Mon Épouse S'Offre

Je vais vous raconter l’histoire extraordinaire que je vis depuis cinq ans grâce à mon épouse coquine.

Celle-ci, 32 ans, 1m62, poitrine très agréable à toucher et à regarder et une petite chatte qui ne se sent bien que remplie.

Tout a commence par des discussions de plus en plus ciblées lors de nos ébats ou elle me demandait de la traiter de salope, de putain, de femme facile etc…

J’en étais donc arrive à la conclusion qu’un de ses fantasmes serait de se donner à d’autres hommes. N’étant pas un homme jaloux de nature, j’ai commence à entrer dans son jeu en me demandant quand même quelle serait ma réaction en la voyant se faire pénétrer par un autre homme que moi.

Les allusions devenant plus précises de jour en jour, je lui ai donné la permission de se livrer a son petit jeu mais a une seule condition : elle devrait tout me raconter ou m’inviter a ses « sauteries ». Elle fut immédiatement d’accord et commença donc sa transformation de petite épouse fidèle en véritable salope.

Tout d’abord, elle commença à s’habiller exclusivement en jupes et bannit de sa garde-robe toute forme de slips, strings ou tangas. Je dois aussi vous dire qu’elle ne porte jamais de soutien gorge. Elle porte également depuis ce jour exclusivement des bas autofixants.

Nous voila donc partants pour notre première soirée soumise aux nouvelles règles : Elle a mon consentement pour s’envoyer en l’air avec qui elle veut, quand elle veut et ou elle veut !

Etant en fin d’après midi, nous avons décidé de faire un peu de shopping dans un grand centre commercial de la ville. Mes premières sensations seraient donc celles d’un mari assistant aux exhibitions de ma petite salope envers les vendeurs et clients.

Ne portant aucun sous-vêtement, elle commença d’abord par de multiples essayages en prenant le soin de ne pas fermer complètement le rideau de la cabine, ce qui faillit provoquer, chez certains hommes présents, un arrêt cardiaque immédiat.


Elle poursuivit ensuite sa provoc devant un pauvre vendeur de chaussures, écartant les cuisses pour que celui-ci puisse profiter de la vue de son petit abricot totalement épilé et déjà brillant d’envie d’être touché.

Elle s’amusait énormément de l’effet de ces agissements sur tous les hommes présents et je dois dire que, la connaissant bien, ce regard trouble trahissait certainement une humidité croissante entre les cuisses.

Nous décidâmes alors qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Elle décida de s’installer à la terrasse d’un bistrot des environs. Je m’assis à une autre table, faisant semblant de ne pas la connaître. Etant assise en bord de terrasse, elle ne se priva pas de croiser et décroiser les jambes chaque fois qu’un homme passait devant elle en le regardant bien dans les yeux.

Il ne fallut pas plus de cinq minutes pour qu’un type, la vingtaine ne lui demande s’il pouvait s’asseoir à sa table. Ils commencèrent une discussion que j’imaginais plus que directe. Elle me confirma par la suite que ce type l’avait en fait déjà matée lors d’un des essayages pervers un peu plus tôt, qu’il savait qu’elle était presque à poil et qu’il bandait comme un fou a l’idée de l’avoir en face de lui. Sans se démonter, elle dégagea la tasse de café de la table en verre et écarta lentement les cuisses pour qu’il puisse avoir une vue imprenable sur son sexe gonflé.

Je le voyais devenir de plus en plus rouge d’excitation et me demandais s’il n’allait pas éjaculer sur place. Il se leva et lui glissa quelques mots à l’oreille non sans se frotter contre son bras pour lui faire sentir la dureté de son sexe. Il s’éloigna vers les toilettes.

Elle prit alors son portable pour m’appeler et m’expliquer que le type lui avait propose de le rejoindre dans les toilettes et qu’elle avait bien l’intention de le faire, mais qu’elle voulait d’abord savoir si je le voulais vraiment aussi fort qu’elle. La bosse qui déformait mon pantalon ne pouvait réellement trahir le fait que je ne puisse pas lui donner ma bénédiction.
Je lui demandais seulement deux minutes pour que je puisse trouver un endroit pour assister à la scène.

