Jocelyne 4

La première chose que je vis en me réveillant fut l'heure…. Diable ! Midi état passé depuis bien longtemps. Eh bien ! J'avais fais une longue nuit…longue nuit !... longue nuit ?... et les éléments du puzzle s'assemblèrent. Quelle nuit !... enfin, je veux dire la partie qui avait précédée mon sommeil, hummmm…. Je décidais immédiatement de paresser au lit et de ma repasser le film de la soirée. Je me rappelais bien que Bertrand m'avait dit en partant :
"Surtout n'oublie pas d'aller tout raconter à Guy demain !"
En fait je décidais que je n'irais que le lundi. Quand Bertrand m'avait invitée, je prévoyais un peu, disons, de fatigue et conséquence j'avais usé d'un jour de récupération horaire. Donc je ne verrais Monsieur Guy que le lendemain. Je serais plus fraîche pour céder à ses exigences.
Je remontais donc ma couette et me calais bien confortablement… j'étais douillettement bien….
Oh que j'avais joui… mon corps avait vibré avec exaltation. En fait, je réalisais que Bertrand m'avait poussée à un summum d'excitation avant de disposer de moi selon son bon vouloir. Petit à petit il m'avait fait faire ce qu'il avait voulu… il aurait pu exiger encore plus…. Je n’aurait du ressentir que honte et confusion de m'être exhibée de cette façon dans des lieux public. C’était bien cela le plus pénible… m'avouer que toute cette lente dégradation m'avait frémir de plaisir et qu'elle m'avait laissé haletante et avide d'autres expériences. Je revoyais comme des flashes les regards posés sur mon indécence, les mains qui m'avaient caressées les fesses, les doigts qui m'avaient procuré un orgasme en public et puis les visions revenaient sans cesse : ma promenade manteau ouvert, ma fellation devant mon pavillon ou bien les pervers agglutinés près d'une voiture ou encore ce couloir (que je nommais sur le champ "couloir du plaisir") où des femmes s'offraient (ou étaient offertes ?) à plusieurs partenaires devant des voyeurs.
Arriva ce qu'il devait arriver….

Mes mains ne purent s'empêcher d'étreindre mes nichons et d'en triturer les extrémités. Puis comme dotées d'une vie autonome, une glissa vers mon petit bourgeon gorgé de désir et l'autre vint constater la disponibilité de ma chatte. Je lissais ma vulve et tout d'un coup réagis… ma bougie…ou était ma bougie d'hier soir ? Admirablement en train d'attendre sur la descente de lit ! Je m'en emparais l'enduisit de salive et…et pris d'une inspiration subite je changeais d'avis et de position. Je me mis à genoux, la figure écrasée sur mon oreiller, et abutais la bougie contre ma rondelle qui s'était sagement refermée depuis le passage de Bertrand. Je poussais, l'ouverture de mes reins se fit accueillante et la bougie continua son chemin entre mes fesses. D'une mains je me mis à me dorloter le clitoris et de l'autre à me sodomiser hardiment…. Ce n'était pas le phénix, loin s'en faut… mais la salope qui renaissait de ses cendres en s'imaginant pourfendue par de grosses bites.
Une fois (un peu) assouvie, je décidais quand même de passer un petit coup de téléphone à mon ami Guy pour l'informer que je ne viendrais le voir que le lendemain. Finalement il en fut fort aise, puisqu'il conclut d'un ton prometteur en disant :
"… comme cela nous aurons plus de temps pour bavarder tous les deux….
Le lendemain matin me trouva en forme et fort bien disposée pour la bagatelle. Faire des cochonneries pendant que mes collègues étaient à leur poste de travail… sympa ! Toute émoustillée de faire admirer à Monsieur Guy mon entrejambe tout lisse je me coiffais et ma maquillais comme il aimait. Puis j'optais pour la complète nudité sous mon manteau, juste mes talons aiguille. J'avais toute l'après-midi et la soirée pour me soumettre à ces délires érotiques et je comptais bien en profiter. Qu'il m'emmène au septième ciel, peut-être pas… mais en tous cas il me baiserait cette fois, c'était sûr !
Comme à l'habitude sa porte n'était pas verrouillée, j'entrais. Je le prévins de mon intrusion et entrais dans sa salle à manger.
Il m'attendait au bout de la pièce. Avec grâce, je défis mon manteau, l'écartais, dégageais mes épaules d'un mouvement lascif de celles-ci, puis poings sur les hanches, je m'avançais vers lui en ondulant sensuellement. A mi-chemin je stoppais, jambes écartées et lui demandais :
"Cela vous plait ?"
"Tu es très belle…. Viens vite me faire toucher !"
En conséquence je m'approchais en laissant tomber mon manteau sur le sol. Ses mains caressantes et ses doigts habiles firent sinon le tour du propriétaire du moins une méticuleuse reconnaissance des lieux… extérieur et … intérieur…. Puis il me demanda d'aller m'allonger sur la table de salle à manger en précisant délicieusement :
" Je veux te déguster et jouer avec tes trous… les deux…."
Je pris donc sans le moindre retard la position demandée sur le dos, fesses au bord de la table, jambes relevées, genoux pliés et cuisses écartées au maximum. Tout de suite je sentis ses mains s'introduirent entre mes jambes écartées, du bout des doigts, il parcourut mes lèvres fiévreuses, puis il pinça mon clitoris assez brutalement. Je le sentis se raidir immédiatement sous la manipulation. Comprenant à mon souffle court que je n'offrirais aucune résistance à ses désirs, il accentua ses caresses avec plus de tendresse. J'eus bientôt le ventre brûlant et j'accompagnais ses effleurements d'ardents mouvements de hanches accompagnés de petits gémissements. Je ne cherchais qu'à sentir en moi ses doigts démoniaques. Sa langue vint tournoyer autour mon bouton désormais gorgé de sang.
