La Remplaçante Mon Premier Amour. (1)

La remplaçante mon premier amour. (1)

Ceci est une histoire et toute ressemblance avec des personnes ou des événements est totalement fortuit.
Je dis que c'est une histoire, mais c'est plutôt un fantasme que j'ai eu quand notre prof de physique dût être remplacée suite à sa grossesse.

Le lundi matin, ce que nous attendions depuis longtemps nous est confirmé, Mme Froment, notre prof d'histoire commence son congé de maternité et elle sera remplacée par Mlle Cyka. Elle nous donnera cour jusqu'à fin de l'année.
Mme la directrice invite la remplaçante à entrer. Elle la présente et nous averti qu'elle n'acceptera de nous qu'une attitude correcte et respectueuse. Il faut dire que c'est une classe d'adolescents de 17 à 20 ans. Et tous savent que les sanctions risques d'être sérieuses en cas de plainte de la remplaçante.
La porte s'ouvre et tous les mecs reste sans voix, elle est superbe. Une jolie blonde d'environ 25 ans vient de faire son apparition. Au premier rang un garçon reçoit même un coup de coude de sa copine.
« Ferme la bouche tu vas avaler des mouches ! » Lui dit-elle fâchée.
Il faut avouer qu'en plus de sa beauté naturelle, elle porte une petite robe d'été dont le tissu léger est soulevé par un courant d'air. Ses jambes son élancées, elles semblent interminables. Sa robe cintrée à la taille accentue ses hanches et met en valeur ses belles petites fesses. Le haut est tout aussi provocateur, son largue décolleté laisse apparaître le galbe de ses seins. Elle doit porter un redresse-seins, car ils sont, semble-t-il pressé, mais ce n'est pas un soutien normal puisque l'on peut deviner ses tétons à travers le fin tissu. Cette tenue laisse une grande part à l'imagination des garçons et dans le même temps les filles bouillonnent de jalousie.
Le cour se déroule toutefois dans le calme, les menaces de la directrice étant dans l'esprit de chacun. Si ce n'est Marc et Pierre, les deux irréductibles chahuteurs de la classe.

Ils n'arrêtent pas de poser des questions, mais pas concernant les cours.
« Mlle on n'a pas vu si vous portier une culotte ! »
« Mlle, c'est une culotte ou un string ? »
« Mlle, pourriez-vous pencher, mon copain et moi on aimerait voir votre cul ? »
C'en est trop, elle demande leur journal de communication dans l'intention d'y noter un blâme. Mais, ils sont sans gênes et à la limite d’obscénité et continue de plus belle. C'est pourquoi, lorsque la fin des cours sonne, Mlle Cyka les intercepte et leur demande de rester quelques instants. Les autres élevés sortis, elle leur fait la leçon.
« Vous risquez de gros ennuis si je vais rapporter votre attitude à la directrice. Est-ce que c'est ce que vous voulez ? »
Ils ne répondent pas.
« Je ne vais pas faire mention de ce qui c'est passé aujourd'hui, mais je ne veux plus que cela se reproduise. »
Elle dit cela avec un ton qu'elle croit sévère, mais c'est loin d'être le cas. Au contraire, Pierre relève la tête et lui dit :
« Cela ne se reproduira plus si vous répondez à nos questions ! »
« Comment ça ? »
« Oui, portez-vous une culotte ou un string, mais avez-vous quelque chose sous votre robe ? »
« C'en est trop ! »
Elle prend son journal et y note une retenue ainsi qu'un passage chez la directrice pour s'expliquer sur ces propos. Ensuite, elle le congédie, mais demande à Marc de rester encore quelques instants. Elle regarde Pierre sortir en marmonnant. Il sait qu'il va avoir de sérieux problèmes, alors autant ne pas en rajouter.
Elle se tourne vers Marc.
« Et toi, tu n'as rien à dire ? Ou tu veux aussi une convocation chez la directrice ? »
« Non Mlle, je m'excuse ! »
« Et c'est tout ? Tu t'excuses ! »
« Mlle, je suis désolé. Mais, excusez-moi de ma franchise, j'ai dis ces choses parce que je vous trouve attirante. Et je voulais attirer votre attention. »
« Eh bien, pour et tirer mon attention, tu peux dire que tu as réussi.
