A Trois...

Vendredi dernier, je reçois un SMS d’Ali. Ali, le rebeu que j’avais connu à la piscine, l’été dernier. Il me demande s’il peut passer… N’ayant pas baisé depuis quelques temps, je sens une boule d’envie me tordre le ventre.
« Tu passes quand tu veux, mon petit Ali…
-Ok, j’arrive. C’est quoi ton adresse ? »
Une heure après, on sonne. J’ouvre…C’est lui…en slip de bain rouge !!!!
« -Elles sont où tes fringues ?
-Dans mon sac, tiens !
-Bien monté le coup ! » Ca me rappelle exactement notre première rencontre à la piscine. Toujours aussi bandant, Ali.
« -Entre, tu vas te faire violer si tu restes sur le palier…
-T’es sûr que c’est pas le contraire ? » On rigole.
On se boit un petit café tranquille dans la cuisine. A le voir ainsi déambuler en slip de bain, je me mets à bander comme un fou. Il le remarque et je vois son slip enfler… Il vient vers moi, m’arrache mon tee shirt et me dévore la bouche. Ses mains s’affolent dans mon dos, sur mes fesses. Je retrouve instantanément le goût et l’odeur d’Ali, celle que j’aime tant. Il m’a déjà délesté de mon short long, je suis en slip comme lui, collé à lui. Je l’entraîne vers la chambre, vers le lit. Je le jette sur le lit, me mets à califourchon sur lui et commence à le caresser, à le masser partout. Je sens sa bite gonfler sous mon cul. Il a fermé les yeux et se laisse faire.
Il a posé ses mains sur mes cuisses et commence à jouer avec mon mini slip de bain bleu ciel, l’air de ne pas y toucher… Très vite, il découvre l’agrafe sur le côté, il le dégrafe donc et libère ainsi ma bite qui jaillit vers le haut, du bout des doigts, très doucement, il commence à jouer avec ma mouille. Délicieux ! Il s’enduit les doigts, m’enduit la tige, porte ses doigts à sa bouche…Je lui prends et les porte à la mienne. Je me remets à le caresser consciencieusement, partout, partout. Je commence à lui lécher les aisselles qu’il a très poilues. Il adore et en redemande.

Toujours à califourchon sur lui, je glisse vers son visage. J’ai envie qu’il me bouffe les couilles. Je les lui amène juste à sa bouche. Il se met à me les lécher par en dessous, à grands coups de langue. Trop trop bon ! Je me soulève légèrement, il passe sur ma raie. Je lui présente ma rondelle juste sur sa bouche. Wouaah ! La caresse est trop trop bonne. Je sens parfaitement bien ses petits coups de langue qui appuient sur ma feuille de rose, essayant de se trouver un passage…Je bascule légèrement en arrière, cherchant de mes mains son slip. Je touche sa bite qui a largement débordé de son maillot. J’enfonce ma main au plus profond de son slip, lui tripotant furieusement les couilles. J’ai envie de sa bite. Je me mets alors en position de 69, lui présentant ma queue et me délectant à l’avance de la sienne. Je sens sa bonne odeur de mâle qui se dégage de sa touffe. Je prends son gland dégoulinant de mouille en bouche. Je le sens se raidir. Je le branle très très doucement du bout des doigts. Il me rend exactement la pareille sur la mienne. Commence alors un jeu érotique où il copie exactement ce que je lui fais. Trop cool ! J’ai toujours trouvé qu’il avait une superbe bite. Longue, très longue mais aussi parfaitement proportionnée par rapport à son diamètre, bien lisse et complètement droite quand elle bande…Un rêve. Je décide de tenter de lui faire une gorge profonde. J’y vais tout doucement, pour mieux lui faire ressentir la chaleur de ma bouche. Il se soulève légèrement pour mieux venir à moi. Malgré tous mes efforts, c’est pas encore cette fois que j’y arriverai…Je reviens alors sur son gland et commence aussi à le doigter en allant chercher de la mouille sur son gland. Lui aussi, du coup, se met à me chatouiller le trou. Je passe un doigt. Lui aussi, en force. Je sens qu’il me dilate en tournant son doigt. J’adore ça. J’aime tout en fait. J’ai envie de sentir sa bite me labourer le ventre. Je m’enduis le trou, sa bite. Je viens me placer au dessus de lui et commence à m’empaler.
