Jocelyne 1

Qui je suis? Qui début de cette histoire, Madame Tout-le-monde. Mais si, celle que vous croisez tous les jours sans pratiquement la remarquer. Je me prénomme Jocelyne, secrétaire, divorcée depuis 9 ans. Oh, une histoire banale, mariée à un homme qui m'a tout appris sexuellement et qui a dû se lasser de faire mon apprentissage. Une collègue plus délurée, une aventure de stage, une liaison suivie, un divorce sans s…. Voilà quelques années résumées et je m'aperçois que ce n'est guère folichon…tout au moins jusqu'à ces derniers temps....
Comment suis-je ? Sans fausse honte, après tout…pas trop mal..., 1,62m, 55Kg bien répartis, cheveux très châtain clair (hésitants entre le blond, le roux et le châtain) mi-longs, yeux noisette jambes pas (trop) mal faites, taille assez fine, fesses encore fermes, un peu "en chair" peut être mais faisant parties de celles que la nature à (bien) pourvue coté poitrine (95D). Bref je ne porte pas trop mal mes quarante trois ans et je vous avoue que j'attire les regards et certaines fois aussi les tentatives de drague. Coté cœur, rien si ce n'est une ou deux aventures très vite bâclées qui m'avait appris à ne plus me laisser coincer à la photocopieuse, ni de me rendre inconsidérément aux archives.
Ma vie…boulot et dodo dans le pavillon que mon divorce m'avait laissé dans un quartier assez conventionnel, du moins je le pensais, et dans lequel je passais une vie somme toute assez morne. Ce pavillon était d'un entretien assez coûteux pour une femme seule aux revenus très moyens. Aussi, j'effectuais quelques travaux de repassage pour quelques habitants du quartier, cet apport financier n'était pas négligeable.
Dieu ou diable…fée ou sorcière…cupidon ou satyre…je ne sais pas ! Quelqu'un s'occupa de mon sort…
Parmi mes "clients" il y avait mon voisin d'en face, Monsieur Guy, âgé d'une bonne cinquantaine d'années le pauvre ayant été victime d'un accident du travail était resté infirme et ne se déplaçait qu'en fauteuil roulant, ou à de rares fois avec des béquilles (en fait je ne l'avais jamais vu se mouvoir sans appuis).

Etant bien placée pour savoir que la vie n'est pas toujours marrante, je l'avais pris un peu en pitié. En lui ramenant son linge repassé, je lui proposais parfois de lui faire un brin de vaisselle. Il m'arrivait même de m'asseoir un court moment avec lui pour bavarder. Un beau jour il me dit :
"Madame Jocelyne, j'ai quelque chose à vous demander".
"Je vous en prie…"
"Voilà, c'est assez délicat…"
"…"
"Euh… Bon ! J'ai eux, disons, l'occasion de vous voir repasser chez vous à plusieurs reprises…. J'apprécie souvent votre tenue…."
Je dus rougir à cet instant, il est vrai que vu la chaleur dégagée par ma centrale à vapeur, je faisais souvent cette tâche en slip et en soutien gorge. Mais au fait, comment se faisait-il que….
"Alors, je pourrais doubler ce que je vous donne, si vous acceptiez de repasser complètement nue…. Je pourrais même être plus généreux encore…"
Je sautais comme si une guêpe m'avait piqué. Je me dressais et répliquais :
"Non mais Monsieur Guy qu'est ce qui vous prend ! Qu'est ce qui vous arrive ? Il n'en est pas question ! Vous me prenez pour qui ? Je ne me déshabille pas pour de l'argent !"
"Alors faites le pour me faire plaisir ou par vice…."
"Monsieur Guy vous dépassez les bornes !"
Je me levais et le quittais, outrée…. Bonne fille j'avais tout de même pris son paquet de linge, je n'aurais pas dû. Que lui était-il passé par la tête ? Quel vieux saligot ! J'avais bien vu que de temps en temps, il lorgnait un peu vers ma poitrine, mais pas plus que d'autres…. Depuis le temps j'étais habituée. Mais là….
