Adieux D'Une Petite Chatte À Son Grand Matou

Je frappe contre la porte, une fois, avant de saisir la poignée et d’entrer. C’est une porte assez lourde peinte en bleu marine. J’ai le tract je ne sais pas comment. Je vais y arriver, j’ai machiné mon plan au cour des nuits précédentes, ma témérité me grise, j’espère que ça lui plaira.
Je lui ai demandé de préparer le repas sans moi, il n’est pas rare qu’on le fasse ensemble quand je lui rends visite. La pâte à tarte est prête, reste à la garnir de fromages et de champignons en se racontant nos journées. Il vient de la mettre au four, laissons la cuir. Je m’installe sur le canapé prend mon sac près de moi, lui s’est assit sur une chaise près de la fenêtre et fume une cigarette.
J’ai prévu un petit jeu lui dis-je, et je sors de mon sac une corde de moyenne épaisseur que j’ai achetée l’après midi même. J’essaie à tout prix de garder le visage candide que j’ai assez naturellement. Les contrastes sont plus intéressants, je tiens son regard, il est étonné. Il me demande « c’est pour quoi ? » - « Pour t’attacher » un regard intense et doux posé dans le sien. J’ai déjà envie de lui.

Nous allons passer tout le repas sachant qu’ensuite... il ne sait pas justement. Je pense à cette incertitude. L’attente qui le titille, ce doute qui parcourra petit à petit tout son sang, comme un serpent, pendant le repas. L’éveil du désir comme quelques gouttes de poison.
Nous parlons de choses tout à fait autres que celles que nous pourrions avoir en tête, la conversation est plutôt enjouée et distrayante. Il est assez bavard et je l’écoute s’emporter sur des sujets qui ne prêteraient pas à emportement habituellement, je souris intérieurement.

A la fin du repas nous fumons quelques cigarettes, je dois passer à l’action, j’ai peur mais me suis promis que je le ferai. Alors je me lève, me dirige vers mon sac dans lequel il y a la corde et lui demande s’il est prêt, il me répond que oui. Je lui dis de se lever et viens me mettre derrière lui pour lui lier les mains dans le dos, je pense à sa respiration que j’imagine s’accélérer.

Je pose d’abord doucement la corde sur ses poignées et je sers énergiquement les premiers tours pour lui faire un peu mal, je les dessers ensuite subtilement et fais un nœud convenable. J’ai pris mon temps, j’installe une forme de langueur, que je pourrai briser quand il me plaît.

Une fois qu’il est attaché je prends la corde et avance vers la chambre, il me suit docilement. Je lui demande de s’asseoir contre le mur à coté du radiateur auquel je l’attache. Il fait une remarque un peu nerveuse, je lui fais un sourire. J’ai envie de le rassurer, me justifier, il ne faut pas, je dois maintenir la tension.
Une fois qu’il est attaché, je prends la couverture de son grand lit et la met au sol, il s’assied dessus, je veux qu’il soit confortablement installé.
Je suis debout et prend un temps pour regarder ce beau prisonnier. Je m’accroupis vers lui et l’embrasse à pleine bouche. J’aime sa langue qui s’introduit en moi, j’aime l’appétit qu’il met à saisir mes lèvres avec les siennes. Ses mains sont attachées, il ne peut que tourner la tête et je pars dans son cou, embrasse, lèche et mord sa peau tour à tour. Le lobe de l’oreille, il aime bien, je parcours ses cheveux de mes mains. Je le saisis, l’embrasse, le saisis et l’embrasse encore. Je m’arrête pour reprendre mon souffle un instant, je colle ma joue contre la sienne, me râpe un peu la peau à sa barbe rasé d’il y a peu, me dirige vers sa nuque. Je sens ses cheveux fins et sa peau plus douce, à cette endroit. Respire de son odeur, je l’aime, elle m’apaise et ne lui ai jamais dit.

Il est temps, je glisse mes mains le long de sa chemise et le caresse à travers son pantalon, je sens son sexe bien droit sous ma main, j’entrouvre la bouche à ce moment car ça me plaît. Je continue de bien le caresser, frotter ma main. J’enlève ses boutons, son pantalon, je ne perds pas de temps, il faut qu’il soit nu. Il est là bandant devant moi. J’ai rarement était aussi excité à la pensée de mon propre sang-froid.
Pour finir je reviens doucement vers lui, défais sa chemise bouton après bouton, me permet d’embrasser son torse au passage, je laisse sa chemise sur ses épaules, ses mains liées m’empêchent de l’enlever. C’est mieux comme ça, je me dirige vers la salle de bain.

Je reprends mon souffle, me regarde dans la glace et je crois voir une étrangère que j’aime bien quand même. Je suis encore complètement habillée. J’enlève ma robe, me demande si je dois ou non garder mon soutien-gorge mais je décide de l’enlever. Je suis en collant, que faire ? Comme j’aime être en collant j’avais l’idée d’en acheter un ouvert sur les fesses et la chatte, mais je n’ai pas osé... ce qui m’exciterait serait qu’il le déchire et me prenne avec directement, mais ce n’est pas le scénario. Je décide d’enlever ma culotte remettre son collant afin d’être nue dessous, je l’arracherais moi-même.
Il serait l’heure d’y retourner, je bois un peu d’eau. Je sais qu’il est là qui attend. J’ai le tract, comme quand je suis dans les coulisses entre deux scènes, les minutes défilent rapidement, l’attention est vive et pressante.