Mais crois-tu sincèrement que c'est des compliments pour une femme ? Crois-tu qu'une fille vas sortir avec toi si tu la traites comme une salope ? »
Les yeux baissés, Marc resta muet. Elle passe sa main sous son menton et lui relève la tête pour le regarder dans les yeux et dit :
« C'est bon pour cette fois, mais ne recommence plus et même, je veux que tu sois exemplaire à mon cour. On, c'est bien compris !? »
« Oui Mlle... »
Elle le laisse partir non sans remarquer que son pantalon est déformé à son entre jambe. Lorsqu'il à refermé la porte la laissant seule, elle glisse sa main sous sa robe. Elle est trempée, cette conversation l'a excitée. Elle a été traitée comme une salope par ces deux élèves et cela lui a plût. Elle a aussi aimé quand elle avait fait preuve d'autorité. Ils avaient été à sa merci et c'est là qu'elle avait commencé à mouiller son string.
Et ce Marc, il avait 20 ans et était plutôt beau mec. Il avait le physique d'un jeune 25 ans son âge à elle. En plus, à ce qu'elle avait vu, il était plutôt bien monté. Elle ne s'en était pas rendu compte, mais rien que de penser à tout cela, elle avait glissé sa main sous son string et elle se caressait le clito. Ce n'est que quand on frappa à la porte qu'elle sorti de ces pensées, rajusta ses vêtements et fit entrer la classe suivante.
Bien qu'il la croisa dans les couloirs à plusieurs reprises et se retourna sur elle à chaque fois, Marc se fit discret les mois suivant. On pouvait toutefois constater que Pierre et lui n'étaient plus aussi complice. Un froid s'était installé lorsque Pierre se senti trahi quand il passa seul devant la directrice et écopa d'un revois d'une semaine.
Marc, lui bien que discret, avait fait preuve d'intérêt pour la physique. Même si c'était le seul, Mlle Cyka, Fanny de son prénom, était contente de lui. Maintenant il posait des questions en rapport avec les cours et régulièrement il faisait des recherches pour apporter un plus aux travaux qu'il rendait.
C'est donc tout naturellement qu'elle le sollicita pour l'aider à préparer sa classe pour les journées 'porte ouverte' de l'école. Il accepta volontiers et lui se proposa même de venir pour l'aider à réaliser les expériences lors de ces trois jours. Tous furent étonné, Pierre lança d’ailleurs :
« Lèche cul, tu es la pute de la prof ! » Ce qui lui valu un nouveau passage devant la directrice et indirectement lui fit doubler son année.
Mais cet incident réglé, Fanny demanda à Marc de venir dans le local de labo le jeudi suivant, journée dédiée à la préparation pour cet événement annuel. La semaine suivante, il était devant la porte dès 8 h 30 et elle arriva quelques minutes plus tard.
« Vous étés ravissante Mlle. Cette ensemble vous met en valeur. »
« Eh bien... merci. Ça change des premiers compliments que tu m'as adressés. Et tu vois, je sais qu'ils ne s'adressent pas qu'à ma tenue, mais ils sont flatteurs et je ne m'en offusque pas. »
« Je vous remercie Mlle. Mais si l'on se mettait au travail ? »
« A vos ordres charmant jeune homme. »
Du haut de ces 20 ans, il rougit. Elle ouvrit la porte et il la laissa passer profitant au passage porte la détailler de la tête aux pieds et des pieds à la tête. Elle portait un mini-short en jean délavé et d'aspect usé, elle ne donnait pas cour et elle en avait profiter pour se mettre à son aise, qui lui arrivait un peu plus bas que les fesses. Au-dessus elle avait un top, qui laissait apparaître le bas de son ventre sans pour autant que l'on voit son nombril et le décolleté offrait une vue plongeante sur le dessus de ses seins. Il était certain qu'elle ne portait pas de soutien, car il devinait ses tétons et étrangement, ils semblaient excités tant ils poussaient sur le tissu. Marc était, lui aussi, excité devant une telle provocation, car il ne le savait pas, mais elle s'était volontairement habillée sexy. Elle ne voulait pas le draguer, mais le connaissant, elle voulait le récompenser de son changement d'attitude et des efforts consenti pendant les cours.

