Chantal Mon Épouse

Chantal, mon épouse

A l'époque Chantal, devenue mon ex depuis avait 30 ans, moi à peine plus et son patron en avait une bonne cinquantaine.
Il avait une réputation d'homme à femmes, plusieurs de ses collègues féminines ayant été à un moment où un autre la maitresse de ce dernier.
Jusqu'a ce jour, un vendredi pour être précis, il n'avait eu aucune attention particulière pour elle....sexuellement parlant !
Il s'est intéressé à mon épouse en ce début du printemps, Chantal avait déjà était la "copine" de certains de ses collègues masculins, elle était secrétaire-comptable dans ce commerce de pièces automobiles et industrielles.
Pour la décrire, je dirai qu'elle fait un petit mètre soixante, une bonne quarantaine de kilos, elle est brune avec un tour de poitrine équivalent à un 85 B de quoi satisfaire les mains d'un honnête homme.
Ce jour là elle portait une jupe plissée, des collants fins noir et un pull rouge avec un col en V.
Elle s'était chaussée d'une paire de bottes, pratiquement les dernières journées à pouvoir encore les mettre.
Quelques années après notre mariage, j'avais poussé ma femme à se libérer et très rapidement je suis devenu un mari consentant qui avait pour seule exigence qu'elle me raconte ses écarts en rentrant à la maison.
Ce fameux jour, il l' invita à prendre un café à l'extérieur de l'entreprise. Après qu'elle ait mangé avec ses autres collègues à la cantine, elle s'éclipsa discrètement et le rejoignit à pieds dans ce relais routier distant de quelques centaines de mètres du bureau. Il ne lui avait pas fait part des raisons de cette invitation et elle s'y rendit curieuse connaissant le personnage et sa réputation. En entrant dans cet espace, elle fit sensation, habillée comme elle l'était.
Il se montra très courtois, demandant si tout allait bien dans son travail, ses rapports avec les autres salariés, etc....
Pour planté le décor il faut savoir qu' entre midi, les employés qui le souhaitent peuvent se restaurer dans une cantine improvisée (ce qu'elle fait fréquemment), mais ils ont interdiction de venir dans le magasin avant l'heure de reprise, il en est de même pour ceux qui mangent à l'extérieur.


Après avoir consommé leurs cafés, le moment était venu de retourner au travail. Elle monta dans sa voiture et les yeux de son patron se posèrent sur ses cuisses partiellement dévoilées.
Au lieu de rentrer par la porte de service, il la fit passer par l'entrée du magasin. Un silence total régnait dans celui-ci, il referma derrière lui et après s'être assuré rapidement que personne n'y était, il l'empoigna par le bras et se glissa entre deux rayonnages. Sans lui laisser le temps de comprendre quoique ce soit, il l'enlaça et ses lèvres vinrent au contact des siennes, qui surprise n'eu aucun mouvement de recul. Ce baiser dura un bon moment où la langue puis les langues se nouèrent de concert.
Dans le même temps, les mains de son patron glissèrent sous le manteau court qu'elle portait et soupesèrent la poitrine parfaitement moulée sous son pull.
Lorsqu'ils cessèrent cette joute buccale, il lui dit : suis moi !
Il rentra dans son bureau. A midi, avant de le quitter il avait pris soin d'en fermer les persiennes donnant sur l'intérieur du magasin. Il s'assit dans son fauteuil et demanda à Chantal de venir devant lui, elle fit ce qu'il demandait mais restant un peu loin à son goût il la fit se rapprocher, l'obligeant ainsi à se positionner au dessus de lui, elle se retrouvait elle même à l'enjamber et être dans une posture délicate.
Il posa ses deux mains à l'arrière des genoux et la regardant dans les yeux, les fit glisser le long de ses cuisses atteignant le fessier qu'il caressa un instant.
Retrousses toi lui intima t-il ! d'un ton qui n' acceptait aucun refus,
Elle se retourna vers la porte et il la rassura en lui disant : n'ai pas d'inquiétude ils ont encore dix bonnes minutes avant la reprise.
Elle prit en main le bas de sa jupe partiellement relevé et lentement la remonta jusqu'a la taille.
Elle se retrouvait devant son patron, la jupe retroussée, les cuisses écartées.
Devant lui, masqué par le fin collant, il se régalait de la vue que lui offrait mon épouse, de sa culotte blanche faite d'un tulle transparent il entrçut la touffe brune qu'elle dissimulait.

