Mon Initiation À La Soumission (2)

Le lendemain je me suis réveillée en pensant à lui, et j’ai du lutter pour ne pas me masturber. Je devais aller travailler et j’étais déjà en retard.

Toute la journée m’a parue durée une éternité. Une seule chose m’intéressait : Le rendez-vous de ce soir. J’étais dans mes songes et je mouillais ma culotte rien qu’en repensant à la veille.

J’étais à l’heure dite sur le parking toujours désert. Je n’avais pour seul vêtement qu’une veste longue qui m’arrivait à mi-cuisse et des escarpins aux pieds. Il est arrivé à pieds quelques minutes après moi.

J’aurais voulu qu’il m’embrasse comme la veille. Mais il m’a simplement dit « bonjour » et « en voiture, j’ai faim !».
Nous sommes montés dans ma voiture. Il m’a indiqué la route puis m’a demandé de me garer devant un restaurant chinois. Visiblement il était fermé, mais il a frappé sur les grilles et un homme est venu nous ouvrir avant de refermer la porte derrière nous.

L’homme, petit et bedonnant, salua très amicalement mon amant, mais m’ignora totalement. Il dit ensuite quelque mot dans sa langue et une jeune femme chinoise, en tenue de serveuse, est apparue.

En silence, elle nous invita par un geste à la suivre. Je me sentais mal à l’aise. On nous guida jusqu’au fond de la salle, à une table.

La serveuse me proposa de prendre mon manteau. Je lui fis signe non de la tête mais Luc lui demande de m’ôter mon vêtement.

Je n’ai pas osé protester. J’ai défait lentement la ceinture qui retenait l’habit, puis elle m’a aidé à l’enlever, et resta comme paralysée en découvrant ma nudité.

Je me suis rapidement assise, pour cacher ma nudité entre la chaise et la table. La serveuse nous a donné les menus. Elle ne cessait de me regarder. Elle en bafouillait en nous donnant des précisions sur le menu.

Luc a commandé pour nous deux, des assortiments d’entrées. La serveuse est repartie et c’est l’homme qui est venu nous présenter la carte des vins.

L’homme me regardait avec insistance me rendant très mal à l’aise. Luc a choisi rapidement en disant à l’homme :

« Je souhaite que votre serveuse reste près de notre table toute la soirée, remplisse nos verres chaque fois qu’ils seront vides et veille à ce que nous ne manquions de rien »

L’homme acquiesça en silence. Il cria quelques mots que je ne compris pas, mais le ton était sévère. La serveuse est revenue vers nous dans la minute pour servir le vin et se planta à 2 ou 3 mètres de nous, toujours le regard fixé sur ma nudité.

Luc me demanda si je n’avais pas froid. Paradoxalement non : soit parce que j’étais dos au radiateur, soit parce que la situation m’excitait malgré moi.

Puis Luc me demanda de raconter ce que j’avais fait hier soir. Je voulu lui faire un résumé à voix basse, mais non seulement il me demanda de parler fort (pour que la serveuse n’en perde pas une miette) mais en plus il me posa pleins de questions, exigeant détails et précisions.

Mon récit ne lui cacha finalement rien de la réalité, et me dévoiler ainsi devant 2 personnes m’excita au plus haut point.

Heureusement l’arrivée des plats et le début du repas me permirent de reprendre un peu mes esprits.

En attendant le dessert, je dus de nouveau parler de moi et plus précisément de ma vie sexuelle. Elle se résumait à quelques expériences, pour le mieux sans intérêt, pour le pire, plutôt ratée. Luc me questionnait sans cesse sur le moindre détail, me forçant à dire des mots crus que je n’osais habituellement que dans mes fantasmes.

Il est assez doué pour faire dire ce que vous avez envie de cacher et je finis même par lui avouer en détail une expérience que j’avais partagée avec une femme étant jeune.

A l’époque, cette femme de 15 ans mon aînée, une prof de lycée, avait profitée de ma naïveté et de son autorité, pour me faire faire un 69 avec elle..