Il referma la porte derrière eux et elle alla faire un tour de clé.
« Vous nous enfermer ? Vous n'avez pas peur que j'en profite ? » Dit-il en rigolant.
« Non, mais comme nous allons préparer certains mélanges, je ne veux pas que l'on nous dérange. Et de toute façon, tu sais que je ne me laisserai pas faire si tu ose entreprendre quelque chose ! »
Elle alla ensuite s'asseoir sur le bureau face à lui expliqua comment se déroulerait la journée. D'abord préparer la classe, ensuite une pause, préparer quelques expériences, une pause, les mettre en place, une pause, les tester et elle ajouta :
« Si tout se passe bien, je t'invite au Macdonald. »
« Wahou... cette journée va me plaire ! »
« On se met au travail, on a quand même pas mal de boulot à faire. »
Elle lui donne quelques instructions et il les accompli parfaitement. Marc s'applique pour chaque tâche qui lui est confiée et elle en est très heureuse. Elle l'observe non seulement pour vérifier que tout se passe bien, mais aussi parce qu'elle a depuis le début de la journée remarqué que son entre-jambe présentait une protubérance, certes pas énorme, mais bel et bien présente. Il mérite un petit encouragement se dit-elle ! Et alors qu'il est accroupi pour fixer les pieds des tableaux de présentation, elle vient devant lu prétextant l'aider en les soutenant. Elle en profite pour écarter les cuisses juste devant son visage. Il en perd ses moyens et la vis qu'il a en main roule au loin.
« Ne bouge pas je vais la ramasser » Dit-elle.
Elle se retourne et se penche en avant. C'est maintenant ses fesses qu'il voit de près et la tension exercée par le mouvement de Fanny tend le tissu de son short qui enveloppe non seulement ses jolies fesses, mais aussi s'enfonce légèrement marquant la fente de son sexe. Elle se relève et lui tend sa vis lui offrant ainsi une vue directe sur sa poitrine.
Marc ne sait plus où regarder, il se sent rougir, mais aussi bander et baissant le regard sur son entrejambe il ne peut que constater que la légère protubérance est devenu une véritable bosse.
Il referme les jambes espérant la dissimuler, mais au lieu de cela, non seulement il l'accentue. Mais aussi, il perd l'équilibre et en tombant fait chuter Fanny. Ils sont tous les deux au sol. Fanny sur les fesses et Marc la tête enfoncée entre ses cuisses. D'un bond, il se redresse et bafouille des excuses incompréhensibles.
« Ça va, ne t'inquiète pas, tu ne l'as pas fait exprès ! »
Il lui tend la main pour l'aider à se relever et ne mesurant pas sa force, elle vient se plaquer sur lui. Une fraction de seconde, il ne se passe rien, mais au contact de ce corps musclé et de cette bosse si excitante, elle tend colle ses lèvres sur les siennes. Il est surpris, mais n'offre aucune résistance quand il sent la langue de Fanny essayer de se frayer un passage. Ils s'embrassent, lui les mains dans son dos la serrant contre son corps, elle les mains pressant sa tête contre la sienne. Cet instant semble durer une éternité, ils sont tous les deux dans un autre monde. À bout de souffle, ils se séparent, les yeux remplis d’étincelles, ils se regardent se demandant ce qui vient de se passer et qui va se passer ?
« Je suis désolée, je n'aurais pas dû ! »
« Non, c'est de ma faute, excuse-moi ! »
Un long silence, un ange passe. Ils se regardent avec une foule de choses qui leur passe dans la tête.
Elle, se sent attirée par lui, mais est tiraillée par sa situation de professeure. Mais son corps aussi s'exprime, ses seins son dressés, ses tétons durs et son sexe mouille tellement que le tissu de son string et son short ne sont pas suffisant pour empêcher l'expression de son excitation couler le long de ses cuisses.
Lui, est submergé par le contact du corps de cette femme qu'il rêve de toucher depuis si longtemps. Son sexe se tord de plus en plus emprisonné dans son carquois de tissu. Il voudra glisser ses mains sur ses fesses, tendrement les malaxer, il voudra qu'elle lui tende à nouveau ses lèvres pour qu'il puisse encore profité de ce moment d'extase.
