Ma Vieille Bonne (Suite)

Ma vieille bonne (suite)

Depuis, tous les vendredis après-midi, c'est l'orgie. Dès qu'elle arrive, elle m'embrasse, comme je lui ai appris à le faire.. Elle sait, à présent, se servir de sa langue pendant que ses mains, au début si malhabiles, se collent sur mon entrejambes. Vierge, à son âge, son pucelage ne m'avait pas longtemps résisté. Putain, quelle salope ai-je réveillé ? Devant un tel engouement, je ne reste pas longtemps sans réaction. Dans mon slip, ma queue se tend, se déploie, se raidit, et cherche sa verticalité, gênée dans son mouvement par mon étroit blue-jean. Je la prends dans mes bras, l'embrasse follement, la bouche, le cou, et lui glisse dans l'oreille toutes les bonnes choses que je souhaite faire avec elle, avec son corps, son cul. Il faut que je la baise.

Vendredi dernier, je lui ai demandé d'aller se déshabiller dans la chambre, et de revenir au salon, vêtue de son seul petit tablier, celui qu'une ceinture de tissus ferme dans son dos. Comme je vous l'ai déjà dit, si ses seins son tombants, ce qui semble normal à près de soixante ans, ses fesses, par contre sont encore bien rebondies. Aussi, quel plaisir de la voir passer l'aspirateur, penchée en avant, le tablier entrouvert, laissant apparaître la raie de son cul. Quand elle se penche bien, on peut même voir les poils de sa toison intime, dépasser, sous sa raie, entre ses deux cuisses. Il faut que d'autres que moi puissent contempler ce spectacle... Mais, plus très jeune, comme je vous l'ai dit, qui acceptera de la baiser devant moi ? Telle était la question que je me posais vendredi dernier.

Hier, une idée me vint. Je lui téléphone et lui donne rendez-vous, à vingt deux heures, à l'arrêt d'autobus, non loin de chez elle. Je lui dis de bien se laver, de se parfumer et de mettre ses sous-vêtements les plus affriolants. Malgré cette dernière invitation, je sais que, faute de mieux, elle mettra son bon petit slip en coton blanc.

.. mais enfin !

Pile à l'heure, je la fais monter dans ma voiture et, sans lui en dire plus, je la conduis à la maison du sexe, sexe-shop de notre ville, à la chaude réputation. Elle n'ose pas descendre de voiture, c'est une première pour elle et si on la voyait ! Pourtant, je glisse une main sous sa jupe, là, au-dessus des bas, son minou est déjà tout humide. Elle a envie, la salope.

Je sors de la voiture, personne dans la ruelle. J'ouvre sa portière, la prends par la main et l'invite à me suivre. Une brève étreinte, un profond bisou, la voilà un peu plus courageuse.

J'ouvre la porte de la maison du sexe. Elle me suit. Près de l'entrée, derrière son comptoir, un mec nous accueille. La quarantaine, costaud, peigné en brosse. L'homme idéal. Celui de mes fantasmes.. "Vas regarder ce qui te ferait plaisir. Pendant que je parle avec le gérant du magasin. Tu trouveras un tas de bonnes et belles choses pour te satisfaire." En rougissant, sous le clin d'oeil du commerçant, elle s'éloigne.

"Dîtes, cher Monsieur, mon fantasme serait de voir mon amie se faire baiser par un vrai mec". Devant son peu d'empressement à me répondre je lui propose 100 euros s'il arrive à la baiser et 200 s'il l'encule, là, devant moi. A l'annonce de la récompense son sourire s’élargit. "Minute, je ferme la boutique".