Deux jours passèrent et je n'y repensais pas trop. Un soir en rentrant, pleine de courage je me dis que j'allais attaquer mes "commandes". Je me rendis à l'étage de ma maison ou j'avais aménagé mon "pressing". En poussant la porte, je restais figée. Les paroles de me revinrent à l'esprit. Mais…d'abord… comment m'avait-il vue. Je m'approchais de la fenêtre. Il est vrai que sa maison était plus haute que la mienne d'un étage.
Du second étage de chez lui on devait pouvoir surplomber chez moi, alors que des arbres masquaient son premier étage.. Il me semblait pourtant que d'épais rideaux étaient toujours tiré. Je me demandais si la sorte de monte charge qu'il avait fait installé pour se rendre à sa chambre au premier allait jusqu'au second étage. Pour repasser j'avais besoin de lumière et je préférais celle du jour pour éviter les faux plis. J'ouvris donc les rideaux et me mit à l'ouvrage. Au bout de quelques pièces j'eus chaud… et sans cesse me revenais " faites le pour me faire plaisir ou par vice" par vice… par vice…. Il vrai que vu ma solitude sexuelle il me venait parfois en tête des choses un peu torrides. Peut être inconsciemment, je m'aperçus que j'étais en train de déboutonner mon chemisier. Je quittais ensuite ma jupe et hésitais. D'abord allait-il me voir ? La table à repasser étant un peu en retrait dans la pièce, de la rue on ne pouvait me voir, c'était certain ! Alors…. Alors quelque chose me poussa à faire quelque chose d'invraisemblable. Je dégrafais mon soutien gorge et baissai ma culotte. Monsieur Guy avait raison, c'était par vice que j'allais faire cela, uniquement par vice. Je fis toute ma séance de repassage dans le plus simple appareil, le feu aux joues (et aussi un peu ailleurs) espérant de tout cœur qu'il joue les voyeurs. Il me sembla à un moment donné voir un rideau bouger et je me l'imaginais même entrain de…. Plus tard j'eus du mal à trouver le sommeil malgré un petit plaisir solitaire que je m'accordais. En fait cela ne m'avait pas déplut. J'étais sure d'une chose : ne risquant rien j'avais bien envie de recommencer.
Le lendemain, je fis ma tournée de livraison… en finissant par Monsieur Guy. En arrivant, je ne savais pas quelle contenance prendre. Il dit immédiatement :
"C'était très bien hier ! Vous êtes très belle Jocelyne ! Recommencerez-vous ?"
"Je… je ne sais pas…."
Du coup je me sauvais presque en courant, reprenant du linge, mais oubliant l'enveloppe qu'il avait préparée.
Je savais déjà que la prochaine fois je serais nue…. L'enveloppe ? Je la trouvais le lendemain dans ma boite avec un petit mot "la prochaine fois, prévenez-moi…Guy". Effectivement il avait tenu parole la somme était double. Deux jours plus tard je me décidais. Je montais à l'étage puis redescendis aussitôt. Le téléphone m'hypnotisait. Je le pris composais et ….
"Allo !"
"Allo Monsieur Guy, c'est Jocelyne "
"Oui comment allez-vous ?"
"Bien, merci je vous passais juste ce petit coup de fil pour vous dire que… que euh… enfin, je… je vais repasser votre linge…."
"… bien…. Très bien…. Merci …."
Je remontais, ouvrit les rideaux et me mettant devant la table à repasser je quittais mes vêtements. J'y mis plus de charme qu'à l'accoutumée….
Le lendemain je livrais et écoutais tous ses compliments. Pendant un temps cette façon de faire continua, je repris même l'habitude de recommencer à l'aider aux tâches ménagères et à bavarder avec lui. Par contre je continuais repasser nue et finalement je trouvais cela émoustillant.
Puis, à nouveau, un jour il me demanda :
"Jocelyne, j'ai encore quelque chose à vous demander…."
Je dus le regarder à la fois avec l'air idiot et méfiant cela le fit rire.
"Est-ce que…. Comment dire…. Accepteriez-vous de venir faire mon repassage à domicile ?"
