Un Pour Tous Tous Pour Un

L’autre nuit, il m’en est arrivé une bien bonne…

Ce soir là, bizarrement, Paulo avait demandé si on pouvait se coucher relativement de bonne heure -22h30 -. Je n’y ai vu aucun inconvénient me disant même qu’il devait avoir envie de sexe plus que de coutume…
Bizarrement là encore, il prétexta une grande fatigue pour qu’on ne fasse pas l’amour comme on le faisait tous les soirs depuis son retour… On s’endormit donc assez vite, dans les bras l’un de l’autre. J’aurais du me méfier…
Dans mon sommeil, je me suis retrouvé plongé dans un rêve super érotique. Sûrement du au fait que je n’avais pas pu libérer ma tension sexuelle avant de m’endormir. Je rêvais qu’on me titillait par tous les bouts. Ma rondelle était émoustillée par une langue pointue, mon gland était suçoté très très légèrement par des lèvres expertes et ma bouche et mon nez respiraient une bonne odeur de bite toute proche…Wouaaah ! Trop trop bon ! J’aurais voulu que ça dure et que ça dure …
Par contre, je n’arrivais pas à identifier aucun des trois garçons qui s’activaient doucement sur moi, ni où je pouvais bien me trouver…. A un moment, j’ai cru que le rêve allait m’échapper. Alors, j’ai tout fait pour rester dedans. Du coup, ça m’a mis dans un état de semi conscience, moitié endormi, moitié conscient. C’est alors que je me suis dit que les sensations étaient vraiment très réalistes et trop trop bonnes. Surtout l’odeur. Je n’avais jamais rêvé d’odeurs.
Du coup, je sors un peu plus de ma léthargie et retrouve un état de semi-conscience. Sérieux, tout ça paraît VRAIMENT réel tant les sensations sont bonnes. Oui mais alors QUI pour me lutiner par tous les bouts ? Ca ne tient pas…
Pour en avoir le cœur net, je risque un demi œil ouvert…En une seconde, je comprends tout. Dans le lit, en plus de Paulo, j’entrevois Fabrice et Paul, nus, occupés sur ma rondelle et sur ma bite. Ainsi donc, tout était vrai ! Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire.

Encore un tour de ce sacré Paulo !Il a invité - sans me le dire - les voisins. Pas pour le repas ou le dessert. Pour les gâteries ! Du coup, les trois compères viennent me checker du coude.
« -Attention, hein. On garde les distances… !
-Alors là, ça m’intéresse de savoir comment vous allez vous y prendre cette nuit… »
On rigole tous les quatre. C’est vrai qu’il y avait un moment que Paul et Fabrice n’étaient pas venus nous rendre visite. Ca fait plaisir. Même si, plusieurs dois par jour - et par nuit – on se voit d’appart à appart. On a une chance inouïe de les avoir juste en face de chez nous. Ca leur permet de vivre leur vie de gays pleinement. A nous aussi.
Aussitôt Paulo - organisateur dans l’âme – nous propose une disposition en carré sur le lit. Chacun suçant et se faisant sucer. Ca nous parait un bon début. Paulo nous précise qu’on a même le droit de changer de place et donc de partenaire ! Je me décide à sucer Fabrice. J’ai toujours aimé sa longue bite bien droite. Paulo, lui, s’est jeté sur Paul. On referme le carré. Et, pendant un bon moment, ce ne seront que gloussements, soupirs, gémissements et râles…Je n’ai pas besoin de regarder plus bas pour deviner que c’est Paul qui me suce - chacun ayant une façon personnelle de faire la chose -. En fait, d’instinct, chacun a changé de partenaire habituel. Je me concentre sur le bâton de chair de Fabrice. D’aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours aimé sucer des bites. J’aime sentir leur chaleur dans ma main, dans ma bouche. Les sentir vibrer sous la caresse. Je promène la queue de Fabrice sur mon visage, dans mes cheveux…Je la respire, la flaire. Quelle bonne et douce odeur. Je promène mes lèvres humides sur sa toison coupée rase. Je joue avec ses boules qu’il a parfaitement rasées. Il a un sacré beau sac à couilles, bien pendant mais qui sait aussi se rétracter quand il le faut. Je décide de lui titiller d’abord la hampe et de le gober en tout dernier ressort. Sa pine, ivre de désir contenu se dresse majestueusement et tremble sous mes lèvres.
Je lui caresse le frein du prépuce avec un doigt enduit de sa mouille. Il tend son ventre vers mon visage. Je ne veux pas le faire languir davantage, je glisse doucement mes lèvres sur son gland et descends, descends…Il vient à ma rencontre en tendant ses fesses et sa tige vers moi. Je l’entends gémir doucement.
Ca y est. Je l’ai complètement en bouche. J’enroule ma langue autour de sa tige. Je salive abondamment. Et je commence à le pomper somptueusement tout en maintenant la base de sa tige bien serrée dans ma main. Il m’a empoigné les cheveux et accompagne mon va et vient…
Après un agréable moment de pipes, Paulo nous demande si ça nous dirait de se faire lécher la raie ? Comme on n’a rien contre du tout, on lui obéit au doigt et à l’œil en nous redisposant. J’en profite pour me placer derrière Paul pour le rimmer. C’est reparti ! Grands coups de langues, petites poussées de langues pointées, doigtages…Tout y passe. Je dois reconnaître que Paul, lui aussi, a un cul fabuleux. Deux fesses super rebondies qui lui donnent une chute de reins…, séparées par une raie bien large au fond de laquelle se cache sa jolie rosette rose. On en mangerait. Son cul ressemble d’ailleurs beaucoup à celui de Paulo. Je dois reconnaître que, la première des choses que je regarde chez un mec, pour savoir si ce sera un bon coup, c’est sa chute de reins puis son cou et ses mains.
Pour finir de nous préparer correctement, Paulo se détache et vient distribuer à chacun un gode et un petit tube de gel. Ce ne sont pas les godes qui manquent à la maison. Allons y pour la séance dilatation. C’est Paulo qui me gode. Mais, il m’a d’abord passé trois doigts. Autant dire que le gode de Rémi me pénètre comme une fleur. Rémi …
Je propose alors qu’on s’enfile les uns derrière les autres, à la manière d’un petit train. Je me mets devant, genoux écartés sur le lit. Fabrice vient me prendre délicatement puis Paulo et Paul en queue de train. Assez vite on trouve la cadence et on se synchronise très bien.
Ah que c’est bon de se sentir collés ainsi les uns aux autres par les cuisses, le ventre, les pecs, le dos et, bien sûr, la bite. On n’est plus qu’un seul corps en mouvement. Trop bon ! On sent bien ma chaleur des corps des uns et des autres. Rapidement, je passe derrière. La rotation est assez rapide pour qu’on puisse prendre et être pris à tour de rôle, plusieurs fois chacun. Ca coulisse parfaitement partout. Il faut dire aussi que ce n’est pas la première fois qu’on baise ensemble tous les quatre.
Pour varier les plaisirs, Paulo nous propose une variante à son goût. Il nous fait mettre tous les trois en levrettes, serrés les uns contre les autres, trous offerts. Lui se propose de passer rapidement de l’un à l’autre. C’est alors un festival de cris. Cri de joie de celui qui le reçoit, cris de réclamation des deux autres qui le réclament. Je dois reconnaître que Paulo virevolte de l’un à l’autre avec une certaine maestria. Bon prince, il cède sa place à Fabrice puis à Paul. Nous, on profite de la position pour se faire des bisous ou se caresser les bites par en dessous…