Elle finit par baisser les yeux et leurs mains se rejoignant elle dit :
« Je ne te mentirais pas, j'ai envie de toi, je suis excitée par ton corps. Mais... je suis ta professeure et il ne peut rien y avoir entre nous. Je le regrette sincèrement. »
Il continue à la regarder et son cœur se serre au son de ces paroles, mais il est, lui aussi, conscient des risques. Non pour lui, mais pour elle et il se rend compte qu'il préfère se priver de quelque chose d'inestimable pour lui plutôt que de lui causer le plus petit tord. Il est amoureux, il est vraiment amoureux.
« Je comprends, moi non plus je ne mentirai pas. Je suis amoureux de toi, mais je ne ferai rien qui puisse te cause quelque tord que ce soit. »
Ils se séparent, elle essaye de reprendre le contrôle d'elle et lui demande de continuer ce qu'il faisait, elle commençant préparer les affiches qui seront placées sur les tableaux. Ils continuent à s'observer du coin de l’œil, chacun se demandant ce qu'il se serait passé si la situation avait été différente. Et les images qui traversent leurs esprits à l'un et à l'autre ne font qu’amplifier leur désir et leur excitation. Elle mouille de plus en plus il bander à en avoir mal. Ils ont enfin terminé l'installation et elle propose qu'il aille chacun prendre l'air... séparément. Ils sortent, lui va se changer les idées en courir dans la cour et elle va aux toilettes. Elle est tellement mouillée que l'on devine une tâche naissant sur son short. Elle entre dans une cabine et est sur le point de se masturber, mais non, ce n'est pas ce qu'elle veut. C'est lui qu'elle veut sentir en elle. Elle y renonce et avant de remonter son string et son short, elle s’essuie la chatte, espérant ainsi limiter les dégâts. Dix minutes plus tard, ils retrouvent devant la classe, ils n'osent plus se regarder dans les yeux et entre dans la pièce. Fanny ferme encore une fois à clé, mais cette fois, elle reste dos collé à la porte.
« Que se passe-t-il ? Pourquoi restes-tu là ? » Demande Marc.
« Je veux que l'on parle ! Pour commencer, je veux tout te dire. Voilà, tu sais pendant la pause, j'ai voulu aller aux toilettes pour... pour me masturber. Je n'ai pas réussi... ce n'ai pas ce que je voulais. C'est toi... c'est toi que je voulais. Tu m'as dit que tu m'aimais, moi je ne sais pas. Je sais que j'ai envie de... de... de baiser avec toi ! Et j'aimerais que tu me dises ce que tu en penses, ce dont tu as envie !? »
« J'ai envie de toi, à chaque fois que je te regarde, je commence à bander et aujourd'hui j'en ai mal tellement je bande. Oui, j'ai aussi envie de toi, mais je sais que je ne ferai rien sans ton consentement et encore moins si cela devais t'attirer des ennuis. Alors ce qui va se passer aujourd'hui ou encore dans les jours à venir, je n'en sais rien ! »
Il s'était approché d'elle, lui avait saisi les mains qui pendaient le long de son corps pour les serrer en signe de soutien. Elle ne l'avait pas quitté du regard, chaque pas qui le rapprochait d'elle faisait battre son cœur de plus en plus vite. Et si ce désir n'était pas aussi de l'amour. Les jours depuis leur première rencontre lui avait montré qu'il n'était pas cet adolescent immature, bien au contraire. C'était un jeune adulte qui quand il s'en donnait les moyens réussirai tout ce qu'il voudra. Au contact de ses mains, elle se senti rassurée, elle se sentie aimée. Il serrait ses mains avec une douceur réconfortante. Elle n'avait qu'une envie, l'embrasser.
Elle le regarda pendant qu'il lui parlait et à peine eut-il fini qu'elle s'accrocha à son cou et l'embrassa à pleine bouche. Elle ne voulait pas que cela s'arrête, mais encore une fois le manque d'air les sépara.
« Je te veux, je veux que nous soyons ensemble. »
« Tu en es certainement, on risque... tu risques gros !? »
Pour toute réponse, elle se laissa glisser à genoux, lâcha ses mains et encore une fois sans le quitter des yeux dézippa son pantalon, en libéra son sexe et sans lui demander l'enfonça dans sa bouche.
