Les Trois Sorcières

Elles étaient trois. Trois filles assez semblables, grandes, brunes, plutôt bien faites avec cheveux longs sur les épaules, noirs de jais.

Une mature et deux jeunettes.

Les filles, quand elles sont trois ensemble, sont terribles. Elles font leur loi et rien ne peut les arrêter.

Dehors il faisait orage. Orage lourd de soir de canicule. Le ciel était blanc de mille éclairs qui jaillissaient sans discontinuer et le roulement du tonnerre faisait un fond de vacarme avec à peine de temps à autre un plus fort qui tonnait se détachant par dessus le paysage sonore.

Les filles avaient toqué longuement et fort à mon huis et elles ont dit, ami, va te falloir nous héberger ce soir cette nuit.
Nous, on a remisé nos moyens de locomotion en bas dans le garage à vélos de ton immeuble. Avec cet orage, on ne peut pas circuler. Alors on est venues te demander havre sec pour la nuit.

J’en connaissais une. Pas bibliquement, non. Juste comme ça, de relation vague de rencontre en soirées gothiques. Cette grande me plaisait assez. Solide, lourdement nibarée, sportive.

Les trois filles étaient devant ma porte debout en attente de ma consentance éventuelle à les recevoir, à accepter qu’elles fassent étape en mon logis. L’ascenseur était encore éclairé. La minuterie du palier en revanche s’était éteinte et moi compatissant je leur ai dit d’entrer.
J’étais quand même bien content de cette visite, alternative sympa et sexy à mes lectures solitaires de samedi soir un peu rêveuses un peu mélancoliques.

Toujours le samedi soir en solitude est tristounet, pas autant que le dimanche soir mais quand même presque... Comme un brouillon, comme une esquisse. Une veille de...

Elles ont croché leurs manteaux sur le perroquet de l’entrée, exactement comme je leur disais de le faire.
Je pensais, voilà des filles comme j’aime ... qui obtempèrent.

Les filles un peu rebelles qui n’en font qu’à leur tête, j’aime moins.

Par exemple celle qui jette son manteau mouillé sur mon lit ... aque, comme disait Johnny, après la courte pointe en est tout humide. Et moi j’ai les pieds froids la nuit durant, c’est pas sympa, résultat j’ai du mal à bander et ça la fout mal avec la copine du jour (enfin, je veux dire, de la nuit)Petit aparté à propos des pieds,
Avez-vous remarqué que certaines filles dorment toutes nues mais en chaussettes ? Lors que la plupart couchent en chemise de nuit ou même pire en pyjama et pieds nus ?
Le jour, enfin plutôt le soir où je suis resté avec Noémie, j’ai vu sous son oreiller une belle paire de chaussettes de laine épaisse aux motifs multicolores genre péruviens. Lieu de l’habituelle nuisette de dentelle qui habite les dessous de polochon des Parisiennes. Et bien Noémie, dans mes bras, sa peau de satin sous mes mains, collée à mon corps, ses jambes emmêlées aux miennes me susurrait à l’oreille, moi je dors toujours toute nue en robe d’amour.
Sauf les pieds. Mes pieds j’aime assez qu’ils soient bien au chaud.
Résultat, je prends mon pied, talons crochés aux hanches des garçons, emmitouflés dans mes chaussettes en laine de moutons des Andes, lama, mérinos, alpaga, vigogne, ...
Fin d’aparté à propos des pieds des filles...

Les trois ont dit, nous on a déjà soupé. Il est tard, on prend une douche vu qu’on est trempées de l’orage et on t’embêtera pas, on va se coucher illico.

Moi je pensais, et où donc vais-je faire dormir ces trois donzelles. J’étais perplexe et j’entendais le chahut dans ma salle de bain. La douche a longuement ruisselé ses eaux chaudes sur leurs corps de brunes. Elles riaient riaient toutes les trois ensemble.

La première à sortir, la plus grande, était vaguement emmitouflée dans ma grande serviette éponge. Elle tournait dans ma chambre en tirant les tiroirs de la commode et ouvrait les portes de l’armoire mains agitées sur mes étagères
Elle m’a vu, m’a souri et m’a dit donne moi donc un de tes teeshirt, un grand qui descend bien bas pour me faire chemise de nuit ce soir dans ton lit.
C’est pas que je sois bégueule à pas vouloir me montrer mais, tu sais, moi pour bien dormir me faut être bien abritée, sereine. C’est mon truc à moi que d’être protégée des vents d’est et autres initiatives entreprenantes de dessous de couette.