Je m'approche de Marie-Thérèse. Elle semble très attirée par des godes, certains
énormes, exposés dans une vitrine. "Vous voudriez les voir de plus près ? Je m'appelle Jacques, demandez moi ce que vous voulez" Ce n'est pas possible, je vois la main de Jacques qui se pose sur la hanche de Marie-Thérèse. Une main velue à souhait qui ne tarde pas à descendre sur ses fesses. Un frémissement de tout son corps, bien à côté de moi, trahit l'inquiétude de ma petite putain. "Tu ne crains rien, Marie-Thérèse, Jacques veut juste être gentil, très gentil avec toi." Après s'être raidi, son corps semble se décontracte. Je me suis un peu écarté.
Jacques s'est rapproché. Derrière elle, pendant que Marie-Thérèse regarde fixement les godes et autres boules de geishas, sans doute sans les voir, Jacques la prend par les hanches et colle son ventre contre ses fesses en se balançant, lentement,
d'avant en arrière. Il doit bander, c'est sûr !

Il l'embrasse dans le cou. Lui murmure quelque chose à l'oreille. Elle rougit. Les mains de Jacques entourent sa taille, se posent, à présent, sur son ventre. Ses doigts se crispent sur la jupe, la plisse et la font remonter. Je vois paraître les genoux, la limite des bas, les pinces de son porte jarretelles, sa culotte de coton blanc. Pendant qu'il lui mordille une oreille, ses deux mains écartent la ceinture élastique du slip et s'enfoncent vers sa chapelle intime.

Je n'ai jamais bandé autant.

A présent, ils s'embrassent à bouche-que-veux-tu. La jupe de Marie-Thérèse est restée relevée sur ses hanches. Placé comme je le suis, derrière elle, je baisse sa culotte et lui doigte le cul. Le jus de sa chatte me sert de lubrifiant.

"Et moi, tu m'oublies ? Tourne-toi, et suce moi". Elle le fait. Je lui demande de ne pas plier les genoux, mais de se positionner, face à moi, jambes bien droites, buste à 90 degrés. Offrant ainsi ses fesses à Jacques. Celui-ci ouvre son pantalon, baisse son boxer. Sa queue est telle que je me l'imaginais, grosse, plus longue que la mienne. Ses couilles sont énormes et doivent contenir une réserve impressionnante de foutre. Tout ça pour elle.

Il crache dans ses mains, lubrifie sa queue, passe la main entre les cuisses de Marie-Thérèse, sans doute pour vérifier que tout est prêt

Elle me suce. Mes mains derrière sa tête donnent la cadence. Je vois Jacques se frayer un chemin vers l'intimité de notre complice. Sa queue la pénètre. Elle grogne, le ventre de Jacques est, à présent, collé à ses fesses. Il sort, il entre, il la pénètre de plus en plus vite. Par contre coup, ma queue s'enfonce encore plus dans sa bouche.
Elle crie presque. Le plaisir monte, ses jambes semblent se dérober sous elle. Jacques lui claque les fesses. Il me fait signe : c'est super ! Par gestes, je lui fais comprendre qu'il doit, à présent l'enculer.

Il sort d'elle, se baisse à la hauteur des fesses. Lui écarte le cul. En approche son nez et ses lèvres. Sa langue doit s'amuser avec sa rosette. Dommage, je ne vois pas grand chose. Il s'écarte, introduit délicatement son majeur, va et vient plusieurs fois. Insère un autre doigt. Contrairement à ce que je pensais, si son cul doit être vierge de bitte il ne doit pas l'être d'objets familiers ou de certains légumes. En effet, elle accepte la caresse.

Jacques se relève, prend son énorme bitte, de ses deux mains écarte les fesses et se
présente bien comme il faut. Le salaud, il va l'enculer. Je tiens bien Marie-Thérèse, qui ne voit rien de ce qui se prépare. Ma bitte l'étouffe presque. Il entre, elle crie. Il s'enfonce, elle s'accroche à moi. Elle ne fuit pas, bien au contraire.

Jacques semble au bord de l'extase. Je suis comme lui, et elle comme nous Il crache en elle de longues giclées. Je fais comme lui. Je n'en peux plus. Que c'était bon.

Nous nous rhabillons. Du sperme coule du bord de ses lèvres. Il doit en être de même entre ses jambes.

Je paie le commerçant et nous nous enfuyons..

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