"Maintenant ma petite Jocelyne, veux-tu... que j'arrête ? …"
"Non ... oh non Monsieur Guy, je vous en prie .... Encore ...."
"Je veux t'entendre dire ce que tu veux petite salope...."
L'esprit et l'entrejambe enflammés je balbutiais :
"Vos doigts .... Mettez moi vos doigts ..."
"Et où veux-tu que je les mette ?"
"Dans ma chatte ... mettez les dans ma chatte... branlez-moi…je vous en prie…."
"Et c'est tout ?"
"Oh non !.
..faites comme vous voulez… mettez les moi aussi dans le derrière !"
"Comment dis-tu ?"
"Non…non….je voulais dire…dans le cul… mettez lez moi dans le cul…"
"A la bonne heure !"
Il enfourna deux doigts joints dans ma féminité attisée, déclenchant immédiatement un flot de mouille qui lui inonda la main. Me poussant vers lui, je cherchais encore à augmenter sa conquête, il agitait ses doigts, les faisant pivoter, les enfouissant petit à petits coups bien à fond, avant de les retirer pour mieux les remettre de nouveau. Il poussa un peu plus et son pouce et vint contre mon oeillet frissonnant d'envie. Suavement il replongea deux doigts dans mon volcan le branlant avec vigueur tandis que son pouce amadouait mon anneau encore indiscipliné. Je roulais des hanches, désireuse d'approfondir le contact de ma rondelle que je sentais s'ouvrir sous la pression. Mon anus avait fort bien accepté l'intromission d'une partie de la première phalange et se prêtait de mieux en mieux aux intentions de Monsieur Guy. D'un geste magistral il m'enfonça imparablement le pouce dans le rectum, mes muscles se rendirent sans combattre et livrèrent un passage aisé. Je sursautais de surprise de me voir si facilement enfichée sur sa main. Sans attendre, il serra entre ses doigts mon périnée alangui sans me laisser souffler. J'avais déjà eu le devant ou le derrière doigté mais je ne crois pas avoir jamais enduré cette double caresses. Et égarée je me laissais aller au exploits de ses doigts dans mes orifices et de sa bouche et sa langue sur mon clitoris. Cela conduisit à une éblouissante jouissance qui me laissa pantelante et essoufflée.
Je redescendis sur terre et …de la table pour m'agenouiller devant lui et ouvrir son pantalon. Il me passa la main dans les cheveux et me complimenta :
"Tu es de plus en plus belle bien coiffée et bien maquillée comme cela…"
J'osais répondre
"C'est le vice qui me rend belle…vous aviez raison ! Trouvez vous que je ressemble un peu plus maintenant à une actrice de porno ?"
Il commença par rire avant de répondre :
"Oui…oui…tu es de plus en plus bandante ! Le vice te vas bien !
"Voulez-vous que je devienne plus blonde ?"
"Tu fais comme tu le sens…je ne t'oblige à rien !"
"J'ai très envie de vous faire plaisir….
"
"Alors commence par me sucer la queue"
Troublé par ce langage grossier, je m'exécutais vulgairement et eus à nouveau le sexe frémissant de ce libertin enfouit jusqu'au pubis dans ma bouche aimante. Je léchais avec entrain la bite raidie, titillant de ma langue le méat humide, absorbant la tige au delà la luette et l'y laissant pour qu'il sente ma gorge l'enserrer. Pour varier mes mains passaient aussi à l'action pendant que je gobais ses couilles. Enfin, rendue femelle soumise j'avalais gloutonnement sa semence tiède sans perdre une goutte de cette suave liqueur.
Il avait joui assez rapidement, j'espérais ne pas trop l'avoir fatigué. J'avais toujours en tête, l'intention qu'il me prenne. Je m'éclipsai me remaquiller. Après tout s'il aimait pourquoi ne pas lui faire plaisir.
Il plaça son fauteuil roulant près du canapé dans lequel je m'assis et il me demanda de lui raconter ma soirée avec Bertrand. Je lui en fis un récit très, très détaillé…. Récit pendant lequel je dus aussi me caresser. Il me confirma qu'il avait tout bien vu de la dernière partie de la soirée et me remercia du petit plus avec la bougie. Il était radieux. Tellement radieux qu'il partagea une bière ave moi. Enfin si l'on peut dire, puisqu'il avait un curieux sens du partage…. Il se réserva le liquide et me laissa la bouteille pour un usage certainement pas prévu par le brasseur…. Cette bouteille (dont le nom est un nombre à quatre chiffre) était heureusement assez effilée et pas du genre de la canette classique. Après avoir enlevé les étiquettes et l'avoir léchée je me l'introduisis dans la craquette jusqu'à la jouissance. Je repoussais ensuite, par crainte, sa demande de la mettre dans l'anus. Il n'insista pas (trop) et m'offrit, liquide compris cette fois une bière.
Il s'intéressa ensuite à se que je ressentais des ces soirées un peu déroutante. Je lui livrais mes réflexions a savoir que je n'arrêtais pas de ressasser ce que j’avais osé faire et me mettais à imaginer ce que lui et son ami Bertrand pourraient encore exiger sachant fort bien que jamais plus je ne pourrai faire marche arrière. Finalement je lui avouais que j’aimais être guidée et éduquée dans le vice, que je m'y complaisais et que j’aimais cela être obligée de faire des choses obscènes. J'admis en définitive être vraiment prête à tous pourvu qu’ils m’excitent par demandes toujours plus cochonnes et me donnent autant de plaisir. Enfin je lui concédais que maintenant je raffolais cela, devenir une véritable salope et y prendre du plaisir….
