Trois Frères

Je faisais mes courses dans un supermarché quand je vis un garçon magnifique. Un visage d'ange, des yeux rieurs et un sourire ravageur. Je le suivais dans ce magasin depuis plus d'une heure. Je n'avais aucune intention à son égard hormis le fait de le regarder. Sa beauté me fascinait. A ce moment, mon caddie était toujours vide. Prenant un article dans un rayon, je le perdis de vue. J'accélérais mon pas pour tenter de le retrouver mais peine perdue. Soudain, une voix murmura à mon oreille :
- C'est mon cul qui t'intéresse ?
Interloqué, je me retourne, il était là.
- Ca fait une heure que tu me suis. Tu crois que je ne t'ai pas vu. Allez viens, je te paie un café. Tu feras tes courses une autre fois. Peut-être même qu'on mangera ensemble.
- Mais, je....balbutiai-je.
- Oh, ça va hein ! Fis-il. Tu viens ou pas ?
Je n'allais pas manquer l'occasion de m'offrir un aussi beau garçon. Il m'a emmené dans un bar où nous avons parlé de notre rencontre.
- Tu viens souvent ? Lui demandais-je.
- Chaque fois qu'on a envie de se faire un mec.
- On ? Fis-je. C'est qui on ?
- Mes frères et moi !
- Tes frères ?
- Oui ! D'ailleurs, ils nous regardent ! Tiens, je vais les chercher.
Deux hommes rejoignirent notre table.
- Alors, il est beau notre frère, non ?
- Ah oui !
- Et t'aimerais bien te le faire ?
- Euh....
- T'affoles pas, on n'est pas des chasseurs de pédés. Enfin, disons plutôt qu'on n'est pas des casseurs.

Nous, on envoie notre joli petit frère pour aguicher et on en profite tous les trois. A condition bien sûr que le poisson soit d'accord. Qu'est-ce que tu en penses ?
- Pourquoi pas !
- Allez, on t'emmène à la maison !
Une fois sur place, ils ont commencé à se déshabiller.
- Attendez les gars, fis-je. Pas encore ! Vous ne pouvez pas déshabiller frère d'abord, lentement avec douceur. Je voudrais voir son cul en premier.
- Pas de problème, dirent en choeur les deux frangins.
Ils lui ôtèrent d'abord son pantalon. Me montrant son dos, ils descendirent son slip. Ils lui firent lever les bras en l'air. Sa chemise remonta dans le mouvement, découvrant légèrement la naissance de ses fesses. Je bandais déjà comme un taureau. Ils remontèrent son slip et lui ôtèrent sa chemise. J'avais ouvert ma braguette et pris mon sexe dans ma main. Les mains des deux frères agrippèrent l'élastique du slip dans le dos de leur frère et découvrirent ses fesses juste deux ou trois secondes puis le firent glisser centimètre par centimètre, le long de ses jambes.
- Mon dieu, quel cul ! Pensais-je.
Les fesses étaient pleines et relevées au-dessus des cuisses. Bombées comme des ballons. Pas de trace de slip ou de maillot. Deux solutions. Ou, il ne portait pas de dessous, ou il bronzait dans une cabine UV. Les deux mecs retournèrent leur frangin, le poussèrent vers moi et le firent mettre à genoux. Il attrapa ma bite avec ses lèvres et l'avala tout entière. J'ai éjaculé en moins d'une minute et il a tout avalé.
Pendant cette fellation express, les deux frères s'étaient débarrassés de leurs vêtements. J'ai sucé le premier et pendant que je prenais le deuxième en bouche, le premier entra dans mon cul. Quand le deuxième m'encula, j'étais déjà dans le cul de son petit frère. A ce moment, l'un des trois me proposa :
- On a une spécialité à trois, ça t'intéresse ?
- Si tu dis oui, tu le sauras ! T'inquiète, rien de violent.

- Pourquoi pas ? Dis-je.
- Laisse-toi faire, Olivier va s'occuper de toi.
Le plus âgé alla s'allonger plat dos sur le lit. Olivier me prit par la main et me fit monter sur le lit. Richard, son deuxième frère, grimpa derrière moi. Il me fit enjamber Michael allongé sur le lit et m'empala sur son sexe dressé. Puis il me releva les bras et, une main dans mon dos, il me courba vers l'avant. Olivier prit mes mains et me tira vers lui. Il prit son sexe à la main et me l'enfonça tout entier dans la bouche. Dans cette position, j'avais les fesses relevées et le torse collé à celui de Michael. Richard s'agenouilla derrière moi, écarta mes fesses et poussa son sexe au fond de l'orifice déjà occupé par son frère. Quand Richard s'agita en moi, ses coups de reins frénétiques faisaient glisser mes lèvres sur le sexe d'Olivier. Ils se vidèrent en moi, tous les trois en même temps.

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