Une Sale Histoire

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis vraiment dans une grande détresse, parce que j'ai été mêlée à cette sale affaire de la pire des manières.
Mon mari l’ignore, pour le moment. Il s’agit de sexe adultérin, hors des liens sacrés du mariage.

J'ai grandi dans une famille où l’on ne parlait pas de sexe. Jamais. Mon mariage m’a changée. Mon mari m’a dévergondée, il m’a décomplexée. J'avais parfois envisagé la possibilité de relations sexuelles avec un bel inconnu.
C’est un fantasme qui provoque une grande excitation en moi.

Avec mon mari, nous avons un petit commerce de pièces détachées. Je m’occupe du bureau pendant qu’il va voir les clients et les fournisseurs. Il nous fallait un magasinier pour nous seconder. Mon mari a embauché un gentil jeune homme, Igor, pour s’occuper du magasin. Il est très doux, très gentil, et un peu efféminé.

Le soir, après le travail, il est chargé de me reconduire jusqu’à la maison. Mon mari travaille très tard et je dois rentrer pour préparer le repas du soir et m’occuper du ménage. L’itinéraire qui nous conduit de la banlieue où se trouve le magasin, jusqu’au village où nous habitons, traverse une grande forêt.

C’est pourquoi Igor me raccompagne, par sécurité. Souvent, en traversant la forêt, nous nous arrêtons pour faire quelques pas. Nous passons déjà toutes nos journées ensemble, ces balades en pleine nature nous ont progressivement rapprochés. Rendus plus intimes. Jusqu’à nous rendre amant et amante.

Quand le temps le permet, nous nous promenons dans les bois et nous faisons l'amour dans un buisson, à l’écart des sentiers principaux. Il aime que je porte une robe ou une minijupe qui s'ouvre devant, et que j’ôte ma culotte. Je crois que j’ai quelque chose à propos de faire l’amour en plein air. Déjà, quand un homme a des exigences, cela m’excite.
Mais j'adore cette sensation de la brise sur ma peau nue, et la crainte que nous pourrions être découverts.



Mon mari a eu une vasectomie et je ne prends donc pas la pilule. Du coup, Igor, mon amant, s’équipe toujours de préservatifs. Le problème est arrivé à la fin du printemps, pendant une belle période de chaleur. Avec Igor, nous nous promenions dans le bois en nous câlinant. Je caressais ses fesses et il me pressait le sein. Nous étions tous les deux extrêmement excités et avons commencé à nous embrasser près d'une barrière menant à un champ.

Sans prendre garde au fait que nous étions à découvert, donc vulnérables, nous nous embrassions en nous caressant de manière de plus en plus voluptueuse. Sans réfléchir au danger de nous exposer ainsi, il m'avait soulevée en partie contre le portail et il avait glissé sa bite en moi. Accrochée à son cou, remuant des hanches sur sa bite dressée, j’avais fermé les yeux pour savourer l’instant, lorsqu’une étrange sensation m’a fait rouvrir les yeux.

J'ai poussé un hurlement d’effroi mais Igor a juste pensé que je prenais mon pied. Près de nous, il y avait une demie-douzaine de racailles de banlieue. Un des types s’est raclé la gorge, et Igor s'est rendu compte qu'il y avait quelque chose qui clochait. Il s'est retourné, mais il était trop tard, les gars lui ont sauté dessus et l’ont immobilisé.

J’ai bien essayé de m’enfuir, mais un des gars m’a attrapé et m’a tordu le bras dans le dos. Il m'a poussé contre la barrière et m'a maintenue là, sans difficulté. Je les ai regardé attacher Igor à un arbre. L'un des types lui a fourré un foulard dans la bouche, qu’il a fixé avec une ceinture en cuir autour de sa tête pour l'empêcher de le cracher. 
Igor luttait dans ses liens et un voyou lui a dit : "reste tranquille ou je te casse le cul" en sortant sa bite. 

Igor a regardé ce gros morceaux de viande, a blêmi et a cessé de se débattre. Igor m’a regardée en secouant négativement la tête. Autour de moi, j'ai réalisé soudain que tous ces salauds étaient en train de sortir leur attirail.