Mes bonnes dispositions lui plurent et pour me récompenser il m'annonça qu'il allait me commander un beau vibromasseur. Il souhaita savoir si je l'utiliserais, puis si ce serait indifféremment dans les deux orifices et ceci confirmé si cette utilisation mixte se ferais quelque soit la taille de l'engin. Je fus affirmative pour le tout désireuse que j'étais de me soumettre à ses caprices. En parlant de caprice, il en eut un nouveau. Enfin, nouveau pour moi. La bière (servie à dessein ?) fit son effet et je manifestais le désir d'aller aux toilettes. Il me suivit et m'annonça :
"Désormais, je veux te voir faire…tu devras laisser la porte ouverte !"
Je me suis assise sur la cuvette, j'ai écarté les jambes en grand et me suis penchée en arrière pour exposer mon intimité le plus possible. J'éprouvais une sensation inavouable à m'exhiber ainsi, et tandis que j'urinai sous l'œil très intéressé de Monsieur Guy, il m'effleura le clitoris, me mettant à nouveau dans un état d'excitation monstrueux. Notez bien, lui aussi était excité… sa bandaison en était témoin et cela me convenait parfaitement.
De retour dans le salon, je lui dis :
"Maintenant c'est à moi de vous demander quelque chose !"
"Vas-y…"
"Je veux que vous me baisiez Monsieur Guy !"
Il eu une mimique signifiant qu'il avait deviné mon souhait. Nous décidâmes de rester dans le salon. Je l'aidais, une de ses jambes reprenait de la force e je n'eus pas trop de mal à ce qu'il passe de son fauteuil roulant au canapé. Une fois qu'il fut bien installé, je m'agenouillais de part et d'autre de lui saisit sa pine et l'amenait dans l'axe de mon vagin. Je n'eus aucune peine à me la mettre. Vu mon degré d'excitation, cela aurait été difficile. Lascivement je me mis à monter et descendre sur ce piston improvisé en roulant des hanches. Je le priais :
"Oh Monsieur Guy, c'est bon… je suis bien…bieeennn…. Sucez-moi les nénés !"
Il les prit à pleine mains, les lécha, les suça…. J'augmentais mon rythme…je le chevauchais frénétiquement. Trop peut être…car il me prévint qu'il ne pourrait tenir longtemps. Je répondis :
"Ça ne fais rien…ça ne fait rien…la prochaine fois se sera bien…. Monsieur Guyyyy .jouisseeez… juteeeez …emplissez moi la chaaaatteeee…."
Je le sentis exploser délicieusement en moi et continuais ma cavalcade jusqu'à lui avoir extirpé la plus petite parcelle de plaisir. Tout en étant rassasié il n'en demeura pas moins contrit et coupable de n'avoir pas pu m'emmener au septième ciel. Je le rassurais encore une fois et l'assurais de ma patience. Cela me comblait déjà qu'il puisse me pénétrer et de toute façon je n'avais pas dit mon dernier mot.
Avant que je ne parte (ce que je faisais toujours avec une sorte de tristesse) il me dit que Bertrand m'appellerait sûrement. Il m'annonça qu'il souhaitait m'inviter le vendredi suivant.
Bien que fort contente, cela ne m'arrangeait pas trop, j'avais beaucoup de repassage en retard. J'avertis donc Monsieur Guy qu'il fallait que m'y consacre et que nous ne pourrions pas nous voir de toute la semaine. En revanche je promis, la semaine suivante de ma consacrer entièrement à lui et à son repassage …. La cause fut entendue….
Effectivement Bertrand m'appela le lendemain pour m'inviter. Ma semaine passa très vite dans cette attente. Mes petits travaux à domicile m'occupèrent mes soirées. Je les fis bien entendu dans ma tenue habituelle, c'est à dire nue…pour que Monsieur Guy puisse m'observer tout à loisir. J'en rajoutais un peu dans mes poses histoire de l'allumer un peu….
Vendredi…enfin… je quittais mon travail aussitôt que je le puis…pas une seconde à perdre. J'étais à peine sortie de ma douche que le téléphone sonna. Bertrand me prévint qu'il avait un souci de voiture et qu'il ne pourrait venir me chercher. Je devais le rejoindre à un pub de la ville. Je terminais donc de me rendre désirable, coiffure, maquillage dans les tons brun, brique et ocre un rouge à lèvre (si l'on peut dire) beige qui me faisait une bouche bien pulpeuse (et qui ne demandais qu'à servir). Inévitablement j'enfilais mon porte-jarretelles et des bas noirs, une jupe sous laquelle je ne mis pas de slip et un joli chemisier assez fin sous lequel, fatalement, je ne mis pas de soutien gorge. Les boutons étant assez espacés, j'en défis deux. Ainsi, on pouvait voir plus que je la naissance de mes seins. Bertrand allait en prendre plein la vue….
Je partis donc pour le pub… d'ailleurs, pourquoi le pub ? J'aurais aussi bien pu me rendre chez lui… enfin ! En entrant j'éprouvais un léger déplaisir. Il n'était pas seul. Un homme se trouvait avec lui. Il me présenta Jean-Pierre qui l'avait accompagné au garage et ramené. La quarantaine, ni beau, ni laid mais avec des yeux très vif qui se posèrent immédiatement sur ma poitrine quand j'au enlevé mon manteau. Il faut dire que j'avais tout fait pour et Bertrand ne se priva pas non plus pour se rincer l'œil. La conversation ne s'éternisa pas. Jean-Pierre nous invita au restaurant. Bertrand ne refusa pas, dommage ! Nous prîmes sa voiture et il nous emmena dans une auberge située à la lisière de la forêt légèrement après la sorite de la ville. L'endroit était accueillant et la carte superbe. Finalement le cadre un peu intime me fit passer un bon moment et je commençais même à m'amuser en suivant les yeux des deux hommes qui, eux suivaient le balancement de mes seins. Je remarquais une assez jolie femme qui ne semblait pas dîner. Elle avait juste un verre posé devant elle. Comme je le faisais remarquer Jean-Pierre et Bertrand s'esclaffèrent. Jean-Pierre m'interrogea :
"C'est la première fois que venez ici ?"
