Le Prof De La Fac

La première année de FAC m’a laissée de bons souvenirs, mais sexuellement parlant ce ne fut pas le top. J’eu deux petits amis, nous faisions l’amour et moi ma coquine, mais je m’ennuyais vite avec mes amants ; pour une raison simple, les garçons de mon âge que je fréquentais avaient mon âge justement et insuffisamment d’expérience à mon gout et surtout aucune fantaisie. Beaux…sympas…drôles mais mentalement des ados, quant au plaisir à donner à une femme le vide total : préliminaires bâclés bien souvent, aucun érotisme post-coïtus, puis l’acte sexuel qui ne se réduit qu’à la recherche de leur propre plaisir tournant autour d’une, voire deux positions si vous avez de la chance, ponctuées des mêmes phrases stéréotypées du style : « tu la sent bien ? » ou « elle est grosse ma queue hein ?? » et la fameuse quand tout est fini rapidement…trop rapidement !! : « alors c’était bon ? » , puis une fois le préservatif noué et jeté au bord du lit, il vous dit : au mieux qu’il retourne dans sa chambre pour bucher, au pire qu’il rejoint ses potes….
Si bien que je fus vite à la recherche : d’un homme plus âgé !!!! Je voulais connaître cet érotisme poussé à l’extrême , cette sexualité débridée comme dans quelques films vu au cinéma, pas des films X , non ! des films érotiques avec des scènes de nus très softs ou curieusement le sexe de l’homme est banni alors que celui des filles est exposé, mais dont la volupté et l’érotisme sont poussés à l’extrême …j’étais à la recherche du plaisir avec un homme qui prend son temps, qui vous fait monter la température doucement par des mots , des regards, des gestes calculés…qui vous charme et vous laisse penser que vous êtes unique, de l’érotisme au bout de chaque doigt, de la sensualité dans chaque baiser, chaque caresse, l’œil coquin dans lequel vous sentez qu’il ne fera de vous qu’une bouchée mais quelle bouchée… celui avec lequel vous succomberez et tomberez dans ses bras en vous faisant désirer mais si impatiente qu’il se batte avec votre soutien-gorge et ôte enfin votre petite culotte, pour ensuite frotter sa verge sur votre corps en plongeant sa langue dans votre petit buisson ou votre berlingot tout lisse…et cela à chaque fois que vous ferez l’amour !!!
Sauf que dans le milieu étudiant, ils sont peu nombreux ceux-là, soit trop âgés (au-delà du double de mon âge, je m’impose une limite…) soit non libres (être la maitresse cachée attendant que Mr se libère pour me mettre un p’tit coup de 5 à 7 ? non merci…) soit ils ne me plaisent pas…Je sortais peu à l’époque, l’argent ne coulait pas à flot…pour en gagner un peu je faisais du baby-sitting donc peu de chance de trouver mon « old fucker » avec un biberon ou une couche sale à la main….

La fin de semaine je retournais soit chez mes parents soit je restais dans mon studio à réviser seule ou avec des copines ou y passer des week-end pyjamas avec Chloé sauf lorsqu’un des petits copains cités plus haut venait faire un tour dans mon lit !!! Donc, pas simple de trouver mon satyre….
Un jour alors que je m’installais en silence dans l’amphi ou le cours avait commencé, la voix du prof attira mon attention…une voix grave, chaude, suave que je ne connaissais pas. Je levais les yeux et vis un homme, la trentaine avec une allure cool à la fois sportive et décontractée, bien bâti, grand, brun, une barbe de trois jours, tout à fait mon genre !!! le cours se passa à écouter sa voix et analyser ses gestes, mais impossible de me souvenir du contenu… Cet homme m’attirait, je le trouvais séduisant, viril mais pas macho, des gestes surs et mesurés et surtout SA voix qui me caressait les oreilles et la peau, j’en avais des frissons… Mais comment attirer son attention au milieu de 200 étudiants, sans passer pour une « pouffe » ou une folle… : la mini-jupe à ras le bonbon ? pas trop mon genre… faire tomber toutes mes affaires bruyamment ? une chance sur deux qu’il me vire de l’amphi… lui faire des œillades ? au 6° rang il ne verrait même pas si j’ai un bout de salade coincé entre les dents… il me faut une solution…vite ! Comme tous les autres écrivaient à la va-vite un résumé de ce qu’ils entendaient, moi je mis mes coudes sur le bureau, entremêlais mes deux mains, posais ma tête dessus sans rien faire juste à l’écouter, si bien qu’au bout d’un moment son regard se posa plusieurs fois sur moi, curieux et amusé à la fois… gagnée, je l’intriguais il ne me restait plus qu’à l’attirer dans mes filets.
