Collection Homme Femme. Tornade En Louisiane (3/3)

C’est lors de mon voyage aux USA, que cette aventure m’arrive.
Je suis avec une femme ayant le double de mon âge auquel malgré ça j’apprends une grande quantité de choses sur le plan sexuel.
Bloqué dans ce trou, au fin fond de l’État de Louisiane, notre seul moment de liberté, c’est lorsque nous nous donnons du plaisir.
Me réveillant dans la nuit, aucune lumière venant de la plaque de ferraille bloquée par la voiture de ma partenaire.
J’ai envie de retrouver le goût de sa chatte ressenti quand j’ai sucé sa culotte me servant de mèche pour limiter notre consommation d’eau.
Je commence à lui titiller le clito avec ma langue quand elle me prend par la tête m’appuyant fortement et lâchant.

« Oh oui, Abby, tu me fais du bien ! »

Je m’interroge, mais je continue à lécher à grands coups de langue.

• C’est toi Chrisstiane, excuse-moi tu m’as surpris dans mon sommeil.

Je l’ai fait jouir, la violentant à moitié à quatre pattes au fond de notre trou et finissant par avoir son accord quand nous avons un orgasme simultané.
Elle m’a sucé, a avalé mon sperme en me masturbant.
Là, elle semble avoir confondu ma langue avec celle de la copine auprès de laquelle elle se rendait.
Je relève ma tête.

• Abby, tu as des rapports saphiques avec elle !
• Oh, tu as compris, oui, depuis quatre ans mon mari Boby obèse, il pèse plus de 130 kilos.
Sa bite a du mal à sortir de la graisse de son bas-ventre.
J’étais veuve de sexe et c’est Abby un jour où nous avions un peu bu qui m’a initié.
J’ai du plaisir avec elle, mais loin de celui que tu m’as montré depuis que nous sommes dans notre trou.
S’il me retrouve, tu verras comment les hamburgers et les frites transforment nos hommes.
Continue, ta langue est divine.
Ouiiii.

Ma bite, ma langue heureusement que je suis venue en Louisiane et que je l’ai rencontré, même si ça se finit mal.


Il fait jour quand nous émergeons.
Elle a remis sa robe.
Sans son soutien-gorge qui est dehors et sa culotte que nous venons de sucer à tour de rôle.
J’entends un bruit de moteur.
La route doit être dégagée et a ce que je me souviens, entre la route et nous, rien pour empêcher de voir la voiture rouge sur son toit.

J’approche mon œil, mais à part le soutien-gorge, il m’est impossible d’en voir plus.
C’est à ce moment que mon portable s’active.
Je le récupère dans mon pantalon, la batterie s’est mise en mode économie, mais il reste du courant.
Même dans mon trou, Amazon vient me relancer en passant au-dessus des océans.

• Regarde si tu as du réseau, moi j’en ai et appelle ton mari.

Elle le fait, ça marche, ça décroche.

• Dee, ou es-tu, c’est Bobby, ils t’ont cherché partout.
• Dans un trou avec un jeune homme qui m’a sauvé la vie.

Elle lui donne des détails.
Il se doute où c’est, il connaît la grange et arrive avec des secours dans la demi-heure qui suit.

• Dee, tu vas rire, mon grand-père a connu une jeune femme Dee Edward lorsqu’il était dans la marine française.
Il en était tombé amoureux et s’était pour retrouver sa trace que je suis venu en Louisiane.
• C’était ma grand-mère, elle était de Bâton Rouge ou elle est morte en couches.
J’ai entendu cette histoire d’un marin qui l’aurait séduite et mise enceinte.
• Mon grand-père a eu un ici !
• Oui, Christopher.
Grand-mère est morte en le mettant au monde.
• Ça se tient, il s’appelait Christophe, ta grand-mère à souhaiter lui donner ce nom avant de mourir.
• Quand sa famille a su qu’il était loin, pour éviter le déshonneur, son père a trouvé un monsieur Smith qui l’a épousé avant la naissance.
Quelques années plus tard Christopher ayant grandi a eu une fille, moi.
En souvenir de ma grand-mère, ils m’ont donné son prénom, Dee Smith.


Je suis à deux doigts de lui dire que sa lignée a la même origine que ma lignée.
Grand-père, Christopher Thomas a eu deux lignes de succession.
Une Américaine avec Dee et une Française, Christophe Thomas avec moi en finale Christian Thomas pour finir.
J’en ai mal à la tête, mais continuons.

Dee que je baise régulièrement depuis que nous sommes là doit être ma tante américaine et je l’ai baisé.
Elle a suivi, mais semble sereine.
Soit elle est amorale soit elle s’en fiche.
Comme moi aussi je m’en fiche, ma main caresse sa chute de rein.

