Jocelyne6

Quelle soirée… décidément ce Bertrand était vraiment un porc… et Monsieur Guy… le plus vicieux des deux…. Entre quelles mains m'étais-je fourrée…. Moi qui savais à peine il y quelques temps encore la signification du mot partouze, j'avais été… je m'étais… offerte sans retenue aux manigances de quatre débauchés. Quel plaisir… mais quel plaisir j'y avais pris…. Dans ma chair tout d'abord et j'avoue que le lendemain mon sexe et mon anus me cuisaient… et puis dans ma tête également. M'être ainsi livrée à Bertrand qui bien entendu en avait profité et surtout fait profiter ses amis… par le passé je me serais fait horreur. Mais désormais … je sentais fourmiller en moi une sorte de désir obscurs et honteux. Être angoissée par avance en tentant d'imaginer ce que des esprits si dissolus allaient bien pouvoir m'imposer tout en sachant que j'allais docilement m'y plier quel qu'ils soient c'était cela qui me plongeais dans un état indescriptible, c'était cela mon vice…. A mon avis je n'avais pas finis de me vautrer dans ces plaisirs si discutables. Peut-être est-ce le coté discutable de la chose et le sentiment de faire des choses que la morale réprouve qui rendait tous cela très excitant. Pour en avoir un peu parlé depuis avec une amie, Marie-Agnès, je n'étais pas la seule à éprouver ce gente de chose.
Quoiqu'il en soit, le mercredi fut vite arrivé et je me rappelais fort bien les paroles de Bertrand.
"Je viendrai te chercher jeudi soir, nous irons raconter tes exploits à Guy…. Tu devras porter cette robe bien sûr…."
Dans cette attente, je l'avais bien sûr lavée et repassée. Elle en avait besoin…. J'avais aussi racheté des bas résilles. La panoplie était complète, il ne restait plus qu'à endosser ma nouvelle personnalité de dévergondée. Me faire belle pour Monsieur Guy… j'adorais ! Vite en rentrant du travail, je me coiffais et ma maquillais comme il, comme ils le souhaitaient : star du porno offerte à toutes les queues qui voudraient la prendre….

Les bas, les talons hauts la mini robe impudente … la salope était sur le pied de guerre….
Bertrand ne se fit pas attendre et me trouva "toujours aussi ensorcelante ". Je fut enchantée du compliment, terni un peu il est vrai par la trivialité des propos suivant ou il fut question de baguette magique que j'allais prendre magistralement. Il me ramena aussi mon manteau mais me prévint que je n'y aurais pas droit. C'est donc en tenue légère que nous traversâmes la rue, lui sarcastique comme à son habitude et moi morte de peur qu'un voisin m'aperçoive (aussi comme à mon habitude)
En entrant Bertrand héla Monsieur Guy :
"Hè Guy ! Je t'ai amené la pute !"
Et il me poussa devant lui. Là Monsieur Guy que je pensais pourtant blasé eut les yeux qui s'exorbitèrent. Je devais être particulièrement craquante. Il faut dire que j'avais fait ce qu'il fallait pour cela. Mes yeux très soulignés et fardés ne pouvaient refléter que des lueurs salaces, quand à ma bouche… elle ne demandait qu'à être investie. Afin qu'ils puissent m'admirer, je dus parader dans la pièce. Tortillant du derrière, ondulant, faisant balancer mes seins j'arpentais la salle à manger et le salon de Monsieur Guy. Gagné !... deux bosses déformaient deux pantalons.
Ensuite ce fut le rapport…. Assise au bord du canapé pour avoir Monsieur Guy d'un coté de moi et Bertrand de l'autre il me fallut raconter mon après-midi et ma soirée de débauche et si possible sans oublier de détails (surtout les plus croustillants). Bertrand ponctuait en donnant son point de vue. Pendant cet exposé mes nichons avaient été mis à nu et ma robe un peu retroussée. Les deux hommes me caressaient distraitement. Je faisais de même les ayant dénudé du bas. Je ne voulais surtout pas qu'ils s'épanchent hors de moi bouche, con ou cul.
A la fin de mon histoire, tout le monde était chaud et je tentais d'être le plus vulgaire possible en me levant, leur faisant face et en proposant :
"Alors mes petits chéris….
Voulez vous que votre petite pute de Jocelyne vous taille une petite pipe ?"
Les membres se raidirent et la réponse fut unanime. Je les fis mariner un peu faisant semblant d'hésiter lequel des deux membres y passerait en premier. Je choisis Monsieur Guy. Je m'approchais de lui, lui prit son membre bien dur dans ma main et le décalottais. Sa bite fut immédiatement saisie par mes mains et elle s´enfonça entre mes lèvres encore parfaitement maquillées et je me mis à lui offrir une vorace fellation .... Je voulus lui donner le plus de plaisir possible en me faisant une bouche très délicate, des lèvres très douce, une langue agile sur le gland cramoisi. Je lui caressais le pénis avec ma langue, posais une main sur ses couilles gonflées de désir et commençais à les caresser de mes doigts impatients. Ma bouche dévorait la queue de Monsieur Guy.
"Tu suces comme une reine maintenant quels progrès… doucemeeeent ou je vais jouir trop vite. Oh ! oui OuiOhhhhhhh C´est bon ça ! Oh oui ouiiiii…. Jocelyyyyyne…. Salooooope "
Les rasades dont je fus gratifiée furent imposantes, je déglutis tout sans en perdre une goutte et en bonne petite élève je ne la fis ressortir de ma bouche que lorsqu'elle fut bien propre.
"Viens me sucer, à mon tour maintenant "
Fit Bertrand. Je me mis à genou devant lui. Je le regardais bien dans les yeux, et de ma langue commençais à lui lécher le gland très lentement. Et tout d'un coup… j'embouchais l'épaisse queue d'un coup, la faisant presque entièrement disparaître. Je le pompais, pompais profondément, régulièrement, bien à fond sans faire semblant ! Je voulais faire une démonstration de ce que je savais faire et peut être aussi de mes pouvoirs. Je la voulais au fond de la gorge à chaque aller et retour. Ah j'étais selon leur dire une vraie bouffeuse de queues ! J'allais leur faire voir …. Les yeux de Bertrand étaient fermés et il devait apprécier le traitement que je lui prodiguais encouragée trivialement par Monsieur Guy.
Il palpitait sur ma langue ou contre mon palais huuummm j'allais me régaler. Je le fis aller au plus loin que je pus et ma gorge se contracta sur lui. Il râla, je savais qu'il arrivait au bout de sa résistance je serrais mes lèvres à la base de son gland et le fit aller et venir rapidement dans ma bouche. Le râle s'amplifia, il se raidit, je relâchais la pression de mes lèvres le laissant frémir un instant sans attouchement et brusquement je le ré embouchais. J'eus ce que je cherchais un flot de sperme m'emplit la bouche. J'avalais un peu de cette semence et bite je ma précipitais pour en absorber encore et le tétais jusqu'à la dernière larme.