"Vous…. Vous voulez dire…. enfin…."
"Toute nue ? Oui c'est bien cela !"
Je demeurais bêtement coite sans réaction, jamais je n'aurais imaginé…. Il sut trouver les mots pour me convaincre d'accepter. Sans vraiment savoir pourquoi je consentis. Après tout ce pauvre homme ne pouvait pas me faire grand mal vu son immobilité. LA fois suivante un peu tremblotante, je l'avoue je me rendis chez lui. Il était enchanté. Il m'indiqua ou se trouvait son matériel et je l'installais en face de lui. Le moment de vérité était arrivé…. Je me déshabillais. Il me demanda de le faire lentement. Une fois nue je repassais son linge. Il ne perdait pas une miette du mouvement de repasseuse qui faisait osciller mes gros seins.
De temps à autre il se penchait légèrement pour regarder mon pubis. Le travail terminé je repartis immédiatement, il me retint pour trois jours plus tard. Il y eu deux séances ou il se borna à me détailler. Je voyais bien une bosse dans son pantalon, mais je faisais semblant de n'avoir rien remarqué. Ce n'était pas mes affaires…. A la quatrième visite il commença à faire des compliments sur mes formes. Cela ne me dérangea pas trop… sauf que ses compliments étaient de plus en plus lestes. Il me demanda même d'écarter les jambes pendant que je repassais. Je le fis timidement. La fois d'après il me demanda si je pouvais lui faire un de vaisselle. J'acceptais. Pendant que je lavais les quelques assiettes j'entendis le fauteuil roulant. Il état derrière moi et contemplais le bas de mon dos. Il me demanda de me cambrer. Toujours sans savoir pourquoi j'obéis. Je fus convaincue ce jour là qu'il ne m'avait demandé cela que pour lorgner mes fesses. Au bout d'un moment il conclut :
"Jocelyne vous avez décidément un très joli cul !"
Je commençais à trouver tout cela un peu malsain. Malsain mais de plus en plus troublant. Il faut dire que Monsieur Guy m'intimidait, me mettant mal à l'aise et à la fois me dominant. C'est sans doute à cause de cela que j'obtempérais un peu comme une gamine quand il me demandait quelque chose.
Un jour il me demanda si je pouvais lui recoudre quelques boutons. Après avoir repassé je me mis à l'ouvrage. Cependant que je cousais, il s'approcha de moi et je sentis sa main se poser sur ma cuisse… elle était chaude…. J'avais dus la laisser un peu trop longtemps sans réagir, car lorsque je voulus reprendre le contrôle de moi-même, ce diable d'homme avait réussit à glisser sa main entre mes cuisses et à la remonter très haut. Tétanisée, je ne pouvais émettre que des " Monsieur Guy…. Monsieur Guy…."
Monsieur Guy : il avait passé un bras autour de mon cou et attirant mon visage vers le sien. Sans doute à cause de son infirmité qui lui avait fait développer la musculature de ses bras je ne puis échapper à son emprise. Est-ce que je souhaitais vraiment ? Je me disais "il ne faut pas… il ne faut pas… ". Mais quand sa bouche se posa sur la mienne, je ne fis rien pour empecher sa langue de pénétrer ma bouche… sauf de lui rendre son baiser…. Du coup, il profita de son avantage et inséra un doigt dans mon intimité. Il est vrai que ses séances de repassage me mettaient dans tous mes états. Là, il s'en aperçu et vu mes bonnes dispositions c'est deux doigts qu'il me mit pour me masturber. Ayant passé son bras sous l'un des miens, il me caressait également un sein. Mon dieu qu'il a y avait longtemps qu'il n'avaient pas été câlinés… eux si sensibles…. Il avait du être un bon amant car ses doigts accompagnés de son pouce sur son clitoris firent merveille tant et si bien que je jouis sur le canapé de Monsieur Guy.
Une fois que fus redescendu sur terre il me dit :
"Allez à moi… vite… caresse-moi".
Encore abasourdie j'obéis comme un automate. Je le débraguettais et extirpais son sexe. Il avait une belle taille mais, et sûrement à cause de son accident, il était bizarrement tordu.