Je les ai regardé branler leurs bites, les faire grossir et durcir, et j'ai réalisé ce qui allait m'arriver.

Ils s’approchaient de moi, me touchaient, me tripotaient sans cesser d’agiter leur bite en ricanant. Maintenue par une clé au bras, courbée en deux, je n’avais aucun moyen de défense. Leurs mains de plus en plus indiscrètes m’ont ôté petit à petit tous mes vêtements. J’ai pleurniché, je les ai supplié de me laisser tranquille.

"S'il vous plaît, soyez charitables ! Non, je suis une femme mariée, je ne suis pas protégée et fertile !" Ils ont ricané et le gars qui me maintenait le bras s’est saisi de ma tignasse. Je dois dire que j’ai un problème avec ça. Je suis comme les chats, lorsqu’on les att par la peau du cou, cela les désoriente et les rend docile. Pour moi, c’est pareil. C’est mon frère qui a découvert cette anomalie en chahutant. Maintenue fermement par les cheveux, sur la nuque, je perds mes moyens, je deviens docile et soumise. Ce salaud en a bien profité tout au long de notre adolescence.

Maintenue fermement par la tignasse, totalement nue, courbée en deux, sans défense, il a commencé par frotter son gros morceau de viande noire sur mon visage, s’amusant à me gifler avec sa bite en semi-érection, ce qui a bien fait rire toute la bande. Aussitôt, tous se sont précipités pour me frapper avec leurs gros sexes sombres, partout sur le corps.

J'ai bien essayé de lutter et de me battre, mais celui qui me tenait et qui semblait être le chef m’a dit : "Écoute salope, tu baises ce mec pour t'amuser et tu prétends être une femme honnête. Maintenant, sale pute, tu es notre jouet et tu vas t'amuser un peu plus que tu ne le pensais. Si tu ne veux pas de sperme dans ta petite chatte, nous pouvons t’accorder cette faveur. Si tu coopères. Montre-nous que tu aimes ça. Sois bonne et nous cracherons notre sperme sur ton corps, mais pas dans ta chatte. Si tu résistes, Nous te baiserons la bouche, la chatte, et le cul de toute façon.
"

Je l'ai regardé en réalisant que je n’avais pas le choix, et en espérant qu'ils étaient sincères. "OK, mais tu promets !"
Je n'ai jamais eu de réponse. Il a enfoncé son énorme bite noire dans ma bouche. Cela a été le signal de la curée.
J'ai senti une bite pénétrer en moi par derrière, en levrette. Un type s’est glissé sous moi pour me sucer les tétons.

D’autres m’ont glissé leur bite dans les mains. Je me suis accrochée à eux et je les ai branlé. Baisée des deux côtés, j'ai même commencé à réaliser que ça faisait du bien. C’était plus qu’agréable, c’était … Oh ! Putain, quel pied !
Je ne l'ai même pas senti venir, j’ai été prise au dépourvu par un orgasme aussi violent qu’inattendu !

J’ai senti la bite dans ma bouche se crisper et j’ai reçu son premier jet de sperme dans ma bouche. Il s'est retiré et le jet suivant m'a frappé dans les yeux. Dégoulinante de crème, j'ai réalisé qu'il s’essuyait dans mes cheveux. Celui qui me baisait semblait sur le point d'atteindre son point culminant et je l'ai supplié pour qu'il se retire. Je l'ai entendu grogner et j'ai pensé que c’était foutu, avant de le sentir se retirer et m'éclabousser les fesses. 

Alors, la tournante s’est organisée. Chaque fois qu’une bite se retirait pour éjaculer, une autre prenait sa place.
Ils s’excitaient dans ma bouche et dans ma chatte pour déverser des litres de sperme sur moi. Ils m’ont rendue folle.

Plus ils m'utilisaient, plus j’avais un sentiment de mépris total envers moi-même. Je m’avilissais, je me dénigrais, j’avais ce besoin d’être prise encore et encore dans tous mes orifices. Quand ils se sont tous soulagés et qu’’ils m’ont relâchée, je me suis couchée sur le sol, sur le dos, jambes repliées et écartées, et je les ai appelés.