Ils furent d'accord tous les deux. Je progressais à toute vitesse et il devenait évident que je prenais un plaisir évident à les sucer et à avaler leur sperme. D'ailleurs eux et les autres, je n'avais pas à me forcer… j'adorais cela….
Ils décidèrent que j'avais droit à une petite récréation et que pour ce faire il me fallait un nouveau compagnon de jeu. Monsieur Guy se dirigea vers la cuisine et revint muni d'une bouteille de coca vide et me la tendis pour que je m'en amuse devant eux. Je pense que vous voyez la forme connue de cette bouteille. Pas besoin de demander ce qu’ils voulaient que j’en fasse .... Cela lui plaisait de ma rabaisser et m'obliger me promener nue avec les trous encombrés d’objets divers et à moi aussi…j’adorais cela.
Bon !... ils voulaient du spectacle… il allaient en avoir… j'allais leurs montrer quelle femme j'étais ... je pris la bouteille et en enserrais le goulot et l’épaulement entre mes seins pour la réchauffer. Quand elle eut tiédit un peu je la léchais, tout en ondulant comme si j'étais impatiente de la suite et en les en fixant droit dans les yeux d’un regard éhonté. L’excitation monta d'un cran. Je reculais jusqu'au fauteuil et m'y assis. Comme je l'avais fait plusieurs fois déjà (et je reconnais que j'aimais bien le faire), lascivement je passais mes jambes par-dessus les accoudoirs ouvrant le compas de mes cuisses et exposant ma chatte d’où devais sourdre des perles brillantes de cyprine.
J'arrêtais de lécher la bouteille et lentement j’abaisse ma main. J'ouvris mes jambes autant que je le pus laissant ma vulve à la contemplation de mes amants. D'une ma main, j’écarte délicatement, les lèvres de mon sexe, et dans le même mouvement, j’y introduisis peu à peu le goulot de la bouteille. Je le fis entrer et sortir plusieurs fois comme pour me mettre en condition. J'allais m'attaquer à la partie la plus ardue, le renflement de la bouteille. Dans leurs yeux je vis qu'ils n'attendaient que cela. Graduellement et d'un mouvement tournant du poignet je me fis entrer l'objet dans le vagin… Ouuuuhhh imposant quand même comme diamètre ! Docilement mon sexe se referma sur la partie plus étroite. La bouteille était maintenant presque complètement enfilé il ne restait que le culot que je gardais bien main. Ils me félicitèrent et m'encouragèrent à continuer. A n'en pas douter je les avais bien allumés. Je me mis donc à entrer et sortir la bouteille comme je l'aurais fais d'un quelconque godemiché. Je commençais à être on ne peut plus excitée par la scène et il n'y avais pas que moi. Les hommes bandaient ferme…. Je décidais de les chauffer à blanc.
Je retirais la bouteille. Bien sûr elle était maculée de mes secrétions intimes... je leur fit bien voir et me mit à la lécher le plus vicieusement possible ce qui ne leur échappa pas. En un éclair je pensais que si je les excitais bien, les conséquences seraient formidables pour moi, donc…. Comme visiblement je préparais quelque chose, ils me fixaient tous les deux en se demandant ce que j'allais bien pouvoir faire. Avec un regard angélique, en les fixant bien, je pris la bouteille par le goulot et je décidais de me l’enfoncer au plus profond de ma chatte mais cette fois par le culot. La pénétration de mon vagin par le culot de la bouteille fut un peu plus laborieuse, mais néanmoins j'y arrivais dopée par cette sensation de faire quelque chose d'obscène. Consciente du spectacle que j'offrais je la fit sortir presque complètement et laissais mon minou l'avaler de nouveau. Je recommençais ce manège plusieurs fois poussant sur le goulot pour l'enfiler plus loin à chaque passage. Un coup d'œil… gagné !... ils bandaient comme des ânes. Quand elle fut bien calée au fond de mon con, je me levais, leur tournais le dos et grimpais à genoux sur les accoudoirs du fauteuil, mes bras reposant sur le dossier. C'est dans cette position obscène que d'une voie rauque j’interpellais mes amis :
"Quelqu'un veux jouer avec moi ?"
Les deux hommes ne firent point prier Bertrand le premier fit faire des aller et retour à la bouteille. Puis, ensuite ce fut le tour de Monsieur Guy qui lui accompagnait les va et vient de mouvements tournant un peu comme une vrille. C'était vraiment bon et malheureusement je ne pus exprimer mon bien-être, Bertrand s'avisant que ma bouche était à bonne hauteur, y avait glissé sa pine. Voulant corser les choses, ils me proposèrent "de me la mettre dans le cul". Une fois encore je refusais fermement. Mes muscles intimes, coté verso, me paraissaient très résistant. J'avais trop peur que le verre ait un défaut et sans parler de la douleur que cela pouvait infliger, je me voyais mal expliquant à un docteur comment cet ustensile avait pu arriver à cet endroit.
Ils semblèrent faire contre fortune bon cœur e Bertrand me prévint :
"Bon ! Puisque c'est comme ça… on va te faire voir comment on traite les petites putains de ton espèce….".
"Chic, chic… chic…." Pensais-je.
