou bien baveux sur le bout du gland, puis l’inséra en bouche, en caressant la verge du bout des lèvres.

« I » eut l’air d’apprécier, émettant un petit gémissement, suivi d’un commentaire adressé à son comparse :

- Ouah, « B », quelle pipeuse ! Le mari ne nous a pas menti, c’est une exceptionnelle gourmande !

Encouragée, sûre de ses talents de fellatrice, Olga lui en donna encore plus ! Elle suça « I » de plus belle, plus fermement et surtout il enfonça sa bite le plus loin possible dans sa bouche. La fellation devient un coït buccal puis une gorge profonde. Olga ne lâche pas prise, réussissant à contrôler sa respiration et à combattre les nausées.

Après quelques minutes, il était évident que l’autre type, « B », avait de plus en plus envie qu’Olga se charge de lui à son tour. Elle changea de partenaire buccal, encouragée par « I » :

- Doucement gourmande. Je ne veux pas jouir tout de suite, car on est là pour te niquer, ma belle !

Olga attrapa le sexe de « B », cracha dessus sans retenue et empala sa bouche pendant quelques minutes. Comme son ami, “B” apprécia la pipe et le lui fit bruyamment savoir.

“I” plaqua alors Olga contre le mur et commença à lui fourrer sa grosse bite dans la chatte. Ils étaient plus que chauds, et elle adorait ça.

Puis “I” s’allongea sur le dos. Olga monta à califourchon sur lui, attrapa son sexe et l’inséra dans son vagin. Pendant qu’il la baisait, « B », qui était à côté, la caressa. Ses doigts parcoururent son corps, ses cheveux, son cou, sa poitrine, le long de son dos, puis il s’attarda sur ses fesses avec plus d’insistance. Il mouilla ensuite son doigt et caressa généreusement l’anus. Son doigt finit par rentrer, Olga en voulait plus !

Philippe leur avait bien précisé que son épouse aimait la sodomie et que son anus était bien élastique, qu’ils pouvaient donc la prendre par la voie étroite quand ils voulaient et autant qu’ils en auraient envie.!

C’est bien l’intention de « B » :

- Je vais m’occuper de ton cul de chienne!

« I » attrapa les chevilles d’Olga et les tira vers lui pour la remettre à quatre pattes. Elle replaça le sexe de « I » en elle et s’allongea sur lui.

« I » fait signe à son ami « B ». Il avait arrêté le coït pour l’attendre. “B” prit son chibre tendu en main et le présenta à l’entrée du cul d’Olga qui se comportait comme une chienne en chaleur. “B” écarta les fesses pour avoir la bonne vision et entra lentement en elle.

Rapidement le cul d’Olga se fit écarter les chairs par un pénis bien dur ! Olga était maintenant prise en sandwich par les deux hommes. C’était du sexe intense, bien violent comme elle en avait besoin à ce moment précis.

Philippe n’en perdait pas une miette, Elodie non plus, étant à la fois choquée et fascinée par ce dont elle était le témoin.

Olga cria:

- Ooohhh putain c’est bon, baisez-moi !!! Baisez-moi maintenant les gars, percez-moi le cul, défoncez-moi devant mon mari!

Philippe savait combien sa femme aimait cette sensation ! Elle était remplie, une bite dans son vagin et l’autre dans son anus.

- Oui, j’adore ! je suis votre chienne!

Les deux mâles complices synchronisèrent leurs mouvements pour la pénétrer en même temps. Ils harmonisèrent la cadence et Olga, prise en sandwich, remplie de toute part, enchaîna les orgasmes, alors que ses deux amants ne relâchèrent pas le pilonnage qu’ils lui firent subir.

Cela dura de longues minutes et un orgasme encore plus violent entraîna chez Olga un hurlement révélateur de ses plaisirs.

Les mouvements de ses amants stoppèrent, la laissant profiter de son dernier orgasme plus puissant que les précédents. Elle était parcourue de spasmes, elle tremblait…. Presque à bout de force, elle se retira et s’allongea sur le dos.

« I » et « B » se mirent alors de chaque côté d'elle

- Allez-y, à vous de vous finir sur moi

Respectueux, bien qu’à regret, de leur engagement de ne pas se vider en elle, ils décidèrent de déverser leur sperme sur son corps.

« I » et « B » se masturbèrent au-dessus d'elle, le corps repu d’Olga offert à eux, à leur semence. La voir comme cela, nue, deux queues au-dessus de sa poitrine, vient à bout de la résistance de “B”. Un premier jet de sperme vint gicler sur ses seins. “B” dirigea le second et le troisième jet vers le visage d’Olga. Elle redressa la tête et, avec un sourire malicieux, se caressa la poitrine, étalant la semence, récupérant celle qui tapissait son visage pour se lécher les doigts.

