Mon Mec M'Envoie Des Remplaçants

J’ai un jeu avec mon mec. On se donne rendez-vous dans des chambres d’hôtel. Des fois je fais semblant d’être une pute qui monte avec son client et là je fais tout ce que me demande Patrick, je m’habille avec de la lingerie de sex-shop et en plus il me paye. Après on se fait des petits restaurants avec l’argent ou bien je m’achète des fringues sexy mais ça, c’est une autre histoire. Bref, ce jour-là j’ai rendez-vous avec Patrick. Le jeu, c’est la call-girl. Hôtel trois étoiles, moi avec mon manteau de fourrure et rien que de la lingerie noire en dessous. Je frappe à la porte de la chambre. Là, le choc ! C’était un autre type ! Je pense que je me suis trompée. Le type me demande si je suis bien Cathy et là, je comprends que Patrick m’a fait un coup de vache ! Le mec n’est pas mal, dans les trente-cinq ans, chic avec un costume gris. Ça commence à me faire mouiller. Je fais comme si j’étais vraiment une pute. Je laisse tomber mon manteau et j’apparais à poil sauf pour mes bas et mon porte-jarretelles. Le type me dit de me mettre à genoux. Je lui défais sa braguette et je sors une queue assez grosse, à moitié bandée, que je me fourre dans la bouche. Le type m’a agrippé les cheveux et il me pousse la tête contre sa queue tellement fort que j’étouffe, mais je suce de mon mieux en faisant tourner ma langue autour de la tige. Je pense un moment qu’il va me gicler sur les amygdales mais il me repousse et m’ordonne d’aller me mettre sur le lit.
- Écarte les jambes. Branle-toi.
Je ne me le fais pas dire deux fois et j’ouvre ma fente au maximum avec mes doigts. Avec l’autre main, j’astique mon bouton. Le type s’est assis sur le bord du lit, toujours habillé, et il avance sa figure sur ma cramouille. Pendant ce temps-là il se fait reluire.
- T’aurais envie que je te bouffe la moule ?
- Oui, Oui.
- Tu peux toujours attendre...
Là, je manque lui foutre une baffe, mais je joue le jeu de la pute.
- Qu’est-ce que vous voulez que je fasse maintenant ?
- A quatre pattes sur le lit !
Je m’installe, les fesses en l’air.

J’ai peur qu’il me défonce le fion et en même temps j’ai la pastille qui commence à me démanger. J’ai la fendouille qui bave, ça coule jusque sur mes cuisses. Le type se lève. Je me retourne pour voir ce qu’il fait.
- Regarde pas !
Je me fourre la tête dans l’oreiller, j’attends. Un bruit d’emballage, puis une main qui me fourre du lubrifiant dans le trou du cul... Je le sens qui me graisse le fion avec un, deux, trois doigts, puis son gland s’appuie dessus. Je suis tellement excitée qu’il rentre presque tout de suite jusqu’aux couilles. Je me dis « tu es en train de te faire touiller les boyaux par un mec que tu ne connais même pas, t’es folle » et ça m’excite tellement que je n’ai pas besoin de me branler, je gueule comme une truie. Il me bourre comme un dingue en m’écrasant les nibards. Je sens que je vais jouir, ça y est ! Lui, il me lime encore, de plus en plus vite, puis j’entends un râle... je suis encore dans les pommes et je le vois qui retire sa capote, va la jeter dans une corbeille des chiottes et remonte son zip sans me dire un mot. C’est seulement après son départ que je remarque les billets sur la table de nuit. Puis le téléphone sonne ; c’est Patrick, il est dans la chambre d’à côté, il a tout entendu, il vient. Je ne vous raconte pas ce qu’il m’a mis cette fois là.

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