• Tu es insatiable mon neveu, mais tu as fait de moi une femme comblée et ça, ça pardonne tout.

Pas si con que ça l’Américaine, je bande une dernière fois, sûr que nous allons être délivrés rapidement par les secours et son mari.
Étant sur le banc pour téléphoner avec du réseau retrouvé, je la fais glisser le long de mon corps.
Tient ces drôles, je bande et entre en elle alors qu’elle est à quelques centimètres du sol.
Elle enserre mes reins et c’est moi qui la pilonne dans notre petit réduit de terre.
Elle jouit, d’un coup j’entends une sirène.

• Habillons-nous, ton mari arrive.

Je la repose, elle remet sa robe à fleurs et j’en fais de même avec mon jean.
Deux problèmes le tissu est rêche suite à la pluie et ma verge est encore tendue.
Je m’aperçois que j’ai oublié de mettre mon caleçon dans ma précipitation.
Je le mets dans ma poche.

• Merci Christian pour m’avoir sauvé et m’avoir fait passer de tels moments de bonheur.
Tu te rends compte, si tu m’avais laissé continuer, j’aurais été morte au-dessus de ta tête !

Un dernier baiser avec la langue ce coup-ci.
Nous entendons les ordres que les pompiers donnent pour retirer la voiture et enfin la trappe s’ouvre.

• Ma chérie, j’ai eu si peur.

Pour être gros, il est gros, une vraie bombonne.

Un pompier tend la main à ma maîtresse et la hisse avec facilité.
La garce, elle est bien comme toutes ces salopes, elle minaude dans ses bras.
À mon tour m’aidant du banc, on me hisse.
Spectacle de désolation, plus de grange, je m’en doutais vu que la voiture de Dee était retombée sur la trappe.
Je comprends aussi pourquoi aucun sauveteur avant notre coup de téléphone.
Un gros truck à l’avant carré américain est couché entre nous et la route.

• Dans mes bras mon héros, tu as sauvé Dee.

Et baisé aussi.
Formalités à l’hôpital terminé, je retrouve mon passeport, ils ont retrouvé mon camping-car à trois kilomètres de la grange dans un champ de coton.
Après mes rocambolesques retrouvailles avec Dee, un signe supplémentaire du destin.
Le champ appartient à Bobby qui est agriculteur à la mode américaine.
Plus de cent hectares, rien que de coton.

• Tu dois rester chez nous le reste de tes vacances mon frère.

Bien sûr, j’accepte quand je sens la main de ma maîtresse sur le bas de mon dos alors que le mari est dans l’impossibilité de nous voir grâce au gros meuble de cuisine au centre de la pièce.
Pendant presque quinze jours, c’est sur ce plan de travail que je sexe Dee alors que Bobby avec son énorme ventre part dans ses terres voir ses dizaines d’ouvriers.
Viens, l’heure du départ.
Bien sûr, nous échangeons nos numéros de portable.
Dans l’avion, j’envoie un SMS.

« Je t’arrache ta petite culotte avec les dents bébé... »
« Je te suce la queue beau gosse. »

Cela continue entré en France.

« Ta queue me manque et notre trou aussi, je repasse devant dès que je peux. »

Trou, y a-t-il double sens ?

« Je suis enceinte. »

Ça fait cinq ans que j’ai reçu ce SMS.
Bobby a accepté de prendre ma fille Christine à sa charge en sachant qui en est le père.
Ça aurait été un garçon, elle avait prévu Christopher comme son grand-père.


• Dans mes bras ma chérie, bien venue en France avec notre magnifique fille.

Je prends Christiane dans mes bras, enfin je la vois en chair et en os.

• Dee, prenez-vous Christian pour légitime époux.

J’ai envie d’ajouter, malgré notre différence d’âge, mais là je m’enfiche.
Boby a quitté ma chérie comme s’était prévu pour bon nombre d’Américains obèses.
Crise cardiaque dans un de ses champs de coton.
Le même où le camping-car avait fini sa vie soulevée par la tornade.
Dee a tout vendu à un plus riche propriétaire terrien américain avant de le rejoindre, m’apportant la fille.

Je sais, j’épouse ma tante, mais qui connaît la branche américaine de mon grand-père ici en France.
Ma fille couchée, Dee est dans mes bras et m’embrasse passionnément.
À mon grand regret et surtout celle de ma queue, elle vient au-dessus de moi et ouf, s’empale.

• Chrisstiane, en nous mariant et en nous soudant ensemble, nous finissons la boucle de l’histoire de ton grand-père.
• Et de ton père BB.

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