Collection Homme Femme. En Famille (4/5)

- Tu m’aimes
- Tu en doutes encore.

Tu m’aimes devant cette boutique de piercing, je prends des risques qui se révèlent vrais.

- Alors, on entre et je t’en fais poser sur tes tétons qui sont assez gros pour les recevoir.
- Mais j’ai peur aussi.
- Si tu refuses, tu me montres que j’ai choisi le mauvais cheval pour que nos vies soient plus intenses.
- Entrons, allons demander comment cela se passe.

Je cède plus à la femme qui a su en une nuit conquérir mon cœur qu’à ma belle-mère.

- Bonjour monsieur, c’est pour mon amie, elle souhaite savoir comment se passe, la pose de piercings sur les mamelons de ses seins qu’elle a fort beaux.
- C’est facile, j’anesthésie, je perce et je place le piercing.
Au bout de quatre heures vous changer le pansement et vous évitez de mouiller pendant plusieurs jours.
Pendant un jour où deux, vous aurez des couleurs bizarres mais sans douleur.
Si vous avez un problème, vous revenez me voir et je vous prends une place aux urgences.
Non, je rigole, tout se passera bien.

C’est comme cela que nous remontons la rue pour aller jusqu’au Moulin Rouge avec mes seins dont les pointes sont comme mortes.
Comme bijoux, nous avons choisi des piercings ronds avec des petits cœurs au-dessous.

- Pour te remercier, je prends des places pour voir la revue.
Il faut aller essayer et choisir ta robe, nous sommes en retard.

Adeline nous reçoit et lorsque je me déshabille, elle est forte étonnée de voir mes seins percés.
Elle se frotte les yeux pensants avoir mal vu hier.

- Bien, je vois que la robe à balconnet est à éviter, trois semaines à un mois pour que vos seins soient redevenus visibles, votre mariage aura été célébré avant.

Qui a raison le vendeur de piercing ou la jeune femme qui vient de s’exprimer ?

- Remets celle-là, je pense que c’est celle qui te va le mieux, je souhaite que tu la choisisses.


- J’aurais préféré l’autre.
- Tu cherches à me contrarier, je te rappelle que je te dois déjà une petite surprise.

Qu’elle surprise, des piercings, une robe différente de celle que j’aurai prise.

Bref, moi qui cherchais un amour un peu plus torride que celui de Paul qui après des débuts prometteurs allant même jusqu’à me sodomiser, les dernières fois qu’il m’a fait l’amour, je comprends que c’est seulement sa reproduction qui l’intéresse.

De retour dans le nid de nos amours, je vais déchanter très vite lorsqu’elle décide de me faire voir à quels jeux elle souhaite jouer avec moi.
Le bas de son armoire est rempli d’objets soit de plaisirs soit de souffrance.
Elle me fait voir, sa collection achetée près de Pigalle dans un des sexes chope qui lui semble très familier m’avouant par là même que ce quartier lui était déjà connu et que la boutique de vêtements affriolants reçoit souvent sa visite.
Pour la boutique de piercings chaque fois qu’elle est passée devant elle a souhaité entrer, mais a toujours reculé.
Elle a fait un transfert sur moi ce qui me fait me retrouver avec mes seins qui me font de plus en plus mal au fil du moment où l’anesthésie finit de faire son effet.

- Tu te sers de tous ces objets sur toi.
- Non, bien sûr, si je me passe les menottes, je me vois mal appelé Robert pour qu’il me détache.
Elles sont là depuis que je les ai achetées espérant toujours m’en servir avec celle qui aura su rejoindre mon cœur.

Je tends mes deux bras voulant être celle-là.

- Merci chérie, j’étais sûr une fois de plus d’avoir fait le bon choix, mais dans mon fantasme tes deux poignets sont attachés aux barreaux du lit que j’ai fait changer pour pouvoir te maitriser.

Elle me conduit sur le lit en profitant pour me prendre par un de mes seins me faisant hurler.
Je veux m’allonger sur le dos, mais elle veut que je repose sur mon ventre.

La salope, elle pense à tout, je suis dans l’impossibilité de bouger et mes seins de plus en plus douloureux me donnent envie une nouvelle fois de hurler lorsque je les pose sur le drap froid.
Je reste le buste cambré, mais dans l’impossibilité de bouger, je dois me résigner à avoir mal.

- Puisque tu as décidé d’ameuter nos hommes, je vais te bloquer la bouche et t’apporter la surprise promise, tu vas aimer.
- Merci chérie.