Des teeshirts de grande taille, j’en avais gagné un dans un rallye, marqué Porsche sur le devant. Avec en plus derrière, une sérigraphie en noir de 911. C’était du 3XL, pour morphologie bavaroise. Elle a posé la serviette et a déroulé l’immense teeshirt que je n’avais jamais porté tant il était grand.

C’était une belle fille solide et sportive. Brune de tête mais surtout brune de touffe. Autant ses cheveux étaient raides qui tombaient épais sur ses épaules, autant sa toison était bouclée comme celle d’un mouton. Bouclée et dense qui lui faisait comme une prude vêture de ses intimités.

Dehors nous entendions l’orage qui avait maintenant éclaté et le vacarme de tonnerre était complété des cataractes d’eau qui s’abattaient sur la ville.
Dans la pièce à côté les deux autres filles avaient quitté la douche et j’ai dit, je vais leur apporter la serviette, il n’y en a pas d’autre dans mon cabinet de toilette.

La grande fille m’a tendu icelle, sans fausse pudeur, et a enfilé le teeshirt bavarois pour emballer ses beaux nibars ses hanches larges et son pubis profusemment velu. Le dit teeshirt lui descendait aux genoux et faisait chemise de nuit de première communiante vierge oie blanche. Sauf la marque Porsche tant malmenée par les volutes de son devant qu’on avait du mal à déchiffrer les écritures. Heureusement que l’illustration dans son dos de la caisse en corde au virage roues extérieures écrasées de force centrifuge nous éclairait.

Elle m’a dit, bon, moi je me pieute immédiatement dans ton king size.
Mes copines, elles, n’ont pas besoin d’habits de nuit. Ni chemise ni pyjama, pas même de shorty. Elles sont de celles qui dorment en vrac. Ecololo, bio, végan en quelque sorte.

Dans notre confrérie il y a les radicales intégristes, les cathos, comme elles-deux. Tu verras, elles vont se coucher ensemble, s’enrouler bras et jambes, têtes à touche et lèvres jointes. Et s’endormir ainsi sans vergogne pour les voisins de couette. En mépris total des copains bandants. Jésuites sûr car elles ne rechignent pas à visite en inconscience, sans péché, dans leur sommeil innocent.

Nous les parpaillottes on est bien plus ouvertes. Enfin je crois. Dans nos têtes et dans nos ventres.

Les deux brunes sortaient de la salle de bain, à poil, ma serviette à la main. Elles ont dit, à toi ami le tour. Va te doucher et nous reviens bien propre bien astiqué. Nous, en attendant, on va te chauffer ton lit.

Moi je pensais un tel discours est intro à fellage, invite en tous cas. En profondeur des deux gosiers.

Mais allait-on, à quatre, pouvoir dormir dans mon lit. Lit de célibataire avec oreiller unique. Célibataire néanmoins prévoyant qui avait quand même choisi belle largeur de 1m80.

Les deux filles étaient parfaitement semblables de taille de morphologie de leurs sourires même. Petites têtes carnassières, cheveux longs noirs sur les épaules, seins de grandes aux pointus rebiquant vers le haut et surtout, comme leur copine huguenote, une touffe de frisotis d’ébène épaisse et drue cachant en toute pudeur leurs intimités.

Je pensais, en notre époque de tristes chattes rasées, voilà que me vient une belle escadrille de brunes velues frisées.

J’étais bien content et remerciais le ciel d’orage de m’avoir adressé en ce samedi soir ces étranges visiteuses.

J’ai filé à la douche, les laissant s’organiser dans ma piaule, dans mon lit. Je pensais, tout va bien les deux petites cathos feront leur affaire ensemble et moi j’aurai tout loisir de m’occuper de la grande calviniste. Les protestantes ne sont pas filles coincées et j’en suis fort aise.

Il n’empêche que je regrettais qu’il n’y eût pas en place de l’une des deux petites brunes une belle youpine, à la chevelure épaisse auburn aux yeux de braise et au ventre en feu.
La variété c’est ça qu’il y a de mieux dans la vie.
Je songeais, en sus on est samedi et le samedi les juives font Shabbat, pas correct de les prendre en sexfriend. Le seul truc autorisé par leur religion, jour de sabbat, c’est l’enculage... Heureusement les filles d’Israël ou de NYC n’y rechignent pas, jamais.
Moi j’étais sous la douche et les trois filles s’étaient coulées dans mon lit, sous ma belle couette blanche. Deux enchevêtrées l’une dans l’autre à droite, l’autre vêtue de Porsche, à gauche. Une petite place au milieu m’était réservée.

Moi je pensais, c’est belle aventure que je vis là.