Il aida Monsieur Guy à quitte son fauteuil roulant et à s'asseoir sur le canapé. Il retira la bouteille de l'endroit ou elle était demeurée fichée. Il m'aida galamment à descendre de mon perchoir, puis me poussa vers Monsieur Guy en m'invitant à aller m'installer sur lui pour le chevaucher. J'enjambais ce dernier et m'enfilait sur sa bite dressée. Qu'elle était douce et que j'aimais la recevoir en moi ! Je me laissais peser de tout mon poids pour quelle s'enfonce loin. Je n'eus même pas le temps d'entreprendre des petits mouvements. Bertrand apostropha Monsieur Guy en lui demandant "de m'ouvrir les miches". Immédiatement je compris ses plans… j'allais être prise en sandwich par mes deux amants… pour la première fois. Effectivement Monsieur Guy prit mes fesses entre ses mains et les écarta autant qu'il put. Bertrand m'amadoua chichement l'anus d'un doigt mouillé et y présenta tout de suite sa queue. Comme il ne m'avait pas franchement bien préparée il me fit un peu mal. Oh !... assez peu quand même ! Je commençais à m'habi à ce qu'il me prenne de la sorte et je me détendais assez bien désormais pour l'absorber sans coup férir. Je pense que cette fois il avait voulu me punir d'avoir refusé un de ses souhaits. Il n'acheva le "viol" de mon postérieur que lorsqu'il y fut abuté à fond. J'étais transpercée par ce glaive de chair qui comprimait mon périnée contre celui, de taille plus "raisonnable" de Monsieur Guy. Et toujours… toujours dans cette posture cette sensation d'être farcie… d'avoir le bassin rempli… merveilleusement. Sans plus attendre ils se mirent à me poignarder férocement. Un peu comme s'ils voulaient agir en barbare, montrer à l'esclave de leur plaisir que j'étais et qu'ils pouvaient lui faire subir impitoyablement leur loi… la loi des mâles…. Ils me dévastaient les orifices à toute allure, comme des forcenés… me fourrant aussi parfois leurs doigts dans la bouche lorsqu'ils ne me roulaient pas des patins mouillés. Leurs doigts… ils s'en servaient aussi pour se cramponner à mes hanches (j'allais encore avoir des marques) et surtout se consacrer de mes seins… et là aussi j'aurais des marques…. Le plus souvent Bertrand qui était derrière moi me les prenait à pleines mains et les pressait l'un contre l'autre en y enfonçant les doigts. Les ayant ainsi bien en main, il les tendait à Monsieur Guy pour que celui-ci puisse s'intéresser à mes tétons. Il faut bien reconnaître qu'il se montra assez cruel avec eux, les étirant, les pinçant, les mordillant et même les tordant. Je vais vous faire une confidence… je ne détestais pas être rudoyée de la sorte et le mélange de tout ce qu'ils me faisait me faisait décoller. Heureusement que Monsieur Guy habitait un pavillon…. Les cris que je poussais en jouissant auraient ameuté les voisins. Ils me firent crier de jouissance par deux fois. La première ou il continuèrent imperturbablement de me fourrer et la seconde au terme de leur cavalcade lorsque je les sentis gonfler en moi et m'inonder con et cul de leur foutre brûlant. J'étais détruite….
Nous fîmes alors une pause dans nos ébats sexuels pour bavarder un peu. Ils ne tarirent pas d'éloges sur la nouvelle Jocelyne qui devenait à leur dire un "sacré bon coup", une chaudasse et une belle salope. Flatteusement je leur retournais le compliment, louant mes "éducateurs" et leur perversité. A leur dire, et puisse qu'il leur semblaient (à juste titre) que j'aimais la bite, ils conclurent que je devrais m'y consacrer entièrement. Dans leur esprit dépravé, il leur sembla qu'il serait bon que je quitte mon travail, les assurances n'étant pas ment un milieu de débauche intense. Là, je dois dire qu'ils avaient raison ! Ils me parlèrent de tout ce que je pourrais faire pour joindre l'utile à l'agréable et vouer ma vie au sexe. Ils auraient bien vu que je m'exhibe dans des sex-shops ou que je participe à des live show. Ils pensaient que je pourrais aussi poser pour des photos pornos ou même des films du type que ceux que Bertrand fournissait à Monsieur Guy et que celui-ci me faisait admirer. Ils me dirent que les femmes mures filmées s'offrant à des jeunes montés comme des animaux ou des groupes d'hommes de couleur bien membrés étaient très recherchées et que cela était fort bien rétribué. Ils jugeais aussi que je pourrais entrer dans des cercles de personnes organisant des partouzes ou des femmes amatrices, bien sûr, se livraient aux caprices d'hommes plus ou moins nombreux. Là également il paraissait que la générosité des organisateurs était à la hauteur. Comme je le supposais, il connaissaient et l'un et l'autre tout ce joli monde et étaient prêts à m'introduire (si l'on peut dire) auprès d'eux.
Je refusais tout net.
S'il est vrai que ma vie était très axée sur le sexe désormais, je ne comptais pas en faire une profession. Et puis… j'étais très attachée à mes deux initiateurs. Faire des cochonneries avec eux, d'accord en leur compagnie et celle d'autre, encore d'accord… mais pas plus.
Ils pensèrent que j'avais tort mais n'insistèrent pas. Par contre ils furent nettement plus insistants en m'annonçant qu'ils allaient continuer à "faire mon éducation". Cette fois, je fus d'accord, entièrement d'accord. Je ne demandais que cela…. Bertrand sauta sur l'occasion et demanda à Monsieur Guy :
"Justement, peux tu me la prêter samedi soir ?"
Évidemment Monsieur Guy fut d'accord. J'allais donc être "prêtée" pour la soirée. Cela me fit quand même un peu drôle. A aucun moment il ne m'avait été demandé mon avis. Ils disposaient de moi en toute faculté. Et moi j'aimais bien… je savais qu'ils avaient (ou allaient) me préparer quelque chose de torride et que j'en serais la victime (ou la bénéficiaire). Avant que nous nous séparions Bertrand me prévint qu'il passerait me chercher le jeudi précédent pour me dit-il :
"Aller choisir une tenue… comme je te l'ai promis !"
C'était vrai qu'il m'avait dit cela, mais il en disait tellement…. Le connaissant, je ne fus pas trop rassurée. Je le fut encore moins quand Monsieur Guy me demanda :
"Ma petite Jocelyne, un de ces jours je compte organiser une petite soirée ici en compagnie de quelques amis. Je sais maintenant que tu ne répugne pas avoir à t'occuper de plusieurs personnes en même temps Puis-je compter sur toi pour être des nôtres?".
"Oui, Monsieur Guy se sera avec plaisir… vous le savez bien !".
Il y eu un peu de bravade dans ma réponse. J'étais incapable de savoir jusqu'où il pouvait aller et surtout jusqu'où je pouvais le laisser me dégrader.
"Le jeudi précédent" avait-il dit. C'était le lendemain… une nuit, courte… une journée, longue comme un jour sans pain. Quand je rentrais chez moi la voiture de Bertrand était garée devant chez moi. Il m'attendait. Je le fit entrer et il voulu que nous repartions sur l'instant. La seule chose qu'il me demanda fut de retirer mon slip… dans mon salon et devant lui…bien sûr. Une fois délestée du sous-vêtement, nous partîmes pour nos emplettes. Il me conduisit dans une boutique due centre ville. J'avais déjà admiré cette boutique avec la lingerie affriolante qu'elle proposait. La vitrine ne recelait pas que des sous-vêtements. Il y était présenté aussi des tenues vraisemblablement taillées de façon à montrer le plus possibles des corps qu'elles étaient sensées recouvrir. J'avais vu juste … je n'aurais pas trop chaud (du moins à cause des vêtements). Une belle femme très distinguée nous accueillis et vint s'enquérir de nos souhaits. Bertrand expliqua que je souhaitais une jupe très courte. S'adressant à lui (je pense qu'elle avait compris que c'est qui était maître du jeu) elle lui demanda de préciser si "je" voulais une simple jupe courte ou quelque chose de mini-mini. Avant même la fin de la question, j'avais deviné la réponse…. Ce serait mini-mini ! Je rougis…. D'un œil professionnel elle jaugea ma taille et revint avec un modèle. A vue de nez cette "jupe" devait mesurer vingt-cinq à trente centimètres de hauteur… à tout casser. Avec un sourire que je jugeais malicieux elle demanda à Bertrand :
"Madame veut l'essayer ?"
