Mon Initiation 1 : La Fellation

J'étais jeune et inexpérimenté à l'époque. C'était début juillet, les vacances scolaires venaient de commencer et il faisait beau. Mes parents travaillant, je me retrouvais seul la journée pour un mois entier ce qui me laissait toute liberté de faire ce que je voulais. C'était le premier jour des vacances et je m'étais levé tôt. Après un petit déjeuner au calme et une bonne douche, je tournais un peu en rond dans la maison en me demandant ce que je pourrais bien faire de ma journée. Je ne m'étais pas encore habillé, c'est pas que je sois exhibitionniste mais j'aime bien la nudité, elle me donne un sentiment de liberté et de bien être que je n'ai pas avec des vêtements. Au bout de quelques minutes, je passais devant la chambre parentale et là me vint une idée: pourquoi ne pas faire une petite visite dans le tiroir à sous vêtements de ma mère? Je me suis jeté dessus comme la misère sur le monde et j'ai très vite déniché une petite culotte en satin noire et une paire de bas de la même couleur. Je m'admirais dans le miroir de la penderie quand j'entendis sonner à la porte. Je ne pris pas le temps d'enlever ma lingerie, j'ai juste passer un jean, un tee-shirt et une paire de chaussette pour répondre (en toute décence) à l'importun qui venait me déranger. Et là ce fut la surprise, il s'agissait de mon meilleur pote d'un an mon aîné et de sa mère. Cette dernière m'expliqua rapidement que son fils passerait tout le mois de juillet avec moi en ajoutant que ma mère était au courant. Elle déposa donc son sac et partit en vitesse nous laissant tous les deux.
 
D'un coup, je me suis senti super mal, non pas que je n'apprécie pas mon ami ,bien au contraire, mais je me demandais comment j'allais faire pour retirer mes sous vêtements sans qu'il le voit. Ce qu'il faut savoir sur mon pote et moi, c'est que dès que nous sommes tous les deux, nous mettons un porno dans le magnétoscope et nous nous branlons mutuellement. Nous étions très complices à ce niveau là mais nous n'avons jamais été plus loin que la branlette.

Nous étions donc là comme deux cons et, comme à l'accoutumé, il se dirigea vers la télé pour lancer sa cassette préférée. J'ai profité de ce moment pour prétexter une envie pressante et filer aux toilettes. Je ne me suis jamais déshabillé aussi vite de ma vie, j'ai quitté mes vêtements en deux temps, trois mouvements et (à regrets) ma lingerie à la vitesse de l'éclair. J'ai planqué cette dernière du mieux que j'ai pu et j'ai entrepris de me rhabiller. C'est à ce moment là que la porte s'ouvrit en grand. Il ne trouvait pas la cassette et venait me demander où elle était. Je n'avais pas verrouillé la porte et je me suis retrouvé complètement à poil devant lui. Me voir dans le plus simple appareil n'était pas une nouveauté pour lui mais il fut surpris par cette situation, en général, quand on va aux toilettes, on baisse seulement son pantalon, on n'enlève pas l'intégralité de ces fringues. Je lui demande de patienter un instant le temps que je passe quelque chose sur moi mais il me dit de rester comme ça, que ça ne le dérangeait pas, au contraire, il préférait.
 
Il me prit par la main et m'emmena dans le salon. Il me demanda de sortir la cassette car il ne l'avait pas trouvé. J'étais un peu gêné car je devais me mettre à quatre pattes pour la sortir et ça lui donnerait une vue imprenable sur mon cul et mon petit trou. J'hésitais un moment puis je finis par me décider devant son insistance. Je m'exécutais donc et le cochon en profita pour me caresser les fesses avec douceur. Instinctivement, je tendis encore plus mon cul pour qu'il continue tellement ses mains me donnaient des frissons. Je mis volontairement 2 à 3 minutes pour trouver la cassette et je finis par me relever. Je voyais à travers son jean qu'il bandait comme un âne et à la l'inverse de moi, lui en avait une grosse et épaisse. Je préparais donc le film et le lançais. Il en profita pour se mettre nu et s'installer à côté de moi dans le canapé. Sa queue était déjà bien tendue et elle me donnait envie.
Le film commença et il n'y eu pas de préambule: mon pote pris ma queue en main et me signifia que je devais en faire de même avec la sienne. Nous nous sommes donc retrouvé à nous branler mutuellement dès le début du film (alors que d'habitude il fallait attendre 10 à 15 bonnes minutes).

Mon ami n'était pas du genre bavard mais là il n'arrêtait pas de commenter le film, surtout durant les scènes de fellation. Il n'arrêtait pas de dire « regarde comme elle le suce bien » ou encore « c'est qu'elle avale sa queue bien à fond cette salope ». je n'en pouvais plus et lui ai fait signe d'arrêter de me branler sinon j'allais jouir trop vite. Entendre de tels mots crus dans sa bouche m'excitait à mort. A ma demande, il avait arrêté de me branler mais voulait que moi je continue. Il en allait toujours de ses commentaires « sur les pipes goulues de ces grosses cochonnes » à tel point que j'ai fini par céder. Je lui ai dit que j'avais compris et, tout en parlant, je me mis à genou entre ses jambes. J'éprouvais un mélange de peur et d'excitation devant cette belle bite d'environ 20 centimètres sur 5 de diamètre. J'en avais envie depuis longtemps mais j'avais peur de ne pas aimer. Je commençais donc doucement par la prendre avec mes mains, ça j'avais l'habitude, puis je donnais un petit coup de langue sur ce gros gland appétissant. Je continuais comme ça quelques instants quand mon pote poussa son bassin en avant pour me la faire rentrer dans la bouche. J'étais au comble de la joie. J'avais une bite en bouche et elle était excellente. Je la suçais donc avec frénésie mais aussi très maladroitement vu que c'était la première fois. Ce dernier avait quand même l'air d'apprécier car je l'entendais pousser des petits râles de plaisirs. J'ai du le sucer pendant environ 2-3 minutes quand je sentis une petite goutte de sperme perler au bout de son gland. Ce goût était merveilleux mais je ne m'attendais pas à en avoir beaucoup plus. Sans me prévenir, il explosa au fond de ma gorge et je me suis retrouvé avec une inondation buccale qui ne me laissa pas d'autre choix que d'avaler.
J'aurai pu lui en vouloir mais non car j'avais adoré et ça m'a fait jouir abondamment sur le carrelage. Je me sentais féminine et j'en voulais encore plus, mais ça, c'est une autre histoire.

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