Olga soupira à nouveau.

- A ton tour maintenant, dit-elle à “I”.

Elle se mit sur le ventre, leva ses genoux et se posa sur ses bras tendus. Elle était de nouveau à quatre pattes, en position levrette qu’elle aimait tant :

- J’aurais tant aimé que tu te vides en moi. A défaut, gicle sur mon cul, donne tout !

« I » se positionna derrière Olga. « B », de son côté, se plaça au-dessus d’Olga et écarta le cul de la coquine afin que « I » ait une vue sur l’entrée de la petite porte. Cette vision magique le fit venir presque aussitôt. Le premier jet tomba sur le dos d’Olga, « I » vint ensuite coller son gland à l'entrée de l'anus et y déposa le reste de son liquide. Son souffle était coupé, il respirait vite et gémissait « la vache que c’est bon », tout en frottant son gland contre l'anus de la belle, afin de tout lâcher et terminer en beauté.

Olga était couverte de sperme et adorait cela. Elle afficha sa satisfaction, mais, comme le comprirent les deux hommes, elle n’en n’avait pas encore assez.

Ses talents de fellatrice eurent vite fait de redonner vigueur aux deux mâles. Les deux compères avaient visiblement prémédité leur coup. Par précaution, ils déroulèrent chacun un préservatif. Olga se mit en position pour une nouvelle levrette, de la part de « I », qui commença à la pilonner. Puis « B » se glissa derrière Olga et la pénétra à son tour, alors que « I » était déjà à l’intérieur de son vagin! Deux queues dans son vagin, le pied!

Olga eut un soupir de surprise et de désir :

- Ah, salauds ! C’est trop, ma chatte va exploser !

Elodie était partagée entre fascination, excitation et inquiétude. Elle voulait intervenir, dire que ça allait trop loin, qu’ils allaient la déchirer et lui faire mal. Mais la queue de Philippe était super tendue et ses yeux sortaient des orbites et sa demande se fit supplication .

- Fait moi jouir Elodie!

Le visage d’Olga n’exprimait pas la souffrance mais une jouissance infinie, celle d’être remplie comme elle en avait besoin. Même si elle était dans l’action, Olga avait entendu la demande de son mari

- Oui Elodie, fais jouir mon mari pendant que je prends mon pied comme une chienne!

Bien que tout à son plaisir, Olga voulait rassurer la petite encore peu habituée à ses excès.

- Ne t’inquiète pas chaton. Ce qu’ils me font est absolument divin, je n’ai jamais rien connu d’aussi délicieux depuis longtemps. Allez, les garçons, défoncez-moi tous les deux !

Olga était à leur merci, totalement abandonnée à leurs coups de reins. Elle se sentait totalement chienne avec ces deux bites dans la chatte. Elle cria sous les coups qui redoublaient d’intensité et les supplia de continuer. Elle recommença alors une formidable série d’orgasmes, qui allèrent crescendo. Le plaisir voila ses grands yeux noirs, mais le regard complice qu’elle échangea avec Philippe n’avait pas échappé à Elodie. A son tour, il voulut rassurer la jeune étudiante:

- Je sais que c’est extrême, mais elle a l’habitude d’aller jusque là quand elle est particulièrement excitée. Ne sois pas inquiète, princesse, n’oublies pas comment tu l’as fistée hier soir.

Elodie observa Philippe et continua à accompagner son excitation montante, par ses caresses de plus en plus intenses. Il connaissait si bien son épouse hypersexuelle. Il savait que çela pouvait durer un moment, mais que le caractère extrême de ce coït allait accélérer l’orgasme ultime de son épouse, celui qui la laisserait enfin repue, brisée par le plaisir.

Mario, excité par le spectacle, sodomisait de son côté sans ménagement la petite rousse, tandis qu’Elodie, tout en douceur, fusionnelle et apaisée, blottie tout contre son Philippe, le caressait avec longueur et générosité. Quand Olga lâcha enfin son dernier râle de plaisir, Elodie se débrouilla pour accompagner l’éjaculation de Philippe, en harmonie avec l’orgasme final de son épouse.

Elle trouva son geste très beau et respectueux envers ce couple merveilleux. Elle se sentit terriblement fière d’avoir accompagné son Philippe ainsi dans sa pratique du candaulisme. Cette magnifique abnégation était sublime à voir et à vivre. Elodie frissonna de satisfaction, ne pouvant cacher ses émotions, accrochée à Philippe comme une bouée de sauvetage, sa main serrée autour de sa queue pleine de liquide, épais, chaud et gluant, dégoulinant entre ses petits doigts. L’odeur du sperme chaud, mêlé à celle de son parfum “bleu de chanel”, était en parfaite harmonie.