Devant ma réponse affirmative il m'expliqua. Outre l'excellence des mets proposés, l'auberge proposait des salons pour réunions, quelques chambres pour des clients de passage et même un sous-sol pour des cérémonies. Je les regardais l'œil interrogateur, je ne voyais pas le rapport…. Jean-Pierre clarifia ces propos en précisant que non seulement des locaux pouvaient être mis à disposition des clients mais que de belles femmes pouvaient l'être également. En aucun cas il ne s'agissait de professionnelles, compléta-t-il, mais de femmes qui venaient, par plaisir ou vice, envoyés (ou obligées) ou non par leur mari ou amant, se mettre à l'entière disposition du patron qui lui-même les proposait sans restriction à ses clients, même les plus exigeants. Ce qui ne manquais pas d'arriver puisque l'endroit était aussi connu pour cela. Encore un endroit un peu disons…particulier. Décidément j'allais de découverte en découverte. Effectivement, ils devaient avoir raison car à un moment un des serveurs vint lui dire quelque chose. Observant son manège, je la vis sourire vers une table, puis se lever. Avec une démarche d'allumeuse (je sais de quoi je parle) elle traversa la salle pour aller s'installer à une table ou se trouvaient trois hommes et ou le serveur venait de rajouter un siège. Jean-Pierre et Bertrand commentèrent :
"Tu vois Jean-Pierre à raison … "
"Bien sûr ! On peut être sûr d'une chose, elle ne va pas s'ennuyer…"
Trois hommes… une bouffée de chaleur m'envahit. La fin du repas se passa fort bien et nous revîmes vers la ville. Jean-Pierre, comme nous passions près de son domicile nous invita à boire un verre. J'aurais préféré que nous nous en abstenions car j'avais pensé que Bertrand souhaitait m'emmener à la boite de la semaine précédente. Je dis j'avais pensé… il est plus exact de dire que je l'aurais espéré. Mais, on peut pas refuser de boire un verre avec celui qui vient de vous inviter à dîner, fort bien de surcroît.
Une fois arrivé, je m'assis à coté de Bertrand sur un canapé tandis que Jean-Pierre se mettait dans un fauteuil, face à nous après nous avoir servi à boire. Bertrand, comme par habitude, passa nonchalamment un bras autour de ma taille. Je trouvais que la conversation traînait un peu en longueur quand Jean-Pierre posa son verre sur la table et vint s'asseoir sur le canapé à coté de moi. Il jeta un coup d'œil à Bertrand, puis me fixant me dit :
"Tu nous les as foutus sous le nez toute la soirée, maintenant il va falloir nous les montrer !"
En disant ceci il avait désigné mon buste du menton. Estomaquée par le brusque tutoiement et la brutalité du propos, je ne pus émettre aucun son et regardais Bertrand interloquée. A ma grande surprise, il acquiesça :
"Il a raison, allez montre nous tes gros nibards !"
Comme, toujours aussi abasourdie, je manquais de réaction, il continua :
"Allez !…presses-toi…. Dépêches-toi ou je t'arrache ton chemisier !"
Au ton, je compris que ce n'était pas des paroles en l'air et gauchement, je déboutonnais mon vêtement. Ce fut Bertrand lui-même qui l'écarta offrant la vision complète de ma poitrine à Jean-Pierre qui s'exclama :
"Ah la vache ! Il y a de quoi peloter !"
"Vas-y ! Surtout ne te gêne pas…. Elle adore ça !"
Deux mains s'avancèrent pour s'emparer de mes seins et les palper. Eperdue de honte je fermais les yeux. Les mains relâchèrent leur pression et c'est du bout des doigts d'abord, puis des ongles que Jean-Pierre vint s'occuper de mes mamelons en les caressant puis les griffant légèrement. Il ne leur en fallut pas plus pour s'ériger et témoigner de mon trouble. Puis les mains me ré empoignèrent les nénés et ainsi de suite. Bertrand ne resta pas non plus inactif. Il avait relevé complètement ma jupe au dessus de mes bas en disant :
"Tu vas bien lui faire voir aussi le reste…. Ecartes les cuisses…."
Finalement, ses mains remontèrent aussi vers mes seins. Ce fut une partition à quatre mains qui se joua sur mes nichons. Celles de Bertrand qui les avait empaumés comme s'il voulait les présenter à Jean-Pierre qui étirait mes tétons érigés. Et moi toujours aussi dépassée, je mouillais… mouillais…. Jean-Pierre relâcha soudain mes globes, se mit debout devant moi et tranquillement ouvrit son pantalon. Lui non plus ne portait pas de slip et j'eu immédiatement la vision d'un beau sexe en érection. Sans valoir Bertrand je dois dire qu'il n'avait pas été oublié par la nature, il possédait un braquemart de la taille de celui de Monsieur Guy. La bite menaçante avança vers mon visage. Une main se plaqua sur ma nuque pour m'empêcher de me reculer (comme si j'en avais eu l'envie). J'entendis Bertrand :
"Suces le !"
Mécaniquement, j'ouvris la bouche, elle y entra et comme un réflexe j'en attrapais la base d'une mains tandis que l'autre se posa sur ses bourses gonflées (huuummmm elles semblaient pleines). Cependant que je débutais ma fellation Bertrand se mit en devoir de me retirer mon chemisier. Jean-Pierre trouvait que le traitement que je lui faisais subir était agréable, il en fit part a haute voix :
"Elle fait ça bien…on voit qu'elle a eu de bons profs…."
