Plaisir Anal

D’aussi loin que je me rappelle j’ai toujours été naturiste. De l’enfance qui ne connait pas encore de pudeur à l’âge adulte et ses conventions sociales, j’ai toujours aimé être nu. J’ai toujours aimé cette sensation de liberté que me procurait la nudité. Suis-je exhibitionniste ? Surement un peu, en me mettant nu je sais que d’autres peuvent me voir, si parfois je peux en retirer une satisfaction sexuelle, ce n’est que rarement le cas, c’est pourquoi je ne me défini pas comme exhibitionniste. Je retire bien plus de satisfaction dans le voyeurisme, cela a souvent des répercussions sur mon état, pourtant je ne me considère pas non plus comme un voyeur. Ce qui m’attire ce sont les corps nus. J’aime le corps humain, celui des hommes, des femmes. Je suis hétéro mais la beauté d’un corps n’a pas de sexe, ou si plutôt. J’aime toutes les plastiques. Certains vous parleront de l’esthétisme du corps parfait, pour moi le corps nu, quel qu’il soit, est parfait. Chaque corps nu est une œuvre d’art, chacun y mettra ce qu’il veut derrière, pour moi, c’est la nature qui nous rendu beau.
Voilà ma petite philosophie de vie, profiter de chaque instant (je sais ce n’est pas nouveau), et découvrir de nouvelles sensations. Le nudisme m’a permis cela. Celui ou celle, qui n’a jamais marché nu en forêt, en montagne, à la plage, à la campagne, ne peux pas comprendre cette sensation extraordinaire que cela procure. A chaque nouvelle ballade, ce sont des sensations nouvelles. Le vent qui nous fait frissonner, la pluie qui coule directement sur nous, le soleil qui nous apporte chaleur mais de qui nous devons nous méfier. En bref ces situations m’ont toujours conduit à expérimenter les choses que je ne connais pas. C’est cela que je vais vous raconter.
Tout d’abord les présentations, j’ai 35 ans, blond, les cheveux longs, 1m75 pour 100kg. J’ai un ventre rond, une poitrine développée, et un sexe plutôt petit. Avec tout ça certains peuvent se dire que je ferais mieux de rester chez moi plutôt que d’aller me montrer sur des plages.

Oui mais voilà je n’ai pas honte de mon corps, il n’est pas parfait au crible des canons de beauté, mais il est le mien et il me procure du plaisir.
Chaque année, au mois de juillet je consacre deux semaines de mes vacances à Montalivet. La plage nudiste y est accessible sans chichis et bien loin des m’as-tu-vus du cap d’Agde. Bref des vacances paisibles, où je peux m’adonner aux plaisirs d’être nu.
L’histoire se déroule il y a 10 ans, j’ai 25 ans et de mémoire je devais avoir un peu plus de poids qu’aujourd’hui. J’aime les corps je vous l’ais dit, mais bien sur je ne suis pas dans la catégorie gros pervers, mais plutôt voyeur discret. Je regardais tranquillement un couple, à vue de nez, je dirais qu’ils ont 50 et 60 ans, la femme étant la plus âgée. Le monsieur est grand, au moins 1m90, et sec, des muscles saillants, une calvitie naissante. Au début de mon observation il est de dos, ses fesses comme l’ensemble de ses muscles sont bien dessinées, presque trop, comme souligné au crayon quand on couche les formes sur papier. Sa femme, est assise, prenant appui sur ses bras en arrière, elle bronze. Ses seins sont fermes et ronds, ils tiennent naturellement. Elle a un petit ventre qui me cache la vue sur son sexe. Au détour de mouvements, elle entrouvre ses cuisses qui me laisse admirer une chatte complétement lisse, ses grandes lèvres fripées laissent penser que cette chatte-là a dû en voir et en recevoir.
Bien sur une érection se fait jour et me contraint à rester sur le ventre, ce qui n’est pas une de mes positions préférées. L’homme se retourne et mes yeux peuvent ainsi regarder son sexe, au repos il est déjà bien plus grand que le mien en érection, il est complètement courbé et part sur la droite. Je me suis toujours demandé pourquoi certains sexes d’homme était courbé. J’admirais tranquillement ce couple que je trouvais parfait quand mon regard vu attiré par autre chose.
Je dis mon regard mais c’était plus comme une sensation inconsciente d’être regardé.