D’habitude quand j’ai une fille dans mon lit et que je termine mes ablutions sous la douche avant de la rejoindre, je me fais une petite satisfaction personnelle rapide histoire de n´être pas trop précoce avec elle ensuite. Mais cette fois-ci, je pensais, avec trois filles à honorer en cascade tu seras endurant malgré toi, du moins pour la troisième, et je me suis donc abstenu. Mes roupes en ronronnaient de bonheur, tout à leur œuvre, intense.

Sortant de la douche, la serviette trempée en pagne, je suis entré dans la chambre. Les trois têtes des trois filles étaient côte à côte sur le traversin et elles souriaient.

J’ai fait un lâcher de serviette et me suis glissé entre elles après avoir éteint les lumières. Encore humide de ma douche et nu comme un ver. Je n’étais pas bandant tendu mais pas non plus recroquevillé. J’avais bon esprit de mec entre trois filles en samedi soir de printemps.

Le très grand lit se révèlait somme toute étroit. Je pensais, la vendeuse d’Ikéa m’a faribolé m’a sornetté qui me disait, vous pourrez y mener trois copines sans gène aucune et les sauter en tout confort. King size, 1m80, c’est exactement ce qu’il faut à un beau gars comme vous, aux ambitions solides avec fortes prétentions à niquage.

Les deux brunes sur le côté étaient déjà entre parenthèses.
L’une me présentait ses fesses. Belles fesses bien gonflées chaudes avec craque profonde humide de la douche et pilosité crépue douce sous les charnus de mes doigts.
L’autre était inaccessible. Je pensais, elle ne perd néanmoins rien pour attendre.

Mais j’étais dans les bras de la grande qui faisait cuiller autour de moi. Son pubis velu à mes fesses, ses bras qui m’enserraient, sa bouche dans mon cou en multiples petits bisoux.

Moi, je pensais, baiser une fille en habit dans un lit, c’est comme manger une orange avec la peau. Ce teeshirt Porsche, si elle le garde, elle n’aura pas ce qu’elle attend depuis belle lurette, à savoir un bon coup de bite d’homme dans le ventre.

Je n’ai rien dit mais me suis retourné pour la prendre dans mes bras et la serrer fort contre moi. Le teeshirt bavarois était remonté sous ses aisselles. Elle a levé les bras et a dit, va ôte le on sera mieux. J’ai pensé, Porsche finalement, une fois encore, n’aura pas fait long feu. Abandon au premier virage, direct le bac à sable.

On était donc, la grande parpaillote et moi d’un côté embrassés et les deux brunettes emmêlées de l’autre.
Dehors l’orage continuait de tonner et la pluie tombait en grandes cataractes.

La grande m’a dit, heureusement que tu nous as hébergées, imagine qu’on soit encore dehors toutes trois là avec nos balais dans la tourmente.

Moi je pensais, c’est quoi ces balais dont elle me cause. J’ai dû mal entendre.
Elle a ajouté à mon trouble en disant, sous la pluie les turbopropulseurs cafouillent.

La fille avait pris ma bite en main et pompait avec douceur.
Moi, en réciprocité, je triturais ardemment ses beaux nibars denses et élastiques.
Manifestement on était en concordance et sa main a mené mon organe à son papillon tout palpitant mouillé visqueux de désirade.

On était face à face, elle cuisses hautes jambes pliées et moi le nez dans son cou à respirer ses fragrances. Ses mains à mes fesses tiraient à elle, ongles crochés. Mon long bitos appuyait son gland au fond d’elle aux duretés de son col. Et s’interrogeait.

Moi, un peu traître, j’avais en tête les deux autres filles que j’imaginais toutes tendres toutes trempées d’amour en attente et je pensais, si je donne à celle-ci tout ce que j’ai à donner, que restera-t-il pour celles-là pour ces deux gamines brunes ?

Et ma tendresse pour ces deux petites était confortée par les beaux poumons que toutes deux arboraient. C’étaient, l’une et l’autre, des filles à forte poitrine.

La grande dans mes bras a ressenti ma réticence. Je ne crois pas qu’elle en ait compris la motivation. Mais cette affaire du garçon en retenue ne lui seyait pas, alors elle a mouillé de gros glaviot les trois doigts de sa main droite et m’en a badigeonné le cul. C’était chaud c’était frais et mon anus en fut tout attendri.
Son grand doigt a suivi, profitant d’un instant d’inadvertance, et s’est enfilé profond bien au delà de la porte étroite.

Le charnu pressait en avant sur la boule prostatique de mes émois les plus intimes. La caresse a eu tôt fait d’effacer ma timidité. Et j’avais la banane dans les bras de cette sorcière et de ses gestes magiques.