Très vite, son gland me perce et je reste ainsi, immobile, à savourer, resserrant de temps en temps mon sphincter. Je reprends ma descente. Je sens bien son barreau s’immiscer en moi. Je prends tout mon temps, allant en venant lentement. Ali essaie de se retenir pour ne pas me défoncer de toutes ses forces. Je le remercie de savoir patienter ainsi. Quand je suis complètement embroché, sentant sa touffe sur mon cul, je lui crie :
« -Vas-y, Aliou ! D éfonce moi !! »
C’est le signal qu’il attendait, chauffé à blanc. J’ai droit au grand jeu. Il me prend dans toutes les positions qu’il connait. A plat ventre sur le tapis, en levrette, la tête en bas…A un moment, il me colle même contre le mur, accroché à sa taille, comme on avait fait lors de notre première rencontre à la piscine. Il revient sur le lit et se colle à moi, sur le côté, ce qui lui permet de me branler en même temps. Il me laboure puissamment. Je le sais très très endurant. Je vais pouvoir en profiter au maximum. Cela dure ainsi un sacré bout de temps. A un moment, il veut me mettre sur le dos. J’en profite pour attr l’anneau vibrant – j’en ai acheté un autre- et je lui en file sur sa bite jusqu’en bas. Il a l’air surpris, mais agréablement. Je m’offre du mieux que je peux, posant l’arrière de mes pieds sur ses épaules. Il commence à se déchaîner. Son pilonnage se fait de plus en plus intense. A chaque fois qu’il me pénètre à fond, je sens la vibration de l’anneau sur ma rondelle. Ca me rend fou. Je sens son pieu brûlant me parcourir de plus en plus vite. Encore ! Vas-y ! Bourres-moi ! Il est totalement en sueur. Sa peau brille. Ses fesses, que j’ai empoignées, me glissent dans les mains. Il continue ses coups de bite, le regard fou. J’adore ces moments là, quand on ne s’appartient plus, totalement submergé par le plaisir.
« Ooooh ! Je vais jouir !!
-Oui, viens ! Remplis-moi ! »
Je le vois se raidir et se déverser, se déverser dans mon ventre. Avec le sperme, sa bite fait un bruit de succion et coulisse encore plus librement.
. Il s’effondre sur moi. Je le garde ainsi en moi, longtemps. Il comate un moment. Quand il émerge, il entreprend de me faire jouir, moi aussi. Il glisse vers ma tige et commence à me branler, à me malaxer les couilles de plus en plus frénétiquement. Je me sens venir. Il veut me garder en bouche jusqu’à la fin. J’éjacule. Il avale tout goulûment et me lèche proprement. On passe à la douche se laver un peu et on s’endort dans les bras l’un de l’autre. Après je ne sais combien de temps, je suis réveillé par la vibration de mon téléphone. ..SMS…C’est Paulo.
-Hello. To morrow, I’m in Roissy for 8 hours. You come ?
- Of course, I come ! But, I am with …a friend
- He is cute ?
-Wait ! »
Je découvre un peu Ali qui dort sous la couette et le prend en photo avec mon portable. Sa peau brune mate, ses dreads, ses pecs tranchent harmonieusement sur les draps verts. Trop chou ! Puis j’envoie aussitôt la photo à Paulo…
« -Come together !! At 14 pm ?
-To morrow ! Warm… »
Par jeu, je me mets à titiller les boules, le gland d’Ali…Ca gonfle ! Il fait mine de dormir encore ! Je le branle très lentement. Il émerge.
