La Remplaçante Mon Premier Amour. (2)

La suite...

Les deux amants mirent un peu de temps pour récupérer et se remettre au travail. Mais le restant de la journée se passa beaucoup plus sagement. De simples caresses, des mots doux, des regards coquins et parfois même une pose suggestive, mais rien de plus.
La journée avançait et même s’ils travaillaient, ces petits intermèdes leur ont fait prendre du retard. Il était déjà 17 h 00 alors qu'ils devaient encore tester toutes les expériences prévues. Fanny lui demanda si ça le dérangeait de rester plus tard ?
« Je le ferai avec plaisir, je ferai tout pour passer le plus de temps possible avec toi. Je vais seulement prévenir mes parents pour qu'ils ne s’inquiètent pas. »
Décidément il avait changé, il y quelques mois de cela, il ne se serait jamais soucié de ces parents. Il prit son GSM, mais elle lui demanda d'attendre. Elle aimerait lui proposer quelque chose.
« Crois-tu que tes parents te laisseraient découcher cette nuit ? »
« À quoi penses-tu ? »
« Tu pourrais venir dormir chez moi !? »
« Attends ! »
Il réfléchit quelques instants et puis appela ses parents.
« Allô, maman ? » ... « Je dois rester plus tard à l'école, on doit impérativement terminer pour demain. » ... « En fait je ne sais pas à quelle heure j'aurais fini. Si tu veux bien, j'ai un copain de classe qui m’a proposé de dormir chez lui. » ... « Oui ses parents sont d'accord ! En plus, papa ne devra pas venir me conduire demain, il n'habite pas loin de l'école ! » ... « Merci maman. Bisous, je t'aime. »
« Voilà, c'est réglé, ils sont d'accord ! »
Il venait de mentir à sa mère, mais c'était pour elle. Il n'éprouvait aucun remord et elle ne lui en voulait d'avoir menti. Ils terminèrent à passé 19 h 00 et comme promis elle l'invita au Mac Donald. Elle lui proposa de manger sur place ou de passer par le drive. Il choisi de manger sur place, le temps n'était pas compté, il allait passer la nuit avec elle.

Elle gare la voiture, ils descendent et il la prend par la main pour, en amoureux, aller à leur premier 'repas romantique'. Elle était heureuse, jamais elle n'aurai imaginer tomber amoureuse de lui, mais maintenant elle n'imagine pas le quitter. Sa main dans la sienne, elle pose sa tête sur son épaule le regardant passer commande sur la borne électronique. Le moment de payer arrive et c'est gêné qu'il lui demande :
« Excuse-moi, tu... tu veux bien... »
« Oui pas de souci, c'est moi qui t'invite. Ne t'inquiète pas, ça ne change rien entre nous si pour le moment, c'est moi qui paye. »
Pour le moment, c'est moi qui paye ! Elle se voyait déjà avec lui pour longtemps. Elle prit sa carte, fit son code et ils allèrent s'asseoir le temps d'être servi. Elle était à côté de lui sa tête toujours sur son épaule. Ils parlaient de la journée, des événements qui ont précipité les choses. Elle évoqua le rapprochement sexuel, la doucement et l'abnégation dont il avait fait preuve. Cela l'avait énormément touché. Elle en était presque émue alors que lui éprouvait de la fierté d'avoir rendu la femme qu'il aime heureuse, d'avoir su deviner ses envies, ses besoins. Certes il avait encore beaucoup à apprendre, mais jusqu'ici il ne s'en sortait pas trop mal. La serveuse arriva leur apporter leur commande. Elle était jolie, avec une poitrine légèrement plus grosse que celle de Fanny et pourtant certainement un peu plus jeune, l'âge de Marc environ. Fanny profita de l'occasion pour le tester encore une fois et ce même s’il avait déjà démontré qu'il l'aimait.