Les toilettes étaient au fond du bar et je m’y rendis d’un pas ferme. Le type était au bout du bar parlant au téléphone et ne m’a pas vu entrer. Je suis rentre dans une des toilettes et
J’ai attendu.

Ils sont alors entres en même temps. Il lui a immédiatement tenu un discours que je n’aurais pas osé utiliser moi-même avec elle :

- Alors, petite bourgeoise, on se promène à poil ? On montre son sexe aux inconnus ? On a besoin de sensations ? Tu vas être servie, je vais m’occuper de toi et tu vas te souvenir de ta petite après-midi de salope ? Tu aimes ça, non ?

A ma grande surprise, elle ne parut pas du tout offusquée par ses paroles et je l’entendis répondre aussi crûment :

- Toi aussi tu vas te souvenir de moi. Je suis sure que tu n’as jamais eu une chatte comme la mienne et j’espère que tu sauras la satisfaire comme il faut.

Il la retourna alors face au miroir et lui plaqua son sexe bien dur entre les fesses. Il lui dit : Je vais te prendre comme tu ne l’as jamais été. Il lui arracha les boutons de son chemisier et commença à lui caresser les seins devant le miroir. Il lui pinça les tétons qui durcirent instantanément. Il la pinçait vraiment fort mais bizarrement c’était plus une grimace de jouissance que de douleur. Encore une surprise pour moi !




Il lui dit : Regardes-toi, tu es déjà au bord de la jouissance. Avoues que c’est bon de se faire tripoter dans un endroit sordide par un inconnu ? Elle souffla : Très bon !
Alors, voyons si tu as vraiment envie.

Il lui remonta sa jupe sur ses hanches et lui ordonna d’écarter les jambes. Je ne me serais jamais imaginé qu’un jour, je verrais ma femme dans les toilettes d’un bistrot, le chemisier ouvert, la jupe retroussée donnant en offrande ses seins et son sexe a un inconnu qui ne se privait pas de les malaxer avec vigueur.
Il avait maintenant introduit deux doigts dans sa chatte et la branlait en continuant à lui parler durement.

Ma situation était en même temps celle d’un mari cocu mais également celle d’un voyeur matant une femelle superbe se faisant baiser comme une pute. Je n’arrivais pas à me persuader que c’était elle qui commençait à gémir de plus en plus fort et je commençais à vraiment avoir mal au sexe de bander aussi fort.

Le type avait maintenant défait son pantalon et exhibait un sexe d’une longueur et d’une grosseur impressionnantes. Elle le prit en main et commença à le branler de plus en plus vite. C’est elle qui se décida à le guider entre ses fesses jusqu'à l’entrée de son vagin humide. Il la pénétra alors d’une seule longue poussée et je la vis se soulever dans un râle puissant. Elle était vraiment empalée sur lui comme sur une lance. Ses hauts talons touchaient à peine le sol et on entendait plus que le bruit des couilles du type battant sur ses fesses. Il avait repris possession de ses bouts de seins qu’il triturait sans douceur.

Elle criait : Plus fort, baises moi fort, défonces moi comme une salope, je suis ta pute.

Il sortit de son sexe et la fit se retourner et s’accroupir. Il lui prit les cheveux et la força à ouvrir la bouche. Elle l’enfourna jusqu'à la garde et commença un long va et vient autour de sa longue bite. J’avais vraiment l’impression qu’il utilisait sa bouche comme un sexe.

Soudain, la porte s’ouvrit sur un autre type. Le premier lui dit : Enfin, je me demandais vraiment si tu allais venir. Il continua : « tu vois, comme je te l’ai explique au téléphone, cette bourgeoise avait vraiment faim de sexe et je pensais bien que nous ne serions pas trop de deux pour la satisfaire » Ma femme ne pouvait pas réagir, le type la maintenant par les cheveux et ne pouvait pas crier, la bouche remplie par ce sexe énorme.