J’ouvre la porte, il est là attaché au radiateur. Je m’avance vers lui, je suis debout, lui assit. Je m’approche encore pour qu’il embrasse ma chatte à travers le collant, me tourne un peu pour qu’il s’occupe de mes fesses, si ses mains étaient libres, il les saisirait tout de suite.
Je lui demande s’il arrive à enlever le collant avec les dents, il essaie mais n’y parvient pas vraiment, j’ai un sourire à la fois mignon et sadique si possible, son impuissance me réjouit. Je lui demande d’écarter un peu les jambes et je m’allonge sur le dos face à lui, mes jambes un peu sur les siennes. Je commence à me caresser les seins et me dandine comme une chatte en chaleur, je passe une main entre mes cuisses et me caresse à travers le collant. Je remue le bassin, comme un appel pour qu’il vienne me saisir tout de suite, il ne peut pas. Ma respiration s’accélère, je garde les yeux mi-clos posés sur lui.
Je décide d’arracher mon collant, je gémis malgré moi, je l’imagine le faire lui-même. Mes mains sont ses mains. Je veux qu’il sache comment je suis la nuit seule, et que je pense à lui.

Une fois le collant en parti arraché, je me retourne assez rapidement, sur le ventre et une de mes mains vient caresser mes fesses. Je le regarde toujours, je sais que ma peau est douce, mes mains passent lentement, même si je brûle de saisir mes fesses à pleine main, comme lui. A un moment, dans cette même position, j’introduis un doigt dans ma chatte, puis deux rapidement, je suis humide et je fais bouger mes doigts à l’intérieur, assez vigoureusement, comme s’il était derrière moi. Je commence à faire des plus en plus de bruit en continuant cette action. Avec ma main libre je me touche la nuque et saisis mes cheveux, je les tiens fermement pendant que mon autre main secoue ma chatte. J’aime qu’on me tienne par les cheveux, la première nuit il l’a fait, je savais qu’on allait bien s’entendre.
Je le sens qui s’agite, il me dit quelques mots, ma chatte se trempe assez rapidement, je m’emporte encore quelques instants, puis je m’allonge sur le coté et reprends mon souffle, je le regarde, brûlante.

Il me demande de le détacher, je lui réponds non. Je me calme et retrouve un peu mes esprits. Je m’accroupis, reviens vers lui et l’embrasse. J’aimerai lui dire que je l’aime mais ça ne se fait pas, à pleine bouche nous continuons, j’aimerai que ses bras m’entourent, que ses doigts se glissent dans mes cheveux et sur mes seins.
Je commence sans m’en rendre compte à me frotter contre lui, d’abord sur mon ventre, puis je m’installe sur sa cuisse pour faire des vas et viens. Mon clitoris frotte contre sa peau pendant que je l’embrasse. Je suis mouillée, excitée, je lui présente mes seins pour qu’il s’en occupe avec sa bouche, il le fait avec gourmandise. Il ne faut pas encore le détacher.
Évidemment je sens son sexe dressé contre ma jambe, je ne dois pas monter dessus sinon c’est fini, mais je le veux quand mème, alors je descends avec ma bouche.
Je lèche son sexe, je le met dans ma bouche, puis l’embrasse et mordille autour, sur ses cuisses tout en le caressant. Je lui lèche les testicules, ma main toujours sur son sexe fait des va et viens. Je m’occupe à ça pendant un moment. Puis je remets son sexe dans ma bouche, toujours une mains posée dessus pour accompagner mes mouvements. Parfois je le garde un moment au fond de ma gorge.. je sais qu’il aime ça. Je sens de plus en plus les mouvements de son bassin, il gémit, il apprécie ce qu’il se passe. Moi aussi. Je continue un certain temps, j’aime le voir comme ça, je sais qu’il tient assez longtemps, il ne faut pas qu’il jouisse, l’idée de l’imaginer le faire sur mon visage me traverse l’esprit un instant, mais ce n’est pas le scénario.

Je m’arrête, il est très chaud, j’embrasse son torse, le saisis derrière la nuque, pose ma joue contre la sienne et mets deux doigt dans sa bouche qu’il mord et suce un instant. Je caresse ses lèvres, l’embrasse encore une fois, remets quelques doigts dans sa bouche et vient ensuite les introduire dans ma chatte en le regardant.

Je suis face à lui, doucement je m'allonge sur le dos, c’est le dernier round, je veux jouir devant lui. Je suis si excitée et impressionnée que j’ai peur de ne pas suffisamment lâcher prise. Pourtant je veux qu’il me voit, et qu’il entende mes cris.D’une main je caresse doucement mon clitoris, de l’autre j’agrippe d’abord l’intérieur de mes cuisses, puis j’introduis deux doigts dans ma chatte, que je fais savamment bouger.
Toujours mes mouvements de bassin vont dans sa direction, il me demande à nouveau de le détacher, je ne peux pas.
Je continue de faire bouger mes doigts à l’intérieur et à me caresser de plus en plus vivement. Mes yeux se ferment. Je veux totalement m’abandonner à ce plaisir, mais j’ai peur de me montrer si vulnérable. J’espère qu’il me trouvera belle. Je finis par tout oublié, un flou s’installe peu à peu dans ma tête. Je sens la chaleur monter, l’attente de mes contractions, le plaisir une fois qu’elles arrivent violemment. Je cris, fort, secoue ma chatte je sais qu’il gémit aussi avec moi, même si je ne le touche pas, il m’accompagne vers ce plaisir là.
Je prends du temps pour me remettre des mes émotions, j’ai le regard ailleurs, voilé par le plaisir.
Ma respiration s’apaise peu à peu, mon regard posé sur lui raconte quelque chose. Je me rassois doucement. Je viens vers lui, qui essaie d’embrasser la peau qu’il peux saisir au passage. Je le détache, enfin, m’allonge alors sur le lit et lui dis « baise-moi bien maintenant ».

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