Chantal, Mon Épouse (2)

La Matinée de Chantal,

Elle arriva sur son lieu de travail en même temps que deux autres employés, le troisième était déjà entré, son Directeur avait assuré l'ouverture.
Après avoir retiré son manteau au vestiaires des dames, elle remonta légèrement ses bas qui descendaient, puis rabattit sa robe.
Elle alla saluer son patron et récupérer la caisse avant de rejoindre son poste de travail à l'avant du magasin, une sorte d'aquarium comme cela sa faisait à l'époque.
Il la regarda de bas en haut lorsqu'elle entra dans son bureau, un large sourire se dessinait sur son visage en la voyant si sexy.
Les premiers clients arrivèrent, tout le monde était très occupé, Chantal faisait les encaissements sous les regards plus où moins appuyés des acheteurs.
Le téléphone retentit alors que les vendeurs étaient très sollicités, un appel en interne.
- Tu es très en beauté, en suis je la raison ?
- Peut-être lui répondit elle,
- Tu as pensé à moi cette nuit ?
- Oui et non, mon mari n'a eu de cesse que je lui raconte notre délire,
- Tu lui as dit ?
- Bien sûr mais ne t'inquiète pas il est très ouvert,
- Ah bon ! presque soulagé,

Elle le rassura, du coup il reprit la raison de son appel.
Quel trésor caches tu sous ta robe ?
J'ai des sous vêtements... noirs, des bas autofixants gris mais tu as du les deviner quand je suis rentrée dans ton bureau, c'est mon mari qui a eu cette attention, tu fais quand même la différence entre des bas et des collants ?
Bien sûr !
Chantal je souhaiterai que tu relèves légèrement le bas de ta robe et que lors des encaissements du t'écartes un peu du comptoir.
Tu es certain de vouloir m'exhiber ? comme tu veux, mais il va y avoir une émeute !
Fais comme je te dis, je vais venir voir ce que ça donne.
Il raccrocha,
Elle jeta un œil en direction des vendeurs et clients et discrètement fit ce qu'il venait de lui demander, remontant le tissus de sa robe sur ses cuisses jusqu'a la limite du marquage de ses bas.

Les trois quart de ses jambes étaient à la vue des personnes qui se présentaient au comptoir si elle s'écartait du bord, comme tel était son souhait.
Rien que d'imaginer la scène, elle sentait son sexe s'humidifier et des picotements au ventre.
Il vint la rejoindre, se mis comme pourrait le faire un client devant elle, ils se regardèrent un court instant puis elle fit rouler son siège en arrière, il manqua de s' devant la vue qui s'offrait à lui.
Effectivement lui dit il à voix basse, il est préférable que tu restes les jambes sous le bureau.
Pourquoi tu ne veux pas que les autres en profitent ?
Non !
Jaloux ?
C'est pas ça, mais j'ai déjà moi du mal à me contenir pour ne pas te sauter dessus !
Soit patient, j'ai un peu de temps, mon mari et mon fils ne m'attendent pas ce midi.
Il tourna les talons, ravis de la tournure de cette fin de matinée et repartit à son bureau.
Malgré la recommandation, elle s'amusa à s'éloigner du bord du bureau se délectant du regard pleins d'envies des hommes, notamment lorsque ceux ci accompagnés de leurs épouses ne savait pas où poser les yeux, voir la gêne qu'elle provoquait l'amusée tout en renforçant son excitation.
A midi, ces trois collègues prirent congés, Chantal avait encore à faire les derniers encaissements et clôturer sa caisse. Durant cet espace temps, le Directeur en profita pour fermer les différents accès à l'entreprise.
Avant de quitter son espace de travail et rapporter le tiroir des espèces qu'il fallait mettre au coffre, elle me téléphona pour me dire : ne m'attendais pas, je ne rentre pas de suite. J'ai voulu savoir si il avait déjà tenté quelque chose, je t'en parlerai ce soir qu'elle me dit, je lui ai murmuré : bonne baise et j'ai raccroché.
Elle quitta son aquarium, donna la caisse à son patron en lui disant : il faut que j'aille faire pipi, j'en peux plus !
Lorsqu'elle en sortit, il l'attendait dans son bureau, elle le rejoignit et d'emblée, il l'enlaça et ils échangèrent un long baiser.

