Mon Initiation À La Soumission (1)

J’ai rencontré Luc à la piscine. Il me plaisait bien et je ne pouvais m’empêcher de le regarder, discrètement cependant, car je suis plutôt du genre timide. Il s’en est aperçut quand même, me faisait quelques sourires de temps en temps que je lui rendais en rougissant.

Il était avec un ami et je pensais que ça n’irait pas plus loin. A un moment on s’est croisé en nageant et sa main a frôlé ma cuisse, ce qui me fit un certain effet. Nous nous sommes recroisés peu après et sa main ma effleurée des épaules aux fesses. En même temps il m’a dit : « Je vais aux vestiaires, suis-moi ».

Il est sortit de l’eau et s’est dirigé vers les vestiaires. Je ne savais plus si je devais le suivre ou pas. J’étais à la fois attirée et j’avais peur. Je suis resté dans l’eau.

Il est revenu 5 mn plus tard, et s’est remit à nager sans même me regarder. On s’est de nouveau croisé, mais il m’a totalement ignorée. Je m’en voulais d’avoir laissé passer ma chance. Je suis plutôt banale et les hommes ne me regardent généralement pas. Seule depuis 3 ans, je venais de tout gâcher, par ma timidité.

Il est ensuite sortit de la piscine pour regagner les vestiaires. J’aurais voulu le suivre, lui parler mais il était avec son ami, je n’ai pas osé.

Je suis sortie de la piscine dépitée, mais mon cœur s’est très vite remit à battre en l’apercevant, seul, sur le parking. Je me suis dirigé vers lui, instinctivement, sans qu’il ait fait le moindre geste. Je lui ai simplement dis « je regrette de ne pas vous avoir suivi tout à l’heure »

Il m’a juste répondu « oui, tu m’as désobéit. Soit ici, ce soir à 20h. Je te donnerais la fessée »
Je suis restée bouche bée. Il est partit.

Ma journée a été un enfer. De nouveau tiraillée entre le désir de le revoir et la peur de l’inconnu. Plaisantait-il au sujet de la fessée ?

Finalement, j’y suis allée. Il faisait presque nuit et le parking était désert.

J’étais un peu en avance. Debout contre ma voiture, je guettais les voitures. Il est arrivé à pied dans mon dos et ma surprise. J’ai sursautée. Il m’a simplement dit « prête pour la fessée ? »

J’ai rien dis. Juste un sourire, croyant toujours qu’il plaisantait et ne mettrait pas ses menaces à exécution.

« Tourne toi, pose les mains sur le capot de ta voiture »

Là, je ne souriais plus et lui dis « je n’aurais pas du venir, oubliez-moi ». Il m’attrapé par le poigné au moment où j’ai voulu remontée dans ma voiture. Il m’attirée vers lui, m’a prise dans ses bras et m’a embrassée longuement sur la bouche, très tendrement, tandis que sa main caressais mon dos. J’étais conquise et excitée.

Puis il m’a dis : « Maintenant sois tu me fais confiance et tu poses tes mais sur le capot comme je te l’ai demandé, sois tu te casses et tu ne me reverras jamais »

Cette fois j’ai obéis. Je me suis mise en position.
« Ne bouge pas »

Il m’a fait patienter au moins 2 minutes sans rien dire. Je me sentais mise à l’épreuve et plus le temps passait plus je pensais qu’il ne faisait rien d’autre que de me tester.

Puis sa main a soulevé ma jupe ample, la remontant sur mes reins. Je n’ai rien fait.
Puis sa main a tiré ma culotte sur mes genoux. Je n’ai rien fait.
Puis sa main a claqué fort sur mes fesses et je n’ai rien dit.

Il a frappé 10 fois. Puis m’a demandé d’écarter les cuisses. J’ai sentis son doigt glisser sur ma fente. J’étais trempée.

Il a remis mes vêtements en place, m’a aidée à me relever et m’a glissé son doigt trempé de ma mouille dans ma bouche en me disant « suce ! ».

Mon excitation était à son comble. J’aurais voulue qu’il me prenne là tout de suite, mais il s’est contenté de me dire « rentre chez toi et branle toi en pensant à moi » puis « sois ici demain soir à la même heure, nue sous ton manteau ».

Il est partit. J’étais folle d’excitation, folle d’être abandonnée comme ça et terriblement excitée.
Dans la voiture je serrais et desserrais les cuisses, impatiente d’être chez moi. Je crois n’avoir jamais été si vite pour monter à mon appart, me déshabiller et m’allonger sous la couette.

Ma main a vite trouvé mon clito et je me suis fais jouir très vite tellement j’étais excitée. Mais contrairement à d’habitude j’étais encore excitée après l’orgasme, par les images de la scène que je venais de vivre et qui repassait en boucle dans ma tête.

De nouveau, je me suis caressée mais mon clito était trop sensible. J’avais envie d’autre chose. J’ai essayé de me mettre un doigt dans la chatte, mais ça ne me faisait pas l’effet escompté. Alors je suis allée à la cuisine, à la recherche d’un objet que je pourrais m’enfiler dans le sexe. C’est quelque chose que je n’avais jamais fait, mais j’en ressentais le besoin maintenant et il me fallait quelque chose.

Après avoir ouvert quelques tiroirs, j’ai enfin trouvé l’ustensile qui avait la forme voulue. J’ai posé un pied sur une chaise de la cuisine et me le suis enfilé sans attendre puis je me suis baisée avec de grands va et vient jusqu’à jouir, à en perdre l’équilibre.

Je suis repartie dans ma chambre et me suis endormie presque immédiatement. Je me suis réveillée vers minuit et j’ai mangé un morceau. J’ai repensé à ma folle soirée et me suis mise à me caresser plus longuement. Je sentais l’odeur de mon sexe remonter à mes narines, ça m’excitait énormément. J’ai jouit de nouveau avant de me recoucher.

Le lendemain je me suis réveillée en pensant à lui, et j’ai du lutter pour ne pas me masturber. Je devais aller travailler et j’étais déjà en retard.

Toute la journée m’a parue durée une éternité. Une seule chose m’intéressait : Le rendez-vous de ce soir. J’étais dans mes songes et je mouillais ma culotte rien qu’en repensant à la veille.

A suivre...

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