C’est la seule phrase que je puisse dire sans savoir ce qu’elle va encore imaginer.
Le collier qu’elle me fixe derrière la tête avec une boule dans ma bouche me bloquant les mâchoires et la cravache qu’elle fait passer devant mes yeux me montre l’imagination qu’elle a.
Je me souviens de la femme qui au début de ce récit réclamait plus de sexe hard.
Depuis que Paul son fils est venu s’asseoir à ma table à Rome, Isabelle sa maman, semble avoir compris ma nature profonde.
Elle m’apporte à mon insu se manque que j’exprimais.

- Regarde la surprise promise, chaque fois que tu essayeras de me tenir tête, je t’infligerais une petite séance avec cette cravache sur ton fessier qui pourtant est si jolie.
Vois dans mon autre main, j’ai un martinet que je montrais à Paul lorsqu’il était rebelle comme toi.
Regarde comme j’en ai fait un homme docile, il sait très bien que je viens de lui piquer sa fiancée et il reste stoïque, je vais en faire de même pour toi.

En tournant la seule chose que je peux bouger c'est-à-dire la tête je la vois ranger la cravache mais qui reste une menace et disparaît vers la salle de bain.
Elle en ressort avec une tenue entièrement de cuir noir lui donnant l’allure de Catwoman sans le masque.
La guêpière s’arrête au ras de sa chatte dégageant ses lèvres vaginales avec des cuissardes et des gants montant jusqu’aux coudes et genoux.

- Tu me trouves belle.

Ma bouche étant obstruée, je hoche la tête pour approuver espérant éviter la fessée.
Mon père quand il sortait son martinet lorsque j’étais méchante, me menaçait mais jamais il ne l’a abattu sur moi.
Sa vue suffisait à me calmer.
Isabelle me fait voir qu’elle sait s’en servir et c’est méticuleusement qu’elle applique les lanières à coup très cadencé qui font monter mes larmes à yeux, mais m’apportent aussi la plénitude à laquelle j’aspirais temps.
Je crois que dans mon for intérieur ces lanières toujours promises jamais données ont marqué mon esprit et que j’attendais depuis ce moment celui ou celle qui m’apporterait ses premiers coups de lanière de cuir qui enfin déchire mon cul.
Dans la cuisine, Isabelle m’avait ouvert le monde de la frustration en ce moment avec ces lanières qui tombent bien rythmée une vingtaine de fois, atteignant sa cible quoique je me tortille me montre ma soumission à cette femme ayant pourtant plus de vingt ans que moi.
Les coups s’arrêtent, je l’entends repartir vers la salle de bain et en ressortir avec sa tenue de femme honnête.
Elle m’enlève la boule.

- As-tu aimé ?

Mes mâchoires me font mal à force de serrer la boule avec mes dents sous ses coups de lanières.
C’est par un râle ponctué d’un mouvement de tête que je lui fais comprendre que j’ai aimé.
Elle me détache une main lassant l’autre attaché au lit.

- Je vais rejoindre mes hommes, je leur dirais que tu es fatigué qui dort dîne.

Elle me quitte, je veux profiter de ma main libre pour me retourner, mais c’était sans compter sur les lanières, car lorsque j’y arrive la douleur sur mes fesses n’a d’égale que celle de mes seins.
Je trouve mon salut en me plaçant en chien de fusil et comme Isabelle me l’a dit qui dort dîne.

Dans les jours qui ont suivi me rapprochant de mon mariage l’emprise d’Isabelle est de plus en plus grande et forte.
Des godes qu’elle a de plusieurs modèles plus ou moins gros, plus ou moins grands.
Les godes vibrants caressants et surtout ce que j’ai en ce moment dans ma chatte alors que je fais le dernier essayage de ma robe de mariée me faisant me tortiller chaque fois que je bouge 3 boules de geisha simple.

Boule simple alors que, lorsque nous sommes dans son appartement même au petit déjeuner, elle m’en place deux vibrantes s’amusant à les stimuler grâce à la télécommande qu’elle a dans sa poche de tenue de levée.
Chaque fois que mon corps tressaute Paul lève le nez de son journal boursier se demandant qu’elle mouche me pic.
Quant à Robert seul ses millions d’euros l’intéressent et ce qui peut m’arriver semble lui passer au-dessus de la tête.
Surtout que, depuis huit jours il semble au creux de la vague.
Un ministre ayant parlé de la découverte d’un nouveau gisement pétrolier en Guyane comparée aux énergies renouvelables, a fait grimper les actions que Paul a tout de même achetées.
Ça a entraîné la chute de celle sur les éoliennes prise par mon beau-père remplissant en revanche ma nouvelle carte bancaire en opposition à celle d’Isabelle qui est un tantinet en chute libre.
J’adore les écouter quand Isabelle me permet d’être là au déjeuner car j’apprends très vite le système de la bourse…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!