« Ali, tu es libre demain,
-Oui, pas de soucis
-Ca te dirait d’aller à Roissy ?
- ???
-Je t’explique. En fait, en ce moment j’ai un ami…il vient de me demander si je peux passer le voir demain à Roissy
« -Et tu veux que j’aille avec toi ? T’es sûr ?
-Ecoute, c’est Paulo lui-même qui l’a proposé
-Comment ça ? »
Du coup, je lui montre les textos et…sa photo. Il fait mine d’être choqué. Le reste de la nuit fut assez agité, avec des moments de récup quand même.
A huit heures, on se lève. A neuf heures, on se met en route. Le trajet ne m’a pas paru long du tout. Ali n’arrête pas de parler, me demandant des tas de trucs sur Paulo. Il a l’air de plus en plus excité à l’idée de le rencontrer. Pensez donc, un top model, c’est pas tous les jours… Pendant un long moment, il « s’allongera » pour se reposer, la tête sur mon entrejambes…Sentant son « oreiller » changer de volume, il a beaucoup de mal à trouver sa place ; il finit même par entrebâiller mon pantalon et me suçoter la tige à travers le slip, puis carrément à cru…
Arrivés sur la zone de Roissy, on n’a aucun mal à trouver le grand hôtel, de la chaîne américaine, que Paulo nous a indiqué.

« -Y s’emmerde pas, ton mec ! Me dit Ali en voyant l’hôtel
-T’inquiètes. C’est, soit la compagnie, soit c’est dans le contrat. »
A la réception, on demande le numéro de la chambre de Paulo.
« -Monsieur vous attend à la piscine de l’hôtel » Me répond le réceptionniste. Il appelle un groom pour nous guider jusque là.
« -Té ! C’est pas une mare à canards ! » me souffle Ali en découvrant le bassin d’au moins vingt mètres de long. Paulo ne nous a pas encore vu, il nage un crawl parfait et puissant ; il est seul dans le bassin. Le surveillant de bassin, un beau gars en mini short jaune citron –je jurerais qu’il est homo- a compris qu’on venait pour voir Paulo. Au bout d’une longueur, il lui tape sur l’épaule pour lui indiquer qu’on est là. Nous voyant, Paulo bondit, ruisselant, hors de l’eau et court vers nous.
« Wow ! Il est trop ! » s’étrangle Ali, estomaqué.
Paulo se jette littéralement sur moi, se colle et m’embrasse à pleine bouche. Puis, il donne l’accolade à Ali. Eh bien, comme ça le MNS est fixé !
« -You swim with me ?
-…Why not, but we have no swimsuits
-Don’t care ! I have. »
« - Qu’est ce qu’il dit ? » Me demande Ali dont l’anglais est très succint.
Il tire de son sac deux autres maillots identiques au sien – hipsters vert anglais, ceinture orangée-. Le MNS nous conduit aux cabines pour nous changer avec un clin d’œil complice. J’avais vu juste. On dirait une mini équipe de water polo ! On commence à enchaîner les longueurs. Ali est un très bon nageur et, très vite, il veut se mesurer à Paulo. Ils enquillent les longueurs, à toute vitesse. Après un certain temps, on passe à des jeux d’eau. On s’amuse à s’empoigner, à se faire couler. Ca noue très vite le contact avec Ali. Paulo a l’air d’apprécier le contact avec Ali qui, il faut bien le dire, est super attirant, lui aussi…
« -Il est super cool ton copain ! » Me glisse Ali.
