Tout Ça Pour Un Contrat ...

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis une jeune secrétaire de vingt-deux ans mariée au fils de la boite import-export où je travaille
Secrétaire oui mais secrétaire de direction attachée au service de mon beau père, mon mari étant souvent absent il m’arrive de suivre mon patron dans ses déplacement à l’étranger, Belgique, Italie, Espagne, etc.etc.
Mon beau père, Jean, courtois, est plutôt bel homme, voix suave, persuasive, très courtisés par les femmes de l’entreprise, prêtes à s’allonger pour avoir de l’avancement, assez mal vue d’elles pour lui je suis un atout appréciable capable, sans rien faire, de décider ses interlocuteurs à signer les contrats, un sourire engageant … qui n’engage a rien ! un bout de cuisse dénudée, ou bien un décolleté plein de promesses suffisent à faire tourner la tête au plus récalcitrant
Cette semaine nous somment à Madrid dans un très bel hôtel où Jean a réservé un peu tard car nous avons des chambres communicantes, pas grave, après tout je n’ai qu’à fermer ma porte commune
La journée a été rude, ce soir nous dinons avec nos clients en espérant qu’ils signent ce foutu contrat ! je fais de mon mieux en multipliant les attitudes assez sensuelles, même jean est chamboulé ! Mais ça n’a pas suffi, le champagne ajouté à mes excentricités n’a pas fait effet sur les espagnols par contre sur moi …le champagne … oui !

Une migraine carabinée m’a pris, dès mon arrivée dans la chambre j’ai avalé un somnifère en espérant passer une bonne nuit…encore habillée je me suis sentie partir et ce fut le néant total …. Le lendemain matin je n’avais plus mal à la tête mais … a la chatte … abasourdie j’ai passé une main entre mes cuisses, avec précaution sur mes lèvre irritées et poisseuses ? poisseuses de quoi ???? …. Malgré les précautions que mon baiseur a prises pour faire disparaitre les traces d’éjaculations dans ma chatte ça sent le sperme ? … celui de Jean ? ma porte est fermée mais pas à clé … comment accuser mon beau père de ‘viol ’ sans preuves ?
Rien que ce mot m’est pénible, avant de l’accuser de quoique ce soit je vais bien voir si son comportement a changé ….

En tous cas ce devait être un membre hors norme pour me laisser des traces aussi douloureuses, restons nous sèche ou bien mouillons nous inconsciemment dans de tels cas ?
Bizarrement même si j’avais été ‘abusée’ je n’en ressentais pas de honte ni de haine envers le mâle qui avait certainement éprouvé une immense satisfaction à se servir de mon corps car je m’étais réveillée entièrement nue et apaisée sous le drap marqué de traces encore humides, toutefois j’appréhende le moment d’être confrontée à Jean ….
- Alors ma petite Flavie ? comment ça va ce matin ? bien dormi ? finie la migraine ?
Son aplomb m’a décontenancée, impossible d’avouer mon état de victime …
- Ça va beaucoup mieux Jean, j’ai passé une excellente nuit, merci, je suis prête à affronter ces espagnols et à leur faire signer le contrat par n’importes quels moyens …
- Je vous reconnais bien là, pétillante et volontaire, comme j’envie mon fils … grâce à vous je vais décrocher ce maudit contrat !
Toute la journée mon beau père a été prévenant, comme s’il craignait une révolte de ma part mais je suis restée zen jusqu'à l’ultime diner de la signature, impossible de faire plier les clients … alors j’ai montré plus de cuisse, écartant parfois les genoux a la limite de la décence, j’ai encore bu (ou fais semblant) du champagne, en fin de repas j’ai annoncé clairement a qui voulais l’entendre que j’allais me coucher avec un somnifère …
Je suis montée à ma chambre tandis que jean discutait à voix basse avec les deux ‘toréros’… avec qui je ne refuserais pas un planté de banderilles …après avoir préparé une mise en scène, boite de comprimés sur la table de nuit, un bandeau sur les yeux afin de ne pas trahir mes réactions s’il y avait attouchements, je me suis vautrés sur le lit prenant bien soin de faire apparaitre certains appâts, deux minutes plus tard des parole furent échangées a voix feutrée par trois personnes dans l’autre chambre , la porte s’ouvre lentement, allongée sur le ventre un genou remonté afin de dévoiler mon entre jambe, je dois être prête à jouer le jeu coute que coute…
- Regardez comme elle est belle, je vous jure qu’elle dort à poings fermés aucunes chances qu’elle se réveille
- C’est vrai qu’elle est appétissante votre secrétaire
- Vous êtes certain qu’elle ne va pas se mettre à hurler si nous posons la main sur elle ??
- Approchez-vous je vais vous en faire la démonstration ….