La fille avait sa bouche à mon cou à mon oreille. Elle a murmuré, va laisse aller et décharge. C’est bon de bon la gicle des garçons au creux des filles. Elle a ajouté de toutes façons il ne sert à rien de te garder des réserves pour ces deux donzelles. D’abord elles se contentent entre elles et n’ont nul besoin de toi, ensuite sache qu’elles sont mineures et que tu n’as pas le droit.

Moi je pensais, cette grande fille veut me garder pour elle toute seule. Elle est égocentrique et me monte un scénario. Je n’étais pas mécontent, surtout que son grand doigt avait trouvé dans mon fondement le lieu de mes félicités. J’étais bien, décontracté, et je poussais pour rejoindre mon nirvâna et le bien-être qu’elle m’offrait.

Néanmoins je pensais aux deux petites qui tout contre moi chaudes et humides de la douche se bécotaient ardemment en roucoulant comme colombes en pigeonnier.

Je pensais, sournois, si je contente cette grande convenablement, elle entrera en léthargie post-coïtale et je pourrai alors, discrètement, tirer les gamines. Mineures ou pas mineures, elles m’ont l’air toutes deux parfaitement opérationnelles avec belles fesses, profonde craque et beaux nibars de grandes. Authentiques bimbettes.

En sus, je n’aurai pas peine à me taper longs préliminaires vu qu’actuellement elles se chauffent mutuellement, tout en tendresse de filles y caresses délicates de leur zizette plissée et doigt mouillé.

L’ambiance était chaude dans le plumard mais aussi en extérieur. L’orage, i piaggio, se déchaînait dehors et nous quatre, ces trois brunes rescapées de tempête et moi on était bien au chaud dans mon grand lit.

La vie m’était belle...

Les deux tourterelles ne parlaient pas et je ne savais rien de leurs pensées. En revanche elles gazouillaient ardemment et je pensais la musique de leurs soupirs est vrai enchantement. Je ressentais cela comme sortilège de sirènes autour du bateau d’Ulysse et me sentais emporté vers des ailleurs vers un abysse.
La grande me tenait serré dans ses bras, son ventre en avant cambré contre le mien et ses fluidités en contractions régulières qui aspiraient ma tige au plus profond d’elle. Elle souriait et me dit en murmure à l’oreille, viens croque la pomme Apple Eve Schneewitchen.
Décharge en moi ta vitalité par la lightning.

Je sentais le maléfice.

En sus l’odeur montait à mes narines. Une odeur démoniaque. Une odeur de sexe d’aisselles de peau moite, le signal que ma partenaire allait prendre son pied et réclamait en synchronie mon aboutissement et de grandes lampées de sperme à noyer son col.

Elle chantait son plaisir en psalmodiant.

Les deux voisines avaient interrompu leurs activités personnelles et restaient immobiles, attentives, curieuses d’assister à l’épanouissement final, au bouquet.

Lors qu’enfin je karchérisai abondamment son fond de cougourle j’ai senti qu’elle tirait sur mes fesses à deux mains pour plus encore m’emmancher au cœur d’elle.
Moi je regrettais la visite interrompue de son grand doigt à mes entrailles.
Ses cuisses étaient montées haut et son velu se mêlait au mien comme Velcro.
Ses intérieurs étaient musclés et elle triturait ma tige comme fermière le pis de la vache.

Soudain j’ai senti qu’on empaumait mes couilles. A deux mains qui plus est. Vu que j’avais encore des ongles plantés dans mes fesses, j’ai compris que l’une des petites avait décidé de participer. Et elle serrait, serrait...

Ma nuit démarrait bien.

Dans le lit le silence s’était établi. Les petites ne roucoulaient plus, d’ailleurs l’une d’entre-elles était occupée à visiter mes roupes, se désintéressant totalement de sa copine. Quant à ma partenaire, elle était dans son nirvâna et ses chants s’étaient atténués puis éteints.

Dehors l’orage grondait comme jamais et bien que nous fussions en ville on entendait des craquements funèbres d’arbres qui tombaient tels le chêne de la fable.
Celui de qui la tête au ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts

Moi, je me sentais vidé, totalement. Les dernières pulsations orgasmiques de la grande serraient en tendresse ma tige amollie et je ressentais grand apaisement.
Sauf que, diable, les mains hardies d’une petite s’affairaient sur mon paquet, manifestement déterminées à me faire recouvrer rapidement allure chrétienne.

J’ai roulé pour m’échapper du havre chaud et gluant. Les jambes de ma grande amie sont descendues au drap et elle est restée allongée au bord du lit en gisante épanouie, tirant la couette à son menton.

