Pour Un Prêt

Pour un prêt :

Je viens d’arriver dans cette ville de province afin de m’établir en créant une société, et pour faire valider un prêt, un gros prêt, je dois subir une visite médicale et remplir un dossier complet. Pas de problème si ce n’est que je ne connais personne. Merci internet, je prends les coordonnées d’un cabinet et un rendez-vous est fixé, tard en soirée en raison de l’importance du dossier à remplir. J’ai 35 ans, marié, un et ma campagne doit me rejoindre une fois installé; pas trop mal de ma personne, musclé par le sport, et très porté sur le sexe ; nos soirées avec mon épouse sont souvent l’occasion de véritables joutes sexuelles.
A 20 heures je sonne, et je suis surpris d’être accueilli par le médecin en personne, qui s’excuse, mais sa secrétaire au vue de l’heure est débauchée. L’homme doit avoir dan les 55à 60 ans, le regard perçant, la main ferme. Après le questionnaire sur le pédigré, il s’enquière du motif de ce dossier si conséquent ; je lui explique en lui précisant qu’il est prépondérant et qu’il doit être complet pour l’obtention de ce prêt.
L’examen se poursuit et il me demande alors de me mettre debout et nu, afin de faire l’examen de mes attributs ; m’écartant les jambes, il me tâte les couilles, les palpant, les soupesant avec soins. Raison médicale sans doute, mais pour moi, cela me donne des frissons ; il en profite pour m’examiner le gland, le décalottant complètement ; sa main me recouvre le sexe et je ne tarde pas à bander. Très gêné, je m’en excuse, mais en me fixant droit dans les yeux, il me répond que c’est normal et plutôt réconfortant puisque cela signifie que mes pulsions sont importantes ; j’essaie de me concentrer, mais rien n’y fait et j’ai maintenant une belle érection. Me faisant allonger sur sa table, il me dit de me détendre car il doit examiner ma prostate ; il enfile un doigtier, l’enduit de gel et vient me perforer doucement l’anneau ; c’est la première fois que je subis un tel toucher et je dois reconnaitre que la pénétration me procure une douce chaleur, ce qui n’arrange pas mon érection ; son doigt tournoie dans mon fondement, alors que son autre main s’appuie nonchalamment sur ma queue dressée ; à son contact, elle est parcourue de petits tremblements, traduisant une excitation de plus en plus importante, sensation connue avec une femme, mais cette fois c’est un homme.

Sa main emprisonne mon mandrin, tout en continuant à me pénétrer le cul ;
« Je ne peux vous laisser ainsi, détendez vous, et me fixant , il se met à me branler, alors que c’est maintenant deux doigts qui me fouillent ; sa branlette est douce, lente mais des plus excitante et sous cette double excitation je ne tarde pas à jouir ; quand il sens que je vais juter, il se penche et la bouche ouverte, il gobe mon sperme, se délectant manifestement de mon jus ; un filet de sperme coule du son coin de ses lèvres. « tu as aimé ? » le tutoiement me surprend, encore tout à mon plaisir ; je suis obligé de le reconnaitre, d’autant plus qu’il continue à me fouiller ; les cuisses écartées, je m’offre à cette possession ; bizarrement je souhaite qu’il aille plus loin, plus fort et même plus gros, moi qui jusqu’à ce jour avait du mal à concevoir ce style de rapport ; les yeux fermés, je me laisse porter vers un plaisir qui revient ; ma queue est à nouveau tendue ; soudain il me prend la main et la porte vers son bassin ; c’est une queue bien raide que je rencontre, et pendant qu’il embouche ma queue, il me fait le branler ; sa queue est longue, le gland décalotté, une grosse veine bat sous mes doigts ; sa langue me titille le méat et le pénètre, puis il enfile la tige dans son palais ouvert ; la sucette est des plus agréable, la quittant, il me suce les couilles , puis descend vers le sillon, sa langue léchant les bords de mon anneau pénétré. Soudain il se relève, et me glissant au bord de la table, il frotte son gland sur mon anneau dilaté ; soudain j’ai peur car son sexe est beaucoup plus gros que ses doigts ; mais il ne me laisse pas le temps de réagir ; son gland pousse , pousse et dans une dernier geste, il me pénètre, sa queue s’enfonçant jusqu’à la garde ; je ne peux retenir un cri de douleur « n’est pas peur, tu viens de perdre ta virginité, mais je suis sur que tu vas bientôt y prendre beaucoup de plaisir « sa pénétration s’accélère et ses coups de pistons sont de plus en plus fort, de plus en plus rapides ; à chaque enculade, je sens ses couilles frapper le miennes ; agrippé à mes hanches, il me laboure, ressortant parfois pour mieux me reprendre, mais cette fois sans douleur bien au contraire « ton trou est bien ouvert, je vais te faire prendre ton pied , le meilleur qu’un homme puisse avoir » il se déchaine , me pilonnant le ventre ; pour mieux le prendre, je me cambre, remontant mes cuivres, ouvrant le champs à son enculade ; je me fais baiser par un homme et mon plaisir monte ; ma queue tendue est prise de tremblements et sans m’être touché, j’éjacule pour la deuxième fois gueulant mon plaisir ; mon sperme se répand sur mon ventre mais ma jouissance ne s’arrête pas ; puis une déferlante m’envahie : il vient de jouir et ses jets, chauds et puissants me remplissent le ventre ; je prends un pied montre, et je voudrais qu’il continue.
Quand il se retire, une goutte de sperme, au bout de son méat, il me preste sa bite et il me fait la lécher ; d’abord retissant, je le nettoie finalement .
« tu reviendras demain pour que je te signe tes papiers ; il est trop tard et je pense que nous ferons un complément d’examen » je ne peux qu’accepter. Le lendemain matin, prenant mon café dans un bar proche du cabinet je surprends une conversation « le cabinet est resté éclairé tard hier soir, le toubib a du sauter un patient, un vrai pédé » dans mon coin je rigole, oui c’est moi qui me suis fait défoncer et j’attends avec impatience le nouvel examen.

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