« Mon amour, tu permets que je t'appelle mon amour ? »
« Seulement si je peux t’appeler mon cœur. ! »
« Marché conclu, mon amour ! Mais dis-moi, comment trouves-tu la petite serveuse ? »
« Heu... laquelle ? Ah oui... bof... banale ! »
« Je t'aime mon amour, mais je veux que tu sois sincère avec moi. Elle est canon et je ne comprendrai pas que ne retourne pas à son passage. »
« Compris, c'est vrai elle est canon, si je pouvais la coincer dans un coin, je la baiserai bien ! »
« Oh là, n'exagère pas ! Je veux bien que tu sois sincère, mais il y a des limites.
Et si tu les dépasses, tu saura ce qu'est une femme jalouse, compris ! »
« Je rigole, mon cœur. Je voulais moi aussi savoir si tu serais sincère avec moi. »
Ils s'embrassèrent et tout en mangeant, il profita pour lui caresser la cuisse alors qu'elle lui susurrait à l'oreille ce qui l’attendait cette nuit. Ils prirent leur temps et allèrent se promener au clair de lune pour finir par rentrer chez elle a passé 23 h 00.
Il était excité, elle l'avait chauffé toute la soirée et maintenant le moment approchait. Elle l'invita à se déshabiller. Il enleva sa veste et commençait à dézipper son pantalon.
« Oh la la, mon amour, pas si vite, on a tout notre temps. Si pour commencer, allaient prendre une douche ? »
« Je suis désolé. OK pour la douche. »
Elle l'emmené dans la salle de bain, peur de faire encore une gaffe, il ne sait pas trop quoi faire. Elle commence à se déshabiller et fait couler l'eau. Elle se retourne et le voyant debout inerte, elle lui dit :
« Alors tu viens ou tu attends que j'ai fini pour prendre la tienne ? »
Il était perdu dans ses doutes et il vient d'en sortir avec une déesse nue devant lui. Il l'avait déjà vu nue cet après-midi, mais là, elle était sous la douche, l'eau ruisselait sur sa peau, elle avait les mains dans les cheveux, ce qui lui redressait encore plus la poitrine la poussant même en avant. Quand il descendit son caleçon, son sexe attesta qu'elle lui faisait de l'effet.
« Allez, viens ici, je sais que tu en meurs d'envie. »
« Je ne voudrais pas te forcer. »
« Ça suffit, j'en ai autant envie que toi. Je te veux en moi depuis ce matin. »
Alors qu'il s'approchait, elle s'agenouilla à nouveau devant et prit sa bite en bouche. Il ne protesta plus il avait trop envie d'elle et sa bite recommençait à lui faire mal tant il bandait. Elle lui fit une fellation, mais cette fois, elle ne se contenta pas de va-et vient avec sa bouche. Elle joua avec son gland faisant passer et repasser sa langue dessus.
Elle lui caressait les couilles d'une main alors que l'autre glissait le long de son sexe. Elle suça son gland, lécha ses couilles. À chaque fois qu'elle sentait qu'il allait jouir, elle s'arrangeait pour le faire débander. Il mit plus d'un quart d'heure à jouir et cette fois, elle le branlait d'une main et elle reçu le premier dans les cheveux et les autres atterrirent sur son visage et ses seins.
« Oh je suis désolé. » Dit-il.
« Je ne vois pas pourquoi ? »
« Je t'ai mis du sperme partout. »
« Et j'aime ça, sentir ta semence chaude et gluante couler sur moi »
Elle joignit le geste à la parole en étalant avec ses mains le sperme sur toute sa poitrine, ensuite, avec sa main, elle récupéra celui sur son visage et lécha ses doigts. Pour le reste, elle prit sa douche. Mais il n'allait pas en rester là, il se devait lui aussi, lui donner du plaisir. Il s'approcha d'elle alors qu'elle se savonnait les seins, lui prit le gant de toilette des mains et s'occupa de la savonner. Il n'oublia aucun endroit de corps magnifique et il s'attarda sur ce qu'il savait être des points sensibles. A savoir, ses seins, son cou, son bas ventre et enfin son sexe. En passant sur son anus, il découvrit qu'elle avait l'air d'apprécier qu'il le caresse et insista donc.
« Tu as déjà enfoncé ton sexe dans « le cul d'une femme ? »
Elle venait là d'aborder un point sensible. Elle ne savait pas qu'il était vierge que s’il lui faisait l'amour, elle serait la première. À ces mots, il stoppa et elle se rendit compte que quelque chose le gênait.