De nouveau j’étais excitée, simplement de parler de sexe, devant lui et cette serveuse.
Je me trémoussais sur ma chaise et il s’en aperçut. Il me demanda ce que j’avais. Je trouvais une excuse en lui disant que je voulais aller aux toilettes. Il demanda à la serveuse de me conduire aux toilettes, et me dis :
- « tu laisseras la porte des toilettes grande ouverte afin que mademoiselle ne te quitte pas des yeux »

Je restais immobile, paralysée par cette nouvelle demande.

- « File aux toilettes ! »
- « Non… je ne pourrais pas »
- « Comme tu voudras ! Mademoiselle, apportez-lui son manteau.»
La chinoise me rapporta mon manteau. Je me sentais ridicule, honteuse d’avoir gâchée cette soirée. Je refusais le manteau et demandais à la jeune femme de m’accompagner aux toilettes.

Elle me regarda sans retenue. Pétrifiée, je n’arrivais pas à uriner. Il me fallut au moins 5 minutes pour y parvenir. Mais cette situation m’excitait. En fait si j’avais été seule je me serais fais jouir en quelques caresses. Je devinais dans le regard de la fille une certaine excitation. Je n’ai pas osé lui parler.

Enfin j’ai réussi à pisser. Je me suis relevé et je rejoignais la table. Un paquet cadeau m’attendait. Je l’ouvrais. Il contenait 2 objets : un gode et un martinet.

Luc me dit :

- « Je vais te fouetter pour m’avoir dit non tout à l’heure et ensuite tu te feras jouir avec ce gode. Lève toi et prend appui sur la table »

En silence, je me suis exécutée. La punition a été longue et sévère. Les coups de martinet étaient nettement plus douloureux que la fessée de la veille. Pourtant mon sexe mouillait abondamment jusqu’à dégouliner le long de ma cuisse.

Quand les coups cessèrent, Luc me tendit le gode, me demandant de me branler avec en mettant un pied sur la chaise et en me regardant toujours droit dans les yeux.
Malgré sa taille le gode est rentré sans difficultés. J’ai tout de suite ressentie un plaisir immense et pour la première fois de ma vie j’ai hurlée mon plaisir devant des spectateurs.


Luc m’a ensuite de nouveau fait prendre appui sur la table. J’ai cru qu’il allait me fouetter de nouveau mais c’est sa bite que j’ai senti contre mes fesses.

Et pour la première fois de ma vie, je me suis faite enculée, et la surprise de cette sensation passée, j’ai de nouveau jouie.

Quand j’ai retrouvé mes esprits, j’ai vu que le chinois bedonnant, aussi était là, et sa serveuse était à genou en train de le sucer en silence, comme résignée. Luc m’a demandé de la déshabiller. Je lui ai ôté son chemisier puis son soutien gorge, dévoilant une poitrine menue. L’homme en a profité pour me peloter sans vergogne. Puis je me suis accroupie pour enlever la jupe de la chinoise.

Luc m’a demandé de la faire jouir. Je me suis placée à genou dans son dos et j’ai commencé par lui caresser les seins. Puis l’une de mes mains est descendu jusqu’à sa chatte. Elle était imberbe et très douce à caresser. Comme moi sa chatte était trempée.

Elle resta totalement silencieuse sous mes caresses mais je sentais son corps se crisper contre moi et ça m’excitait de plus belle.

J’accélérais la cadence de mes caresses sur son clito et elle finit par se lâcher, jouissant dans un long râle, lâchant la queue qu’elle avait en bouche.

L’homme n’apprécia visiblement pas cet abandon. Il l’attrapa par les cheveux, l’a forçant à se courber sur une table. Ecartant les fesses de la chinoise sans ménagement, il lui planta sa bite au creux de son intimité et la baisa avec ardeur.

Luc vint dans mon dos et me couvrit de baiser dans le cou et sur mes épaules tandis que j’observais le spectacle de baise. De nouveau mon sexe coulait d’excitation et j’aurais voulu que Luc me prenne. Cependant, dès que l’homme jouit, Luc me demanda d’aller le sucer.

Cet homme me répugnait et je fis signe non de la tête. Luc me gifla et m’ordonna de partir. Comme je restais immobile, il me lança mon manteau et me hurla de foutre le camp.

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