Ma Vie Sexuelle ( Suite 2)

Après mes études, je trouve finalement une place bien rémunérée, intéressante sur le plan intellectuel. Je suis malheureusement nommée loin de chez moi. Tant pis, mes moyens financiers me permettent d'avoir un bel appartement dans un immeuble neuf, avec peu de locataire. Je peux me payer facilement des fantaisies. Toujours portée sur la masturbation plus que jamais, j'achète sur Internet les jouets qui sont faits pour donner du plaisir aux femmes: un niveau godemiché, celui qui permet de se titiller le point G, l'ensemble de mon vagin, le clitoris et l'anus. J'ai pris aussi un plug que finalement je n'utilise presque jamais et des boules de geisha que je mets toujours le matin avant d'aller travailler. C'est de loin cet objet qui me donne le plus de jouissance. J'ai même un itinéraire que j'emprunte pour me soulager: ses satanées boules me donne tellement envie de jouir, que j'entre dans un bistrot commander un café, simplement pour aller aux toilettes me branler.
C'est dans ce bistrot que je rencontre un homme à peine plus âgé que moi qui me plait. Il me semble beau avec ses grands yeux bleus dans un visage encadré par une abondante chevelure sombre. A force de nous voir, nous commençons à nous connaître. Je lui plait aussi, c'est certain puisque enfin il m'invite à partager son petit déjeuner. Au début nos conversations étaient basiques. Ensuite nous parlions de nos emploies. Finalement nous arrivions aux questions plus intime: il est célibataire moi aussi. Il est nouveau dans la ville, moi aussi. Il vit seul, moi aussi.
Un matin, j'allais le quitter quand il me retiens, s'approche de moi et m'embrasse simplement sur la bouche. Le lendemain le baiser arrive, cette fois un baiser normal, un baiser entre un homme et une femme. Sa langue trouve la mienne. Je trouve ce baiser merveilleux. Le lendemain il m'invite pour déjeuner. J'accepte évidemment, fière d'enfin avec un homme. Il a réservé une table isolée en fond de salle.