Bertrand opina ! Elle me désigna une cabine d'essayage. Je m'y rendis. Au moment de refermer la porte, je ne puis le faire. Bertrand bloquait du pied la fermeture de la porte et me regardait avec un sourire ironique. J'avais compris… j'allais devoir faire mon essayage porte ouverte et le pire… devant cette femme qui s'était rapprochée. Morte de honte je dégrafais la mienne. Elle allait voir que je ne portais rien dessous…. En essayant de ne pas regarder dans leur direction. Je la quittais précipitamment pour passer l'autre. Je dus malheureusement tortiller du derrière pour enfiler cette minijupe noire très moulante. Bertrand me fit sortir de la cabine pour me contempler. Il fut ravit… et moi mal à l'aise…. Elle parvenait à peine à cacher le haut de mes bas en station verticale. Il me serait impossible de m'asseoir. La femme fit remarquer à Bertrand qu'il me faudrait des bas pouvant monter plus haut. Il acquiesça. En bonne professionnelle elle s'inquiéta :
"Et pour le haut ? Madame à ce qu'il faut ou bien voudriez voir quelque chose ?".
Seconde solution… inévitablement !.... Bertrand crut bon de préciser :
"Nous nous rendrons à une soirée… disons une peu déshabillée…. Auriez-vous quelque chose qui convienne ?"
Elle l'assura de la disponibilité de plusieurs modèles puis fit mine de réfléchir avant de proposer :
"J'ai bien quelque chose qui irait parfaitement à Madame…. Mais je dois vous prévenir, c'est un peu… un peu sexy….".
Je n'étais sûre que d'une chose, dans l'esprit de Bertrand ce serait parfait. Elle revint avec une boite qu'elle ouvrit devant nous en sortant un chemisier noir. Enfin il serait plus exact de dire un voile noir très fin, complètement, mais alors complètement transparent. Bertrand fit mine d'examiner la chose. Je savais déjà qu'il état conquis. Il fit semblant d'hésiter puis demanda à ce que je l'essaye pour être certain du résultat. La vendeuse répondit elle allait nous le proposer. Retour vers la cabine d'essayage. Cette fois j'avais compris. Même pas le peine de songer à la fermer…. J'ôtais mon corsage et me préparais à enfiler l'autre. J'entendis la vendeuse expliquer à Bertrand:
"D'habitude, Monsieur, ce genre de vêtement est fait pour être porté sans soutien gorge…".
C'est ce qu j'avais redouté. Bertrand me demanda si j'avais entendu le conseil. Je fis signe que oui. Comme je l'avais aussi pensé, elle ne daigna pas s'écarter…. Je retirais donc mon soutien gorge sous leurs yeux. L'encolure du chemisier était très large et fermée par un fin cordon. Le tissus était très, très fin glissant facilement et dénudant une épaule ou l'autre. Ce n'était pas cela le pire… elle avait dit "un peu sexy". C'était un doux euphémisme. Le tissu révélait parfaitement la grosseur de mes seins dans toute leur plénitude. La mini plus le haut transparent… on ne pouvais pas faire plus impudique. La femme s'approcha de moi et dit à Bertrand :
"Regardez, Monsieur, la finesse du voile"
Ce disant elle avait posé sa mains sous mon sein gauche et en agaçais le tétons de son pouce. Complice, Bertrand fit de même. Pendant un court instant ils me caressèrent tous les deux les seins qui n'en demandaient pas tant et se mirent à durcir toutes pointes érigées. Cessant de me caresser elle fit remarquer le petit cordon à Bertrand. D'un geste précis, elle tira dessus. Le nœud céda, encolure s'élargit et le chemisier glissa le long de mes épaules dénudant complètement mon buste. La femme me complimenta sur la beauté de mes seins. Je vis dans ses yeux qu'elle mourrait d'envie de les toucher. Pourtant elle se retint. Bertrand tint à terminer les achats par une nouvelle paire de talons aiguille. La vendeuse revint avec plusieurs paries dont l'une fut retenue par Bertrand. De magnifiques chaussures rouges avec un talon d'environ onze centimètres de hauteur. A mon grand désappointement, il me fallut me les laisser essayer par la femme qui s'agenouilla devant moi. Ainsi elle eut une vue imprenable sous ma jupe et put admirer mon entrejambe. Ce qu'elle fit apparemment avec ravissement tout en me caressant le mollet. Avant de partir Bertrand demanda à cette femme si d'aventure elle ne se déplaçait pas à domicile pour faire des essayages. Elle comprit et d'un air entendu répliqua qu'elle se prêtait volontiers à toute sorte d'essayages. Bertrand affirma qu'il y songerait… et moi je songeais qu'un jour j'allais un jour ou l'autre être initiée à la bisexualité.
Notez bien que sans l'avoir jamais pratiqué, après tout, je n'étais pas ment contre… pourquoi pas? Après tout !
Une fois que nous eûmes terminé les achats Bertrand me raccompagna. Il cru bon de me préciser que deux jours plus tard je devrais être vêtue (si l'on peut dire) de mes nouveaux atours. Ça je l'avais bien deviné…. Par contre il ne voulut rien me dire de l'endroit ou nous irons, ni ce que y ferions. Un vendredi fugace ou je n'eus pas vraiment la tête au travail et un samedi vite passé et voilà ! Une heure avant le rendez-vous, j'étais prête… bien coiffée, bien maquillée avec juste une paire de long bas noirs sur ces fabuleuses chaussures rouges. Petit à petit, tout au long de la journée, l'envie était allée crescendo… j'étais pratiquement "à point". J'avais envie… une envie presque bestiale… j'avais envie de cul…. Enfin ! le terme est trop général, ce dont j'avais envie, c'était de queues, oh oui de queues… qui me prendraient, qui me forceraient, qui me défonceraient…. Après une petite attente dans cette tenue, je décidais de m'habiller. Je passais d'abord le chemisier, puis la jupe. Ouuuhhh !... ainsi apprêtée et habillée je faisais de l'effet…. Très salope… très salope, ma fille… tu vas faire des ravages…. Ce fut enfin l'heure et l'arrivée de Bertrand. Il me complimenta galamment et se permit quand même une petite flatterie sur mes seins offerts par la transparence et une petite "main-tombée" sous ma si courte jupe, histoire de vérifier, sans doute, si j'avais bien suivi ses prescriptions. Pourquoi ne l'aurais-je pas fait ? En montant dans la voiture, je minaudais un peu en lui demandant si je devais m'asseoir comme les autre fois, c'est-à-dire jupe relevée et cuisses écartées. La cause était entendue avant que je pose la question, bien nécessairement, puisque finalement nous étions de connivence. Donc je me retrouvais vite cul nul sur le siège. Je lui demandais ou nous allions. Il me répondit que nous allions dîner dans son auberge favorite. Comme je lui faisais remarquer que même dans cet endroit ma tenue risquait de choquer, il me précisa que de temps à autre le patron organisait des soirées de type échangistes et que les consommateurs étaient alors plutôt du genre non-conformistes. Autre précision : ce soir, justement, une soirée de cette espèce était organisée. Avec un peu de crainte je lui demandais s'il comptait "m'échanger". La réponse fut laconique et me laissa dans l'expectative :
"Faut voir ! Éventuellement …. Après tout cela te plairait peut être !".