Je me mis en devoir de le caresser pour lui rendre l'égal du plaisir qu'il m'avait donné. Il gémissait en disant :
"Oh que c'est bon… Que c'est bon… Jocelyne que c'est bon…" puis à un moment :
"Suces-moi… je t'en prie Jocelyne suces-moi vite…"
Toujours envoûtée je me penchais sur lui et l'engloutis. Oh pas longtemps car je le sentis se raidir. Pesant sur ma nuque il m'empêcha de me relever (l'aurais-je fait ?). Dans un râle il m'expédia plusieurs jets salés dans la bouche en m'ordonnant de tout absorber. Je n'avais jamais été une grande avaleuse (dieu sait si mon ex-mari me reprochait a chaque fois) mais cette fois je ressentis une sorte de fierté et de jubilation un peu amorale à avaler la semence de Monsieur Guy.
Il était radieux et m'avoua qu'il y avait plusieurs années qu'il n'avait pas ressenti un tel plaisir. Il voulu augmenter mes gages, je refusais. A partir de ce jour là, je vins une ou deux fois par semaine chez Monsieur Guy et me mis dans le plus simple appareil pour non seulement effec son repassage mais aussi le laisser me caresser tout à loisir et à la fin lui prodiguer une fellation libératrice. Nous ne faisions que cela il ne voulais pas tenter de me pénétrer ayant peur de l'échec car ses érections n'étaient plus ce qu'elles avaient été. Dommage j'aurais accepté. En revanche je le laissais me dire toutes les grossièretés qu'il voulait lorsqu'il me masturbait. Je le laissais aussi m'introduire un ou deux doigts dans le petit trou. Sur sa demande je me mis tout doucement à moi aussi proférer des vulgarités. Il me fit partager un peu de ses secrets. En fait c'était un vieil obsédé et possédait une collection impressionnante de cassettes et DVD porno. Il m'en prêta pour que "je me branle comme une dévergondée" les autres jours de la semaine. J'avoue l'avoir fait souvent et je commençais à sentir le besoin de plus en plus impérieux d'un sexe dans le mien. Il me fit visiter aussi son fameux second étage. Effectivement tout était prévu, l'accès pour son fauteuil roulant et aussi une longue vue à très fort grossissement. De là il matait tranquillement tout le voisinage. On voyait parfaitement la pièce ou je repassais… et ma chambre (ou je dus, sur sa demande, me masturber avec une bougie pendant qu'il regardait). Il en était de même pour les autres personnes. Il me dit qu'il m'inviterait quand il se passerait quelque choses chez ses voisins de gauche. Il ajouta qu'il s'en passait de belles chez les X. Qui l'aurait cru ? Chez Pierre et Bénédicte X, tous deux fonctionnaires, clients de mon repassage, lui m'aidait au jardinage et effectuait pour moi un peu de bricolage et elle si enjouée, si "bien comme il faut". Toujours fascinée par ce diable d'homme, j'obéissais avec un empressement pervers, servile et vicieux à ses demandes. Plusieurs fois il me fit me masturber devant lui jambes écartées sur les accoudoirs d'un fauteuil, puis se fut l'intromission de légumes… je même, un jour, m'enfiler un carotte dans l'anus…. Son légume de prédilection devint bientôt le concombre….
Un jour où je devais me rendre chez lui il me prévint :
"J'ai une surprise pour toi…"
Nous avions mis au point un petit cérémonial entre nous. Lorsque je venais, j'entrais et me déshabillais dans l'entrée. Avant de pénétrer dans la pièce principale je devais m'annoncer en lançant quelques friponneries.
Ce soir là, je fis de même. Une fois nue je le hélais :
" Monsieur Guy , c'est votre petit Jocelyne qui vient se faire doigter et qui vous finira avec sa bouche…."
Et j'entrais…. Et Monsieur Guy n'était pas seul….
Se tenait, confortablement installé, m'attendant à l'évidence, Bertrand B le patron de la maison de presse. Je demeurais statufiée sur le pas de la porte.
