Les Fiançailles De La Princesse

Il était une fois un jeune roi, qui était monté sur le trône de son royaume depuis très peu de temps. Son jeune âge, son physique d’Apollon, sa vive intelligence et son humeur espiègle le rendaient irrésistible aux yeux de bon nombre de femmes, si bien qu’il préféra s’amuser avec elles plutôt que de songer au mariage. Il organisa de grandes fêtes, où les plus belles jeunes femmes du royaume étaient invitées, et parfois plusieurs jours se passaient en festivités et en débauche.
Il devint clair, pourtant, que le roi devait se marier. Il chercha avec l’aide de ses conseillers la compagne idéale. Il se trouva dans un royaume voisin, une fille de roi, jeune, ravissante, et réputée pour son caractère et son esprit. Le roi envoya sa demande par messager, et la réponse fut positive. Pendant un temps, le roi et la princesse échangeaient des lettres, chastes et bien tournées, et le roi se résigna à mener une vie calme aux côtés de cette jeune fille. Il possédait d’elle un portrait, où elle regardait dans le vide, l’air grave, les mains sagement croisées ; on devinait cependant sous le tissus brillant de sa robe, une poitrine jeune et ferme, deux fruits encore à tout homme défendu. Le roi se félicitait d’être le premier à y goûter et se prit à attendre le jour des fiançailles avec une impatience grandissante, pour voir enfin la princesse.
Il était convenu que la princesse arrivât au palais accompagnée des ses suivantes.
Le roi dut se retenir pour se conformer à la bienséance ; elle fut accueillie par les domestiques et conduite à ses appartements. Le roi ne la verrait que le soir au dîner. Celui-ci allait être simple : une seule table en demi-cercle allait être installée dans le salon privé du roi, pour accueillir les hommes et les femmes des suites des fiancés, qui leur étaient le plus proches.
Fébrile, le roi attendait l’arrivée de la princesse dans le salon, entouré de ses amis. Elle entra.
Elle était petite et frêle, les cheveux relevés, en robe de fête.