A cause de ce ton, je pressentais autre chose….
À juste titre… puisque dès notre entrée il examina la salle comme s'il cherchait quelque chose ou quelqu'un. Il eut un sourire satisfait et me prenant par la taille me fit traverser la salle de restaurant, et ce, sous des regards à la fois admiratifs et salaces. Il avait raison la majorité des femmes présentes étaient, pour le moins, très sexy et pour le plus, carrément indécentes… comme moi. Nous nous dirigeâmes vers une table ou se trouvait un couple. Quelle ne fut pas ma surprise en constatant que je connaissais ces personnes. En effet, il ne s'agissait par moins du couple qui le remplaçait soit à la maison de la presse, soit au vidéo club. Les deux jeunes nous accueillirent avec le sourire et Bertrand me présenta Laurent …son neveu et Stéphanie sa compagne. Pour un peu, je ne l'aurais par reconnue…. A la caisse du magasin, je l'avais trouvé plutôt jolie. Mais là c'était différent. Rien à voir avec la marchande de journaux. Elle avait dénoués ses cheveux blonds et était parfaitement maquillée. De plus sa tenue n'avait rien à envier à la mienne. Elle portait en haut un simple boléro sans manches qui ne disposait d'aucune fermeture. A chacun de ses mouvements, sa poitrine apparaissait. Autant que je puis en juger, elle avait de jolis petits seins hauts placés. Il n'y avait aucune similitude avec mes gros lolos mais les siens étaient fort beaux quand même. Elle portait une jupe longue qui devait lui arriver aux chevilles. Toutefois, ce qui la rendait aguichante était que cette jupe était fendue jusqu'en haut des cuisses. Lorsqu'elle s'assit à coté de moi je pus constater que le tissu tombant de chaque coté de ses jambes lui découvrait pratiquement toutes les cuisses. A n'en pas douter, assise, à elle aussi comme à moi, on devait apercevoir le sexe. Une paire de bas filet à larges mailles et des escarpins à talons complétait harmonieusement sa tenue. Bertrand me précisa que son neveu et sa compagne venaient de temps à autre le remplacer à la boutique comme salariés à temps partiel et c'était pour cela que je les avais déjà entrevus. Il me précisa qu'ils avaient un autre job, mais que cela était une autre histoire et que peut-être ils m'en parleraient plus tard. Pendant le repas les hommes était en face de nous. Laurent en face de moi et Bertrand en face de Stéphanie assise à coté de moi. Ils nous dévoraient littéralement des yeux surtout que, précision que je n'ai pas apportée, nous étions installé à une table de verre qui leur permettaient d'avoir une vue imprenable sur les trésors que nos jupes dissimulaient fort mal. Pendant que nous dînions, je songeais qu'il n'allait pas s'agir d'un échange au hasard, mais que Bertrand avait organisé cette rencontre pour que "je fasse connaissance" de Laurent et lui de Stéphanie. Il était vrai qu'il était plutôt beau garçon, apparemment assez bien bâti… alors…. Par contre, à l'inverse de moi, ils étaient tous les deux très détendus, un peu comme s'ils avaient l'habitude de ce genre de soirée. Excellent repas, excellents vins, excellente ambiance, je me sentais petit à petit un peu euphorique.
Bertrand proposa une coupe de champagne chez lui. Cela me conforta dans la pensée que j'avais eu tout à l'heure. J'étais assise sur un canapé avec Laurent à mes cotés, Stéphanie en face de moi sur un fauteuil (d’où je me trouvais, je pus constater qu'effectivement un fois assise on voyait assez nettement sa vulve) et Bertrand sur un autre fauteuil après qu'il eut servi le champagne. Au bout d'un moment, je réalisais que Stéphanie me fixait intensément. D'ailleurs, tout le monde s'en aperçut puisque la conversation cessa pour faire place à un silence un peu lourd. Ce fut Bertrand qui le rompit :
"Que ce passe-t-il Stéphanie ? Il y un problème ?"
"Non, non… juste… j'admirais la poitrine de Jocelyne !"
Interloquée, je regardais alternativement Bertrand et Stéphanie. Interloquée, je le fus encore un peu plus quand Bertrand me dit :
"Redresse le buste Jocelyne ! Fais lui voir comme tu as de gros nichons !"
Un peu timidement, il est vrai, je m'exécutais. Sous les trois paires d'yeux, je sentis mes seins comme se gonfler de fierté et les tétons se raidir sous le fin voile noir de mon chemisier. Ce fut Laurent qui prit la parole à son tour :
"De près ils sont encore plus beaux, tu devrais venir voir !"
Je la vis se lever et venir s'asseoir à ma gauche du coté libre du canapé.
"C'est vrai ! Qu'est ce qu'ils sont gros ! Qu'est ce que j'aimerais en avoir des comme cela !" déclara-t-elle et elle ajouta :
"En plus, je suis sûre qu'ils sont très sensible…"
Comme pour s'en assurer, elle empauma mon sein gauche de sa main. J'étais assez gênée. Inutile de compter sur Bertrand qui avait l'air ravi de la chose. Ni, encore moins sur Laurent.
D'ailleurs, ce dernier fit remonter sa main le long de mon bras droits, puis sur mon épaule que le chemisier avait dénudé. Les doigts suivirent la ligne de mon coups pour aller saisir l'extrémité du cordon que retenait l'ouverture du mon vêtement. Tétanisé, j'avalais avec peine ma salive. Le temps que je réalise, il avait prestement tiré sur l'attache et le tissu glissa sur mes épaules et chuta autour de moi. J'étais torse nu….
Stéphanie reposa sa main sur mon sein gauche, nu cette fois et commença à le caresser avec adresse. Laurent, qui n'était en reste prit le droit en coupe tout en m'embrassant dans la cou et me murmurant qu'il avait envie de les voir nus et de les peloter dès qu'il m'avait vue. Bertrand vint se joindre à notre trio. S'installant derrière Stéphanie il passa un main sous son boléro et l'autre sous sa jupe à la fourche de ses cuisses. Est-ce cela qui donna la même idée à Laurent ? Toujours est-il qu'il délaissa le sein qu'il palpait pour passer sa main sous ce que ma jupe très relevée pour encore à peine cacher. Je fermais les yeux….