L’autre sorcière m’a escaladé. J’ai senti sur moi son poids de fillette à poitrine hypertrophiée. Elle est redescendue de l’autre côté et je me suis retrouvé encadré des deux minettes, de ces deux novices à la libido exacerbée, héroïnes de manga japonaise.
Durant toute l’affaire elle n’avait pas lâché mon scrotum strié de contraction qu’elle serrait comme trophée.

Je n’étais pas mécontent.

D’autant que la troisième s’est immédiatement emparé de ma tige comme pour dire voilà ce qui importe réellement. La bête était encore en latence mais déjà moins réfractaire du fait des fragrances juvéniles et fraîches des deux fillettes.

Lors que la première visitait d’un doigt léger mon périnée, s’aventurant entre mes fesses jusqu’au delà du correct, la seconde avait totalement décapuchoné l’animal et glissait un doigt caressant sur le haut du gland et le méat béant tout trempé des ébats précédents.

J’étais tout content.

D’autant que je me souvenais de la mise en garde de la grande sorcière qui me disait gare, ces deux gamines prépubères sont mineures et tu encours lourd opprobre si tu les sautes.

Mais les fillettes en question me paraissaient très au fait des choses du sexe avec leurs hanches larges, leur taille fine et surtout les jolis nichons qu’elles arboraient par devant. Je n’avais aucune réticence. Et preuve de mes dires, ma bite avait repris pleine expansion saine et solide. Ce qui ne leur avait pas échappé.
Surtout à celle de gauche qui se régalait présentement à triturer mon bitos tendu.

Sortilège a-t-elle dit. Comment se fait-ce que cette tige ait si vite recouvré panache et si solide dureté ?

Moi, je savais tout. Leurs frimousses de brunes à cheveux longs et les touffes idoines qu’elles arboraient, toutes ces choses qui participaient de mes émois. Et surtout leurs bouches, immenses, charnues, des bouches à la Béatrice Dalle, des bouches dont la fonction unique était assurément le fellage.

En sus avec gosier large et très profond au delà, grandgousier eût dit Rabelais.
Imaginez un instant ces collégiennes, pas même encore lauréates du brevet des écoles, à la chevelure épaisse noire drue raide et au regard lubrique qui t’empoignent le paquet avec appétence, salive écumante à la lippe.

Imaginez ces fillettes lourdement nibarées, leurs appâts libres de tout harnais naviguant en inertie par devant, ces bimbettes croupe cambrée velues comme des grandes qui feulent leur besoin de mâle comme biches en clairière de forêt en attente des cerfs qui rôdent au profond du bois.

Moi j’avais recouvré tout mon potentiel et je bandais comme en saison des ruts.
Les filles avaient compris qu’elles tenaient là un bon client et astiquaient ma hampe à deux mains chacune, dégageant gland et frein à chaque descente, sans parler des remontées qui me menaient inexorablement en paradis blanc.

Dehors le tonnerre tonnait et interdisait tout dialogue.

J’ai renversé l’une d’elle en prétendant lui bouffer la moule. Non seulement c’eut l’heur de lui plaire mais encore la copine s’est ouverte en étoile de mer, cinq branches, pour solliciter hommage similaire. Leurs chattes étaient trempées de sécrétions fluides et je me régalai de boire alternativement aux deux sources.

Les vulves étaient complexes de multiples villosités et lèvres visqueuses. Crêtes de coq, dindons...
Et tout cela en fluidités claires douces à la bouche et tendres au menton.

Gamines prépubères, balivernes ... je comprenais que la grande brune m’avait mené en bateau. Ces deux bimbettes avaient manifestement pas mal d’heures de vol à leur actif.
En conscience de cela, je n’avais plus aucune retenue.

Surtout que les dites novices encourageaient mes activités par réciprocité de bon aloi.
L’une avait enfourné mon bitos dressé à cœur de gosier et avalait en rythme soutenu. Sa glotte torturait mon gland de bonheur absolu.
L’autre me caressait les fesses en câlin centripète qui cherchait le moite de mon intimité la plus secrète.

J’avais observé, au dessus du pubis de chacune, un tatouage. Une salamandre. La queue au nombril et la tête à brouter le haut de la touffe.
Et chacune des deux filles arborait le même dessin mais l’une côté droit, l’autre côté gauche et les deux dessins étaient inversés, comme un effet miroir.

Moi j’étais un peu troublé de cette gémellité affirmée des deux bimbettes gothiques. Juste je pensais, les salamandres ont-elles réellement 4 doigts seulement ou bien est-ce juste élégance de tattoo un peu poète ?

Je pensais si ces amphibiens crachent leur venin sur mon zob, me faudra courir chez l’apothicaire approvisionner la thériaque à même de m’immuniser. Andromaque, merci de me mithridater.