Paulo nous entraîne alors vers le hammam. On prend une douche bien froide et on entre dans la pièce totalement embrumée de vapeur. Paulo enlève son maillot. On fait de même. On s’assied au fond, Paulo entre nous deux. On laisse nos corps transpirer. Du coin de l’œil, j’observe Ali qui, l’air de rien, détaille le superbe corps de Paulo. Négligemment, Paulo pose sa main sur l’intérieur de ma cuisse et fait pareil sur la cuisse d’Ali. Je vois la bite d’Ali prendre un certain volume. Les nôtres aussi, d’ailleurs…Je pose ma main sur la bite de Paulo puis je prends la main d’Ali et la promène sur le ventre de Paulo, lui indiquant ainsi que je suis d’accord avec ce qui va suivre. Ali est ravi, bien sûr On se caresse lentement. Nos tiges se dressent, se dressent…pleines de désir pour ce qui va suivre… On se rhabille, on ressort. A nouveau douche glacée puis on part se rhabiller pour gagner la chambre.
« -T’as raison, sans les poils, c’est vachement agréable à caresser ! » Me glisse Ali dans l’ascenseur
« - Je vois que t’as laissé repousser tout ça. Tu veux qu’on te rase à nouveau ?
-Ouais, je veux LUI faire plaisir. »
Paulo en profite pour m’embrasser à nouveau et glisse un bisou appuyé sur les lèvres d’Ali…
La chambre ? La suite plutôt ! Une entrée, une grande pièce, la chambre, la salle de bain, il y a même un beau balcon !
« -Have you take a meal ?
-Not really… »
Paulo appelle le room service et demande qu’on apporte quelque chose à manger. Entretemps, il a déjà débouché une demi-bouteille de champagne prise dans le petit frigo et rempli trois flûtes. On trinque à nos retrouvailles. Ali est ébloui par tout ce luxe mais il a l’air à l’aise quand même. Le room service arrive avec un super plateau. Il y a de tout. On commence à manger en discutant. Je traduis au fur et à mesure pour Ali qui me dit qu’il arrive à comprendre à peu près de quoi on parle. Puis vient le moment des cadeaux. Je crois deviner. Sous-vêtements, parfums, maillot de bain. Paulo nous invite à passer un des boxers. Comme on n’a déjà plus rien à cacher, on se dessape et on enfile le même hipster vert flashy, liseré bleu. Superbes ! Paulo en fait autant. Je fais part à Paulo de l’envie d’Ali d’être rasé comme nous.
« -Well ! Very well ! Come on ! »
Il nous entraîne tous les deux dans la grande douche à l’italienne. Il baisse le hipster d’Ali et prend ses ciseaux et son rasoir mécanique. A deux, on débroussaille son épaisse toison au ciseau. Ali, excité comme un pou de se faire tripoter ainsi a la bite complètement raide. On décide de tout lui enlever. Paulo a l’air subjugué par la très belle taille de la bite d’Ali. C’est vrai qu’il y a de quoi. En plus, dégagée ainsi, elle parait encore plus longue !!
« -Nice dick ! Very nice dick !! » Me souffle-t-il.
Ca fait une belle touffe de polis au sol de la douche. De temps en temps, j’en profite pour titiller le gland d’Ali, couvert de mouille. Paulo se permet lui aussi. Je vois que tout ceci a bien excité Paulo qui a le hipster tout déformé par sa queue qui bande ferme.
Il nous ramène vers le lit et nous allonge côte à côte, Ali et moi. Paulo commence à nous caresser ensembles, par petites touches appuyées. On lui tripote le hipster, en échange. Il nous léchouille tous les deux. Ali me prend la main et me la serre pour me faire comprendre son trouble. Paulo s’attarde sur nos slips, frottant son visage contre nos bites qui tendent le tissu. Ali caresse les cheveux de Paulo. Paulo se place alors tête bêche, nous offrant son bas ventre et plongeant sur nos slips. Il alterne rapidement, passant de l’un à l’autre, pour ne laisser personne sans stimulations. Il farfouille dans nos slips, suçotant nos glands du bout de ses lèvres…Ouuuiii !!! De notre côté, on ne reste pas en rade. On lui a baissé son hipster, Ali s’occupe de sa raie pendant que je lui suce les couilles et lui lèche le périnée. Il adore.
