Collection Homme Femme. En Famille (5/5)

La bourse, le jeu de mon beau-père et de mon fiancé, je les écoute le matin et à l’insu de toute la famille qui a su m’accueillir je profite de ce que j’entends.
Je parle de ma nouvelle carte bancaire, malgré qu’au départ je la refusais, ma maîtresse a imposé à son fils de me l’offrir le soir où je me débattais attachée sur notre lit entre les douleurs de mon cul et de mes seins.
Seins qui eux ont doublé de volume après avoir été percés changeant toujours de couleur au fil des jours.

Ils me font toujours autant souffrir surtout aujourd’hui au moment où j’enfile ma robe de mariée.
Adeline est gênée au moment où elle ferme les agrafes une part une, car si elle avait su la bêtise que j’allais faire pour plaire à ma belle-mère, j’aurais dû prendre une taille au-dessus au niveau de mon bustier.
Il est trop tard pour recommencer le haut de la robe surtout qu’Isabelle se complaît à me voir souffrir me glissant même à l’oreille que je fais cela pour elle.
Je le dis doucement pour éviter qu’elle entende risquant ce soir de recevoir une nouvelle volée de bois vert ou plutôt de cravache objet qu’elle m’applique régulièrement depuis les cinq derniers jours.
Quelle belle salope.

J-2, Isabelle, me laisse à la terrasse du Fouquet’s au champ Élysée pour aller faire son dernier essaye de sa tenue achetée pour mon mariage.
Je la vois se diriger vers l’avenue Foch, elle ne se refuse rien.
J’ai l’impression que c’est elle qui se marie et moi son fiancé qui doit voir sa tenue qu’au moment où je rentrais au bras de Robert, mon beau-père et remontrait la nef de l’église Saint Ferdinand des Ternes au bout de leur rue.
La veille au soir, nous serons passés à la mairie du XVIIe arrondissement avec nos témoins pour le mariage civil.
Sur cette terrasse un bel homme cherche à engager la conversation, mais je veux éviter tous les risques de perdre le bénéfice de mon compte en banque.


C’est bizarre comment l’argent vous prend et ne vous lâche pas.
Discrètement je le fais fructifier en écoutant chaque matin les commentaires de nos passionnés de bourse et ou bien souvent je fais de bien meilleures affaires qu’eux.
C’est le jour où je suis allé récupérer ma carte Gold que j’ai pris les références du banquier qui nous a reçus.
J’ai profité d’un coup de téléphone reçu par Isabelle qui l’a isolé dans le couloir pour prendre ses coordonnées et qu’il me passe les ordres de bourse que je donne dès que je suis seule, Isabelle m’accaparant.
Souvent c’est par SMS que je passe mes ordres à Édouard assise sur la lunette des toilettes.
Isabelle aime être souvent avec moi, mais cet endroit est le seul ou elle respecte mon intimité.

J-1, comme je l’ai dit mariage civil où Isabelle se comporte une nouvelle fois comme si nous étions les mariés.
Mon beau-père après les formalités nous emmène dans le jardin des Champs-Élysées chez Lenôtre.
Il est connu dans ce grand restaurant et nous avons la meilleure table.
À part nous quatre, Brigitte copine d’Isabelle que j’ai rencontré rue de Rivoli dans un grand salon de thé où Isabelle va fréquemment prendre son thé avec des amies toutes plus riches les unes que les autres.
J’ai même rencontré une grande actrice que j’ai souvent vue sur les affiches de cinéma, mais dont j’ai oublié le nom.
Pour Paul, c’est un de ses amis d’enfance devenue grand dirigeant du groupe pétrolier ayant trouvé le gisement de pétrole en Guyane qui est là.
Ça sent le délit d’initier lorsque Paul a gagné contre son père entre les énergies fossiles et les énergies renouvelables.
Lors de la soirée, je récupère une information et quoique la bourse soit fermée.
Je vais aux toilettes pour envoyer un ordre à mon banquier de lâcher un paquet d’actions à petit rapport pour mettre tout sur ce renseignement sûr de faire la culbute dès que les cours auront repris.
Pourquoi à la veille de mon mariage, je laisserai passer un tel paquet de fric ?

Depuis trois jours je suis plus tranquille du côté des fessées, des boules de geisha vibrante, car j’ai annoncé à Isabelle que j’avais déjà quatre jours de retard.

Nous étions dans notre chambre et pour la première fois elle s’est placée en 69 et est venue en contact avec mes lèvres déversant de grandes quantités de cyprine que j’ai avalée comme si je buvais le champagne de mon mariage prévu demain.
Je l’ai fait jouir, elle m’a fait jouir.
Le reste de la nuit, elle regarde mon livret de famille la mairie étant seule nécessaire pour devenir la femme de son fils.

Au petit déjeuner, la gueule que mon mari fait ainsi que son père montrent sans que je le voie que d’avoir joué contre eux, j’avais fait fructifier mes avoirs.
J’ai envie de foncer aux toilettes mais mon portable est dans la chambre et aller le chercher pourraient éveiller des soupçons.
Inutile de leur faire voir que l’élève commence à dépasser les maîtres.

C’est lors du vin d’honneur que la nouvelle m’arrive, directement par Édouard le banquier.
Son poste au sein de la banque ou nos comptes sont ouverts, est un des 420 invités du lunch.