"Entre, allez ne fait pas ta mijaurée, Bertrand en a vu d'autres, je l'ai invité à venir voir comment tu repassais. Mets-toi vite au travail".
Complètement dépassée et la tête vide, mécaniquement je me mis à repasser sous les remarques, cette fois grivoises, des deux hommes. Je connaissais un peu Bertrand B, comme je vous l'ai dit patron de la maison de presse et d'une vidéothèque, conseillé municipal. Ce personnage haut en couleur était très macho, en permanence avec des paroles à double sens et des compliments à la limite du correct (limites parfois franchies) qu'il distillait à toutes ses clientes Je n'y avais pas échappé. Là il ne se priva pas et Monsieur Guy se mit à l'unisson. Ce Bertrand B avait, à tort ou à raison, une réputation de libertin dans notre petite ville.
Lorsque j'eus terminé mon repassage. Monsieur Guy m'invita à boire un verre en leur compagnie et me demanda de venir m'asseoir entre eux deux. J'angoissais… s'adressant à Bertrand B il lui indiqua :
"Quand elle à finit de repasser, elle se laisse peloter…. Alors tu penses si ce soir elle va être gâtée, elle va se faire tripoter par quatre mains…." Puis s'adressant à moi :
"N'est ce pas que tu vas te laisser faire aussi par Bertrand ma petite Jocelyne ?"
De toute façon je ne pus rien répondre, il m'avait attiré et m'embrassais à peine bouche. La main de Bertrand B se posa sur un de mes seins qui soupesa avant de complimenter :
"Putain ! Elle a des nibards d'actrice de porno…. J'avais déjà remarqué qu'elle était bien roulée… mais là ! Tu ne t'ennuie pas mon salaud !".
Monsieur Guy avait pris l'autre et je mouillais terriblement de me faire caresser par les deux hommes. Bertrand B s'y prenait bien. Ayant fait bien durcir la pointe il se pencha et la pris dans sa bouche pour la téter pendant que l'autre était pétris par Guy. A son tour Bertrand B m'embrassa voracement. Monsieur Guy avait lui commencé à me masturber. Ce que voyant Bertrand B s'occupa de deux seins tout en conseillant à l'autre de " lui mettre trois doigts". Ce qu'il fit…. Ainsi prise en main, à quatre mains… je ne tardais pas à décoller et en gémissant il me firent atteindre un orgasme génial.
Monsieur Guy me demanda ensuite :
"Fais comme d'habitude Jocelyne, caresse nous !"
J'ouvris sa braguette et commençait à le caresser. Au bout d'un moment, il me demanda de faire la même chose à Bertrand B. j'hésitais une petite seconde puis quelque chose me fit me décider à le faire. Je m'inclinais, défit sa ceinture et déboutonnais le pantalon. Il ne portait ni slip, ni caleçon. La chose que je découvris était érection. Une fois à l'air libre elle sembla grossir encore. Je dis la chose car si j'avais des seins d'actrice de porno, lui en revanche avait un membre qui en aurait certainement fait une star des mêmes films. Il n'y que là et sur Internet que j'en avais (à cette époque, depuis c'est une autre histoire…) vue de semblable. Longue, trapue un gland imposant semi décalotté, quelle verge ! J'ai mesuré depuis : 21,2 cm de long, sur 5.3 de diamètre…je vous laisse apprécier. J'étais a peine remise de ma stupeur qu'il me dit :
"Elle te plait…embrasse-la !"
Je me penchais, d'abord pour lui enlever son pantalon, puis pour faire ce qu'il souhaitait. Une fois décalottée entièrement et tenue en main elle paraissait encore plus imposante, je l'embrassais…. Je me préparais à l'emboucher quand il me stoppa :
"Attends, tu auras l'occasion de la sucer autant que tu voudra tout à l'heure. Fais cela à Guy… pendant ce temps je vais m'occuper de toi !".
Je me penchais au dessus de l'accoudoir et pris le membre de Monsieur Guy en bouche.