Il n'avait pas réagi, non qu'il fût paralysé, mais plutôt qu'il avait, lui aussi, envie d'elle. Et le contact de ces lèvres et puis de sa langue sur sa bite lui procuraient maintenant un frisson de plaisir, un frisson si fort qu'associé à son excitation faisait monter en lui le désir d'éjaculer. Il voulu se retirer, mais elle ne le laissa pas s'échapper.
« Attends, je vais jouir... je sens que je viens... »
Rien n'y fit elle continuait à le sucer et il fini par se lâcher dans sa bouche. Pour commencer trois énormes jets lui remplirent la bouche et à peine avait-elle avaler tout ce sperme qu'une nouvelle série, certes moins abondante, mais bien plus nombreuses suivirent. Elle réussi à tout avaler, au total au moins dix jets de foutre lui avaient rempli la bouche.
Marc avait du mal à rester debout sur ses jambes tant cette jouissance était forte et en plus, il ne l'avait pas dit, mais elle était la première femme avec qui il avait des relations sexuelles. Il était encore puceau. Après lui avoir vider les couilles et nettoyer la queue, elle le soutien quand il se laissa glisser sur le sol épuisé. Épuisé peut-être, mais, mais pas hors service. Sa bite était certes plus molle, mais elle pointait toujours vers le haut.
« Laisse-moi faire, je m'occupe de tout » Lui dit-elle.
Elle alla tirer les rideaux de la classe de labo et revenue près de lui, elle fit glisser son short et son string au sol. Elle passa par-dessus ses épaules son top et se présentait ainsi nue devant celui qu'elle voulait pour amant. Lui récupérait peu à peu et son sexe en était témoin. Cette vision de rêve lui redonnait toute l'énergie dont il avait besoin pour, l'espérait-il maintenant, honorer la femme qu'il désirait depuis la première fois. Elle l'aida à se relever et lui enleva le seul vêtement qui lui restait, son T-Shirt.
La prof et son élève étaient tous deux nu l'un face à l'autre. Ses tétons à elle pointaient et sa chatte coulait d'excitation. Sa bite à lui avait reprit vigueur et droite comme un 'I' affichait au moins 17 cm, voir un peu plus. Elle lui saisi les mains l’entraînant près du bureau. Elle s’assit dessus, écarta les jambes et lui offrir un accès direct à son sexe. Qu'allait-il faire ? La prendrait-il ? Non, il s'agenouilla et alors qu'il avançait son visage en direction de sa chatte, elle écartait de plus en plus les cuisses ne voulant lui offrir aucune résistance à son approche. Ses lèvres entrèrent en contact avec sa chatte, il sorti sa langue entreprit de la glisser tout le long de son sexe. Quand il se heurta à son clito, elle eut un léger sursaut dû à l'excitation et il comprit qu'il venait de toucher un point sensible. Il s'arrêta et le massa avec ses lèvres. Pour un débutant, il savait s'y prendre. Où peut-être était-il plus à l'écoute de ses attentes à elle que de ses désirs à lui. Il continua et ensuite descendit pour avec sa langue caresser l'entrée de son vagin, il osa même l'y aventurer quelque peu. Il jouait avec ce sexe qui lui était offert, il passait maintenant du clito à sa vulve et inversement. Il buvait littéralement le produit de son excitation. Tout ce travail, toutes ses attention l’emmenèrent, elle, d'abord à gémir et de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle soit envahie par un orgasme qui lui parcouru tout le corps de son sexe duquel plusieurs jets de cyprine jaillirent, en passant par ses cuisses qui toutes tremblantes se refermèrent sur le visage de son amant jusque dans sa gorge qui émit un cri, étouffé par sa main, hurlant sa jouissance. Elle ne se contrôlait plus, elle s'écroula sur le bureau, épuisée par toutes les attentions de son amant. Elle était heureuse non seulement parce qu'il l'avait fait jouir, mais surtout parce qu'il avait préféré la faire jouir plutôt que de simplement la prendre pour assouvir ses pulsions. Elle savait maintenant qu'il était sincère, il l'aimait et elle aussi touchée par toutes ces attentions, elle l'aimait.

À suivre...

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