Durant cette étreinte, il lui retira sa robe qui tomba au sol , ne lui restait que sous vêtements, bas et bottes sur elle, il lui agrippa les cheveux et la contraint à s'agenouiller. De son autre main, il fit descendre le zip de son pantalon et en sortit son sexe à moitié bandé, elle commença à passer sa langue sur la hampe avant de l'emboucher et de lui prodiguer une agréable fellation. Il imposait le rythme et percutait le fond de sa gorge à chaque poussée.
Il l'encourageait par des : suces bien, salive sur ma queue, bouffe mes couilles.
Loin de l'offusquer cela l'encourageait,
Depuis le matin où il l'avait dévisagé en arrivant, de la vue qu'il avait eu lors de sa visite à l'aquarium, robe retroussée au delà de ce que la morale réprouve, du fait qu'il la voyait aussi se dégager du bureau de temps à autre devant les clients, tout cela l'avait mis dans un état d'excitation indescriptible, sa queue lui faisait mal, il allait lui faire payer.
Rapidement, il éjacula au fond de sa gorge, l'obligeant à tout avaler, ce qu'elle fit sans rechigner. Toujours agenouillée, la bouche à peine ouverte, elle tétait le gland avec douceur recueillant le peu de lait blanchâtre qui perlait à son extrémité. De sa main libre, elle effleurait son bouton d'amour, il était totalement dressé dans sa corolle rose. Elle aussi ne voulait pas faire descendre la pression qui lui tenaillée le bas ventre, elle voulait qu'il la baise, que sa mentule perfore sa chatte et gicle tout son soûl. Depuis hier, baiser avec un mec qui avait presque l'âge de son père lui procurait des nouvelles sensations.
Il la releva, l'embrassa à nouveau et la tenant toujours par les cheveux, il décida de lui faire faire un tour du magasin. Mais avant cela il lui fit retirer slip et soutien gorge. Uniquement vêtue de ses bas et de ses bottes, ils déambulèrent ainsi à quelques mètres des vitrines, un automobiliste qui aurait eu le reflexe où le temps de s'attarder sur ce qui s'y passait, aurait eu toute joie de voir mon épouse nue où presque.

