Aux Enfers De La Perversion 4/Suite.

Je n’ai pas de nouvelles de Pierre en dehors des quelques contacts purement professionnels. La soirée à l’hôtel m’a laissée meurtrie de honte, je perds l’estime de moi et pourtant lorsque j’y repense le soir, seule chez moi, je ne peux m’empêcher d’être troublée et de sentir mon corps se manifester.
Plusieurs mois se sont écoulés. Il m’arrive parfois de me donner du plaisir la nuit en repensant aux humiliations que j’ai subies.
Un jour vers 17 h, le téléphone sonne à mon bureau. C’est Pierre ! Jamais il ne m’appelle, si besoin pour le travail c’est moi qui le fais.
– Claire ?
– Oui,
– Tu peux venir me voir à l’entrepôt, j’ai quelque chose à te montrer,
– De quoi s’agit il ?
– Viens tu verras, c’est pour le travail !
Je décide de m’y rendre, mais je suis persuadé qu’il y a quelque chose de pas normal.
Arrivée à son bureau, il me dit qu’il est heureux que je sois venue.
– Que me voulez-vous ? Lui dis-je
Il réfléchit un bon moment et dit :
– Je m’ennuie de ta raie et je veux que tu me la montres, maintenant, ici.
– Vous n’y pensez pas, c’est hors de question.
Et je fais demi-tour pour m’en aller. Il m’att, me serre les poignets dans une de ses mains et me force à me plier sur le bureau. Je me débats, mais la force de son étreinte, me fait m’immobiliser. Il lève alors ma robe sur mes reins, caresse mes fesses à travers le tissu de la culotte. Après une poignée de seconde, il baisse celle ci. Me voici les fesses à l’air, bien relevées, le ventre appuyé sur le bureau. Un doigt ouvre mes lèvres et se promène de mon clitoris à mon anus. Je suis trempée. Non pas qu’il m’excite avec ses “caresses”, non ce qui me fait frissonner, c’est la contrainte.
Il retire son doigt et me dit à l’oreille : “Tu remouilles salope” !
Mes jambes tremblent sous le soubresaut qui m’envahit.
– Allez casses toi, retourne à ton bureau.
Je me réajuste et m’en vais penaude, humiliée et confusément heureuse.


Je n’ai pas fait 5 pas qu’en j’entends derrière moi : “Roger, viens sentir le jus de la salope sur mes doigts”.
Je suis pris d’une tristesse infinie, et les larmes coulent abondamment sur mon visage. Je suis perdue à jamais, toute l’entreprise va être au courant. Quelle descente aux enfers, suis-je en train de vivre !
Je ne me souviens plus exactement de tout ce que Pierre m’a fait vivre et dans quel ordre, mais je vais rassembler mes souvenirs pour vous les raconter. Le fait de me remémorer toutes ces aventures me fait un bien fou, comme un exorcisme nécessaire pour tourner définitivement la page.
A bientôt. Bises. Claire

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!