Quant je les rouvris je vis que Stéphanie s'était encore rapprochée de moi. Ses yeux allaient des miens à ma bouche. Elle se rapprocha encore… je savais qu'elle allait m'embrasser…. Ses lèvres se posèrent sur les miennes pour un baiser léger, puis la belle bouche rouge s'attarda un peu plus sur la mienne, un doigt se glissa dans ma vulve, un langue agile se fraya un passage entre mes lèvres, des doigts se saisirent de mes tétons qu'il enserrèrent… je répondis avidement au patin de Stéphanie….
En une fraction de seconde, je compris que ce diable de Bertrand avait décidé (seul ou sur les directives de Monsieur Guy ?) de me faire déniaiser par la copine de son neveu avant (certainement) de m'offrir à ce jeune homme pour qu'il se régale de mes orifices. J'entendis Laurent dire "que j'étais vraiment mouillée" et aussitôt un de mes seins se trouva orphelin. Laurent me fit tourner la tête vers lui pour a son tour m'embrasser férocement. Du coin de l'œil je vis Bertrand faire de même avec Stéphanie pendant que celle-ci sans perdre le nord, insinua deux doigts dans ma fente effectivement trempée. Une main, celle de Laurent ?... pas sûr… prit la mienne pour la poser sur un sein de Stéphanie. Je le caressais avec timidité. À nouveau Bertrand interrompit tout le monde d'un :
"Hèè les filles ! Si vous vous mettiez à poil et si vous nous faisiez une petite pipe !"
"Avec joie !" répondit Stéphanie et me prenant par la main me fit lever. Tiens… je n'avais pas remarqué qu'elle ne portait plus son boléro. Elle m'enlaça et me commanda :
"Donnes-moi ta langue !"
Je la tirais un peu en dehors de ma bouche et pendant qu'elle me la léchait de la sienne elle me serra contre elle pour dégrafer ma minijupe qui chuta à terre accompagnée par mon chemisier dont les pans étaient resté rentrés dans la ceinture de la jupe. Je fis de même pour elle et sa jupe échoua également sur la moquette. Nous étions nue l'une contre l'autre. Me tenant par les fesses elle me serra contre son corps pour frotter son ventre contre le mien et ses nénés contre les miens, le tout en me roulant des pelles enflammées. Pour répondre à ses baisers passionnés j'avais passé mes bras autour de son cou. Le spectacle devait être très excitant de voir deux femmes (une jeune et une plus mure) uniquement vêtues d'une paire de bas entrain d'échanger des baisers ardents en se caressant mutuellement. D'ailleurs, nous fûmes rappelées à l'ordre, cette fois, par Laurent qui nous héla :
"Alors et cette pipe !"
J'entendis Stéphanie me dire :
"Tiens !... c'est pour toi !"
En disant cela elle me poussa vers Laurent et là, je vis….
Je vis les deux hommes qui s'étaient mis nus à leur tour et c'était stupéfiant. Malgré la différence et d'âge et de corpulence, les deux hommes avaient un point commun… la taille de leur appendice. La verge de Bertrand, je connaissais, j'en avais l'habitude … et par tous les bouts. Mais celle de Laurent… au moins aussi grosse et aussi longue…. Non !.... plus grosse et plus longue…. Ouuuuuh ! Devant mon air effaré, Laurent éclata de rire et Bertrand indiqua :
"Tu vois…c'est de famille !".
Je regardais Stéphanie. Elle souriait, amusée de ma surprise. Elle ne parut pas étonnée, elle…. J'en conclus donc qu'elle avait déjà vu se dresser la belle pine du l'oncle de son compagnon. Une fois de plus, plaquant sa main contre mon postérieur, elle me poussa vers Laurent. Toute autre sollicitation aurait été superflue devant l'homme qui avait écarté ses jambes. Je m'agenouillais en leur milieu et avec des mouvements particulièrement lents je posais mes mains sur ses cuisses et remontais jusqu'à ce que mes doigts effleurent ses testicules. D'une main je les soupesais cependant qu'avec le pouce et l'index de l'autre j'enserrais la base du somptueux pénis qui se dressait devant moi. Mes ongles remontèrent le long de la colonne de chair et je le décalottais afin que m'apparaisse (enfin) le fruit défendu, en l'occurrence un magnifique gland cramoisi. Toujours avec lenteur, je me penchais et du bout de la langue je me mis à le titiller. D'un coup de bassin il manifesta son impatience. Sous les prunelles attentives de Bertrand et Stéphanie, tout en lui dédiant mon plus beau regard de salope, ma bouche se posa sur le bout du gland et l'aspira profondément. Un soupir de satisfaction fut la récompense de mon savoir-faire. Je le laissais ressortir d'entre mes lèvres et cette fois après l'avoir bien prit en main, je le ré embouchais de plus belle et me mit à le pomper avec conviction. Effectivement, je ne m'étais pas beaucoup trompée sa bite était bien plus épaisse que celle de son oncle. Oncle qui lui, se faisait polir par la bouche gourmande de Stéphanie. Elle avait l'air de faire cela très bien aussi. Les hommes étaient contents ! Laurent le fit remarquer à Bertrand :
"Nous avons de la chance d'avoir deux bonnes suceuses à notre disposition !"
"Suceuse !... pute tu veux dire !... nous avons deux belles putes à notre disposition et nous allons bien en profiter !".
Je jetais un regard à Stéphanie. Les invectives de Bertrand n'avaient pas eu l'air de la choquer… pas plus que moi d'ailleurs, alors…. Ils voulurent que nous changions de sexe. Au passage, comme nous nous croisions, Stéphanie m'attira à elle pour m'embrasser de nouveau. Elle se mit ensuite à sucer Laurent et moi j'engouffrais la pine de Bertrand. Dès que l'eut en bouche en me disant "bouffe-la moi bien Jocelyne !" il m'appuya sur la tête pour j'avale très loin la hampe de chair. Comme d'habitude, il me maintint la tête ainsi jusqu'à ce que je tire au cœur et que ma gorge se contracte autour du membre intrus. Il aimait cela et … et moi aussi…. Après un court instant, ils demandèrent un nouveau changement de bouche. Stéphanie se mit donc à sucer Bertrand. Histoire de varier un peu et avant de me plier à la même tâche, profitant qu'il était encore tout luisant de la salive de ma consoeur, je le coinçais entre mes seins. Ayant le nichons plus généreux que Stéphanie j'étais certaine de lui faire plaisir… avec raison. Je me remis ensuite à lui faire offrande de ma langue et de mes lèvres. Je constatais que lui aussi était très résistant. Pourtant ni Stéphanie, ni moi ne ménagions ni nos efforts, ni nos talents. Au bout d'un instant, il me fit relever en disant :
"Viens sur moi".