Il me fit asseoir sur le canapé et se laissa tomber à genoux devant moi. Ses mains se posèrent sur mes genoux qu'il écarta. Quand il jugea le compas de mes jambes suffisamment ouvert, il me les releva. Lentement ses mains caressèrent l'intérieur de mes cuisses et sa tête s'inclina. Sa bouche se posa sur ma fente et sa langue en lissa les lèvres que ses doigts vinrent disjoindre ensuite. Sa langue vint lécher l'ouverture de ma grotte…et elle s'enfonça… délicieusement... m'arrachant un soupir de plaisir. Il alterna son jeu de langue avec l'excitation de mon clitoris qu'il fit saillir avant de l'aspirer ou de le titiller de sa langue. C'était vraiment bon et je sentais le plaisir m'embraser le ventre. Il ne s'arrêta point et sa langue me procura une jouissance que j'étouffais en me mordant la lèvre inférieure. Du coup j'en lâchais le membre que j'avais dans la bouche. Il s'en amusa et me dit ne pas cacher mon plaisir. Il ajouta qu'il allait me faire crier…. Toujours agenouillé, il s'avança sexe à la main. Il le frotta sur ma fente trempée quelques instant comme pour me faire goûter le velouté de son superbe gland puis il le guida vers l'intérieur. Il devait être conscient que vu sa taille, il pouvait ne pas faire que du bien (surtout une première fois) et il s'engagea avec douceur. Bien entendu, je n'avais jamais intégré un tel membre. L'effet était fabuleux, il n'en finissait pas de rentrer en moi. Il se pencha sur moi et m'embrassa voracement, sa bouche avait le goût de vagin…de mon vagin. Il se redressa et me questionna :
"Alors Jocelyne … tu la trouve à ton goût...?".
"Oui…oh oui…." Répondis-je d'une voix pâmée.
Que pouvais-je répondre d'autre transpercée par ce dard ? Reprenant mes lèvres, il se mit en mouvements, lents, marquant des petits temps d'arrêts au début. Quand il fut sûr que je m'étais bien adaptée, l'amplitude de ses mouvements augmenta… crescendo…. Une fois qu'il se rendit compte que j'étais suffisamment accoutumée, il me prit avec moins de retenue, je le sentais cogner au fond de moi et ses bourses battre mes fesses. Inconsciemment, je me mis à geindre. Il m'encouragea :
"Vas-y ma belle gémis ! Dis moi que tu aimes et que c'est bon.!"
"oh oui Bertrand c'est bon… c'est booon… encore….huuuuuummm….!"
"Tu vas me dire quand tu vas jouir hein ? Je veux t'entendre !"
"Oui je vais le dire…. Je te promets… n'arrête pas… Ooooh…"
L'absence de retenue fit place à l'a frénésie et je m'abandonnais au délice des toutes ces sensations si longtemps oubliées. Jamais aussi gros, jamais aussi long, jamais aussi loin…des ondes des plaisirs montaient en moi. Entre deux râles, j'eus la présence d'esprit de balbutier :
"Ooooh ,Bertrand c'est y est… c'est y eeeest…je jouis…je jouiiiiiiis…. Ooooooh Monsieur Guyyy….".
Il m'acheva de grand coup de reins qui me clouèrent au canapé et je n'avais pratiquement pas repris mes esprits que je le sentis grossir (encore) en moi, puis vibrer et dans un grognement il éjacula longuement par saccades. Il me sembla qu'il avait eu une très abondante éjaculation. Lorsqu'il se retira, il me laissa un vide d'un contraste encore inconnu du fait de l'importance de l'occupation précédente. Il m'aida à me relever me prit dans ses bras m'embrassa longuement et me rappela à l'ordre :
"Dis donc, tu néglige notre ami Guy… Veux tu vite te remettre à le sucer".
Je m'agenouillais entre ses jambes et repris ma succion. Pratiquement immédiatement, sûrement émoustillé par le spectacle que nous lui avions offert avec Bertrand il se vida dans ma bouche. Comme c'était devenu l'habitude, j'absorbais sans rechigner.
Monsieur Guy trouva que je faisais cela de mieux en mieux et Bertrand B annonça:
"Nous verrons cela tout à l'heure".
