Une Adorable Petite Chatte 4

Elle suça en pensant avec dignité qu’au moins elle n’avait jamais permis cette honteuse caresse à son mari. Cela la consola. Elle n’était pas une salope. Elle avala en toussotant quand le terrible engin envoya une nouvelle salve au fond de sa gorge.

Une lumière s’alluma à l’étage. Immobilisation immédiate des combattants. « Chou, où y-a-t ’il de l’Alka Seltser ? » « Dans la pharmacie, en-haut, à gauche… » « Que fais-tu en bas ? » « Je m’occupe de Mimi… retourne dormir ! » Après quelques longs instants, la lumière s’éteignit et la porte de la chambre claqua.

C’était le moment de faire sortir Mimi, la pauvre.

UN AMOUR DE PETITE CHATTE 4
Lucille n’eut aucune peine à trouver Mimi, sa petite chatte. Elle la découvrit, bien sûr, couchée dans le panier à linge, dans la buanderie. La chatière, dans le bas de la porte qui donnait sur l’extérieur, était bloquée. Les lecteurs les plus attentifs s’en souviennent. Les autres n’ont qu’a se reporter aux précédents chapitres. Cela peut être amusant. Donc, Lucille prit Mimi dans ses bras, la câlina un peu, malgré l’heure indue et la mit dehors.
Lucille avait trop bu et elle était très fatiguée. Maintenant que Mimi était libérée, vivement au lit pour dormir les deux heures maximum qui restaient de la nuit.
Elle s’apprêtait à regagner la chambre conjugale au premier étage. Mais le divan où dormait Claude se trouvait sur le chemin le plus court pour y parvenir. S’il dormait, il valait mieux faire le tour du salon, pour ne pas le réveiller. Mais s’il ne dormait pas, il allait se demander la raison de cette manœuvre et, peut-être, culpabiliser eu égard aux faits scandaleux qu’il avait commis Lucille. Ou même pire encore, devenir jaloux de son mari. Une amitié brisée à cause d’elle, en somme… Elle ne voulait pas, à aucun prix, être la cause d’une altération ou de la rupture d’une si belle amitié. Ça non.
Elle passa sur la pointe de ses pieds nus près du divan où devait normalement dormir profondément le coupable de trois abominables excès perpétrés contre sa personne.


Dans le noir, elle se sentit happée par des bras solides et à nouveau plaquée à genoux contre le divan du stupre. Elle ne cria pas. Son mari s’était rendormi et avait besoin de sommeil. Il travaillait demain. Elle avait sa conscience pour elle. Elle avait fait ce qu’elle avait pu. Elle pardonnait d’office à l’homme, le pauvre, mû, sans doute inconsciemment, par le plus pervers des instincts, qui s’était agenouillé derrière elle et qui faisait sentir sans la moindre pitié à son intimité l’imminence d’un nouvel assaut. L’engin d’artillerie lourde se présentait une fois de plus à l’entrée du sanctuaire. Mon Dieu, ces hommes !
Mais que se passait-il ? La gueule de l’engin, après avoir pourtant aisément l’entrée, ne pénétrait pas davantage. Il se contentait de voyager. Comme s’il se contentait de récolter le liquide secrété, d’ailleurs en abondance et bien malgré elle, par l’entrée intime de Lucille. Elle comprit trop tard le but de la manœuvre. L’horrible tête chercheuse sortit du doux sanctuaire, remonta de quelques centimètres pour se retrouver à l’entrée de l’imprenable citadelle. Non, ça ce n’était pas possible. Pas dans l’anus. Ce n’était pas fait pour ça. C’était interdit ! Ça devait faire horriblement mal.
Lucille, stoïquement, ne cria pas. Pour préserver le repos de son mari et l’amitié sans faille de deux amis. C’était la pénétration de la tête, plus large, qui fit le plus mal. Après cela fut plus facile. Quelle sensation cette chose qui pénètre ainsi, lentement un sens interdit flagrant. Heureusement, le trivial coupable agissait précautionneusement. Pour l’encourager à continuer délicatement, Lucille se mit à gémir, comme prise d’extase. « Pas trop vite, pas trop vite… »
Une fois de plus, la pauvre Lucille se rendait sans conditions à l’adversaire, lui laissant occuper la place conquise comme qu’il l’entendait.
L’homme semblait l’avoir compris. Après s’être d’abord employé à lui caresser les seins, il se mit bientôt à lui en pincer les bouts.
Et de plus en plus fort. Comme pour la faire crier de douleur. Mais elle résista.
Alors il la fessa. Et il la fessa de plus en plus fort. Ses fesses devinrent toutes rouges. Elle faillit encore crier pour faire cesser cet infâme et indigne supplice Elle ne fit que gémir. Des gémissements équivoques. L’engin du supplice était toujours en place, dans l’anus écartelé de Lucille. Le mouvement de va-et-vient devint saccadé, plus rapide, plus profond. Cela parut d’abord une éternité à Lucille qui râlait avec de plus en plus de conviction. Puis, pour elle, le temps s’arrêta, tandis que le mouvement, lui, prenait à la fois de l’ampleur et de la vitesse. Une quatrième salve gicla, encore plus terrible que les précédentes pour Lucille. Cette fois, le nuage éclata, et en même temps pour les deux combattants qui s’écroulèrent et demeurèrent, dans cette position, l’une agenouillée en-dessous et l’autre agenouillé au-dessus, pendant une éternité, sans plus pouvoir bouger. Exténués ou ravis, ou les deux.
Au matin, Marc et Lucille prenaient leur petit-déjeuner ensemble, à la cuisine.
« Où est Claude ? » « Il dort encore. Je crois qu’il ne supporte pas bien l’alcool. Veux-tu que j’essaie de le réveiller ? »
«Non, laisse-le dormir. Mais je ne vais pas pouvoir le reconduire. Comme on part tous les deux travailler, il n’a qu’à rester ici, tout seul, la matinée. On laissera un message sur son téléphone. Il est indépendant, ce n’est pas grave. Je le reconduirai cet après-midi, dès mon retour. »
Lucille fronça les sourcils. Elle pensa que sa mère devait venir faire du rangement en fin de matinée. Il fallait lui envoyer un message. Si elle trouvait un homme tout nu sur le divan…

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