Comme si quelqu’un jouait au même jeu que moi. Discrètement je cherche d’où cela peut venir, a 10 mètres de moi, elle me fixait, sans chercher à se cacher. Cette sensation était bizarre, comme si elle pénétrer chez moi. J’essayais de la regarder sans attirer son attention, mais elle avait capté mon regard et ne le lâchait plus. Elle aussi était sur le ventre et je ne pouvais bien voir d’elle que ses magnifiques cheveux noirs. Comme un poisson au bout de la ligne, j’étais ferré et elle n’avait plus qu’à remonter la ligne. Elle me fit signe avec son doigt de venir vers elle. Sans réfléchir, je pris ma serviette et mon sac de plage et je me rendais vers elle. Elle pouvait à loisir regarder mon anatomie, ce qu’elle fit sans aucune gêne.
- Mets-toi en face de moi, nous pourrons mieux discuter.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je déplie ma serviette en face d’elle et je me couche sur le ventre, nos têtes à peine à 30cm.
- Je t’observe depuis 3 jours.
Cette entrée en matière était courte mais efficace, je ne savais pas quoi dire.
- Tu aimes bien regarder les autres ?
- Euh ! Oui, parviens-je juste à bredouiller.
- Mais je ne t’ai pas vu te branler après, tu les regardes pour quoi ?
Je lui explique ma philosophie sur les corps nus, elle tourne la tête mais je vois à ses yeux qu’elle me croit sincère.
- Mais ça ne t’excite pas un peu tout de même ?
- Bien sur mais ce n’est pas la raison première pour laquelle je regarde ces corps.
- Tu es quand même un peu bizarre, mais ça ne me gêne pas. Je m’appelle Valérie et toi.
- Etienne.
- Bonjour Etienne, alors comment me trouves-tu ? Suis à ton goût ? Me dit-elle en se penchant sur le coté et faisant un geste de la main pour m’inviter à la découvrir.
Des seins légèrement tombant du fait de leur volume, un ventre plat, un corps musclé mais pas trop, un sexe au naturel, ce qui est plutôt rare, mais j’aime bien.
- Tu es parfaite, luis dis-je sans ambages, je ne trouvais rien de mieux.

- Merci, j’ai pu te détailler de puis 3 jours et j’aime bien ton corps.
- Je te remercie mais je suis très loin de ta perfection.
- J’ai senti que nous étions pareil, j’aime moi aussi les corps nus, sans exception.
Nous sommes restés à discuter pendant des heures, j’arrivais à aborder avec elle des sujets dont je ne me sentais pas capable avec d’autres, fussent-ils proches. Nous arrivions rapidement sur nos expériences sexuelles quand elle me demanda :
- Tu bandes ?
- Oui
- Tu me la montre car ça je n’ai pas pu encore l’observer.
Je me mis sur le côté, pour lui laisser une vue sur mon sexe bandé.
- Tu as un petit sexe, même en en érection.
- Oui c’est vrai, j’allais presque m’en excuser quand elle me coupa
- Non t’inquiète il est mignon. Tu sais beaucoup d’hommes pensent que c’est leur taille ou leur vigueur qui font que les femmes grimpent au rideau. Mais je vais te confier un secret, notre orgasme se joue de toutes les situations qui nous y amène que ce soit physiquement ou dans notre tête. Ne te laisse pas avoir par les films pornos où les acteurs ont des sexes surdimensionnés et qui font des femmes des soumises en attente de recevoir le mâle.
Cette tirade me fit le plus grand effet.
- Je te remercie, je n’ai pas ment honte de la taille de mon sexe, cela m’a permis de m’éloigner du monde de la performance, pour être plus à l’écoute de mes partenaires et comme je suis curieux de tout, je me laisse guider au gré de mes expériences.
- Et tu en as eu beaucoup, des expériences ?
- Quelques-unes, mais je ne suis pas à les compter. Je suis resté un an avec une fille, c’était merveilleux, mais des contraintes annexes ont fini par avoir raison de notre couple.
- Et dans le sexe, tu es classique, ou là aussi tu expérimentes.
- Je suis le plus souvent classique.
- Qu’est-ce que tu aimes faire à tes partenaires ?
- Cela dépend bien sur des désirs de celles-ci. J’adore lécher mes partenaires, cunnilingus, anulingus sont des pratiques courantes.
Je ne suis pas très à l’aise avec la pénétration, mon sexe je suppose, mais je compense avec ma langue et mes doigts.
- Quelles pratiques « exotiques » as-tu déjà faites ?