Bertrand s'était attaqué à la fermeture de ma jupe et je dus soulever d'abord une fesse, puis l'autre, pour lui permettre de me l'ôter sans que pour cela j'arrête de sucer l'autre. Voilà je me retrouvais en porte-jarretelles en train de pomper un inconnu. Et… et j'aimais cela… et m'appliquais…. Quand il m'eut dévêtue, il se leva à son tour et fébrilement quitta également son pantalon. Je me saisit de sa queue et délaissant l'autre je l'embouchais impatiemment. Bon !... il était clair que j'allais y passer … cette fois avec deux hommes vraiment valides… ce n'était pas pour déplaire dans le fond … mais je me demandai si toute cela était bien fortuit…. Il me vint à l'idée que cette situation aurait bien pu faire l'objet d'une manigance…. Bertrand me tira de ma réflexion :
"Qu'est ce que tu es belle quand tu suces…. Tu n'as pas fini d'en bouffer de la bite…. J'ai des tas de copains…." Et l'autre de renchérir :
"Ouais, c'est une super pipeuse… et moi aussi j'ai des potes…."
S'ils avaient pu lire dans mes pensées ils auraient sans doute lu "eh bien vas-y !.... amenez les vos copains …" tellement j'avais envie de sucer. Je me rendis compte alors que selon l'expression consacrée, j'aimais énormément "tailler des pipes". J'aurais aimé en cet instant que ce soit comme dans les films et recevoir les giclées simultanées de plusieurs membres ou bien qu'ils viennent se vider à la file dans ma bouche gourmande. Je me rendais compte en même temps que ce dont j'avais envie c'est que servent désormais souvent les deux orifices qui durant ma vie avaient été le moins utilisés. J'en avais très envie et j'osais… j'osais espérer … j'osais espérer que ces deux extrémités seraient conjointement et virilement obstruées.
Pour l'heure, je passais de l'une à l'autre, branlant l'une pendant que je pompais l'autre. Ils me forcèrent même à les prendre ensemble entre mes lèvres, souhaitant que "je ne fasse pas la fine bouche" et que "je mette les bouchées doubles". Je rassemblais aussi les deux glands l'un contre l'autre et les léchais avec délectation. A un moment Jean-Pierre demanda :
"Il y a moyen de la tirer ?"
"Pas de problème… fais comme chez toi !" rétorqua Bertrand.
Je fus mise en levrette sur le canapé et Jean-Pierre se posta derrière moi. Il frotta légèrement sa trique à l'entrée de ma grotte et sans crier gare me l'enfila d'une seule poussée, lente mais sans répit. Trempée comme je l'étais il me la fourra tout de suite bien à fond, comme j'aimais… et il m'agrippa par le hauts des hanches et se mit à me baiser savamment. Bertrand n'entendait pas rester spectateur il vint devant moi et m'intima l'ordre de le sucer de nouveau ce que je m'empressais de faire. Hummmm être prise par deux hommes…et quels hommes…. C'étais différent d'avec Monsieur Guy car tous deux étaient valides, très valides… et expérimentés …très expérimentés…. Jean-Pierre et Bertrand se complétaient merveilleusement. Il était certain que ce n'était pas la première fois qu'ils agissaient en duo. Jean-Pierre, à chaque coup de bassin me propulsait au-devant de la bite de Bertrand. Comme celui-ci parallèlement allait au devant de moins je me retrouvais avec une queue bien fichée au plus profond de mon vagin et une autre qui s'enfonçaient dans ma gorge. Parfois même, ils maintenaient cette position jusqu'à ce qu'en fin de compte le sexe dans ma gorge finisse quand même par me déclancher un réflexe de nausée (à près tout, je n'étais quand même pas avaleuse de sabre…). J'entendis dans un semi brouillard :
"On change ?"
"Bonne idée !"
Le vide dans ma moule, le vide dans ma bouche… et à nouveau l'investissement. D'abord Bertrand et son formidable pieu et ensuite Jean-Pierre au dard luisant et au goût prononcé de cyprine. Il firent deux ou trois fois ce changement de poste, jusqu'à ce que je jouisse pour la première fois. Jouissance étouffée par Bertrand…. Après cela il semblèrent comme stimulés et ne plus se préoccuper que de leur propres sensations. Malgré tout j'eu mon deuxième orgasme de la soirée tout juste avant que comme d'un commun accord je sente en moi les salves de Jean-Pierre et que ma bouche s'emplisse des giclées de Bertrand. La pause post orgasme fut réduite et je me retrouvais bientôt assise entre mes deux partenaires. Ils avaient passé chacun une de mes jambes par dessus l'un des leurs, si bien que je me trouvais les cuisses très largement écartées…et ils en profitèrent abondamment pour me peloter partout. Mes seins furent une excellente cible. Ils furent pétris, malaxés, léchés, sucés (parfois les deux en même temps par deux bouches différentes), le bouts roulés, étirés, pincés…. Tour à tour les deux hommes me roulaient des patins fiévreux et bien baveux. De mon côté, tout répondant fébrilement à leurs baisers je tenais une pine dans chaque main et les branlais avec ferveur. Mon entrejambe n'était pas oublié non plus. J'étais doigtée pratiquement sans interruption, un, deux, trois doigts me pénétraient par fois quatre, par paires, quand il n'appartenaient pas à la même main. Et le reste ? Comme ils pouvaient à loisir remonter mes jambes, ma rondelle leur était offerte sur un plateau… et ils ne se privèrent pas non plus pour me doigter l'anneau. Je me doutais bien qu'ils préparaient le terrain. Je l'espérais même….
Cet espoir se mua en certitude quand Bertrand, décidément très altruiste, demanda à Jean-Pierre :
"Tu veux l'enculer ?"
"Comment donc ! J'en ai envie depuis que je l'ai vu !"
"Tu verra elle a un de ces petits culs… je ne te dis que cela !"