D’un seul coup, il me vient une idée bizarre. J’ai l’impression que Paulo s’occupe plus d’Ali que de moi…Pas normal. Peut-être, mais c’est quand même moi qui ait introduit le loup dans la bergerie !Oui, c’est sûr, il se passe quelque chose entre Ali et Paulo…Ali a l’air complètement sous le charme, comme je l’avais été moi-même et comme je le suis encore d’ailleurs. Comme n’importe qui qui croiserait Paulo….Du coup, je me demande pourquoi j’ai voulu ( ?) tout cela. J’en conclus que c’est parce que je voulais « faire cadeau » d’un beau gosse à Paulo…Je me dis aussi qu’il faut que je chasse ces idées là, sinon ça va plomber l’après midi.
Pendant que je ruminais tout ceci, Paulo avait collé nos deux bites l’une contre l’autre et les branlait doucement toutes les deux, en titillant nos glands de ses lèvres. Ali, en extase, en profite pour m’embrasser pleine bouche pendant que la bite de Paulo nous frotte les joues en cadence. Comme on se fait face avec Ali, Paulo en profite pour glisser sa bite entre nos deux visages, ce qui nous permet de le lécher chacun de notre côté….Finalement, il avait l’air de faire fifty fifty…Ca devait être des idées que je me faisais. Je le pris en bouche, enroulant ma langue autour de son gland, puis je la repassais à Ali qui fit pareil. Paulo nous tripotait les boules à pleines mains. Ali était rayonnant. Ses yeux étincelaient de désir, de plaisir. A nouveau, Paulo changea de position. Il s’allongea sur le dos et attendit, offert…Ali fila vers sa bite et moi je proposais la mienne à la bouche de Paulo. Tout ne me pompant délicieusement, Paulo plante ses yeux dans les miens et évalue ainsi l’effet de sa caresse. Son regard est brûlant….Je suis rassuré. Une de ses mains sur ma bite, l’autre dans les cheveux d’Ali, l’incitant sans doute à le pomper à fond. Je vois le ventre de Paulo se soulever en cadence et sa bite aller et venir en cadence dans la bouche d’Ali. Le rythme s’accélère, les mains de Paulo se crispent sur ma bite. Il ralentit. Il ne veut sans doute pas jouir trop vite. On échange encore une fois nos places. Paulo essaie de gober en totalité la bite d’Ali. C’est sans compter sans la taille impressionnante de sa queue. Du coup, Paulo fait ce qu’il peut, tout en s’offrant, arc bouté à ma fellation. Ali a basculé la tête en arrière, les yeux clos, tout à son plaisir. Du bout des doigts, je lui parcours la raie. Je reviens vers eux et incite Ali à se placer, jambes écartées, au dessus du visage de Paulo, lui offrant ainsi sa raie. Paulo ne se fait pas prier qui lui lèche copieusement la raie à grands coups de langue, puis lui titille le trou de sa langue pointue. Ali adore. Pendant un bon moment, il va ainsi le chauffer en lui bouffant la rondelle.
On décide alors de se placer en triangle afin que chacun puisse profiter de l’autre au maximum. Caresser et être caressé. Ali a entrepris la bite de Paulo – comme par hasard- qui s’occupe de la mienne pendant que je m’occupe de celle d’Ali. Trop cool les parties à trois ! Paulo est vraiment le roi de la pipe. A l’entendre gémir, j’ai l’impression qu’Ali n’est pas mal non plus…On en profite pour se doigter un peu en même temps. On déguste ainsi chacun notre friandise. C’est super agréable de sucer et d’être sucé en même temps. Pour ma part, j’essaie de faire une gorge profonde à Ali…Je frise l’ ! Bientôt, je sens Paulo qui abandonne ma bite et qui essaie de faufiler sa tête vers ma raie. J’écarte les jambes pour lui faciliter le passage. Il a empoigné mes globes et me les écarte au maximum. Il me lèche la raie. Trop bon ! Du coup, chacun quitte la bite pour le trou. Du bout de ma langue, je m’acharne sur la rondelle d’Ali qui se cambre, s’offre…Je lui passe un doigt plein de salive. On se dilate ainsi les uns les autres. On se passe le gel. Très vite, on est tous à deux doigts. Ca gémit de partout…
Maintenant, lui aussi voudrait bien subir nos assauts…par tous les bouts. On le met en levrette. Ali se charge de son trou et de sa bite. Je me charge de lui faire avaler la mienne. Je vois Ali faire progresser le gode dans le cul de Paulo. Une fois qu’il est passé, il place sa tête sous le ventre de Paulo, se met à lui sucer la bite tout en continuant à faire coulisser le gode. Paulo, excité, s’empare de ma bite et l’avale goulûment.. Le voilà comblé par tous les trous et tous les bouts. Paulo a toujours sucé divinement bien. Profites, Paulo, profites ! Régales toi ! Il se déchaîne sur ma bite mais pas au point de me faire jouir.