- Une fois une fille m’a demandé de la fisté, je ne l’avais jamais fait mais cela m’a plus, j’ai eu comme un sentiment de possession très fort. Et en couple, Juliette adorait me pisser dessus, je l’ai reçu é fois dans la bouche. La sensation était bizarre mais pas désagréable. Tu vas finir par me faire jouir avec tes questions.
- Tu serais capable de jouir sans te toucher ?
- Je pense, oui, même si je ne l’ai jamais fait.
- J’aime les hommes qui en sont capable, cela démontre leur capacité à se détacher du physique.
- Et si on parlait de toi un peu. Tu as aussi eu des expériences « exotique » ?
- J’en ai eu tout un tas, j’aime expérimenter, même si je me suis fixé sur quelques pratiques que j’affectionne tout particulièrement.
- On peut savoir lesquelles, tu me laisse sur ma faim.
- As-tu déjà entendu parler du plaisir anal.
- Oui bien sûr je ne l’ai quasiment jamais pratiqué.
- Je te parle bien sûr du plaisir anal masculin.
Celle là je ne l’attendais pas.
- Je suis purement hétéro tu sais.
Cela l’a fit rire.
- Comme beaucoup d’hommes tu te trompes sur la nature du plaisir anal masculin. Allez un petit court d’anatomie. Tu as une glande qui s’appelle la prostate, celle-ci sert à produire un liquide qui se mélange au sperme, et figure-toi que le titillement de cette glande et aussi appelé point P en référence au point G féminin. Cela procure un plaisir sans érection ni éjaculation et s’apparente à une vague sourde de l’intérieur. Tu peux bien sur le coupler à la masturbation et l’éjaculation.
- Alors là tu m’en apprends des choses, et comment cela se passe concrètement.
- Comme toujours tu as plusieurs choix possibles, le doigt tout d’abord permet de familiariser, un puis deux, puis trois et plus si affinité. Le god ou le plug anal est aussi un moyen d’arriver à cette jouissance. Et enfin ce que je préfère le god ceinture.
- C’est-à-dire
- C’est tout simple c’est une ceinture avec un god qui sert à pénétrer l’homme, comme tu le ferais avec une femme, dans toutes les positions, cette ceinture peut être double avec une partie qui vient dans le vagin ou triple avec en plus un plug anal, là c’est la totale me dit-elle e riant.
Ah son sourire ! Cela la faisait rayonner, elle était d’une beauté magnifique et petit à petit je fondais, j’aurais pu faire, j’aurais pu être tout ce qu’elle voulait.
- Ça te tente ?
Cette question me fit sortir de ma torpeur et je me suis laisser dire, oui bien sûr, le plus naturellement du monde.
- Allez viens on va chez moi.
En moins de 30 minutes nous étions chez elle, un mobil-home dans un camping, dans un renfoncement ce qui permettait d’être relativement tranquille.
- Allez, mets-toi à l’aise. Dit-elle en se déshabillant. Fais-moi voire ce sexe de près.
Aucune honte, je me déshabiller devant elle comme si c’était la millième fois.
- Tu te laisse faire et je te promets un orgasme comme tu n’en as jamais eu, tu es d’accord ?
- Oui.
Elle commença par me titiller les tétons, les pinçant, les tordants, tirant dessus jusqu’à me procurer des petits cris de douleur et de satisfaction mélangé. Je n’avais jamais ressenti cela et ce n’était que le début. Puis doucement elle descendit sur mon sexe, mais au lieu de me le branler, elle se mit à tirer sur ma bourse, prenant mes couilles à pleine main pour accen son geste. Une claque sur ma bite en demi-molle me fit couiner.
- Silence, tu vas voir tu vas apprécier, fais-moi confiance.
Confiance tout était dit, comment ne pas faire confiance à cette femme sublime qui me tenait physiquement par les couilles et jouait avec mon corps pour me procurer des sensations inédites.
- Tu sais tu m’as excité tout à l’heure, je crois que je vais me déchainer.
Trois, quatre, douze claques sur mon sexe sur mes couilles, j’ai fini par arrêter de compter. J’avais une sensation de chaleur qui m’engourdissait comme si j’étais dans un rêve. La douleur que je ressentais était bien réelle et me faisait revenir dans la réalité. Ce mélange de douleur, de plaisir, je ne l’avais jamais expérimenté mais je me sentais vivant, bien vivant même. Elle commença à envoyer un doigt en éclaireur, savoir comment était ma zone anale, jamais encore défloré. Tout en commençant une fellation, elle mouille ses doigts et commence à m’en rentrer un.