« J'ai dis quelque chose qu'il ne fallait pas ? » Demanda-t-elle ?
« Non... non... c'est que... »
il ne trouvait pas les mots comment lui dire, qu'allait-elle penser de lui. À l'école, il savait que sa réputation était celle d'un tombeur.
« Mais allé, dis-moi ce qui se passe. »
« Eh bien, ... je... je suis encore puceau. Je n'ai jamais fait l'amour avec une femme ! »
« QUOI !!! Tu es vierge ? » Dit-elle d'un ton presque accusateur.

Il ne savait plus où se mettre, il avait instantanément débandé et ses mains venaient de cacher son sexe. Elle se rendit compte de ce qu'elle venait de faire. Il lui avait avouer qu'elle serait la première et la seule chose qu'elle avait fait, c'était de le mettre dans l'embarras. Idiote, elle aurai dû le rassurer, le guider, le féliciter de na pas avoir sauter sur la première chatte qui s'était présentée à lui. Elle était vraiment stupide ! Il avait la tête baisée et on aurait presque dit qu'il allait pleurer, en fait il aurait voulu être une souris, non une mouche pour que l'on ne le voit plus et qu'il puisse s'enfuir.
« Oh mon amour, excuse-moi ! Je suis une idiote ! C'est pas ce que je voulais dire. Je suis flattée d'être la première femme que tu vas honorer. ... Dis-moi, ... tu veux encore que l'on fasse l'amour ? »
Il ne répondit pas, il ne savait pas quoi répondre. Son amour-propre venait d'éclater en morceaux. Elle ne savait pas quoi faire pour réparer sa bêtise. La seule chose qui lui vint à l'esprit fut de le prendre dans ses bras, de se presser contre lui de lui faire sentir son corps chaud du désir qu'elle avait de le sentir en elle.
« Tu sens, tu entends mon cœur ? Il bat pour toi ! Il est triste du mal que je viens de te faire. »
« Ce n'est pas grave, je m'en remettrais. Tu ne pouvais pas savoir, surtout avec la réputation que j'ai. »
Et il la prit à son tour dans ses bras. Il la serra tout contre lui.
« Tu entends mon cœur ? »
« Oui... »
« Eh bien lui aussi bat pour toi et le jour où il s'arrêtera, ce sera parce que tu ne seras plus près de moi. »
Elle ne savait pas s’il le savait, mais il était d'un incroyable romantisme. Chacune de ses déclarations d'amour pour elle l'avaient touchée en plein cœur. Il sentit alors qu'elle tremblait
« Tu as froid, tu veux que l'on aille se réchauffer ? »
« Non, je n'aurai jamais froid près de toi. Tu me réchauffes le cœur par tes paroles et le
corps par l'ardeur de ton amour. »
C'était elle maintenant qui était romantique et il aimait ça. Ces paroles venait de détourner son esprit de ce qui venait de se passer. Il était à nouveau concentré sur elle, sur son bien être. Il n'aimait pas l'avoir attristée et ce même si c'était elle qui avait cette fois fait un imper.
« Ne t'inquiète pas mon cœur, je vais bien. C'était rien. Je sais que tu m'aimes. Et oh... regarde ma bite est de nouveau partante. Tu sais, elle aimerait vraiment te réchauffer de l'intérieur. »
Il se sourire, s'embrassèrent et après l'avoir essuyé, l'emmena dans sa chambre. Elle avait un grand lit double. Et arrivé au bord, elle se laissa tombé sur le dos, jamais elle ne le perdit du regard. Elle était maintenant couchée nue face à lui et elle écartait doucement les cuisses, une invitation qu'il ne pouvait ignorer. Il se pencha posa les genoux sur le lit et avança jusqu'à ce qu'il soit sur elle ses mains tenant les siennes au-dessus de sa tête.