Je sens ma robe glisser sur mes hanches dévoilant mes cuisses et bien plus haut, une main remonte jusqu'à toucher la soie de ma petite culotte qui va vite s’humidifier pour la bonne cause cette fois, aussitôt deux autres mains se joignent à l’intruse pour ouvrir le dos de mon vêtement et faire sauter l’agrafe du soutient gorge, très vite ma robe n’est plus qu’une ceinture chiffonnée autour de ma taille
- Puta je bande !
- La vaca moi aussi !
- Mettez-vous à l’aise messieurs, mais avant signez ici !
- Passez-moi le stylo qu’on en finisse… voilà nous somment désormais partenaires
- Ça commence dans cette chambre ! il faudrait la retourner …
- Et lui retirer son mini sou vêtement
- Allons-y en douceur …regardez-moi ces trésors …
- C’est une blonde naturelle
- Sa toison est humide ?
- Normalement elle ne devrait pas avoir de réaction aux attouchements ?
- Écartez-lui plutôt les jambes
- Je vais la doigter
- Après je lui mangerais le connin
- Occupez-vous de sa craquette, je vais lui caresser la bouche de mon membre
- Vous êtes sacrément pourvus elle a dût la sentir passer
- Hier soir c’était trop tentant, je l’ai baisée durant deux heures sans qu’elle ne bronche, ensuite je lui ai soigneusement nettoyé le vagin, ni vu ni connu !
Six mains viriles me plotte sur toutes mes parties érogènes, je fais de efforts surhumain afin de ne pas me jeter sur ces queues que je divine dressées pour moi, un gros morceau doux et rond passe et repasse sur ma bouche, malgré moi mes lèvres s’entrouvrent, tout comme celles du bas qui sont écartées pour laisser passer un doigt puis deux et combien d’autres …. vont-ils s’apercevoir que mes muscles vaginaux se resserrent a intervalles réguliers ?
Le gland de Jean s’enfonce dans mon palais, ma mâchoire et e de s’ouvrir à fond, a présent je suis certaine que c’est ce manche qui m’a labourée la vulve la nuit dernière, comme j’aimerais frotter ma langue sur son frein et serrer mes mains sur cette hampe de cheval… mes fesses sont soulevées afin qu’une bouche avide se colle enfin sur mon clitoris, mes sécrétions sont bruyamment aspirées, un doigt, appartenant certainement à celui qui attend son tour, visite mon anus, il manifeste son étonnement de le trouver si souple
- Votre secrétaire doit se faire sodomiser régulièrement, son cul est bien ouvert !
- Moi j’en peux plus, il faut que je la baise !
- Allez-y en douceur … moi aussi j’ai envie ! merde, je vais décharger dans sa bouche …
Là s’en est trop, impossible de feindre d’avaler sa sève et je la veux toute ! dès la première giclée ma glotte se met en fonction, je sens mon beau père qui, médusé par ma réaction, essaie de se retirer alors j’empoigne sa grosse pine et tète l’énorme bout qui ne peut s’arrêter de cracher, dans le même temps mes cuisses se replient pour permettre à l’espagnol de me pénétrer aisément, mon bandeau est repoussé, mes yeux exprimes le bonheur !
- FLAVIE ??? vous ne dormiez pas ?
- Ce serait dommage de rater une si bonne partie de cul !
- Et hier ?
- Hier ? vous m’avez violée beau papa !
- Je vous demande pardon … mais vous étiez dans une position si sensuelle que je n’ai pu résister à l’appel du loup
- Alors ?on la baise ou pas ?
- Baisez-moi mes amis ! embrochez-moi par tous les trous, je vais participer activement ce sera mieux que de baiser un corps inerte ! je vais me mettre à quatre pattes qui veut être sucé ?
A peine suis-je à genoux qu’un espagnol pointe son dard sur ma chatounette et m’attire a lui par les hanches, d’être enfilée me fait ouvrir la bouche il n’en faut pas davantage à son collègue pour qu’il agite sa bite devant mon visage, Jean nous observe en masturbant lentement sa large et longue pine, il sait que son tour va venir, pour cet accouplement intime je préfère que nous soyons seuls
Mes amants ont jouis ensemble mais je ne suis pas libérée pour autant, mes ‘toréros’ ont simplement échangés leurs places, je me démène pour abréger cette relation sexuelle ennuyeuse qui n’a que trop duré … j’ai envie de la queue de beau-papa …dans tous mes orifices, aussi je n’ai pas refusé deux doigts de l’espagnol dans mon rectum afin de le préparer pour Jean
J’ai ressenti un grand soulagement lorsque les deux hommes m’ont laissée encore haletante, ivre de jouissance, J’ai entendu mon beau père qui les a remerciés et demandé qu’ils aillent se rhabiller dans sa chambre
- Ça va aller Flavie ? tu ne regrettes rien ? comment puis-je te remercier pour la signature des contrats juteux
- Comme ceci !
Campé sur ses cuisses musclées , le mat dressé vers le plafond impressionnant de puissance , je me suis littéralement jetée dans ses bras , accrochée à son cou, les jambes liées autour de sa taille , il a de suite compris et a passé une main sous mes fesse afin de guider sa manthule sur ma fente souillée , bouches soudées, langues en bataille pour un baiser ardant interminable je me suis laissée descendre centimètres par centimètres jusqu'à ce que ma chatte refuse de s’écarteler davantage, heureusement nos toisons pubiennes était mêlées , jamais je ne me suis sentie aussi ouverte , j’ai commencé à me soulever de quelques centimètres pour me laisser retomber lourdement sur ses couilles , mon vagin finalement adapté à son membre j’ai réalisé un véritable rodéo, ma mouille coule le long de ses cuisses, épuisée par les innombrables orgasmes connus durant cette soirée il m’a enfin gratifiée de sa semence épaisse ce qui a apaisé l’échauffement dut à l’extrême pénétration, le trop plein de sperme tombe a longs filets sur la moquette
Jean ma reposée délicatement sur le bord du lit de façon à ce que mon anus soit accessible …… demain je saurais a quoi est dut le mal à la chatte et a l’anus …

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