A la limite cela pouvait passer pour un compliment…. Je fus donc mise en position. Agenouillée sur le sol le buste reposant sur le ventre de Bertrand qui était resté assis. Enfin… quand je dis le buste sur le ventre, je devrais plutôt dire, sa verge entre mes seins…. Jean-Pierre vint se poster derrière moi et se mit à me caresser les fesses. Bertrand m'interpella alors :
"Jocelyne… fait lui un beau cul ! Ecarte tes miches…."
Obéissante et par avance soumise à ce qui m'attendait, je me cambrais, me pris une fesse dans chaque main et les écartais, pour mieux offrir ma raie et mon anus impatient. Comme l'endroit avait été bien travaillé je ne pressentais aucune difficulté. Je sentis la pine enduite de salive de Jean-Pierre peser sur mon anneau qui s'effaça sous la pression. Une poussée un peu volontaire et mon muscle céda facilement. C'était le moment que je préférais, juste après le passage du gland, quand je sentais que le membre allait glisser lentement jusqu'au fond de mes entrailles… huuummmm…. Et ce fut exactement cela !... il me la mit bien à fond. Dès lors, il n'y avait plus de raison que je reste à m'ouvrir le fessier, Jean-Pierre y avait pourvu. D'ailleurs mes mains furent occupées. Jean-Pierre en avait pris une et l'avait dirigée vers mon entrejambe. Il m'invita à me faire une petite gâterie. Quand à Bertrand après avoir dégagé sa bite de l'écrin de mes lolos, il posa ma main dessus et me proposa un bref mais impérieux "Suces salope !" qui me réjouit intérieurement.
J'avais ce que je souhaitais …. La bouche et le cul pris et bien pris… car Jean-Pierre s'activa résolument, ainsi que Bertrand d'ailleurs qui prit ma tête à deux mains pour bien me baiser la bouche. Puis brusquement il stoppa et me dit :
"Viens sur moi, nous allons varier les plaisirs !"
Je m'interrogeais un peu, mais puisque Jean-Pierre en même temps sortit de mon fondement. Je ne fus pas contre un peu de variété. Je m'agenouillais donc de par et d'autre de Bertrand qui me fit m'enfiler son pénis dans la chatte qui, pratiquement, ruisselait d'excitation. Je le chevauchais avec fougue consciente du regard de Jean-Pierre sur la scène (cela aussi était très grisant … être vue en train de baiser…). Je fus assez vite arrêtée par Bertrand qui me tenait par les fesses et ouvrit celles-ci comme une invite. S'adressant à Jean-Pierre il lui dit :
"Allez amènes-toi !"
Puis à moi :
"Jean-Pierre va t'enculer pendant que je te baise !"
Alors là !... franchement je ne m'y attendais pas…. J'avais vu cela de nombreuses fois dans les films que Monsieur Guy me faisait regarder. Parfois même c'était un des sommets de ces films. Je vous avouerais franchement que j'avais fantasmé pas mal sur cette double pénétration. J'avais même essayé avec un doigt de chaque coté. Cela c'était avéré décevant pas assez chaud… pas assez long… pas assez gros…. Là, à mon avis cela allait être différent et je n'allais pas être déçue du voyage… et je sentis Jean-Pierre s'approcher….
La grosse bite tendue à bloc de Bertrand bien enfoncée dans ma chatte, Jean-Pierre poussa un peu, juste pour que je le sente le bout de ta queue contre mon entrée. A cet instant je fus impatiente, je devenais une chienne en chaleur, leur chienne, je remuais du bassin le et je cherchais à donner des coups de cul en arrière pour mieux éprouver ta bite. Ils s'amusèrent beaucoup de cette situation, deux hommes me faisant languir avec mon cul de salope, qui cherchait à se faire pénétrer.... J'ai une voix rauque je quémandais:
"Oooh viens, fourre-moi…."
Il me répondit
"Si tu la veux ma grosse bite, ma salope, réclames-la !".
Enrageant de cette nouvelle exigence destinée à parfaire mon humiliation, je l'implorais :
"S'il te plait Jean-Pierre, sodomises-moi...."
"Sois plus claire, plus crue…."
"Jean-Pierre encules-moi…éclates-moi la rondelle ..."
Je dus être convaincante car je sentis le bout de sa bite s'introduire. Ce fut un peu difficile car devant, Bertrand occupait pas mal de volume. Accroché à mes hanches Jean-Pierre poussa… poussa. Il progressait…progressait… et….un coup plus fort et plus loin en arrière et …. Mon cul fut enfin remplit par le pieu.
"Ooooooooh que c'était booonn !
Je sentais la chaleur des deux corps qui me pressaient entre eux, ils ne disaient rien, se contentant, pour l'instant d'être enfoncé profondément en moi. Je savais qu'ils ne s'arrêteraient pas là, et que quand je me serais habituée je serais fouaillée impitoyablement. La sensation était ahurissante. Emmanchée des deux côtés…j’avais l’impression d’être ouverte en deux… d’avoir le bassin fendu en deux…. La queue de Bertrand me semblait si grosse qu'elle me remplissait la chatte. Je la sentais contre ma paroi ou de l’autre coté l’autre me comblait également. Comme pour mieux m’enfiler ils me tiraient les hanches vers le bas. Je gémis :
"Aïïïïe, vous allez me transpercer de vos queue, aaaah ça fait mal et c'est si bon en même temps..."
Du coup Jean Pierre se retira jusqu'au gland et me donna un grand coup de bite qui ne cessa que lorsque je fus complètement embrochée. A nouveau ils me forcèrent à les garder au fond de chaque orifice en m'insultant :
"Alors petite pute, tu l'aimes ma bite ? T’aimes ça hein ! te faire mettre par des grosses queues ! "
"Oh ouiiiii j'aime ça ! Bourrez-moi… oui encore !"