J’ai alors passé la main à la nuque de l’une et l’autre est venue se couler elle aussi contre moi et nous étions tous les trois allongés sur le dos et moi les serrant contre moi.
Elles ont dit, vois nos mains nous n’avons que quatre doigts lors qu’aux pieds nous en avons cinq, comme toi.

Et c’était vrai. Et moi je comprenais que l’artiste avait mal observé qui leur avait donné deux fois quatre orteils seulement. Sortilège !

Le tonnerre dehors roulait sans désemparer et le ciel était blanc des milliers d’éclairs qui se succédaient sans pause aucune.

Et moi je pensais, ces filles n’ont donc pas de pouces. Comment font-elles alors pour attr quelque chose ? Je me rassurais néanmoins car j’avais observé qu’elles n’avaient eu aucune difficulté à me prodiguer un excellent pompier.

Elles ont ajouté, notre peau est douce à tes caresses car nous venons tout juste de faire notre mue. Semaine dernière nous avions écailles dures et étions beaucoup moins sympa à peloter. Nous on va aux garçons, toujours, après la mue.

Moi je pensais mais alors que font-elles de l’ancienne enveloppe ? La jettent-elles ? Et alors, tri sélectif, dans laquelle des trois poubelles ?
Mais ce qui m’interpellait au premier chef concernait leur entre-jambe. Renouvelaient-elles aussi les mille villosités ? Jusqu’où allait la mue, le doigt de gant retourné avait-il sa frontière au col ?

Je pensais à ces cols presque jamais déneigés, Iseran...

J’étais un peu flou dans mes pensées. La grande fille au bord du lit à droite ronflait doucement et nous comprenions tous trois qu’elle n’était plus dans le coup.

Les deux copines parlaient entre elles par dessus moi. Et chacune racontait sa vie. Elles disaient que juillet était leur saison. Et nous étions au mois de juillet, une veine, non ?

Elles disaient, la camarade boute-en-train l’a vidé, complètement vidé. Sûr qu’il n’a plus maintenant que des gamètes à propension mâles. Tous les vieux spermatos ont filé avec la première fournée.

Elles m’ont dit, tu sais, nous on a une capacité particulière, celle de garder au creux de nous, deux trois ans, la giclée fécondante des garçons et d’en faire plusieurs services. Trois fois neuf mois de gestation avec la même saillie.

Pas vraiment un avantage, nous on préfèrerait largement devoir baiser cent fois... pour le fun, tu comprends ?

Elles étaient là toutes deux, l’une à gauche, l’autre à droite de moi et ont tourné pour se retrouver chacune sur la tranche, chacune une main sur mon organe. Huit doigts à palper mon bitos en un lent pompier bienveillant qui déchirait.

Elles parlaient araignées. Elles disaient on a toute la nuit pour tisser la toile. Moi je pensais, ça a combien de pattes une araignée ? Huit, non ? Avec leur main chacune elles sont au compte. Huit. Octopus. Et je sentais leurs doigts agiles sur ma hampe sur mon gland sur le frein sur mes roupes. Les soulevant les relevant les pressant en toute amitié. Sex friend comme on dit, sympa en tous cas.

Dans ma tête tournait une chanson de Moustaki

La fille près de qui je dors,
M'enroule dans ses cheveux d'or
Comme une araignée dans sa toile.
Moi, j'en appelle à mon étoile
Qui me fera trouver le nord...

Je pensais, moi j’ai là deux filles dans mon lit. Saurai-je me défaire de leur toile ? Où donc est mon étoile ?

Les deux filles parlaient entre elles mais ne s’adressaient pas à moi. Mais elles parlaient de moi et cela me gênait. L’une disait, ce gars-là nous donnera-t-il ce que nous sommes venues ici-bas quérir ? Deux fois ? Une fois pour chacune de nous ?

Manifestement il saura doubler bien que la grande sœur l’ait totalement vidé. Sacrée purge quand même. Merci Bézelbuthe.

L’a l’air néanmoins bien solide ce gars-là. Qui passe la première de nous deux ? On va tirer à la courte pine.

Elles étaient d’accord sur cette méthode pour se départager. Mais je n’avais pas compris que j’allais être l’outil, le juge de paix, le moyen d’aléa.

L’idée était simple. Chacune aurait licence d’astiquer longuement ma bite et la perdante serait celle qui aurait obtenu le résultat le plus modeste en qualité de longueur de tige.

Moi je bichais et pensais, elle vont être ex æquo toute la soirée et devront poursuivre longuement peut être même jusqu’à matines pour enfin se départager. J’en bandais déjà à fond.

Chacune pensait, moi je vais gagner et j’aurai au fond du ventre la lourde giclée fécondante servie par ce mortel. J’en ferai facilement quelques diablotins, tête cornue et queue agile.

