Mes Professeurs De Plaisirs - Chapitre 11

Martine et moi malgré cette grande différence d’âge partageons toujours autant nos envies : Sorties entre filles, clubs, boutiques spécialisées avec lieux intimes, exhibes. Nous prenons du bon temps ensemble et séparée. Un soir de printemps peu avant mes 20 ans, Martine et moi, allons flâner en ville et l’envie de prendre un verre en terrasse. Nous posons notre voiture dans un parking souterrain et allons en ville. Nous partons et nous installons à une table. Nous loin de nous deux hommes, pas la trentaine, viennent d’occuper la table voisine. Martine attire mon attention sur le fait que les hommes semblent plus intéressés par nous que par la carte des dégustations qu’ils tiennent en main.
Martine quitte la table et reviens quelques minutes plus tard. De son manteau pend sa petite culotte en dentelle. Je vois bien qu’elle a envie d’énerver nos deux voyeurs. De mon coté de croise et décroise mes jambes, bien évidemment, la jupe ne tarde pas à laisser voir la naissance du haut de mes bas. Martine qui les a dans son champ de vision, me dis qu’ils ne nous quittent pas des yeux. Nous buvons notre verre, mais quelques secondes plus tard un second arrive. Le serveur nous indique que les deux hommes attablés à coté nous offre cette coupe supplémentaire. Dans un geste de remerciements et un large sourire nous les remercions, et Martine s’autorise à les inviter à notre table. La discussion s’entame, nous sympathisons, échangeons sur des choses insignifiantes, quelque fois nous sentons bien que nos deux bienfaiteurs dévient, mais nous ne rentrons pas dans le jeu, pour le moment. Mais nos intentions sont claires, une troisième coupe vient agrémenter nos dialogues.
Je dois passer un temps pour soulager ma vessie, et en revenant, comme Martine ma culotte reste dans ma poche. La troisième coupe semble faire un peu d’effet, nous décidons de prendre congé. Ils nous demandent s’ils peuvent nous accompagner et profiter pour finir de faire connaissance.


Nous acceptons bien volontiers. Je sens de temps en temps une main effleurer ma cuisse ou mon derrière. Je pense que Martine subit les mêmes attouchements. Nous arrivons dans le parking, volontairement Martine passe devant, suivi d’un de nos amis, puis moi et enfin le dernier. Martine en parfaite coquine fait accentue la levée de sa jupe. Quant à moi pas trop besoin, en bonne élève je l’imite. Avant même d’arriver au bon niveau, Martine avait la main de son suivant sous la jupe. Mon suiveur lui semble moins intrépide et semble se contenter de me regarder.
Nous arrivons à la voiture, comme si nous nous étions concertés, nous collant nos mains sur les bosses du pantalon, dans un sourire entendu, nous nous accroupissons et libérons les objets du désir. Nous prenons plaisir à les sucer entre les voitures. Excitée par la situation je glisse une main entre mes cuisses et me caresse. Nous échangeons les bites, et profitons de ces moments. Martine fait jouir son partenaire, et vient me donner une partie du sperme. Son copain surpris par cet élan de générosité lâche une énorme giclé qui fini sur ma joue et mes cheveux. Je m’empresse de ne pas gâcher la prochaine. Je récupère avec envie les giclés suivantes et en égoïste je conserve tout pour moi. Chose qui ne gênait pas Martine, car la robe relevée, le buste couché sur le capot et les mains qui écartent ces fesses, son partenaire s’affairait en elle. Moins vigoureux le mien ne reprenait pas de vigueur. Mais j’ai été satisfaite par la dose de foutre que j’ai reçu en bouche. Les grimaces de son partenaire laissent présager un imminente éjaculation. Martine dans son extase lui lâche :
- « Vas-y lâche tout dans mon cul, j’adore… »
Il n’en fallait pas plus pour voir l’homme décharger dans le cul ma salope de Martine. Elle fouille dans son sac et tend le beau et gros rosebud.
- « Tient, enfonce-moi cela que je conserve ton jus jusque chez moi… »
- « Tu es une belle salope... » lui dit-il en la pluggant ;
- « Et tu n’as rien vu encore, rdv demain au bar même heure ? » leur dit Martine.