Ce fut la fin du cours, sans le regarder je commençais à ramasser mes affaires, s’il me laisse sortir sans rien dire j’ai perdu, je croisais mes doigts….
- « Mademoiselle ?... Mademoiselle ??, j’aurais reconnu sa voix entre mille, je me retournais l’air de rien… « vous pouvez venir me voir s’il vous plait ! »
YEEEEESSSSSS !!!!! hurlais-je dans ma tête…nonchalamment je descendis les marches jusqu’à lui, m’approchant du bureau ou il s’affairait à ramasser ses livres, les autres étudiants partant rapidement afin d’éviter la queue interminable du resto U…
- « vous avez une mémoire d’éléphant ou mon cours est-il si ennuyeux et inintéressant au point de n’en rien noter ? »
- « Non ! j’ai un dictaphone et j’enregistre, comme ça je peux le réécouter dans ma chambre et prendre ce qui m’intéresse vraiment » lui dis-je avec aplomb…
- « ah oui ! un de ces nouveau appareil qui se déclenche au son de la voix » répondit-il, me détaillant discrètement des pieds à la tête…
Malgré sa discrétion, j’avais vu…toi ! me dis-je, les petites étudiantes ne te laissent pas indifférent, il faut que je sache jusqu’à quel point…
- « et puis cela me permet de réécouter votre voix aussi longtemps que je veux, sans attendre le prochain cours ! » dis-je effrontément en battant des paupières…
Il fallait que j’aille vite, c’était l’heure du repas, le prochain cours était dans une semaine autant dire des mois…Je tentais le tout pour le tout !
- « il faut que je me dépêche, il ne restera plus rien au resto et j’ai une faim de loup »
- « Puis-je vous proposer de m’accompagner dans une brasserie, ainsi vous pourrez entendre ma voix à loisir tout en vous restaurant » dit-il, pensant me « pécho » gentiment, alors que c’était lui la proie…maline l’Amandine non ?
Le piège avait fonctionné, je vous épargnerais la discussion durant le repas mais j’appris qu’il s’appelait : Damien ! 32 ans, séparé sans , mais surtout nous nous sommes donnés rencart samedi soir dans un pub…
Samedi soir… le pub…sympa, dans une cave, un groupe de rock mettait l’ambiance…j’avais mis une jupe, ni trop courte ni trop sage, des Dim-up, un joli top moulant avec un décolleté juste ce qu’il faut pour attirer l’œil sans pour autant faire mauvais genre sur des talons mi- haut galbant mes jambes…la fille sage qui se veut coquine…le piège absolu ! Damien avait de la conversation et je l’écoutais parler, bercée par sa voix, je ne quittais pas ses yeux expressifs et malicieux…c’était un charmeur et il le savait…et puis les cocktails : 1…2…Margaritas, mon cerveau avait déconnecté, la musique ronronnait dans ma tête, le charme de sa voix opérait…Il me prit la main et la caressa doucement (ouf ! il en avait mis du temps !!) curieusement nos échanges se firent plus intimes, il me demanda si j’avais déjà eu un petit ami ou plusieurs, si j’avais couché avec eux (il me prend pour une gamine ou quoi ?) …l’alcool me désinhibant je lui racontais mon intimité, la conversation devenait coquine ….
Sa main remonta vers mon bras, il s’avança et déposa naturellement un doux baiser sur mes lèvres… puis son autre main caressa mon genoux, glissa jusqu’au haut de ma cuisse juste au-dessus des Dim-up là où la peau est la plus douce, je le laissais faire, plus qu’un charmeur un vrai coquin…La soirée se déroulait agréablement, je parlais beaucoup de moi , lui aussi se confiait un peu, combien de cocktails ai-je bu ? aucune idée mais ils coulaient à flot…tout comme nos baisers et ses mains qui s’égaraient sous ma jupe…Plein de malice, il me proposa d’aller boire un dernier verre chez lui. Je fis ma naïve sachant parfaitement où cela m’entrainerait.