Et soudain, je sus que ça y était, qu'ils allaient se mettre en mouvement. Bertrand d'abord qui fit un mouvement vers le bas. En même temps qu'il se retirait cela eu pour effet de m'enfoncer encore plus sur le pénis de Jean Pierre qui m'invectiva :
"Tiens ! Ma salope, tu aimes quand on te fait mal ! Je vais desserrer ton petit cul serré de petite pute !".
Bertrand m'investit de nouveau et ce fut au tour de Jean Pierre de faire machine arrière puis brusquement de donner un grand coup de reins.
"AAAAH ! Ca fait mal !"
"Tais-toi roulure! T'as un cul de salope qui ne mérite que ça !".
"Aaaah Jean Pierre je te sens bien, ta queue me défonce"
Ils sentirent que maintenant mes orifices étaient prêts à endurer leurs coups de bite violents, bien au fond. Ils se mirent en rythme. Quand l'un entrait, l'autre sortait écrasant la fine paroi entre leurs deux vits sans ménagement. En continuant à me pilonner Jean Pierre se mit à me claquer les fesses de plus en plus fort en disant
"Tiens espèce de pute, prends ça ! tu aimes hein "
Je ne pouvais même par répondre car Jean Pierre m'emplissait la bouche de sa langue. J'écartais mes cuisses au maximum, preuve de mon attente…je m'offrais…. Leurs mains non plus n'étaient pas en reste et des doigts s'enfonçaient dans tout ce qu'ils trouvaient taille, hanches et seins bien entendus. Et là, ils me pilonnèrent les deux trous comme des fous furieux. Bertrand me demanda :
"T'aime ça quand on te démoli la chatte, t'es une vraie salope Jocelyne et t'aime qu'on baise ton petit cul de pute en même temps hein !!!".
"oooh oui….oh oui…oui…. J'aime çaaaaaa…."
"Dis nous que t'es un pute"
"Oui Bertrand je suis ta pute…. Et à Jean Pierre aussi…. Je suis votre pute à tous les deux… oui oui oui… plus vite…baisez-moi… Oh Bertrand ta queue m'écarte la chatte …. C'est boooon !!! Jean Pierre vas-y fouille moi le cul AAAAAHH"
Ils changèrent un peu d'allure sortant en même tems pour mieux me ré enfiler hâtivement. C'était très éprouvant mais terrible…. Jean-Pierre me faisait parfois tourner la tête pour me rouler également des patins affamés… la salive me coulait sur le menton…. Parfois encore, ils me fourraient leurs doigts dans la bouche et je devais les sucer comme s'il s'agissait de sexes. Je n'étais plus moi même je réalisais qu'il avaient raison lorsqu'il m'insultaient en me traitant de "trou à bites"… en fait je n'étais plus que cela… et j'aimais… même si c'était déshonorant….Ils pouvaient me limer à leur aise désormais, mes orifices étaient distendus comme jamais ils ne l'avaient été. Les queues me fouillaient, me bourraient complètement à un rythme fou. Des ondes de plaisirs me parcouraient et la jouissance se cristallisa. Ce fut terrifiant et je criais comme une folle me démenant comme une possédée allant au devant de deux manches diaboliques. Ce fut tellement fort que je me demande si je ne perdis pas connaissance une fraction de seconde. Quoiqu'il en soit mes deux amant ne cessèrent pas pour tant leurs manœuvres et continuèrent à ms pourfendre. Je les enserrais avec mes muscles internes et recommençais à montrer et descendre sur ces queues en poussant des gémissements de délice qui faisaient à leurs halètements rauques. A nouveau j'allais jouir et je les aiguillonnais de mes grossièretés :
"Baisez-moi... Enculez-moi... J´ai envieeeee... Foutez-moi, avec vos grosses bites… Hummm... C´est ça...... Oooh... Ouiiii... Vas-y plus fort... Oui... Comme ça... Encore !!! Ahhhhh... Jean-Pierre continue, c´est ça.... votre salope va jouiiiiiiiir… aaaaahhhh"
Et de nouveau je jouis et ne fut pas la seule...car les deux hommes, en harmonie avec moi, avec des mouvements de plus en plus saccadés laissèrent échapper des râles et des grognements. Ils s'enfoncèrent au plus profond de mes trous et s'immobilisèrent. Je sentis leurs gros sexes enfler encore puis finalement ils déchargèrent leur foutre à l'instant où je lâchais un dernier cri de jouissance.
Bertrand poussa un rugissement au moment ou il se vida et Jean-Pierre le rejoignit en criant :
"Je jouis... Je jouiiis... Ah salope… je jouiiiis..."
Après quelques derniers soubresauts et convulsions ils se retirèrent doucement. Je sentis un liquide chaud se répandre en moi. J'avais atteint un orgasme fulgurant qui s e prolongeait encore dans mon ventre et mes reins. Affalée sur le canapé, j'essayais de reprendre un peu mes esprits. Ma chatte très ouverte et d´un rouge vif dégoulinait de sperme. Quand à mon anus… je ne sais même pas si on pouvait encore l'appeler ainsi… il n'était plus qu'un trou béant. Mes amants s'en amusèrent et me maintenaient les jambes relevées pour en admirer l'intérieur et le voir resti leur jus. Bertrand se baissa mis sa langue sur ma grotte humide. Jean-Pierre se mit à me verser du champagne sur le bas-ventre. Le liquide coulait doucement entre les cuisses grandes ouvertes. Après l'échauffement de la pénétration la boisson fraîche me faisait un bien fou. Bertrand léchait le breuvage coulant le long de mes lèvres. J'appréciais la langue habile qui me léchait et tout doucement l'envie de baiser revint. Les deux hommes décidément imaginatifs me firent mettre à quatre pattes sur la canapé puis me firent la poitrine sur le canapé les fesses très hautes. Dans cette position ma chatte et mon cul s'offraient particulièrement. Chacun à son tour de la langue et des doigts ils me branlèrent la chatte et le cul jusqu'à ce qu'ils soient de nouveau béants. Ils versèrent du champagne dans mes orifices et à tour de rôle il burent ou plutôt lapèrent le champagne à petits coups de langue. Cela dura un bon moment, mon envie grandissait…. Tournant la tête je vis qu'ils bandaient à nouveau. Bertrand déclara :
"On va se la baiser encore une fois je suis sûr qu'elle va aimer ça cette cochonne ! Je vais l'enculer à mon tour !"