Un sourire illuminait son visage et son regard caressa tous les hommes présents, sans jamais glisser au sol dans un moment d’embarras. Trois jeunes femmes l’accompagnaient, qui n’avaient pas beaucoup à envier à la beauté et à la grâce de la princesse.
L’on s’installa. Au dessert, les fiancés se levèrent et partagèrent devant tous le verre de vin rituel, qui scellait symboliquement leur engagement ; le roi vit les yeux de la princesse vaciller un court instant, lorsqu’elle porta le verre à ses lèvres. Lorsque les fiancés se rassirent, le ton de l’assemblée devint plus délié.
La princesse soupira, ce qui souleva sa poitrine d’albâtre enfermé dans sa robe. Le roi ne put en détourner ses yeux et posa sa main sur sa cuisse.
- Le roi est bien timoré ce soir ; nous l’avons connu plus entreprenant. La princesse vous impressionne-t-elle ?
La princesse partit d’un rire sonore. Le roi répondit :
- Je devrai passer ma vie aux côtés de madame, je dois faire bonne image.
- C’est pour cela, sans doute, que votre main caresse mon genou ?
- Sans doute, repartit le roi en retirant sa main.
- Dites-moi, sire, à quoi bon avoir un lit dans son salon ?
Il y avait en effet derrière la table un grand lit dont le baldaquin était soutenu par quatre piliers.
- Mais à recevoir ceux de mes invités qui se sentent fatigués.
- Quelle bonne idée ! Lisette est souvent fatiguée après le repas !
Tous les regards se tournèrent vers la suivante, qui était en train de mordre dans une fraise. Elle avala le fruit et lécha ses doigts, en souriant.
- Elle peut poser sa tête sur l’épaule de son voisin de table, dit un ami du roi.
Lisette ne se fit pas prier et répondit à l’invitation.
Le roi avait saisi la main de la princesse.
- Madame, à vous regarder, j’ai peur d’être trop impatient d’être au jour de notre mariage.
- Voyons si je peux vous faire patienter.
Elle s’approcha de lui, et posa ses lèvres sur celles du roi.
Il sentit sa langue contre la sienne avant de se rendre compte de ce qu’il répondait à son baiser. La poitrine de la princesse s’écrasait contre son torse, et il maudit les vêtements qui séparaient leurs peaux. Ses mains caressèrent le dos de la princesse.
Du coin de l’œil, le roi vit Lisette laisser son voisin passer la main sous ses jupes ; une bosse se formait dans le pantalon du jeune homme. C’est alors que le roi sentit –oh surprise ! – une main glisser entre ses mâles cuisses. Le baiser n’était donc pas si chaste.
La princesse se recula, sans quitter le roi des yeux. Il regarda autour de lui. Lisette était maintenant à genoux devant son voisin de table, lui ouvrant le pantalon. Un énorme membre en sortit, et elle le lécha goulûment. Les deux autres suivantes s’étaient elles aussi approchées d’hommes de sa suite et se livraient à des jeux pour le moins coquins. L’une guidait la main d’un jeune homme entre ses cuisses, au vu de tous puisque sa jupe était largement relevée, l’autre était assise sur les genoux d’un jeune comte et bougeait les hanches dans un rythme suggestif. Le roi se lev a et demanda à la princesse d’en faire autant. Il la saisit, l’embrassa violemment, et délaça un peu sa robe dans le dos. Puis il plongea la main dans son décolleté et sentit enfin cette peau si douce, ces tétons si durs dont il avait rêvé.
Un soupir de plaisir se fit entendre. Il ne venait pas des lèvres de la princesse qui pourtant respirait rapidement, mais d’une de ses suivantes qui chevauchait maintenant son compagnon. La princesse laissa échapper un rire de gorge : « Déshabille-toi, qu’on puisse en profiter ! »
La jeune femme se leva, ôta sa robe sous laquelle elle était nue, et retourna s’empaler sur le membre plein de désir de l’homme, qui lui administra une claque sur les fesse. Comme il la maintenait par les hanches, elle se pencha en arrière et l’on vit ses petits seins ballottés et sa main qui caressait son propre corps.
- Et toi, dit le roi à la princesse, tu sais faire pareil ?
Il l’attira vers le lit, s’assit, et passe les mains sous la robe de la princesse debout devant lui.
Il remonta le long de ses cuisses, tout en haut, et constata qu’elle aussi était nue sous sa robe.
- Moi, monsieur, je me dois de rester vierge jusqu’au mariage.
- Tu es mal partie pour ça, susurra le roi.
- Lisette !
Lisette s’approcha, sourire aux lèvres, la robe descendue jusqu’à la taille.
D’un regard elles se comprirent. Elles déshabillèrent le roi de leurs doigts habiles et doux et le firent s’allonger d ans le lit. Elles lui saisirent ensuite les bras et l’attachèrent aux piliers. Puis, Lisette ôta la robe de la princesse, révélant centimètre par centimètre son corps de jeune fille. La princesse s’approcha du lit, y monta, et se pencha sur l’érection du roi.
Elle la saisit d’une main et, doucement, la branla. Puis elle approcha sa langue et lécha le membre lentement, avant de l’engloutir. Il vit, étonné, ces lèvres glisser sur son phallus, ces mains caresser ses couilles, il se sentit enveloppé de la chaleur humide de cette bouche, et eut peur de jouir trop vite. Elle le sentit et se recula en secouant la tête. Elle se leva et se mêla aux autres invités. Elle revint quelques instants plus tard tenant par la main un jeune homme dont la queue avait pris des proportions impressionnantes. Elle se mit à genoux et le suça devant les yeux ébahis du roi, qui, au lieu d’être dégoûté par un tel spectacle, n’en fut que plus excité.
- Viens sur moi, je t’en prie, viens.
La princesse fit un geste de la main, et Lisette s’approcha du roi. Elle le suça avec application, tandis qu’un autre jeune homme se présenta derrière elle. Il la pénétra et elle fit glisser le roi encore plus loin dans sa gorge. Mais le roi n’avait d’yeux que pour sa fiancée qui pompait cet autre homme. Elle allait plus vite, plus vite, et l’autre, gémissant, retenait sa tête et lâcha dans un râle toute sa semence. La princesse le repoussa, alla boire une gorgée de vin, et revint regarder le spectacle de Lisette qui suçait le roi. >Elle porta la main entre ses cuisses et se toucha cette petite perle rose et gonflée qui rappela au roi une framboise mûre et sucrée.
Il souffla :
- Laisse-moi te lécher, viens sur moi.
Cette fois elle obéit, se plaça au-dessus de la bouche du roi, et laissa sa langue l’exciter. Elle présenta à ses lèvres les parties de son corps qui désiraient la douce langue du souverain, et elle laissa échapper de petits soupirs. Mais ce fut Lisette qui, lâchant le sexe du roi, cria : « Oh oui, va plus loin, je vais jouir ! »
Et criant, se cramponnant aux draps, elle jouit sur la bite de l’ami du roi.
La princesse se plaça à quatre pattes sur le roi, qui était à deux doigts d’exploser de plaisir.
Elle frotta sa chatte mouillée du jus d’elle, sur la bite enduite de salive du roi. Un mouvement de plus et il glisserait en elle sans difficulté. Il monta le bassin mais elle recula, descendit, le prit en bouche, remonta, et frotta de nouveau sa chatte contre lui. Son gland était à son entrée et glissa de deux millimètres en elle.
- Vous méritez une épouse vierge, Monsieur, dit-elle, et se leva.
Elle se plaça contre le pilier, à portée de main si le roi avait pu bouger, et appela Lisette. Celle-ci glissa à ses pieds, et lécha la princesse. Le jeune homme que la princesse avait sucé arriva et se mit à lui caresser les tétons. La princesse se mit à gémir de plus en plus fort, jetant au roi des sourires triomphants. Les mains de Lisette remontèrent vers ses fesses, et un doigt s’immisça dans le petit trou de la princesse qui se mordit els lèvres. Sa bouche s’ouvrit, ses yeux se fermèrent et d’un coup elle fut saisie des convulsions d’un violent orgasme. Elle se pencha en avant en hurlant son plaisir.

Puis, Lisette la rhabilla, et les deux autres suivantes, satisfaites elles aussi, se joignirent à elles. La princesse se pencha sur le roi, avec un sourire de miel, et l’embrassa.
- J’ai hâte d’être mariée à vous, monsieur. Souffla-t-elle.
Puis elles se retirèrent dans leurs appartements pour se rafraîchir avant de reprendre la route.
Le roi, enfin délié, fit venir la première fille de cuisine qui passait par là et relevant ses jupes, la pencha en avant et la baisa à grands coups de butoir, jusqu’à jouir loin en elle, pensant encore aux doigts, aux lèvres, au cul de sa fiancée. Et à cette merveilleuse chatte mouillée, si généreuse, si avide de le prendre en elle. La rage lui serra le ventre quand il déchargea sa semence, et il lâcha aussitôt la domestique et s’enferma dans sa chambre. Il prit le portrait de la princesse, et chuchota avec colère, excitation et admiration : « Tu verras, le soir de notre mariage. Tu ne perds rien, absolument rien, pour attendre. »

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!