Je crois que tous trois on savait que j’étais en capacité de tripler et que la perdante ne serait pas déçue de tant d’efforts et d’endurance avant de décharger. La vie est ainsi faite que parfois les derniers sont les premiers. Enfin surtout pour le bonheur des dames...

Les filles aiment le troisième service, celui de l’aube, quand leur amoureux éreinté s’échigne à limer et que rien ne vient lors que déjà le jour point. Elles ont le ventre tendrement douloureux et jouissent de sorte de masochisme libidineux en concordance. Elles savent que leur plaisir sourdra en parfaite harmonie de celui du partenaire lourd de fatigue sur leur ventre et de la peine qu’a le soleil à grimper dessus l’horizon.

Le bonheur du troisième service se mérite et le sommeil qui vous écrase ensuite vous mène tard dans le matin, aux heures indues auxquelles on ne sert plus le petit déjeuner.
J’étais impatient de serrer dans mes bras l’une ou l’autre de ces apprenties sorcières aussi n’ai-je fait aucune difficulté pour les départager, bandaison magistrale pour la brune aux yeux bleus, présentation délibérément plus modeste pour la brune aux yeux noisette.

Pourtant cette dernière s’était donnée à fond de ses huit doigts enduits de salive sur ma hampe. Et je lui en étais diablement reconnaissant. Et en plus, vous voulez savoir, c’était ma préférée.

L’important dans la vie c’est de savoir déterminer. Parfois, la pièce de 1€, pile ou face, est la meilleure solution pour sortir de l’expectative.

Je passerai rapidement sur la brune aux yeux bleus.
Quiconque double régulièrement connaît les émotions que procurent cette (toute) petite prouesse. Endurance réelle mais en plaisir de partage et montée lente de jouissance comme inéluctable inexorable. Doubler, c’est comme faire un dépassement en bagnole, on voit le cul de l’autre caisse devant, on prend son élan, on a le pied dedans, on serre les dents, le moteur hurle dans les tours et on ne regarde même pas la gueule du mec qu’on vient de niquer magistralement.
La brune aux yeux bleus avait le regard noyé quand le réflexe m’a fait décharger mes quinze centimètres cube de bon sperme au creux de son cœur. Elle avait les jambes hautes sur mes épaules, elle s’est tournée pour s’appuyer des talons au mur.
Elle a dit, je ne veux rien perdre de ta fécondation, me faut tout garder tout gober.
Lors que celle que je venais de baiser faisait le poirier dos au mur, l’autre sorcière m’avait pris dans ses bras et me disait des choses tendres. On était tous deux au milieu du king size et on s’était trouvés. La grande ronflait doucement sur la berge droite, l’autre faisait les pieds au mur sur la berge gauche.
Et nous on était enlacés entre elles-deux au milieu.

Ma jolie partenaire m’a dit, va dors un peu pour reprendre quelques forces. Tu sais, nous, ma copine et moi on est venues ici pour se faire engrosser. Par toi. Lourde responsabilité, non ? Tout à l’heure ce sera à mon tour, si tu veux bien me mettre aussi.

Moi je dis, mais alors la grande qui dort là en ronflant, qu’est-elle venue chercher ? Je l’ai copieusement servie tout à l’heure.
La petite m’a répondu, vois-tu, elle est là pour épurer tes spermatos femelles. Nous donnons naissance exclusivement aux diablotins, qui tous doivent être mâles. Imagine un peu qu’advienne une diablesse ... quelle catastrophe ce serait.

Quand par mauvais hasard vient une diablesse on s’en débarrasse on l’envoie chez vous : Folcoche, Ténardier, Aubry...

Le truc est imparable, une sorcière senior s’occupe de vider totalement les roupes du géniteur pressenti. Puis la voie est libre pour les deux juniors qui alors prennent le meilleur, à savoir les bons gamètes mâles tous neufs que les deux roupes turbinantes ont fabriqué dans l’urgence. Des pigeonneaux...

Son corps était chaud était tendre mais ses discourades étaient pour moi sans intérêt. Je me suis endormi dans ses bras, sa main empaumant mon paquet lors qu’un doigt caressait doucement mon périnée, caresse diablement apaisante.
Mon sommeil était profond mais je sentais néanmoins qu’un grand doigt s’aventurait et même s’égarait un peu au creux de mes fesses au plus profond au moite, aventureux le doigt, très audacieux même...

Enfin je pensais cela ... pour une toute jeune fille soi-disant prépubère et mineure en sus.
Je ne vais pas vous raconter qu’au petit matin elle s’est éveillée et a entrepris, de bouche accueillante, un tendre gamahuchage lors que j’étais encore, pauvre garçon vulnérable, dans les bras de Morphée.