Je vis cependant une lueur dans les yeux de ma femme qui me confirmait que cette intrusion n’était pas pour lui déplaire.
Elle y mit une telle pression que le premier type eut un spasme lorsqu’il éjacula dans sa bouche et continua à la tenir jusqu'à ce qu’elle ait tout avalé.

Il se tourna ensuite vers son copain et lui dit :
Elle suce vraiment comme une déesse, sa bouche est presque aussi bonne que son sexe. Il faut que tu essayes » « et toi, ma salope, que penses tu de deux queues pour le prix d’une ?

A ma nouvelle grande surprise, elle défit le pantalon du deuxième, sortit sa queue de son slip et le fit asseoir sur la table. Elle commença immédiatement à le pomper avec ardeur. Elle, d’habitude si sage avait en bouche sa deuxième queue de l’après midi.

Le premier type, qui bandait toujours aussi dur, vint alors se placer derrière elle et s’introduit à nouveau en elle. Je ne pouvais pas détacher mon regard de cette femme si timide et prude, se trouvant à quatre pattes dans des toilettes de bistrot, en train de se faire pénétrer par deux queues inconnues une demi-heure auparavant et qui manifestement y prenait un plaisir indescriptible.

« Tu aimes ça, ma salope ? Tu avais raison, je n’ai jamais connu une chatte aussi bonne et accueillante que la tienne. Mais voyons aussi si tu aimes vraiment tout »
Il ressortit sa queue toute mouillée de foutre de son vagin et se dirigea un peu plus haut vers son petit trou de cul. Il faut savoir qu’elle m’a toujours refusé de l’enculer prétextant le fait qu’elle n’aimait pas ça et que je lui faisais mal.

Il humidifia son doigt et l’introduit dans son anus. Elle cria et voulut se retirer mais le deuxième type la tenait par les hanches et l’empêchait de bouger. Il a commence à la sodomiser de plus en plus fort et en introduisant deux puis trois doigts dans son cul. Elle ne se débattait plus de la même manière et son mouvement de recul s’était modifie en un mouvement de plus en plus lascif. Il retira ses doigts et présenta son gland entre ses fesses. La résistance fut de courte durée et très vite, il fut totalement en elle. Il commença à la bourrer de plus en plus vite et fort. Malgré le fait qu’elle ait une autre queue en bouche, ce qui l’empêchait de crier, elle eut un orgasme d’une violence inouïe.

C’est alors qu’il demanda a son copain : Que dirais tu d’un bon sandwich ?
Il s’assit et écarta les cuisses de ma femme au maximum. Le deuxième vint se placer devant eux et n’eut aucune difficulté à la pénétrer profondément. Ils commencèrent à bouger ensemble à un rythme incroyable. Ils me purent résister très longtemps et éjaculèrent ensemble dans son sexe et dans son cul, ce qui déclencha chez elle un autre orgasme.

Les deux types se rhabillèrent rapidement et sortirent des toilettes. Ma femme se redressa et reprit lentement ses esprits. Je sortis alors de ma cachette et la regardai longuement. Ses merveilleux seins étaient tout rouges et portaient encore les stigmates des pincements et des morsures violents des deux types. Elle n’avait pas encore baisse sa jupe et sa chatte luisait encore du sperme de ses deux amants. Je la caressai alors doucement, étalant sur ses deux trous ce liquide blanc qui n’arrêtait pas de couler.

Elle me dit alors : - Tu as aimé ?
- Beaucoup même si j’ai cru devenir fou à plusieurs reprises. Et toi ?
- c’était une expérience extraordinaire, surtout que je savais que tu me regardais. Le pire est que je n’ai jamais cru en être capable. J’ai maintenant le feu en moi et je ne compte pas m’arrêter de sitôt. Mais seulement si tu es toujours d’accord.

Je l’embrassai tendrement en lui disant : Je t’aime.

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