Dans la voiture je caressais son entre-jambe, riant et gloussant, parlant de mes amants qui, mis à part le premier, n’avaient pas su exploiter en moi la coquine que j’étais…complètement pompette la fille !!! lui m’écoutait en souriant, amusé de mon état. Je n’étais pas complètement saoule, mais suffisamment pour parler de moi sans retenu…ainsi il sut rapidement tout ce que j’aimais faire aux garçons.
Arrivés chez lui, nous nous installâmes sur le canapé, il ouvrit du Champagne et nous vidions nos verres entre deux baisers et confidences sur mes spécialités, Barry White en fond musical…Le Champagne eut un effet euphorisant sur moi, je l’appris à mes dépends, en fait c’est simple je perdis le contrôle de moi-même…la conversation s’étant dirigé sur les danses érotiques, j’entrepris de lui faire une démonstration d’un striptease finissant en nu intégral. Jamais je n’avais fait ça, je me rendais compte que mon cerveau me faisait faire des choses curieuses, mais sans filtre, aussitôt pensées aussitôt faites, sans aucune résistance. Je me déhanchais lascivement au rythme de la musique, faisant glisser mes vêtements un par un lentement et venant me frotter langoureusement à lui…si j’avais été une danseuse orientale je lui aurais fait la danse du ventre, j’étais comme hypnotisée, dans une bulle de coton mais consciente !!!
Il ne me laissa pas le temps de tous les ôter, me prit sur ses genoux, caressa ma peau et m’embrassa partout…le picotement de sa barbe m’électrisait.

- « le reste je préfère m’en occuper moi-même » me susurra-t-il à l’oreille, il faut dire qu’il ne restait plus grand-chose !
Ses mains parcouraient mon corps, de belles mains douces et fermes, sa bouche me couvrait de baisers, sa langue léchait les parties les plus sensibles de mon anatomie, m’en faisant découvrir de nouvelles, j’avais à faire à un connaisseur. Assise en travers sur ses genoux, mes fesses bien calées entre ses cuisses , je sentais la bosse sous son pantalon, ses mains me découvraient, si douces, si chaudes, si habiles que j’en avais des bouffées de chaleur…il libera habilement mes seins de leur maintien en dentelle, pourtant si léger et si fin…Et, comme s’il lisait en moi, me mit debout face à lui, puis doucement, lentement, tout en me glissant sa langue dans le nombril fit glisser mon string le long de mes cuisses jusqu’à mes chevilles, je l’aidais à le retirer en soulevant mes pieds…cette sensation me rend folle, le glissement de ce bout de tissus sur mes jambes me met en transe… à ce moment-là je m’abandonne complètement, limite soumise à mon partenaire. J’étais nue face à lui, ne gardant que mes Dim-up, lui me faisant tourner sur moi-même en détaillant mon anatomie….
Il me souleva, me pris dans ses bras, je me sentais petite fille, et me déposa doucement sur le canapé. Tout en ôtant sa chemise, il glissa sa langue sur mon corps, c’était chaud, humide, délicieux, je creusais le ventre et me mordais les lèvres…
Son torse était velu mais pas trop, une toison douce…il continuait à me lutiner, une main se fraya un passage entre mes cuisses que j’écartais un peu, la paume de sa main se posa sur mon pubis, je me dis à ce moment-là : « tu as atteint le point de non-retour », il glissa un doigt entre mes grandes lèvres puis poussa les petites et rentra dans ma vulve trempée tout en mordillant la pointe durcie d’un de mes seins la faisant rouler sur ses dents, ma poitrine se souleva, un deuxième doigt me pénétra, ma cyprine coulait grâce à ses va et viens dans mon ventre…J’avais envie de lui, de sentir son sexe en moi, de me laisser aller à ses coups de reins jusqu’à l’orgasme…Mais il prenait son temps, j’étais prise au piège de ma propre envie.
