Premier Plaisir Anal Après 25 Ans De Vie Commune.

Agés de 45 ans, mon épouse Fabienne et moi avons toujours eu une sexualité conventionnelle et je fantasmais depuis de longues années sur son petit trou serré et la sodomiser était devenu une obsession, voir une frustration inassouvie.

Ils y avaient bien eu quelques tentatives d’intrusions de ma part une fois son orgasme consommé, plutôt par un cunnilingus que par une baise vaginale qui ne lui procurait pas beaucoup de plaisir, mais mon gland s’arrêtait à chaque fois à l’entrée de son petit anneau qu’elle protégeait par des protestations de sensations désagréables… « tu me fais mal, et cela ne rentre pas….. »

Séparés la semaine, pour raisons professionnelles, j’essayais d’être très attentif le week-end, espérant toujours secrètement que j’arriverais à trouver la voie tant attendue, et cette fois-ci c’est elle qui était venu me retrouver dans ma garçonnière pour un week-end en amoureux loin des contingences familiales.

Je savais que sa libido était au plus haut juste après un bon repas et j’avais réservé à proximité dans un restaurant asiatique, sa cuisine préférée, et j’insistais en fin de dîner pour qu’elle goûte ce fameux Saké qui pourrait peut-être lui faire perdre un peu de ses réticences et de ses inhibitions.

De retour dans notre petit nid passager, j’entrepris un effeuillage en règle et au fur et à mesure et en fonction des vêtements que je lui retirais, nos baisers se faisaient plus passionnés, elle me donnait sa langue et aux caresses, que je faisais sur l’ensemble de son corps, sur la plante de ses pieds, sur ses seins, succédèrent l’exploration de sa chatte par quelques doigts agiles et dirigés.

Tout en frottant son petit clitoris qui était tendu vers le plaisir, je pressentais une envie de s’abandonner comme elle en avait rarement fait étalage. Elle me colla littéralement sa chatte sur la bouche, et tant son odeur que son ardeur me rendaient ivre de désir. Je souhaitais au plus profond de moi lui offrir du plaisir.

Je décidais de prendre les choses en main si j’ose dire.

Je l’installais jambes largement écartées sur le canapé-lit qui nous accueillait pour nos ébats du soir, et je commençais par lui lécher le bout des seins durcis par l’excitation, puis je descendais vers sa chatte luisante de cyprine, un doigt puis rapidement deux, puis un troisième glissèrent facilement dans ce puit tendu vers le plaisir, je massais légèrement en alternance son petit bouton et elle ne tarda pas à gémir comme rarement je l’avais entendue lorsque nous faisions l’amour, je risquais mon index au sein de son anus, et à mon grand étonnement au lieu de repousser cette caresse, ma femme s’abandonnait et semblait apprécier l’alternance de ces caresses, je découvrais la salope qui sommeillait au plus profond d’elle.

Alors que ma langue continuait à suivre assidûment par petite touches choisies le petit sillon de son clitoris, elle finit par venir dans un long râle de plaisir et un jet de cyprine sembla jaillir du bord de ses lèvres gonflées de sang et ouvertes comme rarement.
Je lui proposais de se retourner et de me présenter ces deux magnifiques fesses rebondies qui depuis toujours me font craquer, et encore plus au fil des ans qui passent. Comme indiqué précédemment j’avais une obsession, prendre son petit trou et tenter de l’amener vers un plaisir toujours refusé jusqu’alors.
Alors que je commençais à la prendre en levrette, je pris dans ma table de nuit, ce gel intime que j’avais préparé et j’en étalais une large noisette sur sa petite auréole qui une nouvelle fois se présenta détendue et avenante.

Ma femme se tortillait maintenant comme une Salope, je mis mon majeur dans son cul et je tournais lentement, essayant de détendre cet accès jusqu’alors interdit, je continuais mon exploration par mon pouce et le remplaçait par deux doigts qui vinrent compléter ce remplissage préparatoire.

Certainement troublée par ce petit verre d’alcool que je lui avais imposé à la fin de notre dîner et enivrée par son premier orgasme, elle me susurra dans un quasi râle….
Vas-y encule-moi, je suis prête et j’ai envie de savoir……. !

J’approchais mon sexe, oint de gel pour mieux glisser et non déchirer, de ce petit anneau maintenant dilaté et après une légère résistance à l’entrée de son anus vierge de toute intrusion, je m’enfonçais profondément dans son conduit anal chaud et serré.
A ma grande surprise ma femme vint s’empaler de plus en plus et avec vigueur sur mon membre, elle semblait prendre énormément de plaisir dans ce coït anal et elle m’imposait un va et vient qui ne tarda pas à provoquer une longue éjaculation qui accompagna des spasmes de plaisir chez ma femme, que j’identifiais comme un nouvel orgasme inespéré, car cela je ne l’avais jamais envisagé.

Repus et finalement un peu étonnés par notre nouvelle expérimentation sexuelle, nous décidâmes de prendre une douche pour détendre nos corps après cette étreinte fantastique.

Alors que, nous nous apprêtions à rejoindre notre couette comme c’était souvent le cas après nos habituels ébats, Fabienne se mit à me caresser les bourses et prit mon sexe dans sa bouche chaude et accueillante. Je découvrais ce que j’attendais depuis de nombreuses années une épouse ayant des instincts de salope et un appétit sexuel décuplé.

Ma bite ayant repris une taille respectable, elle vint s’installer au dessus de moi et les jambes largement écartées elle vint engloutir mon membre. Sa chatte continuait à produire cette liqueur qui lubrifiait notre étreinte et je n’étais pas au bout de mes surprises. Elle s’empara de mon tube de gel intime et me fit comprendre qu’elle souhaitait à nouveau se faire empaler l’anus, elle venait manifestement de découvrir ce que j’espérais depuis longtemps, au-delà d’être clitoridienne ma femme était très sensible au plaisir anal. Elle continuait à diriger les opérations et alors que je voyais ses petites lèvres s’écarter et sa chatte luisante couler de liqueur, elle força une nouvelle fois ses réticences pour poser mon gland sur sa porte de derrière et s’enculer sans retenue sur ma bite qui durcissait de plus en plus.
Appuyée sur ses bras, je voyais ses fesses aller et venir et mon sexe pénétrer en douceur cette partie intime jusqu’alors inespérée.
Je tentais alors de titiller son petit bouton, et je m’attendais à avoir une fin de non recevoir, mais bien au contraire elle semblait déchaînée par la sollicitation de ses deux zones érogènes, elle serrait littéralement les dents elle semblait au comble de l’orgasme et au moment où elle laissa échapper une longue plainte de plaisir, je m’abandonnais pour la deuxième fois dans ce fondement autrefois inaccessible………..le pied véritable.

Comblés par ces assauts répétés nous nous laissâmes couler dans un sommeil réparateur.

Le lendemain au réveil, ma femme devenue littéralement insatiable voulue absolument me remercier pour ces moments de plaisirs nouveaux, et elle me prit en bouche et me suça sans retenue, caressant mes bourses, effleurant à son tour le contour de mon anus, jusqu’à ce que j’explose littéralement sur son visage dans un soupir qui lui amena un sourire carnassier……..

Je redécouvrais une Fabienne en chaleur comme une chienne, une « bombe »et nous n’en étions qu’au début de notre reconquête sensuelle et sexuelle.

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