Mais, voici venu le moment clé de la nuit. Celui pour lequel Paulo a invité Fabrice et Paul. Ca va être ma fête. On va chercher à me posséder ou à me faire jouir par tous les bouts, par tous les trous. C’est Paulo qui me l’a promis.
Il me fait mettre en levrette. Fabrice se positionne derrière moi, Paulo installe toute une série d’oreillers sous mon ventre puis il se glisse sous moi, en 69. Fabrice papillonne de ci de là, bite au vent. Sa bite, il la propose à la cantonade. Il commence par me la fourrer dans ma main droite pour que je la lui branle, puis dans la gauche. Pour rigoler, il va même faire mine de me la mettre dans l’oreille - c’est un trou qu’il avait oublié ! -. Puis, il va aller fourrer Paulo qui s’active sur ma bite pendant que je lui suce la sienne pour enfin aller transpercer son amant régulier qui, lui, me bourre à grands coups de reins. Un sacré festival ! Paulo a juste demandé si on pouvait essayer de jouir tous à peu près en même temps….
On verra. Je suis au paradis. J’ai des sensations de partout en même temps. Je sens la pine de Fabrice qui glisse dans mon ventre, la chaude bouche de Paulo sur la mienne, son sucre d’orge dans la mienne... Muuuuuhhhhh !!!

Ca dure ainsi un bon moment, avec de légères variantes de positions. Mais je suis toujours le roi de la fête, celui sur qui se concentrent toutes les attentions. Fabrice annonce qu’il va bientôt venir. Je le sens s’activer de plus en plus furieusement sur mon cul. Il me secoue comme un prunier. Paulo et moi redoublons alors notre cadence de suce pendant que Fabrice se déchaîne sur les fesses de Paulo. Bref, ça monte de plusieurs crans d’un coup. Dans un hurlement de loup Fabrice se vide dans mon ventre. Je compte au moins quatre jets brûlants. Moi-même, je me sens venir dans la bouche de Paulo qui le réalise très bien - on se connaît trop bien depuis le temps -. Ca y est ! Je décharge longuement dans la bouche de Paulo qui avale tout jusqu’à la dernière goutte. Je redouble d’efforts sur la bite de Paulo. Il va venir, je le sens. Il vient. Moi aussi, j’avale tout. Presque en même temps Paul se vide dans Paulo en haletant. Pari réussi ! A peu de choses près, on a tous joui pratiquement en même temps. On s’écroule tous, débranchés. On se serre les uns contre les autres, nus, pour sombrer dans un sommeil réparateur.
Plusieurs fois au cours du reste de la nuit je me réveillerai vaguement pour mieux me lover, tel un chat, entre les corps des uns et des autres. Je ferai même une photo avec mon portable tant je trouve le tableau charmant.
Au matin, douche collective prolongée pour tous et petit déjeuner pantagruélique. On se quitte en se promettant de se revoir rapidement.

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