Il ôta son jeans, nu au-dessus de moi, je m’enivrais de son odeur, à califourchon il glissa son sexe entre mes seins, les pressant avec ses mains sur sa bite, je soulevais la tête essayant de gober le gland entre deux aller et retour, il se frotta longuement, moi suçotant au passage le bout de son sexe tendu…Il se leva, mis ma tête sur l’accoudoir et vint se placer derrière, posa son sexe sur mes lèvres et rentra dans ma bouche pour une pipe à l’envers, mes yeux face à ses testicules…sensation extraordinaire surtout lorsqu’il s’enfonça jusqu’au fond de ma gorge , la déglutition est presque naturelle dans cette position, aucune résistance jusqu’à ma luette. M’attrapant les têtons à pleine main, il me baisait doucement la bouche, ses bourses venant taper sur mes lèvres dans une fellation baveuse ou je m’étouffais. Il se retirait par moment, pour mieux replonger. Ses va et viens étaient lents et doux, je savourais cette gâterie…
-« ta bouche est une pure merveille » me dit-il en me faisant gober ses boules une par une, et replongeant entre mes lèvres…
J’avais la tête qui tournait, enivrée d’alcool et de stupre, le corps brulant, je ne le voyais plus, il était un sexe géant à l’écoute de mes envies. Je repris les choses en main, le fis assoir sur le canapé, et, allongée sur lui ,j’entrepris de lui faire la pipe de sa vie…Je ne m’étais jamais autant appliquée, tous mes talents y passèrent, alternant douceurs et gloutonneries dans une dégustation totale…ma langue glissant de son gland jusqu’à son scrotum, remontant le long de sa tige, léchant la base du prépuce en y faisant le tour tout en le regardant droit dans les yeux plus coquine que jamais, le plongeant entièrement dans ma bouche gourmande et le gardant au chaud longuement…il devint fou ! je le savourais, le dévorais, le dégustais, son membre gonflé dans ma bouche était une confiserie, surexcitée de ma lubricité amplifiée par ses râles je ne me rendis compte de rien lorsqu’il se leva , me mit à genoux sur le canapé la tête sur le dossier, dans une levrette ou il me pénétra d’une seule poussée… Ses mains sur mes hanches, il allait jusqu’au fond de moi dans un rythme idéal, ses testicules s’écrasant sur mes fesses, son pouce se glissant dans mon anus, son autre main claquant mon postérieur, j’eu mon premier orgasme…quel amant !!
Je ne feulais plus, je criais…nous fîmes l’amour longtemps et dans toutes les positions inimaginables, à la fois sensuelles et fougueuses mes orgasmes me faisant exploser les tempes, nos corps dégoulinant de sueur…Pas de répits entre chaque position, j’étais plus que brulante, mon corps était un appel au désir. Son sexe me fouillait le ventre, je me ruais parfois sur sa queue bouche grande ouverte dans une fellation torride et il me reprenait debout contre le mur ou couchée sur le canapé les jambes écartées le bassin animé de spasmes.
Il m’entraina dans son lit…
- « tu es chaude comme la braise ! es-tu prête pour une nouvelle expérience ? » me susurra-t-il à l’oreille…
Dans l’état ou j’étais, alcool plus plaisir, j’aurais dit oui à tout…ce que je fis, devinant ce qu’il voulait, ne pouvant rien lui refuser vu le nombre d’orgasmes qu’il m’avait donné. En cuillère, il posa son gland à l’entrée de mon petit trou trempé de salive, malgré la crainte je n’étais pas tendue, curieuse de ce plaisir tabou…Je sentis chaque millimètre de son sexe forcer délicatement le passage étroit, petite douleur mais moins que je ne l’aurais cru, il était doux ! Une fois le gland rentré, le reste passa tout seul, il ne bougea que complètement en moi…Sensation bizarre, de ce membre épais dilatant mon anus, de frottements pas si désagréables en fait, mélangés à un curieux sentiment de culpabilité ! Je n’eus pas vraiment d’orgasme cette première fois, juste une sensation d’abandon total, de chair dilatée, de douleur mêlée au plaisir de soumission à la fois ravie et soulagée lorsqu’il jouit en moi de longues salves chaudes, en me serrant fort dans ses bras ...Nous restâmes ainsi longuement, son sexe se dégonflant petit à petit dans mon petit cul.
L’alcool s’étant dissipé, je pensais avec amusement que maintenant j’étais ouverte de partout, grâce à un amant merveilleux, mais réalisant avec effroi qu’il n’avait mis aucun préservatif en sentant son sperme dégouliner de mon orifice lorsqu’il se retira…ma crainte fut rassurée lorsqu’il me dit qu’il avait fait un test négatif au HIV de moins de 3 mois et aucune partenaire depuis, et toi me dit-il ??????

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