Les sentiments que j'éprouvais à ce moment-là sont difficiles à décrire. J’avais faim de sexe brutal, je souhaitais leur chaleur, leur ardeur, mais aussi leur sperme en moi.
J’avais le désir de leur servir de réceptacle, l’envie d’être leur jouet me coupait le souffle.

Je les ai appelé, je les ai supplié pour qu’ils me baisent encore. Ils se sont regardés, incrédules, puis celui qui semblait être le chef a haussé les épaules : "Tu l’auras voulu !" Il s’est couché sur moi et m’a baisée, fort, dur. J’ai crié presque tout le temps, l’encourageant, le suppliant, jusqu’au moment crucial.

Il s’est soulevé, m’a regardé dans les yeux, et m’a demandé : "T’es sûre ?"

J’ai répondu : "Ouais, baise-moi bien au fond, je suis ta pute, fous-moi en cloque !"

Il a paru surpris, mais il m’a baisée jusqu’au bout, et j’ai connu le plus bel orgasme de toute ma vie. J’aurais aimé que cela dure éternellement, je me suis accrochée à lui, mais il a réussi à se libérer en me tordant les mains. Un autre a pris sa place, puis un autre, jusqu’au dernier.

Ils se sont tous épanchés en moi, j’étais ravie, mais en les voyant se rajuster, je les ai suppliés de me baiser encore.
L’un deux s’est écrié : "Cassons-nous, c’est une folle !" Et ils se sont enfuis.

J'avais été trop loin pour résister au désir et je me suis branlée pour jouir encore. Quand je me suis calmée, je me suis rappelée de la présence d’Igor. Il était lié à l’arbre, bâillonné, et son regard effaré me disait clairement ce qu’il pensait de moi. Avant de le libérer, je l’ai sucé et j’ai tout avalé.

Mon problème est clair. Six semaines ont passé, je n’ai toujours pas eu mes règles. Je dois trouver quoi dire à mon mari.

Ma libido s’est détraquée. Je ne sais pas si c’est à cause du viol, ou parce que je suis enceinte, mais j’ai tout le temps envie de sexe. C’est le pauvre Igor qui doit subir mes demandes pressantes. Je dois lui faire peur parce qu’il a pris son compte et qu’il a quitté l’entreprise. J’ai la chatte brûlante de désir, et mes jouets n’arrivant plus à me calmer.

J'ai cherché un amant pour me satisfaire. Mon mari travaille trop pour penser à la bagatelle. Par hasard, en faisant quelques courses, je suis tombée sur la bande au centre commercial. Je me suis approchée, le chef m’a vue, il est venu vers moi et m’a dit : "Si tu cherches les ennuis, je vais te casser …"

Je lui ai coupé la parole : "Ce n’est pas les ennuis que je cherche, c’est ta bite !"

Je l’ai suivi dans les sous-sols, dans une sorte de débarras plein de cartons, et ils m’ont baisée à tour de rôle. J’en aurais voulu plus, mais ils n’étaient que trois, et les deux autres se sont esquivés. Alors, il m’a emmené dans sa tanière.

Jamais vu un pareil capharnaüm. J’ai appris son prénom, Virgile. Je lui ai tripoté la bite un moment, moitié le suçant, moitié le masturbant, ensuite il a consenti à me baiser à nouveau. Il m’a proposé du travail, dans un bar qu’il connaît, comme serveuse montante. Il m’a dit que c’était bien payé et qu’il y avait de gros pourboires.

Je sais ce que je vais dire à mon mari. Je vais lui dire que j’ai été violée par une bande de jeunes voyous dans les sous-sols du centre commercial. Qu’ils ont organisé une tournante. Que j’ai eu tellement peur que je me suis laissée faire.

Qu’ils ont filmé nos ébats, et que si je voulais porter plainte contre eux, je l’aurais dans le cul parce que je ne me suis pas défendue. Que je ne veux pas avorter, parce que je suis croyante (c’est vrai).

Et s’il n’accepte pas que je veuille garder mon , alors je le quitte et j’accepte la proposition de Virgile.
Je serai sa pute, on aura beaucoup d’s et on vivra heureux.

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