"Et moi je vais me faire sucer !"
"Et on tournera…."
Je dus descendre du canapé et me mettre à genoux sur la moquette, en levrette. Bertrand m"écarta le derrière et son noeud pesa sur l'accès de mes reins. Vu ce que Jean-Pierre m'avait fait subir et leurs petits jeux de langues et de doigts, vous imaginez bien l'état de mon boyau. Bertrand si engouffra (c'est le mot) d'une seule poussée, bien à fond, sans marquer le moindre arrêt. Je laissais échapper une plainte (il y avait été quand même un peu fort)... et lui un ricanement. Il me voulait à sa merci…. J'y consentais bien entendu. Agenouillé face à nous, Jean-Pierre se branlait d’une main nonchalante. Tout en se dirigeant vers moi, il voulut que je reçoive sa bite frémissantes bouche ouverte en grand. Résigné comme jamais je n’aurais pensé l’être, je m’exécutais.... je fit de mon mieux pour engloutir à pleine gorge le chibre turgescent qui m'avait auparavant sodomisée.
Je gémis lors de la pénétration, puis des premiers mouvements de Bertrand. Il s´arrêta, la légère douleur s´en fut ne laissant place qu'à la délicieuse sensation d'avoir le cul rempli. Lentement il entreprit un va-et-vient puissant. Je sentais toute la longueur de son membre me perforer. Je gémissais encore mais cette fois de plaisir…. Ce fut de courte durée, car comme il l'avait promis ils changèrent de place. Je dus donc me faire enfiler sans mansuétude par Jean-Pierre et recevoir sur ma langue la queue de Bertrand encore toute chaude de mon fondement. Puis quelques instant après ce fut un nouveau changement. Le piston de Bertrand labourait mes reins, fouillait mon rectum élargi, dilaté... Mon bassin ondulait du devant du pieu qui m'astiquait. Je sentais la jouissance qui montait inévitablement sans pouvoir émettre une parole, puisque, en permanence, presque étouffée par une belle queue.
Puis, au bout d´un moment, au rythme de la sodomie les signes que je connaissais bien dorénavant, annonciateurs de l'orgasme anal apparurent. Je râlais de plus en plus fort et remuais les fesses de plus en plus vite. Les hommes aussi s'excitaient et étaient encore plus grossier à mon encontre. Ils parlèrent même (comme à leur yeux j'étais une vraie pute) de ma prosti à des pervers qui me rempliraient de foutre. Cela m'acheva :
- Hummmm...... Ouiiiiiii......... C´ est booon... Je vais jouiiir... Hummmmpf… Hummmmpf…."
Je jouis, pendant que Bertrand, faisant bien sûr le , s´ingénia à se rendre encore plus puissants dans mon anus pendant que je continuais d'aller et venir sur le pal que me transperçait la croupe. Lui aussi accéléra ses coups de reins chacun de plus en plus puissants. Sa bite énorme martelait le fond de mon cul... Il me limait et me défonçait furieusement. Pendant que j'explosais il se raidit et tout à coup il me souilla d'une quantité gigantesque de foutre que je sentis brûlant, en vociférant :
"Ça y est... Je jouis... Je jouiiis... Tiens salope... Prend tout, ouiii. Tiiiieeens...
A l'autre extrémité Jean-Pierre me pressait la nuque, m'écrasant la figure dans ses poils, s'agitant spasmodiquement. Il se vida en plusieurs jets abondants :
"Oh, oui, suce-moi... Oh oui... c´est ça... Ouah... Vas-y... avale ma sauce !"
Je m'efforçais d’avaler au fur et à mesure de leur émission chaque goulée du jus tiède et glaireux lui tapissant la gorge. Dieu que j'aimais cela….
Pour terminer je dus leur nettoyer complètement la queue de ma langue et mes lèvres. J'aurais, je pense, ressentir honte et déchéance, alors que bizarrement cette ultime humiliation me procura un sentiment trouble de satisfaction.
"Hummmm... C´était divin.... Quelle soirée…ouuuufff !"
C'était Jean-Pierre qui épuisé venait de faire ce compliment. Bertrand ne fut pas de reste affirmant :
"Elle a de la ressource la petite Jocelyne…. C'est une baiseuse de première, il faut en profiter…."
Lorsque je me fus un peu rafraîchie et que j'eus repris apparence humaine, Bertrand me dit :
"Allez, je te raccompagne…."
Tout d'abord, je ne réagis pas. Puis d'un coup, je réalisais :
"Mais… et ta voiture… ta panne ?"
"Ma voiture, elle est garée dans l'autre rue et elle nous attend bien sagement"
"Mais… mais… qu'est-ce que… qu'est-ce que cela signifie ?"
"Jean-Pierre est un amis de longue date, je l'ai prévenu que nous allions nous taper une vraie petite cochonne… mais "en douceur". Il a bien joué le jeu… non ?"
Je dus en convenir … ainsi que du fait que j'aimais assez ce genre de surprise…. Jean-Pierre m'embrassa longuement avant mon départ et m'avisa qu'il serait très heureux de me revoir…. Je m'en serais doutée…. En vérité, moi aussi je serais assez contente de le revoir, surtout en compagnie de ce "cher" Bertrand. Celui-ci me raccompagna à mon domicile et avant de me quitter, encore une fois il cru bon de me préciser :
"Surtout n'oublie pas d'aller raconter à Guy comment tu t'es conduite en petite salope…."

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