C’est encore Paulo qui prend l’initiative d’un changement de position. Il nous fait mettre, Ali et moi, en levrette, collés l’un à l’autre, jambes écartées.. Il s’éclipse un moment et revient vers nous avec deux superbes godes qu’il enduit copieusement de gel. Nos trous aussi, il les enduit. En même temps, il présente ses deux godes et commence ses poussées. le mien passe rapidement. Il commence à progresser lentement, les reculant de temps en temps pour mieux revenir encore plus profondément.. Ali me sourit, passe sn bras sur mes épaules et cherche ma bouche. Nos langues s’enroulent. Maintenant, Paulo fait coulisser ses deux godes dans nos deux trous, variant la vitesse, la profondeur, l’angle…Trop bon ! Il retire celui d’Ali et présente sa bite à la place. Rapidement, il est dedans. Je vois les yeux d’Ali, il est aux anges. Il le lime un peu puis lui remet le gode et vient vers moi pour le même traitement. Il va ainsi passer de l’un à l’autre, de nombreuses fois. C’est trop bon de sentir la chaleur de sa bite me labourer puissamment. Vu la cadence de ses coups de reins, j’ai l’impression qu’il a décidé de jouir ainsi. Alors, il va nous pilonner, alternativement, de plus en plus furieusement, changeant de trou de plus en plus vite, ne prenant plus la peine d’y laisser le gode. On entend nettement ses couilles claquer sur nos fesses à chacun de ses coups de bite. On l’entend perdre sa respiration. Il est maintenant tout à fait déchaîné. Il pousse un long cri et commence à jouir dans le ventre d’Ali, se retire très vite et finit d’inonder le mien…Il retombe. On le cajole tous les deux, essuyant sa sueur avec les draps. Quel pied il a pris !
A notre tour, maintenant, à Ali et à moi. On profite de nos trous bien dilatés et bien lubrifiés par le sperme de Paulo, pour se prendre à tour de rôle, l’un l’autre, changeant rapidement de position. Increvable, Paulo a déjà saisi son appareil photo et nous mitraille sous tous les angles. Je jouis le premier dans le ventre d’Ali. Très vite, je lui offre à nouveau mon trou pour qu’il se finisse, en sachant qu’Ali est très endurant. Tant mieux pour moi. Je vois Paulo se glisser partout pour essayer de saisir des photos en gros plans, sous les angles les plus abracadabrants. Ali me pilonne à mort. Paulo accompagne de ses mains le mouvement de ses fesses comme pour l’encourager. Ali jouit, jouit, jouit. On se retombe dessus les uns les autres, rassasiés – pour le moment -. On file à la douche, on se lave rapidement et on file récupérer un peu dans le lit. On s’endort, collés les uns aux autres.