Depuis le temps que j'avais envie d'éprouver cette imposant queue…. Je me préparais donc à m'agenouiller de part et d'autre de lui. Il arrêta mon élan en précisant :
"Pas comme ça ! Dans l'autre sens !"
Obtempérant, je lui tournais le dos, passais mes jambes à l'extérieur des siennes, et reculais jusqu'à ce que ma vulve soit à l'aplomb de son gourdin. Après tout, s'il préférait avoir la vue de mes fesses, plutôt que d'avoir mes nichons sous les yeux…. Cela le regardait et puis lui donnerait peut-être des idées, si tant est qu'il ne les ait pas encore en tête. Je mis sa verge au contact de mon vagin et me laissait doucement aller vers le bas. Lui se contentait de tenir sa bite bien rigide. Lorsqu'une bonne partie fut rentrée, ses mais se posèrent sur ma taille et il m'attira vers lui. Inutile de préciser que je gémissais de plaisir de me sentir épinglée par une chose pareille. Pour faire bonne mesure, il posa ses mains sur les épaules et appuya tout en soulevant son bassin. J'avais l'impression d'avoir une queue enfoncée jusqu'à l'estomac…. Après m'avoir caressé les épaules, le dos, ses mains se posèrent sous mes aisselles et il me souleva. Oh très peu !... pour aussitôt me laisser retomber sur le pal de chair... phénoménal ! Puis il recommença, encore, puis encore… à chaque fois il me soulevait un peu plus haut d’où je retombais avec délice. Bertrand avait positionné Stéphanie en levrette à même la moquette et il la bourrait à grands coups de reins comme à son habitude. Ainsi nous pouvions tous les quatre nous admirer entrain de forniquer. A un moment il lui parla à l'oreille. Je la vis sourire en me regardant et avancer (avec toujours Bertrand fiché en elle). Laurent ouvrit ses cuisses. Mécaniquement les miennes durent s'ouvrir encore plus. Le couple s'avança encore. Stéphanie, à bonne hauteur, se mit à lécher les couilles de son Laurent. Elle fit cela un court instant puis sa bouche se riva à mon clitoris dardé. A ce moment là elle jouit sous les coups de queue de Bertrand qui emporté par son élan lui fit don de son foutre. Une fois qu'il l'eut abandonnée, elle décida de se consacre à moi et à mon petit bourgeon le suçant, l'aspirant… doigts furent aussi de la partie pour le trifouiller et me le pincer. Je me sentais décoller. Laurent m'avait attiré contre lui et pour me faire camber et rejeter la tête sur son épaule il me tenait par les tétons qu'il étirait vers le haut. La queue qui me fouillait, la douleur infligée à mes seins, la douceur de la bouche qui soignait mon clitoris… tout ce mélange me submergeait. J'allais encore jouir comme une possédée. Laurent m'interpella :
"C'est bon hein salope !"
"Ouiiiiii… c'est booonnn !"
"Tu aimes ça ce qu'elle te fait, hein !"
"Oh oui j'aiiiime !"
"Toi aussi tu vas la gouiner après n'est ce pas ?"
"Oui, oui… moi aussi… tout ce que tu veux !"
"Tu lui bouffera la chatte ?"
"Ouiiiiii, ouiiiii…..ouiiiii je la boufferais… je vous boufferais tous....Oh c'est trop booooonnnn…. Je jouiiiiiiiiiis".
Effectivement le jeune couple me procura un orgasme fulgurant duquel je n'eus pas trop le loisir de me remettre. En effet Laurent me fit l'abandonner et me demanda de le sucer à nouveau désireux qu'il était d'éjaculer dans ma bouche. Je me donc à le sucer de mon mieux cependant que Stéphanie s'étant approchée de moi recommençait de m'exciter en ayant enfourné deux de ses doigts dans ma chatte. Quelle situation… je faisais une pipe à son ami pendant qu'elle me doigtait (pour faire bonne mesure elle m'avait aussi mis un doigt dans le derrière) et le tout sous l'œil brûlant de mon amant qui rebandait déjà. Laurent ne tarda pas à m'offrir son sperme… un sperme abondant, chaud épais…. Je ne pus même pas le goûter autant que j'en aurais eu envie puisque Stéphanie s'empara vivement de ma bouche pour noyer sa langue dans le foutre que ma bouche avait recueillie. En définitive, je ne lui en voulus pas trop. Elle ne faisait que récupérer ce qui lui appartenait. Notre baiser se prolongea… bien au delà du temps que nous mîmes à essorer la pine de Laurent. Elle rappela à mes promesses en me soufflant :
"Tu as promis de me bouffer la chatte ! Fais le maintenant !"
Elle se releva et se rassit sur le canapé, à coté de Laurent, en ouvrant largement le compas de ses cuises. Encouragée par Bertrand je m'y aventurais. J'étais un peu contractée. C'était la première fois que j'allais poser ma bouche sur le sexe d'une autre femme… contractée et troublée… inquiète aussi. Surtout inquiète de mon manque de pratique alors qu'elle y avait été pour beaucoup dans la puissance de mon plaisir. Je m'approchais de sa vulve. De toute façon, comment une femme mure comme moi de surcroît avide de sexe comme je j'étais pouvait-elle résister à la cette demande. De plus je supposais que tout ce petit monde était là pour participer à mon initiation. La vue des pointes turgescentes de ses seins trahissait l'envie et l'attende de Stéphanie. Elle me dit :
"Jocelyne, j’ai envie de toi, embrasse moi."
J'obéis, devenant presque l’élève de cette jeune femme et je déposant un baiser sur son sexe suintant de désir et brillant des sucs de Bertrand. Je séparais les lèvres vaginales de Stéphanie le plus délicatement du monde pour lui pratiquer le cunnilingus qu'elle attendait. Timidement ma langue s'aventura dans sa grotte, goûtant son jus. Devant le gémissement qu'elle lâcha, je m'enhardis et y rentrait toute ma langue. Je crois que je lui faisais du bien. Et puis je me laissais aller à mon instinct aspirant sa cyprine, butinant son, clitoris qu'elle avait très développé. Mon instinct ne m'avait pas trompé puisqu'elle gémissait en roulant des hanches. Visiblement elle aimait bien les femmes … et les deux hommes aimaient bien nous mater en se masturbant nonchalamment. Laurent me figea un peu dans mon ardeur en me demandant :
"N'oublies pas son petit trou ! … tu vas quand même bien lui mettre ta langue dans le cul !"