« Avant d'aller plus loin, j'aimerais te poser une question ? »
« Oui, tout ce que tu veux ! »
« Avec combien de garçons as-tu déjà couché ? »
« Heu... »
« Sois sincère, je ne te jugerai pas ! »
« Hé bien, je ne sais pas. Il y en a eu quelques-uns, mais aucun comme toi ! »
Elle était impatiente, elle le voulait en elle, ses tétons pointaient, sa chatte débordait de son jus, son cœur s'accélérait à chacun de ses mouvements le rapprochant d'elle. Sa bite était sur elle, sur son bas ventre, à quelques centimètres de sa chatte. Elle n'en pouvait plus.
« S'il te plaît prends-moi, ne pense plus à mon bien, baise-moi... remplis-moi de ta semence. »
Il la voulait, mais la voir dans un tel état l'excitait encore plus. La douceur de sa peau sur son sexe le faisait grossir à chaque instant un peu plus, il était maintenant droit redressé à en toucher son nombril, il était dur. Il voulait, il allait la prendre. Elle était sa prisonnière, ses mains tenant les siennes. Il se laissa descendre sur elle, son sexe glissant sur sa peau jusqu'à tomber dans son entre jambe. Il était passé sur son clito et elle avait réagit à ce simple effleurement. Son gland était maintenant à l'entrée de sa grotte, il pouvait en ressentir la chaleur et elle le sentait pousser pour s'enfoncer petit à petit en elle non qu'il rencontre une résistance, mais c'est lui qui prenait son temps, encore une fois il pensait à elle, à son plaisir à elle. C'est pourquoi elle dit :
« Je n'en peux plus bourre-moi la chatte, défonce-moi, baise-moi, fais ce que tu veux, mais jouis en moi ! »
A ces mots, il perdu la maîtrise et d'un coup, il s'enfonça en elle, en ressorti et recommença, à chaque fois plus loin et plus fort. Il la prenait et il aimait ça. Elle aussi, gémissait et en redemandait :
« Encore... oui, encore, ... plus fort... ouiiii, je sens... je ... vais jouiiiir ! »
Elle fut transpercée par un orgasme qui la fit se cambrer, elle balançait la tête de tous les côtés, elle criait son orgasme avec une voix qu'il ne la croyait pas capable d'avoir. Lui, continuait tant bien que mal à la pénétrer, et ce, malgré ses mouvements incontrôlables et plus il la besognait, plus elle jouissait. Maintenant elle hurla :
« Je jouiiis... je jouiiis... vas-y ... remplis-moi.... Je suis à toi je suis ta chose, mais décharge ton foutre en moi ! »
Il n'en put plût et à grands coups de reins, il se vida les couilles. Elle passa ses jambes dans son dos et l'emprisonna en elle jusqu’à ce que l'épuisement les firent s'effondrer sur le lit.
Il était toujours sur elle, tenant ses mains et il l'embrassa. En les voyant on aurait pu croire qu'il venait de la violer, mais non, jamais elle n'avait eu un tel orgasme, jamais elle n'avait autant jouis, jamais elle n'avait autant eu envie qu'un homme jouisse en elle. Jamais elle n'avait autant espéré porter son .
Elle lui fit comprendre qu'elle voulait se dégager et il la laissa faire. Elle le retourna sur le dos le chevauchant elle se mit en position de 69 elle prit sa bite en bouche et en aspira littéralement les dernières goutte de sperme alors que lui avait sa chatte dégoulinante de son sperme au-dessus de lui. Il ouvrit doucement la bouche et quelques gouttes tombèrent au fond de sa gorge, il saisi ses fesses et se hissa jusqu’à son clito pour lui rendre le plaisir qu'elle lui donnait. Elle continuait à le sucer, mais même si sa bite reprenait une certaine vigueur il ne parvint plus à jouir, mais elle eut encore deux orgasmes tant il était délicat et attentif à ses besoins.
Là, c'était la fin, ils n'avaient plus aucune énergie et il la prit dans ses bras et elle lui avoua :
« C'était ta première fois ! Eh bien, tu es si merveilleux que c'était magnifique, je t'avoue, je n'ai jamais jouis comme cela. Je crois que je viens moi aussi pour la première fois de connaître ce qu'est un vrai orgasme. Mon amour je t'aime ! »
« Moi aussi je t'aime »
Et ils s'endormirent blottit l'un contre l'autre.

A suivre...

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