En totale soumission, elle sentait sa chatte encore s'humidifier, sa cyprine maculait le haut de ses cuisses. Lui n'était pas en reste puisqu'une nouvelle érection prenait forme.
Face aux vitrines, il y a des ilots de matériel en exposition, il en choisit un fait de pneus empilaient les uns sur les autres et d'une hauteur qui arrivait à la poitrine de Chantal. Il la fit mettre face à la rue, elle le supplia de choisir un endroit moins exposé, que de là, n'importe qui pouvait la voir, il n'en avait rien à faire et lui dit : d'exhiber tes cuisses toute la matinée ne t'as pas gêné, tu imagines le nombre de clients qui ce sont peut-être branlé dans leurs voitures en sortant ! où qui penseront à toi ce soir en baisant leurs femmes.
Elle dû se cramponner aux pneus pour garder un équilibre quand il la plaqua, son sexe frottant sa raie fessière, elle écarta ses cuisses afin de lui donner un accès plus facile à son nid d'amour tout en exposant sa poitrine aux éventuels voyeurs. Elle se cambra d'avantage et il l'enfourcha sur son pieu dressé. Comme la veille, un son rauque sortit de sa gorge au moment où il percutait son utérus. Il resta figé en elle quelques instants empoignant ses seins, les malaxant sans douceur, il voulait lui faire mal, la punir de son audace. C'est le contraire qui se produisait, elle aimait cette brutalité et le fait d'être éventuellement vue de la rue décuplait son envie de sexe. Il entama un retrait puis un réinvestissement de cette grotte humide qui lui compressait la queue, elle accompagnait chaque coup de butoir au fond de sa matrice. Seul au monde où du moins dans le magasin elle ne chercha pas à les cris de contentement qui sortait de sa bouche à chaque fois qu'il martelait sa chatte.
La joute dura de longues minutes, ponctuait par des insultes qui décuplaient sa libido, elle répondait par des : plus forts, encore et autres sons, par moment il lui sembla que des voitures ralentissaient en passant devant le magasin, avait il une vue sur ce qui s' y passait ? elle ne le saura jamais trop prise par le plaisir que lui prodiguait son patron et son envie de jouir.
Lui qui hier l'avait sodomisé sans lui donner de jouissance vaginale comme elle l'aurait souhaité et dont elle s'était sentie frustrée.
Aujourd'hui elle pouvait se laisser aller sans aucune retenue, il n'allait pas réitérer.
C'est ce qui se passa, elle capitula avant lui, collée à son torse, les bras en arrière pour l'empêcher de se retirer, son orgasme retentit dans tout le magasin, pour sa part et parce qu'il avait jouit dans sa bouche plus tôt la délivrance ne venait pas. Il décida de s'extraire de cet antre baveux et positionna comme la veille son gland sur la petite rosette plissée.
Il la lubrifia avec la mouille qui s'échappait du sexe de ma femme et sans résistance investit le conduit étroit. Ayant eu son plaisir, elle le laissa faire tout en se pliant à cette possession. Il ne fut pas long à venir, la contraction de ses intestins et l'étroitesse du conduit sur sa queue fit monter sa sève et il s'épancha dans ses reins en poussant des grognements de satisfaction d' avoir à nouveau vaincu ce cul, ce qui déclencha un court orgasme à Chantal, malgré qu'elle ne soit pas pleinement partisane de la sodomie. Ils étaient tout deux en sueur, elle reprenait pieds sa pudeur reprenait le dessus et par la même chercha à se cacher de la route. Il ne l'entendait pas ainsi et il la plaqua toujours planté en elle quelques instants contre la vitre en attendant que sa queue s'extrait de sa gaine. Par bonheur, aucun véhicule ne passa à ce moment.
Toujours dévêtue elle prie place sur le bureau de son Directeur, les jambes biens ouvertes, en appuie sur ses bras, les seins dressés, face à elle, assis dans son fauteuil il se délectait de voir son foutre s'extraire de son conduit anal. Chantal le regardait, il n'avait toujours pas juté dans sa chatte et elle ne voulait pas partir sans se sentir remplie de la semence de son patron, elle voulait le vider.
Il était plus de 13 heures, le téléphone sonna, il décrocha sachant que cela ne pouvait être que son épouse. Elle se demandait quand il pensait rentrer. Chantal en profita pour s'agenouillée et posa ses lèvres sur son sexe puis l'emboucha. Rapidement il se mit à bander. Elle se redressa et reprit place sur le bureau, positionné ainsi elle prit sa queue en main et le guida dans sa chatte en feu, il fit un mouvement avant et l'empala de toute sa longueur. Si sa femme au bout du fil avait pu se douter de quoique se soit. Elle écrasait ses seins contre son torse tout en lui faisant des bisous dans le cou, elle entendait presque le son de sa rivale et cela la rendait encore plus vicieuse. Il finit par raccrocher, la saisie par les hanches tout en l'insultant à chaque coup de queue dans sa chatte. Rapidement leurs cris se mêlèrent, puis n'en pouvant plus, il inonda cette grotte voluptueuse de sa liqueur séminal, cela faisait longtemps qu'il n'avait autant déversé de foutre. Chantal pouvait être satisfaite, elle avait eu ce qu'elle voulait. Ils reprirent leurs esprits tout en s'embrassant, collé l'un à l'autre, lui flattant l'entre cuisse qu'il venait de souiller.
Il s'adressa à Chantal : tu vois ma femme ne me fait plus bander, j'adore tout chez toi, tes habits, tes sous vêtements alors qu' elle ne porte que des trucs vieux de vingt ans.
De plus, en deux jours tu m'as tout donné.
Elle ne savait pas si elle devait prendre cela pour un compliment où si à ses yeux elle n'était qu'une catin !
Il la regarda s'habiller.
Ils s'embrassèrent une nouvelle fois et quittèrent les lieux.

Sur le parking, assise dans sa voiture, il put glisser encore une fois sa main sous sa robe, son entrejambe était poisseuse du sperme déversé en elle. Dans un sursaut de lucidité il lui demanda si elle était protégée....
Il est temps que tu te poses la question ! ne te tracasse pas je le suis, lui répondit elle.
Un dernier baiser chaste et chacun retourna chez lui.
Ce soir là nous avions une invitation chez des amis, elle avait profité de mon absence pour prendre un bain dans l'après midi. Elle me fit quand même un condensé de son entre midi tout en me suçant comme elle l'avait fait à son patron. Je n'ai pas cherché à me retenir, inondant sa bouche de ma liqueur de mâle. Je pouvais attendre notre retour pour qu'elle me raconte en détail sa débauche adultère.
Je lui ai demandé de s'habiller comme elle l'avait fait ce matin, elle voulut d'abord refuser prétextant que d'une part sa culotte était encore empreinte du traitement infligé par son patron et que là où nous allions elle serait gênée dans ses mouvements, d'autant que mon pote Francis ne cesse de reluquer entre ses jambes chaque fois qu'elle fait le moindre mouvement. Je n'ai pas abdiqué et c'est contrainte qu'elle sortit du panier ses effets et qu'elle les enfila.

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