Y avait-il une limite à la débauche ? Pas sûr… je voulais m'y vautrer ? Alors d'accord !… cela aussi….. Je vrillais ma langue contre son anus et poussais vers l'avant. Son muscle devait être habitué à des pénétrations anales car il me laissa passer avec docilité. Tiens… d'ailleurs… en parlant de cet endroit précis, Laurent était activement entrain de s'occuper de mien… d'anus. Ce qui fit dire à Bertrand :
"Vas-y ! Le cœur t'en dit… encule-la ! Mets lui bien profond, elle adore ça ! Fait la gueuler !"
J'en tremblais presque. De désir, il vrai que cette magnifique bite, j'avais envie de la prendre dans le derrière mais aussi de crainte. Déjà, absorber Bertrand n'était pas toujours une mince affaire. Et pour en avoir apprécié le volume dans le sexe et dans la bouche, il allait m'exploser le fion s'il n'était pas précautionneux. Mes craintes furent infondées. Il faut croire que lui aussi était un expert. Il me la mit sans trop trop de difficulté et lentement se mit à me sodomiser pendant que ma langue allait de l'anus à la vulve de Stéphanie. Bertrand n'allait pas rester de marbre. Il manifesta l'envie, lui aussi, de "s'occuper du petit cul de Stéphanie". Laurent préconisa à sa compagne :
"Mets-toi sous elle !"
J'étais je vous le rappelle agenouillée devant elle avec Laurent entrain de m'enculer. Je restais en position de levrette. Elle mit sur le dos et en rampant vint se placer sous moi pour avoir son visage à hauteur de mon entrejambe. Prévoyante elle avait prit un coussin qu'elle se plaça sous la tête. Ainsi elle n'eut pas beaucoup de chemin à faire pour sa bouche vienne boire à ma source. De même j'avais sa chatte sous les yeux à portée de langue. Bertrand lui fit relever haut les jambes. Je vis en gros plan sa belle queue, qui tant de fois m'avait pénétrée, se poser sur se rosette et s'y aventurer sans rémission. Voilà pourquoi Laurent me m'avait fait bien lécher…. Lorsqu'il se fut introduit à fond, Bertrand d'une légère pression sur la tête m'indiqua que je pouvais reprendre mes activités linguales. Ce fut un moment que je n'oublierais jamais. J'étais, pour la première fois, en position de soixante neuf avec une femme et de plus nous avions chacune le cul fouillé par deux queues de belle taille. Par la suite j'eus l'occasion de me retrouver dans ce genre de posture (avec Nathalie, Marie-Agnès, Annick et d'autres), mais cette première fois restera particulièrement gravée dans ma mémoire. Les deux hommes nous enculaient désormais sans ménagement et nos langues avaient du mal à suivre le mouvement. Parfois un des hommes se retirait complètement du fondement de l'une et présentait sa queue à la bouche de l'autre. Malgré l'endroit d'où elle sortait ni Stéphanie, ni moi n'imaginions repousser ces membres douteux. Comme il l'avaient fait déjà plusieurs fois, nos amants firent preuve d'une belle générosité à l'égard l'un de l'autre en "changeant de cul" de temps à autres. Sous les assauts de nos mâles (et en y ajoutant ce que nous nous faisions mutuellement) nous jouîmes toutes les deux rapidement puis les garçons firent de même… et généreusement. Pour terminer ce merveilleux soixante neuf, il nous fallut nous lécher copieusement l'anus et le débarrasser du foutre qui le maculait. Nous fîmes ensuite une petite pause, histoire de nous reposer un peu et de nous rafraîchir. Bertrand me demanda d'imaginer quelle profession supplémentaire Laurent et Stéphanie pouvait bien exercer en complément de leur rôle de vendeurs de journaux et vidéo. Évidemment je ne trouvais pas et cela les amusa beaucoup. En fait, Laurent posait pour des photos pornos et tournait même dans des films amateurs. Quant à Stéphanie, elle jouait le rôle de maquilleuse pour les mêmes productions, ce qui ne l'empêchait pas, elle aussi de faire l'actrice de temps à autres. Je tombais des nues…. Laurent insista pour que j'accepte de faire quelques essais puisque d'après lui "j'appréciais les grosses queues". Stéphanie renchérit. Devant mon indécision, Bertrand promit d'en parler à Monsieur Guy. Il savait, le monstre, que si mon "gourou" le souhaitait, je m'y plierais de plus ou moins de bonne grâce, mais je m'y plierais…. Toute cette conversation et les détails qui l'avait imagée avait redonné de la vigueur et des intentions aux hommes. Bertrand s'éclipsa et revint muni de deux vibromasseurs identiques. Il annonça que Stéphanie et moi allions faire un concours de masturbation. La gagnante serait récompensée… en étant prise en sandwich. Ils s'installèrent en face de nous et toutes les deux cote à cote, jambes écartées nous attaquâmes la compétition… que je perdis. J'en fus un peu contrariée. Je fus donc obligée d'assister à la double pénétration de Stéphanie par devant par Bertrand et par derrière par Laurent. Sur l'ordre des trois autre je n'eus d'autre solution que de m'astiquer toute seule. Notez bien que Stéphanie fut sympa et n'en profita pas trop. Dès qu'elle eut jouit une fois elle décida que c'était mon tour d'être enfilée par les deux compères. Bertrand me sodomisa à quatre pattes, puis me fit allonger à plat ventre. Plaçant une main sous moi, d'un coup de rein, il nous retourna. Lui était allongé sur le dos sur la moquette et moi allongée sur le dos et reposant sur son ventre et son torse. Ma priant d'ouvrir les jambes, Laurent n'eut aucun mal à me fourrer par devant. Jugeant qu'elle avait été "bonne fille", Stéphanie décida que je devais la remercier. Pour ce faire, elle demanda aux hommes de me décaler un peu pour que ma tête ne soit pas trop près de celle de Bertrand et qu'elle repose un peu plus sur le sol. Ainsi positionnée elle vint s'asseoir sur mon visage et me fit déguster son entrejambe et son entre fesse pendant qu'elle exhortait les deux étalons à me défoncer sauvagement. Malgré ce que me faisaient mes partenaires, j'arrivais à la faire jouir avant tout le monde et j'en conçus un certaine fierté. Je passais avec brio mes épreuves d'initiation saphique. Bertrand et Laurent me remplirent les conduits et Stéphanie, à qui je devais, décidemment bien plaire, se jeta sur moi pour déguster le jus qui s'écoulait de mes orifices.
Tout le monde, un peu fatigué, décida d'en rester là (pour cette fois) et gentiment, Laurent et Stéphanie me déposèrent à mon domicile, fourbue d'avoir encore bien profité de cette nouvelle vie que je m'octroyais et quand même un peu fière d'avoir plut à ces jeunes gens (ils avaient tous les deux vingt quatre ans). En me quittant Bertrand m'avait quand même précisé, au cas bien improbable ou je ne m'en serais pas douté, que Monsieur Guy attendait mon compte rendu….

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