Aux Enfers De La Perversion 1

Je suis Claire-Marie, mais tout le monde m'appelle claire, je suis une femme de 44 ans, mariée, mère de 2 s, garçon et fille, tous deux installés en région parisienne pour raison professionnelle.
Mon mari est chauffeur routier à l'international, quant à moi je suis secrétaire comptable dans une petite entreprise d'une cinquantaine de personnes, à Nevers, en Bourgogne où nous vivons.
Je suis une femme ordinaire, pas spécialement jolie. Je ne suis pas très coquette, je suis heureuse en ménage et je n'éprouve pas le besoin de séduire. Satisfaite de mon bonheur ronronnant.
Depuis un an est arrivé dans l'entreprise, un homme d'environ 35 ans, engagé comme responsable de l'entrepôt. Athlétique, je crois qu'il plait beaucoup aux femmes, car j'ai surpris à plusieurs reprise avec des filles travaillant dans l'entrepôt des gestes qui ne laissaient aucun doute sur la nature de leur relation. Je m'étonnais d'ailleurs que l'on puisse se laisser ainsi faire au risque d'être vu.
Un jour, comme souvent c'était le cas car je n'arrivai pas à le joindre au téléphone, j'allais réclamer à Pierre des bordereaux manquants dans certains dossiers. Il n'était pas à son bureau et je dus le chercher dans l'entrepôt.
Il était relativement tard et presque tous les employés étaient partis.
Je le trouvais dans un coin appliqué à ranger des cartons. Je m'approchais. Il y avait peu de place et nous étions vraiment très près l'un de l'autre. Je lui réclamais les fiches manquantes. Il me proposa de venir les chercher avec lui à son bureau. Pour ce faire, il passa près de moi, s'arrêta au passage, et fit un pas en passant de façon à me coincer contre la pile de cartons rangés derrière moi. Il était pressant. Il appuya violemment son bas-ventre contre moi pour bien me faire sentir la grosseur qu'il avait dans le pantalon. Il me regardait dans les yeux avec un léger sourire.
Jamais on ne m'avait manqué de respect de la sorte. J'étais humiliée et très en colère.

Je le repoussais avec fermeté et lui retourner une gifle puissante. Je m'en allais en courant. Il courrait dernière moi et finit par me rattr. Il se confondait d'excuses, expliquant que je lui plaisais beaucoup, de ne rien dire à la direction car il perdrait sa place. Je le laissais ainsi et je regagnais mon bureau.
J'étais toute retournée par la violence de cette “agression”. Je n'avais jamais connu une telle situation, et pardon à toutes les féministes de la terre, mais cette humiliation me procurait bien involontairement une forme d'excitation. Troublée de sentir l'humidité dans mon intimité. Ces sentiments confus m'ont beaucoup troublée. Est-ce pour cela que je ne dis rien à mon patron ? Je n'en sais rien. Sans doute aurais-je dû, car j'ignorais ce que cet homme allait me faire de moi. Moi la mère de famille bien rangée.
Je vous conterais bientôt comment je suis devenue une femme pervertie “presque” consentante.
Claire-Marie
Si une femme a connu les sentiments que je vais raconter dans mon histoire, je serais heureuse d'échanger avec elle.
claire_marie58@hotmail.fr

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