Combien de temps est-on resté ainsi assoupis ? Je ne sais pas. Par contre, ce qui m’a tiré de ma léthargie, c’est sûrement le léger mouvement que je sentais à côté de moi. J’ouvre un demi-œil et vois le torse d’Ali qui bouge lentement en cadence. Je comprends aussitôt qu’il est entrain de bourrer Paulo…Ca me fait quelque chose au creux du ventre mais, après tout, je l’ai amené pour ça, non ? Visiblement, ils essaient de ne pas me réveiller. Je ne bouge pas, voulant savoir où ça va aller. Je devine la main d’Ali qui branle doucement Paulo en même temps qu’il le pénètre. Ca doit être top de faire ça tout doucement, presqu’en cachette. Doucement, Paulo s’est dégagé, s’est levé entraînant Ali avec lui vers la salle de bain. Heureusement, ils n’ont pas fermé entièrement la porte. Par contre, ils ont allumé car il commence à faire sombre. Je m’approche doucement et les voit tous les deux, collés l’un à l’autre, entrain de se dévorer la bouche, tout en se massant les fesses. Ca me fait quelque chose mais ça me fait aussi bander de les voir ainsi…Paulo s’est agenouillé et frotte son visage d’ange contre la bite d’Ali qui s’appuie sur le lavabo, jambes écartées, tête basculée en arrière. Ali va pouvoir savourer tout le savoir faire de Paulo sur la question, et dieu sait qu’il est grand. Ca m’excite grave de les voir ainsi et je me demande déjà à quel moment, et comment, je vais entrer dans le jeu…J’ai trouvé ! Je vais me faire passer pour le garçon d’étage et crier « Room service ! » en tapant à la porte de la salle d’eau…Mais, pas encore…Paulo a empoigné à deux mains la bite d’Ali et il en reste encore assez pour se remplir la bouche. Ali ondule, bouche grande ouverte. Paulo se retire et le branle assez vite, sans le faire jouir. Puis il le reprend en bouche et le repompe consciencieusement. Ali a l’air d’adorer. Au bout d’un long moment, Ali relève doucement Paulo, l’embrasse et le met en appui sur le lavabo, jambes écartées. Paulo se laisse faire. Sa bite, complètement raide, prouve son excitation. Ali s’enduit et vient le coller par l’arrière. Il se frotte contre lui dans sa raie, sur sa chute de reins. Paulo en redemande. Ali cherche son trou. Ils se voient tous les deux dans le grand miroir qui surplombe le lavabo. Je suis sûr que ça les excite encore plus de se voir ainsi ! Ali donne de petits coups de reins et s’arrête. Je devine ainsi que son gland est passé. Paulo a empoigné la bite d’Ali et voudrait, apparemment, quelque chose de plus violent. Ali ne se fait pas prier. En deux coups de reins, il est entré. Paulo a empoigné le cul d’Ali et le maintient contre lui. Ali se retire et le défonce brutalement, d’un seul coup. Paulo a un soubresaut mais, de la tête, il lui indique que c’est ça qu’il veut. Ali y va carrément. Paulo est tout secoué mais son visage commence à rayonner, en proie à un plaisir qui monte. Je les laisse encore un peu, puis je me décide.
« -Room service ! »
Ils se figent instantanément, éberlués. J’entre alors, la queue en érection, en rigolant.
« -Ne vous dérangez pas pour moi, je cherche un truc… » en faisant mine de farfouiller dans l’armoire à pharmacie. Ali ne sait plus trop quoi. Alors je lui empoigne ses fesses et le pousse vers Paulo.
« -Come on ! The show must go on ! » Rassuré, il reprend son pilonnage. Moi aussi, j’ai envie de m’occuper de Paulo. Alors, je l’écarte un peu du lavabo et je me mets à genoux devant sa bite…Il me lance
« -Obrigado, my dear ! After, I want to fuck you in the bath…OK ?