J'étais prévenue il faudrait que j'absorbe ce gros membre. Il recommença à me caresser et m'embrasser sur tout le corps. Je le pris dans ma main et je m'aperçus qu'en fait il n'avait pas débandé, à peine un relâchement fugace. En moi-même, je pensant qu'il était non seulement bien monté (oh oui) mais aussi très viril. Il me fit allonger sur le dos, ouvrir les jambes et me prévint :
"Je vais te défoncer, comme tu ne l'as jamais été ! ".
Elargie comme je l'avais été tout à l'heure, il n'eut aucun mal à m'envahir et il se mit en devoir de m'épingler au canapé. Non satisfait, il me releva les jambes et les plaça sur ses épaules. Ainsi, je le sentis aller encore plus loin en moi. C'était terrible ! Il me pilonna véritablement, sortant son sexe presque complètement, il se laissait retomber de tout son poids. Je le sentais cogner tout au fond de moi, j'allais avoir des bleus au fond de la matrice…. Lorsqu'il pesait sur moi j'avais la tête entre les genoux, il en profitais pour m'embrasser et aussi me lécher le visage (j'avais la bouche les joues et le menton trempés de salive). Encore une fois sous ces assauts, je me sentis partir sans pouvoir exercer de contrôle sur moi. Ce fut tellement fort, que cette fois, je criais une ou deux fois…. Il se retira de moi. J'en fus un peu surprise, oh, pas très longtemps car au lieu de me laisser récupérer de mon indolence post coïtale, il me réclama :
"Tu voulais me sucer tout à l'heure, alors vas-y, c'est le moment maintenant…"
Je me redressais, m'agenouillai au bord du canapé et pris cette superbe tige en main. J'avais envie de cette verge pourtant luisante à la fois de ma cyprine et de sa précédente (et abondante) éjaculation. Je commençais lécher ce beau fruit cramoisi puis me décidais à l'emboucher. Il soupira d'aise. Je remarquais alors un détail qui m'avait échappé: ses testicules étaient épilés, tout en suçant, je les caressais. Elles étaient douces. Son périnée aussi semblait glabre. Je me concentrais, embrassant, léchant, suçant pompant avec application et le plus sensuellement du monde. Il avait posé la main sur ma tête pour m'imposer son rythme. A un moment il appuya sur celle-ci la verge s'enfonça me provoquant un réflexe de nausée qui l'amusa.
"Il va falloir t'entraîner, j'aime être sucé à fond !"
La bouche prise, je ne répondis pas me promettant l'exercice. La main autoritaire fit accélérer la cadence de ma succion. Je le sentais à bout de résistance. Certaine qu'il adorerait cela j'allais le laisser jouir dans ma bouche et bien sûr tout ingurgiter. Il enfla dans ma bouche, je pressais vivement ses bourses, il eut un tressaillement et sa semence m'envahit la bouche à chacune de ses saccades. C'était bien ce qu'il m'avait semblé, là aussi sont éjaculation fut abondante (plus que Monsieur Guy) et j'eus beaucoup de mal à tout ingurgiter. Une fois que j'eus rendu propre son sexe, il m'aida à me relever. Complètement dépassée par tant de surprises (avoir cédé à Bertrand… devant Guy, l'avoir sucé …devant l'autre… tant jouis…) j'en avais les jambes flageolantes et je ne savais plus très bien ou j'en étais.
Monsieur Guy me questionna :
"Alors, ma petite Jocelyne, comment te sens-tu ?".
"Bien, bien…très bien…"
"Tu ne regrette pas que Bertrand ait accepté mon invitation".
"Non, non…pas du tout".
"Voudras-tu que nous recommencions ?"
Sans marquer aucune hésitation je répliquais :
"Oui, Oh oui…"
Il réfléchit à haute voix.
"Demain…. Non ce ne sera pas possible…. Samedi soir…oui, samedi ! Viens ici samedi vers dix sept heures… et pas question de repassage, nous ne ferons que nous amuser tous les trois…. Nous nous occuperons de toi en détails…."
La fin de sa phrase me fit palpiter à l'avance…
Nous amuser….

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