Je suis presque certaine que je suis enceinte de Paul mon mari que j’aie épousée hier au soir à la mairie du XVIIe arrondissement de Paris.
C’est à 11 heures que j’arrive dans une Rolls-Royce des années 1890, décapotable conduite par le fils du propriétaire qui est lui-même un riche investisseur en bâtiment.

- Madame Julie, j’ai exécuté vos ordres, vous risquez de vous retrouver devant la police de la bourse, vous êtes la seule à avoir misé aussi gros en France sur ces actions qui se sont envolées.
- N’ayez crainte, je n’ai jamais mis le bout de mon nez dans la moindre agence boursière.
Je leur dirais que j’avais rêvé la nuit dernière que le groupe inconnu de moi allait faire flamber la bourse.
- Votre mari et votre beau-père se sont de leur côté écroulé, j’espère qu’ils vont sauver l’hôtel particulier où vous habitez.
- Une idée me vient, si vous entendez dire que cet hôtel doit être vendu portez-vous acquéreur, il me plairait que ce soit moi qui loge mon mari et mes beaux-parents.

Il va sans le dire que votre commission sera à la hauteur de votre travail très discret comme il se doit.
- Merci madame de votre confiance, vous n’aurez pas à vous plaindre de moi.
Voyez ma femme, la grande brune avec des seins presque aussi gros que les vôtres, elle vient de se les faire refaire, ça m’a couté une grande partie de mon traitement et toutes mes économies.

Ces gens riches, ils sont cons comme des valises comme l’on dit, elle se serait fait poser des piercings son problème serait résolu.

- Alors Julie qu’est-ce que cela te fait de porter le même nom que moi.
- Il faut que je m’habitue.
- Tu sais, tant que je serais vivante, ce nom c’est moi qui le porterais en priorité, toi tu ne seras que le dernier bout rapporté.

Isabelle montre son vrai visage, il est vrai qu’elle est très possessive, ne m’a-t-elle pas piqué à son propre fils.
La fête terminée, le week-end suivant à quelques heures de partir en voyage de noces mon mari et son père commentent leurs désespoirs.

- Pourquoi n’avons-nous pas vu venir ni l’un ni l’autre ce qui se tramait sur les chemins de fer, il semblerait qu’un gros investisseur ait su placer son argent au bon moment.
Tu te souviens nous en avons parlé et je n’ai rien fait.
- Moi non plus, ton peu d’enthousiasme m’avait dissuadé de mettre le moindre copec.
- Comment allons-nous faire, il faut que je trouve une solution, sinon j’ignore ou nous irons nager.
J’ai demandé à Édouard de me proposer des solutions pour régler nos problèmes.
Il a des solutions dont la vente de notre hôtel particulier.
Il aurait une solution, nous avons parlé chiffre, pour la vente, il a un pigeon qui veut payer cash, il a le financement.
Je suis d’accord sur le prix de base, il va donner un prix à la personne surévaluée de 20 %.

C’est bien d’être considéré par ces hommes comme des dindes nous les femmes qu’ils prennent pour des quantités négligeables surtout qu’Isabelle a quitté la pièce pour aller se préparer.

Moi, il ne se méfie pas.
Mon portable vibre.
« Je peux vous voir. »
Je vais voir officiellement ma médecin, Isabelle ayant rendez-vous avec Brigitte.

- Édouard qu’avez-vous à me dire.
- Votre beau-père m’a contacté, il veut vendre, je lui ai dit avoir un acheteur, il veut que je vous blouse et que je vous vende 20 % au-dessus du marché.
- Vous venez d’augmenter votre commission, il a parlé à son fils ce matin devant moi.
- Je pense qu’il ne me voit pas, il ne voit pas les femmes de façon générale.
- Il a une vie sexuelle, ce sont les hommes c’est pour ça qu’il vous néglige, mais je dépasse peut-être les droits aux confidences.

Continu pépère, tous ces renseignements vont me servir.

- Pour l’achat de la maison familiale de mon beau-père, dite lui que c’est 10 % en moins tous les mois par rapport à la somme qu’il a dit vouloir percevoir à mon mari.

J’ignore combien, à combien la vente est prévue, mais par cette phrase, je bloque leurs avidités.
Je vais faire bref, c’est fait, sans qu’il le sache, ils sont hébergés par leur propriétaire.
Édouard leur a donné deux renseignements.
Le premier, le propriétaire leur laisse la jouissance moyennant un léger loyer de rester dans cette maison car ce n’est qu’un placement d’argent dans la pierre.
Le lendemain de la vente, je leur tends une perche.

- Messieurs, j’ai compris que vous avez fait de mauvaises affaires, je veux vous aider, j’ai quelques petites économies, je vous donne 5 000 € pour voir qui de vous beau-papa ou toi Paul êtes le meilleur boursicoteur.
Lequel des deux va faire fructifier son argent le plus possible pour nous permettre de vivre la vie que j’ai connue en arrivant dans votre maison.

Ils m’ont regardé avec des yeux d’ahuris, quoi, une femme ça pense !
Et ma belle-mère.
Elle a les menottes sur notre lit, un gode dans la chatte et un plug de 13 dans le cul.
J’ai mis sa tenue de cuir à la Catwoman, la cravache est remplacée par un chat à sept queues s’abattant sur ses seins, c’est mon terrain de prédilection.
Une boule à bouche l’empêche de se plaindre.
C’est la seule à savoir que nous sommes propriétaire de l’hôtel particulier, elle est du peuple, je suis du peuple et nous sommes de bonnes amantes.
J’adore la bourse.

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