Il porta une de ses mains sur le bas ventre et tout en faisant un geste circulaire descendit vers le bombé de son intimité. Tout se bousculait dans la tête et le corps de Chantal, elle tentait de mettre un peu d'ordre dans son esprit mais ressentait en elle un désir qui mouillait son entrejambe. Il continuait de la caresser et sa main à présent s'attardait sur son sexe, le collant et la culotte n'étant qu'une frêle barrière à sa pudeur. Il la sentait s'humidifier, il abandonna sa caresse et lui donna l'ordre de baisser ses sous vêtements pendant qu'il lui maintenait la jupe retroussée. Les cuisses de son patron ne lui permit pas de baisser le tout plus bas qu'a mi-cuisse, son sexe s'exposait à ses yeux. Ainsi offerte, il posa sa main sur la chatte brûlante, ses lèvres s'ouvrirent sous le travail inquisiteur de son index qui s'infiltra dans le nid douillet qui s'offrait à lui. Elle poussa un petit râle lors de la pénétration du doigt, ce qui fit sourire son tourmenteur, fier de la savoir à sa merci. Il la masturba quelques minutes, le plaisir montait dans son ventre, elle en oubliait le temps qui passait et ses collègues qui n'allaient pas tarder à revenir à leurs postes. Elle sentait l'orgasme prendre forme quand il cessa brutalement son jeu et lui intima de se rajuster, elle était sur le point de jouir et cette frustration la déboussola. Elle avait le feu au ventre et aux joues.
Il la congédia, elle tourna les talons et se rendit à son poste, elle croisa ses collègues étonnés de la voir dans le magasin, elle pensa que ce qu'elle venait de faire se voyait sur son visage mais personne ne lui dit mot. Elle se rendit aux toilettes, elle voulut tout d'abord finir ce qu'il avait commencé en se caressant, mais ce n'est pas sa main qu'elle voulait c'était celle de son patron, de ses doigts, de sa queue, tout son ventre se tordait sous le manque qu'il avait judicieusement créé !
Elle retourna à son bureau, son sexe était à feu, elle dandinait sur sa chaise, une de ses collègues lui demanda si elle se sentait bien, elle lui répondit que oui, tout allait !
Elle repensait à ces quelques minutes, ce qui ne calmait pas son envie de jouir, elle se demandait où cela la conduirait, son patron allait à coup sûr devenir un de ses amants, elle en avait pleinement conscience et envie et paradoxalement être une énième maitresse de ce dernier la vexait et l'excitait tout à la fois.

