La Prof.

J'étais en stage à Paris pour trois mois. Le premier Je logeais dans un hôtel près de l'Ecole Militaire. Le matin du premier jour je passe au premier café venu, pour prendre mon petit déjeuner. La salle est comble, le garçon me demande de patienter et rapidement il me dirige vers une table où est une jeune femme. Je m'installe en la priant de bien vouloir m'excuser. Elle me sourit et me souhaite bon appétit. Elle est très blonde, les yeux verts entourés d'un liseré bleu ciel: Un regard qui rend encore plus beau l'ovale du visage. Son accent pied noir montre qu'elle a les même origine que moi. Nous sommes en 1954, en octobre et elle n'est à Paris que depuis la veille. Elle enseigne les maths. moi je travaille dans une boite de recherche pétrole au Sahara. Nous échangeons quelques mots seulement.
Le lendemain matin je la trouve à la même place. Je reviens près d'elle et nous déjeunons ensemble à nouveau, en partant elle me dit à demain. Elle n'avait pas cours le samedi et je de travaillais pas non plus. Elle ne connaissait pas du tout Paris. Je lui proposais de l'emmener faire un tour dans Paris dès le samedi. Elle acceptait.
Dès le matin assez tôt je lui fit visiter les endroits que j'aimais: le quartier du Marais, le faubourg Saint Antoine. A midi nous acpons mandé dans un troquet pas loin de la République. Mais elle voulait aussi les cartes postales: le Sacré Coeur, la Tour Eiffel, l'arc de Triomphe. Nous sommes rentrés par le Champs de Mars et la fatigue venant, nous nous sommes assis sur un banc. J'osais l'embrasser sur la bouche et à ma grande surprise elle acceptait non seulement mes lèvres, mais elle me rendait un baiser extraordinairement sensuel. Devant tant d'expérience je n'hésitais pas à lui mettre une main sur un sein. Elle continuais à m'embrasser. Pour finir, je pose une main sur un genou. Elle me demande d'arrêter là mes investigations et me demande de la suivre chez elle.
Elle habite un logement appartenant à une de ses grands mères qui n'y viens jamais.

La vue y est imprenable: vue sur tout le Paris sud. Mais la vue m'importe peu. Elle me fait entrer, m'embrasse et me dit qu'elle attendait se moment depuis notre première rencontre. Pour moi c'est la même chose: depuis le début je la voyait dans mon lit.
Je la déshabille, elle se laisse faire, d'autant plus que chaque parcelle de sa peau dénudé est l'objet d'un baiser où d'un coup de langue. Une fois en tenue d'Eve, je me mats rapidement nu à mon tour. Je la fais s'allonger sur le lit et, là, elle m'arrête: Attention, je suis vierge mais j'aime jouir, j'en ai l'habitude parce que je me masturbe souvent et y prend toujours beaucoup de plaisir. Mais depuis que nous nous sommes rencontres, j'ai envie de toi pour me faire l'amour et me faire jouir autrement.
Je suis enchanté d'apprendre son désir, mais un peu surpris quand même qu'une fille me parle de ses plaisir aussi ouvertement. Je l'embrasse encore très profond elle répond toujours avec autant d'ardeur Je lui demande d'écarter ses jambes pour tout d'abord lui sucer le con et lui explique que j'aime bien embrasser les fille à leur endroit le plus intime. Elle sait que ça se fait, amis ignore bien sur le plaisir que je peu lui donner. Lentement ma bouche s'approche de son sexe qu'elle ouvre à mes yeux et à ma bouche et ma langue commence un travail de fouille: je lui prends les lèvres de con entre mes lèvres ouvertes. Puis je trouve le clitoris et le prend dans mes lèvres je le suce tant et si bken qu'au bout d'un moment elle se cabre et me dit: je jouis. Suces moi encore. J'obéis mais au bout d'un instant je lui demande de ma rendre la pareille en me suçant. Du coup nous faisons notre premier 69
J'ai peur de jouir dans sa bouche, je lui pose la question elle me répond vaguement oui, ayant le bouche encombrée par ma bite bien bandée. Mon sperme jailli et je craignais qu'elle le rejette, mais non elle le déguste en me disant que le gout lui plaisait bien.
Je lui demande de sa branler devant moi sans honte: elle obéit et pose sa main droite sur le sexe et avec deux doigts, elle se masturbe la clitoris, en me détaillant la phase de ses plaisir du début jusqu'à l'éclatement final.
Elle vois que je bande à nouveau et me demande de la déflorer. J'obéis à sa requette et lentement pose ma pine à l'entrée de son con. J'ai peur de lui faire mal et je rentre très lentement, elle a un sursaut juste au moment ou elle n'est plus vierge. Elle me dit avoir eu un peu mal mais que maintenant elle sent ma bite entière dans le con elle a des sensations extraordinaires, jusqu'au moment ou orgasme monstrueux la prend et lui fait presque perdre conscience.
Un petit répit, mais je ne lui ai pas encore jouis en elle, mise à part dans sa bouche. Pensant, à juste
titre que nous n'allions pas en rester là , je lui demandais de m'offrir aussi son cul. Là aussi, elle se branlait, juste avec deux ou trois doigts, mais pas souvent. elle mis de sa mouille sur le petit trou pour permettre de rentrer facilement. Là aussi je posais simplement mon gland à l'entrée de son jeune cul et lentement, doucement je pénétrais cet orifice resserré. Mais elle se détendait entièrement et sans dommage je pouvait lui limer entièrement son joli petit cul.
Je pensais avoir affaire à une fille simplement désireuse de tirer un coup et j'étais tomber sur la rareté même. Toutes nos relations pendant les mois qui ont suivis étaient de plus en plus tournées vers le plaisir intégral. Elle avait toujours de nouvelles exigences que je parvenait à satisfaire. Il faut bien avouer que de ma part les exigences étaient aussi nombreuses. Nous passions les nuits des vendredi à dimanche à baiser pratiquement sans arrêt, avec l'aide il faut le dire' des vitamines qu'un médecin nous avez prescris à tous les deux.
Mon stage s'est terminé, je suis reparti au Sahara et ne l'ai retrouver que par hasard en octobre 1962. Mais elle était mariée, plutôt mal puisqu'elle me demandait de reprendre nos relations anciennes. Ce que nous avons fait régulièrement et qui fera l'objet d'une suite prochainement

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