Mon Initiation 2 : La Sodomie

Mon pote avait un sourire jusqu’aux oreilles. Il venait de se faire sucer pour la première fois et en plus j’avais tout avalé (le rêve de tout homme pour une première fois). J’étais encore à genou devant lui, j’avais inondé le carrelage avec ma propre semence et je m’aperçu que j’en avais encore de la sienne au coin de la bouche. Le goût m’avait tellement plu que je léchais donc cette dernière goutte pour la savourer. Nous restâmes comme ça quelques instants puis je repris mes esprits, il allait être 11h45 et il était possible que ma mère décide de rentrer pour manger avec moi. Je suis donc aller dans la cuisine pour prendre de l’essuie tout et j’ai nettoyé le sol de mon mieux. Mon pote ne bougeant pas, je lui expliquais qu’il fallait qu’il se rhabille au cas où nous aurions une visite imprévue. Une fois fini mon travail, je retournais donc aux toilettes pour récupérer mes fringues et être présentable. Les sous vêtements de ma mère étaient toujours là, bien planqués et je savais que je devais les ranger mais je me dis que je verrais ça plus tard, que là je n’avais pas le temps. Je remis donc mon jean et mon maillot et rejoignis mon ami qui s’était rhabillé et qui avait pensé à arrêter et ranger la cassette.

Mon intuition fut la bonne car à 12h15, ma mère débarqua avec un grand sourire. Elle ne fut pas surprise de voir mon pote et nous confirma qu’il allait bien passer tout le mois de juillet avec moi. J’étais au comble de la joie. Non seulement je n’allais pas être seul mais en plus, vu comment le premier jour se passait, j’avais hâte de voir ce qui allait advenir des suivants. Le repas se passa dans la bonne humeur même si je n’étais pas à ce que je faisais. J’avais encore à l’esprit la fellation que je venais de pratiquer à mon pote et je pouvais encore sentir le gout salé de son sperme sur ma langue. Le fait d’y penser et de me dire que j’allais surement recommencer me faisait bander comme un âne et je faisais tout ce que je pouvais pour ne pas me lever.

Ma mère m’a demandé plusieurs fois si j’allais bien quand elle s’aperçut que je ne l’écoutais pas du tout. Le fait de lui répondre avec un grand sourire la rassurait un peu mais elle se doutait qu’il se passait quelque chose. Malgré cela, elle ne dit rien et fit comme si tout était normal. Je me voyais mal lui annoncer que je venais de sucer une bite et que je n’avais qu’une seule envie : recommencer.

Une heure et demie plus tard, ma mère repartit au boulot, nous laissant tous les 2 seuls pour les cinq heures à venir. Ils nous fallu moins de trois minutes pour nous déshabiller et remettre la cassette dans le magnétoscope. Comme à notre habitude, nous nous branlions mutuellement à la différence que cette fois, mon pote y allait avec plus de douceur voire même plus de sensualité. Dans la lignée de la matinée, il se remit à commenter les prouesses des actrices durant les fellations. J’avais tout de suite compris le message mais décidais de ne pas bouger. Je voulais qu’il me le demande clairement, pas que je lui propose après qu’il me l’ait suggéré. Nous avons donc continué à nous branler durant quelques minutes quand il n’y tint plus.

Bon, tu vas te décider à me sucer à la fin.
J’attendais juste que tu le demandes.

Sans un mot de plus, je me suis agenouillé devant lui et l’ai pris en bouche sans préambule. Cette seconde fellation était meilleure, j’avais mieux regardé la technique des actrices et je me sentais plus à l’aise. Je savais un peu mieux ce qu’il fallait faire. Ses gémissements me firent comprendre que je me débrouillais très bien. Au bout de quelques instants, je le sentais glisser sur le fauteuil. Je lâchais donc sa queue pour me mieux me mettre et quand je voulu reprendre ma gourmandise, j’avais face à moi une bite bien dressée, une paire de couille qui pendait et un trou du cul bien ouvert. Je voulu remettre sa queue dans ma bouche quand il me repoussa la tête et m’indiqua sa rondelle. Il me dit sèchement de le lécher, comme s’il m’en donnait l’ordre.
Je fus troublé mais aussi terriblement excité par son côté autoritaire. Mais j’avais beau me sentir femme, je n’étais pas devenu son esclave sexuel pour autant. Je lui dis alors que je le ferai mais à ma façon. Sans lui laisser le temps de répondre, je le fis s’allonger sur le canapé et me mis en position de 69 sur lui. Je lui dis que s’il voulait que je le lèche, il allait devoir me sucer à son tour. Je pensais que ça allait le calmer mais je me trompais sur toute la ligne.

Il me prit en bouche et goba ma queue comme un pro. Cette sensation était tellement excellente que j’étais au comble du bonheur. Du coup, j’ai du respecter ma part du marché et je me mis à lui fouiller le cul avec ma langue. Il avait un goût fort et poivré et je dois bien avouer que ce n’est pas ce que je préfère mais vu comment lui appréciait et me suçait en retour, j’ai continué de mon mieux. Cette première pipe m’a fait jouir en moins de deux minutes mais mon pote avait anticipé tout juste et c’était retiré à la dernière seconde. Malgré tout, il ne fut pas assez rapide et s’est retrouvé avec du sperme plein les cheveux et le visage. J’haletais de plaisir car cette fois, je n’étais pas la femme qui suce mais l’homme qui s’est fait sucer et j’avoue que passer de l’un à l’autre sur la même journée me rendait fou de bonheur. Voulant remercier mon pote de m’avoir fait jouir, je suis relevé et je me remis à genou devant sa queue pour le sucer à nouveau. Il m’arrêta et me dit qu’il ne voulait pas ma bouche mais plutôt mon cul. Il me précisa tout de même qu’il ne me forcerait pas et que c’était à moi de décider. Je réfléchis quelques instants et je lui donnai mon accord en me mettant à quatre pattes. Je lui demandais quand même d’y aller doucement et de me promettre d’arrêter si je le lui demande, accord qu’il me donna sans problème.

Il m’écarta doucement les fesses et présenta son engin à l’entrée de mon petit trou. J’appréhendais très fortement la douleur à venir. J’avais vraiment peur mais mon pote y alla très doucement.
Il commença à me pénétrer tout doucement et par à coups. Il rentra progressivement et en douceur jusqu’à ce qu’il soit bien au fond. Voyant que je trouvais la sensation pas très agréable au départ, il patienta jusqu’à ce que je lui dise d’y aller. Il eu une patience d’ange car il ne dit rien devant l’attente. Quand je lui ais donné mon feu vert, il commença de lents va et viens dans mon cul. On y était, je me faisais enculer comme une gonzesse et mon pote avait décidé de me considérer comme tel. Plus je me mis à apprécier la sensation plus je lui disais d’y aller fort et quand il me démontait littéralement, je criais mon plaisir. C’est là que je suis devenu une cochonne, une salope et une chienne aux yeux de mon pote et il ne se privait pas pour me le dire. Il me prit pendant quelques minutes et finit par exploser dans mon cul. De mon côté, cette sodomie m’a refait jouir sur le carrelage qui en aura vu de belles ce jour-là. Mon pote s’est retiré et j’ai senti son jus me dégouliner du fondement. Je me sentais vraiment salope sans savoir que j’allais vraiment en devenir une dans les jours à venir. Mais ça, c’est une autre histoire …

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