-Oh yessss ! »
Je me relève donc et vais faire couler de l’eau bien chaude dans la baignoire avec du bain moussant. Puis je retourne vers la bite de Paulo. Sous les coups de reins d’Ali, elle coulisse toute seule dans ma bouche. Paulo est radieux. Je lève les yeux vers lui. Il m’encourage du regard. Finalement, sa pause de huit heures à Roissy n’aura pas été de tout repos…Bah, il dormira dans l’avion. Pendant un bon moment, je m’active ainsi sur la tige de Paulo qui se fit pistonner par Ali. A un moment, je lui écarte encore un peu plus les jambes, passe mon bras sous ses couilles et att celles d’Ali. De mon autre main, j’empoigne celles de Paulo. Je joue avec elles. Elles me remplissent largement les mains. Ali rugit et jouit dans le ventre de Paulo.
Je me relève et me glisse dans le bain chaud, attendant la venue de Paulo qui me rejoint pendant qu’Ali file sous la douche. Ca commence par une belle bagarre de mousse – entre gamins, qu’on est encore un peu-. On va même entartrer copieusement Ali de mousse. Très vite, ça devient beaucoup plus tendre dans la baignoire. Paulo m’attire à lui. Je m’installe, dos à lui, entre ses jambes écartées. Il me savonne, me rince, me caresse…je sens très bien, dans le bas de mon dos, sa tige dressée qui se frotte contre ma raie… Il s’amuse à me mettre de la mousse partout, dans les cheveux, sur le visage, le torse puis à l’enlever en me caressant. Il me serre dans ses bras, me caresse l’intérieur des cuisses sous l’eau. Ali a fini sa douche et il est passé dans la chambre, pour récupérer sans doute. Bientôt Paulo me soulève sous les cuisses et vient me poser sur son gland dressé. Il me fait rebondir dessus, un peu comme un ludion. L’eau chaude facilite la dilatation et je sens rapidement son gland qui passe. Le reste suivra bientôt. Commence alors une longue séance de limage. Parfois, c’est moi qui impulse le va et vient, parfois c’est lui qui me pistonne. Ali est réapparu avec…l’appareil photo de Paulo. Il lui demande s’il peut shooter. Paulo accepte. J’adore quand Paulo m’empoigne sur les côtés et me fait aller et venir sur son dard. Trop bon ! Puis Paulo me reprend de face. Je pose mes pieds sur les rebords de la baignoire. Je l’attends. Il vient lentement. Je le sens venir en moi. Viens mon Paulo, viens ! Ali s’en donne à cœur joie. Je le vois qui zoome sur les fesses de Paulo qui ressortent par intermittence de la mousse. Trop beau ! Tout ça est trop trop bon. L’hôtel, Paulo, Ali…Paulo se vautre sur moi en de lents allers et retours qui me font sentir sa bite au plus profond de moi. L’eau chaude nous enveloppe de sa douce caresse. Ma bite frotte contre le ventre de Paulo qui s’agite en cadence. L’eau se met à clapoter de plus en plus…Ali fige mon visage aux anges et le corps de Paulo, chocolat clair, qui émerge par endroits de la mousse. Paulo a accéléré. Je pose mes pieds sur ses épaules. Vas-y mon Paulo Prends ton pied, un max ! Je sens sa bite aller et venir dans mon fourreau. Avec l’eau chaude, c’est encore plus doux….Paulo a encore accéléré. Il me trombone à tout va. Il a agrippé mes épaules, me tirant à fond vers lui quand il me défonce. Ali mitraille à tout va. J’adore ces moments qui précèdent l’explosion. Dans un souffle, Paulo explose, giclant tout son foutre. C’est bon, c’est chaud. Je le laisse redescendre en le caressant doucement.
On file à la douche et on part récupérer un peu. Paulo a son avion à 21 heures. On met l’alarme à 20h, au cas où. On sombre. Un peu avant 20h, j’émerge. On se prépare et on file à l’aéroport. Paulo nous dit qu’on peut garder la chambre jusqu’au lendemain12h. Il a arrangé ça avec la réception.
En rentrant à l’hôtel, on file sur la terrasse de la suite et on regarde un bon moment les avions décoller et atterrir. L’un d’eux emporte Paulo….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!