- Laisse-toi faire, tu verras c’est merveilleux.
Ce que je fis. Pour être honnête la première sensation ne fut pas des plus agréables, le doigt pas assez lubrifié avait du mal à se frayer un chemin. Mais en amante expérimentée, elle s’en rendit compte et reviens dans la pièce avec un pot de gel et un god ceinture qui était plus grand que ma bite. Elle devinait à mon regard les appréhensions qui naissaient.
- Ne t’en fais pas tout va bien se passer. Couche toi par terre sur le dos.
Elle lubrifia correctement mon trou et ses doigts et le deuxième passage fut bien mieux réussi que le premier. Cette sensation était nouvelle mais tout à fait appréciable. Je sentais son doigt titiller ce que je devinais être ma prostate et c’était intense. Je me surpris à lui dire :
- Tu peux en mettre deux.
- Ne t’inquiète pas, j’allais le faire de toute façon. Me dit-elle en me jetant un regard des plus salaces.
Ce qu’elle fit aussitôt. Comment décrire cette sensation de plein et de vide qui suive le mouvement de ces doigts. Toujours est-il qu’une vaque de plaisir monté en moi. Pour ne pas me laisser succomber aussi facilement, Valérie alternée le travail sur mes tétons qu’elle s’amusait à étirer et les claques sur mon sexe et mes couilles qui avaient pour effet de me faire bander, tout aussi surprenant que cela puisse paraitre.
Elle enduit son god de lubrifiant et le présenta à mon cul. Cette sensation est bizarre, cela ressemble tout de même à une bite, c’est troublant, mais ses gros seins me rappelaient très vite que j’avais affaire à une femme et j’adorais la voire comme cela. La pénétration fut plus douce que ce que j’avais imaginé, mais la sensation d’être remplie était plus forte qu’avec ses doigts. Le coulissement du god frottait sur ma prostate et je ressentais une vague de chaleur presque violente comme je n’en avais jamais éprouvé jusqu’à présent. Mon sexe coulait, un liquide qui n’était pas du sperme s’échapper de mon méat, ça aussi c’était nouveau. Valérie m’encula comme ça encore quelques temps mais ses mouvements sur mon sexe, ses claques, me firent jouir rapidement. Je n’avais jamais vu une telle quantité sortir de mon corps, j’étais fourbu. Valérie continua encore un peu mais elle ne lisait plus le plaisir sur mon visage uniquement la douleur.
- Si tu pratiques souvent, tu pourras continuer même après avoir éjaculé.
Elle sortit de mon cul, caressant toujours ma bite et avec ses doigts ramassa un peu de sperme qu’elle porta à ma bouche. Je compris la manœuvre mais je n’y étais pas sensible, pour lui faire plaisir j’entrouvris mes lèvres et elle rentra ce doigt maculé dans ma bouche. La sensation n‘était ni désagréable, ni agréable. Elle refit le mouvement deux fois mais devant mon peu d’enthousiasme, arrêta.
- J’aime voir un homme avalait son propre sperme, peu être tu apprécieras cela plus tard. Allez c’est à mon tour je veux que tu me donnes du plaisir, mais avant on va allez te laver.
Nous entrons dans la douche quand elle me dit de m’asseoir.
- Je vais te laver à l’urine et après tu me montreras comment tu te sers de ta langue.
C’est à croire qu’elle c’était retenue depuis longtemps car son jet me donnait l’impression de ne pas se tarir. J’ouvrais la bouche pour en avaler une partie, je voyais que cal lui faisait plaisir. Une fois bien « propre », elle se mit sur le bord du lit et c’est à genoux que je lui pratiquais le cunnilingus. Le goût de son urine était encore présent et je me délectais à fouillais avec ma bouche et mon nez dans ses poils. Je lui prodiguais aussi un anulingus et c’est avec ma langue qu’elle jouit intensément.

Nous avons passé la soirée ensemble, nous avons eu d’autres rapports et des expériences encore nouvelles pour moi, puis nous nous sommes endormis.
Le lendemain matin, elle me demanda d’aller chercher des croissants pour le petit-dèj, ce que je fis avec plaisir. A mon retour le mobil-home était vide. Elle était partie. Pourquoi je ne sais toujours pas. Mais Valérie 10 ans après si tu es toujours aussi coquine et si tu lis ces quelques lignes, écris-moi, car je n’ai jamais rien oublié.

Si vous avez aimé merci de me laisser un message, ça fait toujours plaisir.

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