Nous nous asseyons côte à côte. Le maître d'hôtel me présente un menu où il n'y a pas de prix, signe de politesse de mon hôte.
Nous déjeunons tranquillement quand, à la fin du repas, il m'embrasse encore à fond. Il pose une main sur mon genou. J'avais envie de ça depuis longtemps. Il caresse ma jambe en remontant à l'intérieur de mes cuisses. Comme personne ne peut nous voir, j'écarte les jambes, le laisse arriver à mon string. Il passe un doigt à l'intérieur: cherche un peu pour trouver mon bouton. Il m'embrasse à ce moment là. Je me laisse branler. Il me fait jouir trop vite. Je lui demande "encore", il recommence. Je sais qu'il doit bander: je cherche sa queue à travers son pantalon. Bien sur qu'il bande. J'arrive à lui sortir son engin, un véritable engin; plus gros et grand que ceux que j'ai connu jusqu'à présent, même si tout compte fait je n'en ai connu que deux autres. Je le branle comme il me fait, en plus vite quand même. Je le fais jouir.
Il prend la serviette pour essuyer son sperme. Il remballe sa bite, m'embrasse et me propose de faire l'amour. Je joue la mijaurée, je ne dis ni oui, ni non, peut être, alors que j'ai envie de lui. Nous nous voyons encore tous le matins, il insiste pour que je devienne sa maîtresse. Je dis oui, au bout d'une quinzaine de jours.
Le soir nous sommes chez lui. S'il m'embrasse, ce n'est qu'un tout petit hors d'œuvre. Il m'a pris totalement dans ses bras. Je me serre contre lui. Il ne le sait pas encore: je suis excitée depuis que nous bavardons, alors maintenant, c'est bien pire. Je me sens toute mouillée. Il soulève ma jupe, pour caresser encore une fois mon clitoris. Je me laisse faire, je sors sa bite du pantalon, je la branle à peine. Maintenant qu'entre nous deux c'est la baise qui arrive, je ne veux surtout pas gâcher son plaisir, j'aimerai le suce avant tout pour goûter et sa bite et son sperme.
Il me déshabille lentement me faisant attendre avec impatience la suite. Je suis enfin nue: il me toise de bas en haut et de haut en bas: il siffle: beau morceau.
Ce n'est pas très poétique, ça fait quand même plaisir à entendre. Je lui défait sa chemise, pose ma tête sur son sein, passe ma main dans le pantalon. Je lui reprends la bite, sans la branler. Il se défait de ses vêtements. A mon tour j'aurai pu siffler si j'étais comme lui: j'admire sa grosse queue que je serre entre mes doigts.
Il m'entraîne dans la chambre.
- Tu sais ce que je vais te faire ?
- Je m'en doute, je peux moi aussi te faire des……….
- Me faire des quoi ?
- Je te rendrai ce que tu me fera, tu ne t'en plaindra pas.
- Attends de supporter mes s.
- Oui, moi.
J'attends ce qu'il appelle avec impatience. Je n'ai pas trop à patienter. Il me fait coucher au bord du lit, les jambes pendantes. J'écarte les cuisses, je sens son haleine entre mes jambes quand il y pose sa tête. Sa langue me lèche tout, le long de son chemin. Enfin j'en sens le bout pointu sur mon anus. Il commence bien: j'adore cette privauté. Il me lèche le cul tout au tour, me rentre un maximum de langue à l'intérieur. Je resserre mes jambes contre sa tête: il devient mon prisonnier, pas longtemps, juste le temps de jouir. Il passe en revue toute ma féminité, des lèvres au vagin pour arriver sur mon bouton. Je ne sais pas trop comment il s'arrange: je jouis plusieurs fois. Il cesse entre chaque orgasme. Pour moi, il devient un amant extra.
Pourtant j'ai toujours envie de lui. J'ai envie de son sexe en moi. Quand nous sommes couchés enfin, je ne lui demande rien: je veux le sucer. Je me tourne, prend sa pine entre mes lèvres, le décalotte comme j'aime faire avec mes lèvres, passe ma langue tout autour de son gland, avale la moitié de son véritable gourdin. Je vais des aller et venue. Je l'entend me dire de continuer: il faut dire que je sais bien sucer les hommes, alors je lui fait profiter de mon expérience. Arrive pour moi le moment tant attendu: il jouit. Je reçois une grande giclée de sperme, une quantité que je ne pensais pas possible.
Je l'avale en plusieurs fois.
Je reviens vers lui, l'embrasse, malgré le sperme que j'ai encore sur la langue. Je ne sais s'il est satisfait de son sperme, en tout cas, embrassé comme il est, il ne peut rien dire. Je touche sa bite qui n'a pas débandée. Il pend son rôle d'homme au sérieux: il me fait écarter les jambes, s'y met entre elles, sans demander d'aide, il rentre sa queue dans ma vulve. Sa grosseur m'inquiète au début. Quand il me la met totalement en moi, je sens un plaisir insolite. Je jouis dès qu'il est au fond de mon con. Il continu par ses vas et viens. Je jouis encore plusieurs fois. Il va me rendre totalement dépendante de lui comme d'une drogue. J'accompagne ses mouvements. Je pense que lui aussi va jouir. Il avoue à ce moment là qu'il peut tenir très longtemps en jouissant, tout en continuant à bander. Quand il en a envie, enfin il me met sur le ventre: il va venir m'enculer. Il me prépare à la sodomie en me léchant le cul, m'y mettant un, puis au fur et à mesure quatre doigts. Quand il juge qu'il m'a agrandi assez l'entrée, il me met en levrette. Je me trouve à quatre pattes sur son lit. Je baisse la tête dans l'oreiller. Il me met enfin le bout de sa bute sur mon cul. Il force un peu pour y rentrer: c'est normal, j'ai le cul un peu étroit et sa bite est gros modèle. Il me fait à peine mal en passant. Par contre quand il est au fond de mes boyaux je recommence à jouir. J'aime avoir cette bite dans mon cul. Je le sens jouir. Il sort de moi juste au moment où j'ai un orgasme. Il s'écroule sur moi, totalement hors service.
Je ne lui en veux pas: il m'a faite jouir comme rarement
Nous restons amants plusieurs mois. Jusqu'au moment où il arrive avec un gros bouquet de fleurs
- Veux-tu m'épouser ?
- Pourquoi pas ?
Je ne sais si je l'aime assez, en tout cas, plutôt que de rester célibataire et en plus pour ne pas perdre sa queue, Je me dois de rester avec lui.
Notre nuit de noce est formidable, c'est à qui inventera le plus de positions possible.
Il profite du fait que j'ai porté avec moi mes jouets pour me la mettre au cul et de ma baiser avec le gode en même temps. A mou tour d'être cinglée: quand il me baise, je l'encule également: il aime bien que je le lui fasse.
Je devient une adepte de l'exhibition: je ne porte sur moi qu'un courte jupette, laissant mes fesses et le reste en vue. Je lui demande de me branler devant tout le monde; j'en jouis encore plus. Il m'arrive de lui sortir sa queue et devant les autres de la sucer. Lui aussi doit aimer: il jouit très vite quand des gens nous voient. Là où j'ai le plus jouis, ainsi que lui, c'était quand sous prétexte de me soutenir, il était derrière moi, sa pine dans mon cul, une de mes mains sur mon clitoris. Nous faisions durer ce plaisir sans doute une bonne demi heure sans que personne ne nous dise quelque chose, alors que beaucoup nous regardaient nous aimer devant eux.
Notre sexualité devenait débridée. Je ne le regrette pas

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