Vers 16 heures, il fit irruption dans le bureau et s'adressant à une des employées, lui demanda un dossier vieux de trois ans, celui ci ne pouvait être qu'aux archives. Cette dernière l'informa qu'elle n'avait pas trop de temps de suite et si il pouvait attendre. Il se tourna alors vers Chantal en lui disant : Allons y, j'en ai grandement besoin !
Elle se leva et le suivit, il s'agit d'une pièce sombre à coté du bureau, elle se doutait que la demande était non fondé et que son intervention n'avait pour but que de reprendre son jeu commencé entre midi. Elle sentit son sexe qui souffrait toujours de la frustration subit quelques heures plus tôt s'humidifier de plus belle.
A peine la porte refermée, il la conduisit au fond et l'installa en équilibre entre deux étagères, son sexe à hauteur du sien, ses mains s'égarèrent sous la jupe, il lui baissa collant et culotte, ouvrit son pantalon et son sexe en érection vint se frotter entre les cuisses de mon épouse. De sa main, il frotta son gland violacé le long de la fente de ma chérie. Elle le supplia de la prendre, de la pénétrée, la transpercée, mais il lui fit comprendre que c'était lui le patron même entre ses jambes. Elle ondulait sur cette tige, ses lèvres vaginales enveloppaient l'intrus et elle essayait de s'empaler, alors que lui se délectait de la voir ainsi soumise et demandeuse.
Tout en continuant son supplice, de sa main libre il flatta le postérieur et un de ses doigts chercha le petit œillet qu'il trouva facilement vu la position indécente qu'elle avait dans cette allée, le sexe totalement accessible, seul les tissus de ses sous vêtements l'empêchait d' être plus écartelée. Il força le passage et afin de lui donner une courte récompense, il s'introduisit dans son nid douillet, elle feula comme une chatte en chaleur qu'elle était, son corps enfin trouvait là de quoi la mener à cette jouissance dont elle avait été privé un peu plus tôt !
Mais son bourreau avait une tout autre intention en cet instant, ce qu'il voulait c'était la sodomisée, et son doigt qui flattait l'entrée secrète qui se détendait le conforter dans son projet.

Il se retira du nid douillet, alors que comme tout à l'heure elle était sur le point de jouir, il la descendit de son piédestal, la retourna et positionna son dard à l'entrée de sa porte anale.
Elle voulut l'en empêcher le suppliant de revenir dans sa chatte, mais il ne l'entendit pas ainsi et pour montrer son statut de dominant poussa sur l'anneau qui s'ouvrit, puis continua sa progression dans le boyau violenté, il s'introduisit complètement. Il resta un moment planté au plus profond de ses reins puis entama un mouvement de bassin, se retirant parfois totalement pour réinvestir cette grotte. Petit à petit le traitement qu'elle subissait fit monter sa jouissance dans son corps et elle accompagna chaque coup de reins de son tortionnaire en elle, ses cris étouffés risquaient d'ameuter ses collègues juste derrière le mur mitoyen. Son patron était sur un point de non retour également, elle le sentit grossir en elle et les jets puissants de son foutre au fond de ses reins la firent jouir dans l'instant. Il resta en elle jusqu'a ce que son membre perde de sa superbe et glissa hors de ses fesses, une bonne dose de sperme s'en échappa et macula le fond de la culotte de mon épouse. Elle avait peine à reprendre ses esprits alors que lui se réajustait. Il quitta les archives en lui demandant de prendre le fameux dossier sans même lui faire un baiser. Elle n'avait pas sur elle de mouchoirs où quoique ce soit qui lui permette de se rafraichir, elle dut se résoudre à remonter culotte et collant, emprisonnant toute la luxure dont elle venait d'être souillée.
Elle chercha le dossier et retourna à son poste. Le sperme de son patron continuait à poisser le fond de sa culotte.
Elle se rendit aux toilettes et essaya tant bien que peux de nettoyer son entrejambe.
Elle quitta le bureau vers 18 heures, salua son patron qui lui dit : à demain avec un sourire qui en disait long. Elle était de permanence ce samedi, se demandant comment aller se passer cette matinée.
Une fois au lit, elle me raconta ce que je viens de relater, inutile de vous dire qu'elle fut courte, je l'ai à plusieurs reprises harcelée pour qu'elle me raconte encore et encore son aventure et chaque fois je tapissais sa chatte de mon foutre brûlant.
Elle m'avoua son envie de poursuivre cette relation naissante.
Au matin, elle s'est habillée pour ce rendre au travail, je lui ai proposé de troquer ses collants contre des bas, qu'il en apprécierait l'audace !
Elle partit au travail, portant une robe, ses bottes et des sous vêtements noires.
Elle partit en me disant : il est possible que je te téléphone et que je rentre plus tard... c'est ce qu'elle fit !

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