Mario, en bon Italien macho, partit en extase comme un drame de la « comedia del arte »

- Il tuo culo da Madonna renderebbe duri gli eunuchi vaticani (Ton cul de Madone ferait bander les eunuques du Vatican)


***

C’est une Olga vacillante sur ses talons que Philippe rapporta à la maison. Elodie resta cachée dans la cuisine un long moment, à tel point qu’elle finit par se demander ce qu’elle faisait là. Elle avait entendu le bruit de la douche, puis celle étouffée d’un plaisir féminin. Face à cette solitude imposée, l’idée de s’enfuir de la vie de ce couple se faisait de plus en plus insistante.

Philippe la retrouva dans l’entrée, main sur la serrure, visiblement perdue et ne sachant que faire. Il arriva nu, avec son élégance naturelle. Il ne bandait pas, la prit par la main, doucement et sans rien dire l’amena à la chambre comme une gamine. Olga, épuisée, dormait à poings fermés de son côté du lit. La belle hypersexuelle, repue de sexe, dormait comme un bébé. Nue et jambes ouvertes Olga avait encore le sexe luisant de celles qui ont reçu un généreux cunnilingus. Leur regard avec Philippe se croisa, il savait qu’elle savait.

- Olga m’offre ma pipe du matin, moi son cunnilingus du soir. Une belle tradition, n’est-ce pas?

Philippe recouvrit du drap le corps de son épouse endormie et lui déposa un baiser amoureux sur le front.

Face à son épouse endormie, Philippe déshabilla la petite, lentement, avec amour, probablement comme il venait de le faire à son épouse un peu plus tôt. Une fois nue, Philippe conduisit Elodie sous la douche et la lava avec soin, comme une mère le ferait avec son . Il sécha délicatement cette fragile poupée et sa queue prit vie pour bander avec la fierté du devoir accompli. De retour à la chambre, il l’installa sur le lit, à côté de son épouse endormie, lui écarta les pieds pour que son petit sexe luisant lui soit offert.

Philippe laissa ses lèvres effleurer les pieds de la gamine, lui offrit des petits bisous légers et de coups de langue agile. Il finit par gober ses orteils comme si il leur offrait un cuni ou qu’il était fétichiste des pieds. Elodie n’avait jamais connu cette émotion délicieuse et fondait sur place.

Il prit tout son temps pour remonter ainsi, lentement, de ses petits orteils sensibles, aux chevilles, aux genoux, aux cuisses. Les jambes de l'étudiante pesaient une tonne. Elle se savait perdue d’avance sous l’avancée terrible et progressive de cet homme vers son bas ventre. Elle en perdit sa respiration et commença à lâcher des halètements de plus en plus rapprochés et de plus en plus forts. Sa machine à cyprine s’était activée. Philippe passa de ses cuisses à son ventre sans toucher son clito; éveillant chaque centimètre carré de son petit corps. Il glissa enfin ses mains puissantes sous ses fesses et approcha sa bouche à dix centimètres de son clito. Elodie sentait son souffle sur sur sexe. Elle était à bout.

Avec une lenteur déconcertante, Philippe approcha sa langue du clito en feu et y posa enfin la pointe coquine et dressée, exerçant sur le point une pression de plus en plus intense. Elodie n’en pouvait plus de cette attente délicieuse, leva ses jambes écartées au ciel, s’abandonnant à son Philippe. Il but chacune des éjaculations féminines qui sortirent d’elle avec une avidité insoupçonnée. Philippe le patient et le doux, vint décupler le plaisir d’Elodie en agissant en folie, laissant sa langue la prendre en mode hystérique. Cela déclencha une nouvelle vague d’éjaculations et quand Philippe prit possession de son anus avec son majeur une autre série suivit. L’orgasme d'Elodie fut particulièrement sonore, mais sans que cela ne réveille Olga.

- Dieu, que j’aime te boire et que ton écartement entre tes jambes est délicieux

Cet homme aimait ainsi les deux pires complexes d’Elodie qui lui avaient pourri les dix dernières années de son existence. Quelqu’un sur cette planète prenait plaisir à ses défauts et à ses peurs les plus intimes.

- Demain, dit Philippe en embrassant Elodie, je te ferai l’amour, mais je veux que ce soit devant Olga.

Elodie était comblée. Son cerveau fit un switch off et, lovée amoureusement dans les bras de Philippe, elle s’endormit sans s’en apercevoir. La journée avait été particulièrement longue et intense.

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