Nous quittons nos deux baiseurs, je suis toute humide et en dette par rapport à Martine. Arrivée la maison je file dans notre boite à malice et me gode pour apaiser le feu. Martine file sous la douche je la rejoins, je lui retire son jouet et le liquide visqueux lui coule entre les cuisses.
Le lendemain matin Martine téléphone à Edith.
- « Bonjour Edith, l’appart est libre ce soir après le boulot ? pour une partie à 4. »
- « Coucou ma belle, j’ai un habitué qui passe vers 19H30 mais pour la salle SM, la grande chambre sera dispo. Tes amis sont déjà venus ? »
- « Non, mais ils vont devenir des réguliers, mignons, bien foutus, et plein de foutre. Il reste longtemps ton habitué ? »,
- « Je pense qu’il me besognera une petite heure »,
- « Et bien si cela te va, nous aussi, sinon nous irons à l’hôtel »,
- « Non t’inquiète, amène les futurs bienfaiteurs »
- « Bise à ce soir ».
La journée semblait interminable. Mais l’heure de quitter sonne l’ouverture à une soirée de plaisir. Nous arrivons au RDV comme prévu. Martine avait opté pour une robe moulante, qu’elle avait dissimulé sous un imper, l’absence se dessous laissait deviner son excitation car ces tétons imprimaient fortement le fin tissus de sa robe. Quant à moi une jupe plissée, un chemisier et pas de dessous. Le temps est clément nous nous installons en terrasse. Mais nous ne voyons pas nos baiseurs de la veille. Nous prenons une coupe. C’est au moment de quitter le bar déçue, qu’une main se pose sur mon épaule.
- « Vous partez déjà ? » me dit une voix que je reconnais.
- « Bonjour, nous pensions plus vous voir cela fait une demie heure que nous sommes là… »
- « Désolé un petit contre temps, mais nous voilà, que faisons-nous ? »
Martine leur répond :
- « Disons que je vous je vous ai dit hier que vous n’avez pas tout vu, n’est-ce pas ? Vous êtes en voiture ? »
- « Oui » répond le conducteur
- « Bon Maggy, on échange je pars avec le tien on se retrouve à l’appart ? »
Je réponds oui sans hésiter.
Je récupère les clefs de la voiture et me fait accompagner jusqu’au parking. Je m’installe au volant et je prends soin d’ouvrir ma veste et de retrousser ma jupe. Le trajet bien qu’assez court, mon partenaire a poser et fouiller ma chatte sur le trajet.
Martine et moi arrivons presque en même temps devant l’appart d’Edith. L’ascenseur nous amène au dernier étage. Le temps d’avoir pu échanger les premiers baisers. Un coup de sonnette et la gâche électrique nous permet d’entrée. Edith nous accueille, tenue longue, dos nue sans SG, talons. Martine et moi lui posons un baiser sur ces lèvres. Les deux hommes nous suivent et nous nous installons dans le divan. Première interrogation du plus âgé des deux, où sommes-nous ?
- « Un petit endroit consacré aux plaisirs entre adulte, Edith, tu nous sers un verre ? Messieurs cela ne vous gêne pas qu’on ouvre une bouteille ? »
Edith apporte la bouteille, 4 coupes et un petite enveloppe.
- « Vous connaissez les clubs ou les soirées privées je suppose, et bien là Edith nous accueille en toute discrétion. Petit nid d’amour ou de pur sexe dans l’enveloppe votre droit d’entrée et le prix de la bouteille. A vous de voir. »
Les deux compères se consultent et très vite convienne au bien-fondé de la proposition. Edith récupère l’enveloppe et disparait. Nous commençons les caresses, les baisers, mon chemiser et grand ouvert et mon partenaire masse vigoureusement ma poitrine. Je me glisse entre ces cuisses et sort son sexe. Je le suce, le rendre bien dur. Je lui tourne le dos et je m’empale la chatte sur son sexe. Je lime ma chatte, le plaisir monte petit à petit. Je coupe mon effort et repends son sexe en bouche pour en gouter la saveur avec ma mouille.
Edith revient, presque entièrement nue, une paire de hauts talons, et un ensemble de chainette reliée à ces piercings aux tétons et à ces lèvres intimes. Nous invitons nos partenaires à rejoindre la grande chambre pour baiser à 4. Nos deux baiseurs ont la langue qui pende.

- « Eh les gars, elle est prise, occupez-de nous, nous sommes à votre disposition. »
Je me déshabille, bas et talons sont mes derniers vêtements. Martine dans une tenue ressemblante commence par me chauffer pendant que les deux mâles se dessapent. Déjà en érection, les deux nous matent et ils nous laissent faire et nous monter en pression. Martine s’allonge, replie ces jambes et offre sa chatte à ma bouche. Je la chauffe, et je sens déjà son odeur de femme. Ma position offre au vu de nos deux amis mon cul et ma chatte déjà bien humide. Je sens deux mains qui me caressent, et dans un élan de bestialité une claque, puis deux sur mon cul. A peine la chaleur dissipée je sens une queue dans mon vagin et les va et vient qui l’accompagne. Martine elle a sa bouche remplit par la seconde bite.
Une levrette sans fessée est comme un repas sans dessert, cela mon assaillant l’avait bien compris. La pression monte, je suis mouillée, c’est à ce moment qu’il décide de me prendre par le petit. Alors que Martine explose une première fois, je suis enculée sans ménagement. Martine change de position pour s’offrir à la queue tendue qu’elle avait en bouche. Fermement maintenue par les hanches mon baiseur se vide dans mon cul. Martine, à 4 pattes, joue avec sa langue sue la bite de son partenaire. Je profite de cette position pour me glisser sous elle et lui lécher sa chatte bien mouillée. La vision de ce trio a redonné de la vigueur à mon partenaire qui relève mes jambes et m’enfile sa queue dans mon vagin et me bourre avec vigueur. Martine jouit sous ma langue mes ses gémissements sont étouffés par le sexe de son baiseur de bouche. Presque de concert, les bites libèrent leur foutre ; mais dans ma chatte et dans la bouche de Martine.
Quelques caresses plus tard, nous partons vers la douche. La chambre SM est ouverte et nous apercevons Edith crucifiée et billonnée alors que son gnome lui libère les tétons de l’emprise de poids.
Martine et moi remarquons l’intérêt que suscite le spectacle pour nos compagnons. Sous la douche quelques questions fusent, nous leur apportons des réponses.
Nous finissons la soirée repus de sexe, nos amis nous quitte. Martine et moi restons un peu pour nous ressourcer. Edith raccompagne son « client » et semble encore en pleine forme pas fatiguée par la séance. Elle nous dit qu’elle reste sur sa faim bien avec lui mais il est généreux.
Nos deux amis sont devenus des réguliers. Évidemment nous leurs avons montrer la pièce à malice, nous les avons invités lors d’une soirée initiatique d’une soumise. Peut être que je vous ferais part de cela ici. Encouragez-moi….
Bises coquines à toutes et tous mes lecteurs….

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