Sûr que ce doit être bien plus sympa pour une fille de gober un simple gland porté de tige souple. La chose garde dimensions chrétiennes qui entre facilement en bouche.
Plutôt que de subir les assauts d’un énorme bitos au gland turgescent qui prétend envahir gorge glotte et même pire jusqu’à fond d’œsophage, jusqu’au crico.

Pour ma part, ce petit réveil d’aube m’était agréable et je sentais mon gland rouler sur la langue et contre le palais de cette jeune sorcière. Je l’entendais ronronner du nez comme chatte caressée roulée en boule sur les genoux de son maître. Azraëlle.
Je me gardai bien de me laisser aller à bandaison, ce qui eût gâché le moment en forçant son gosier de façon inconvenante.

Je gardais respiration régulière et feignais de dormir profondément. Mais en réalité je profitais un max de la caresse, émettant de nombreux petits soupirs de satisfaction manifestement inconscients à même d’encourager la vestale dans ses œuvres.

Mes neurones étaient tous bien éveillés et je pensais, il ne faut pas lui montrer mon intérêt et au contraire la laisser poursuivre. Une sorcière, ça doit connaître des trucs rares pour faire grimper les gars aux rideaux. Profitons.

Elle continuait sa pipe avec conviction et moi je dormais béatement.

Assez vite j’ai pensé qu’il me fallait quand même reprendre initiative. Les mecs, nous on est comme ça, on ne se refait pas.

Je l’ai attrapée par la nuque et lieu d’enfoncer sa tête entre mes cuisses pour l’enfourner plus profondément comme eussent fait n’importe qui et tout un chacun, je l’ai cueillie pour la remonter à moi et la chérir sur l’oreiller et la biser et serrer son corps chaud de mes bras de mes jambes.

Nous en étions tout attendris et je me suis senti venir en bandaison comme jeune amoureux lors que de sa touffe collée à ma cuisse sourdaient des moiteurs ruisselantes chaudes et visqueuses.

Elle m’a dit, miracle, voici que ta tige a pris de façon étonnante la raideur requise. Prends-tu viagra, pilule bleue des Usines du Rhône, avec tes corn-flakes au petit déjeuner ?
Moi, je me disais, ces sorcières nt des théutiques de l’industrie pharmaceutique lieu de peaufiner leurs formules cabalistiques comme voudrait la tradition

J’ai voulu la moquer et j’ai prétendu que ma baguette de coudrier était magique et qu’elle était capable de trouver, gland à tête renifleuse, la source à même de l’accueillir en toute volupté.

Elle a pris ma bouche pour un baiser mouillé langues et lèvres mêlés et sans avoir compris ce qui m’arrivait, j’ai eu sur le ventre un long corps de fillette aux seins largement écrasés et moites, collés à mon thorax.

Elle se prétendait novice mais n’a pas eu long à chercher pour engloutir mon bitos tendu entre ses cuisses pleines dans les méandres gluants et profonds de ses intérieurs.

Remonter en elle m’a paru grand bonheur. Remonter vers sa jolie frimousse, vers ses seins épanouis, vers son ventre plat ourlé de profond nombril.
Mon gland visiteur, porté de tige longue et hardie, comme œil de go-pro, prenait plaisir à découvrir les mille villosités. Les sensations étaient douces et je serrais cette apprentie sorcière de mes deux bras, fort, et elle me serrait tout autant. On était bien ensemble. Il était manifeste que nous avions trouvé tous deux concordance de jouissance amoureuse. On était sur la même longueur d’onde, comme on disait autrefois.

Que dirait-on aujourd’hui ? Existe-t-il maintenant un concept exprimant cette idée-là ?

Avant la terminologie de longueur d’onde, en musique on disait unisson, résonnance. Mais maintenant, quel terme pourrait donc exprimer ce concept ? Sur Facebook, Twitter, Instagram ?

Être follower ? Petit joueur le follower vs l’amoureux d’antan...

Ce monde est petit (Cabrel)

Elle était lourde sur mon ventre et moi je la serrais dans mes bras encore plus et elle écrasait ses seins sur moi et moi je trouvais ça bien. Je dormais presque de tant de bien-être de cette fille dans mes bras.

Qu’elle soit sorcière m’importait peu. Pour moi, elle était la vie même. Et j’étais heureux d’être auprès d’elle. J’étais heureux à l’idée de mêler mon sang au sien et de lui faire un . Si elle voulait bien.
Manifestement elle le voulait, et vous voulez savoir comment tout cela s’est terminé ?



Et bien, je le lui ai fait.

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